ACCUEIL > Divers > Récit : Karine, ,devient incestueuse 2
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 14/10/2025
Histoire précèdente <<<
Karine, ,devient incestueuse 2
+9
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 14/10/2025
Découvrez les filles coquines près de chez vous :
Paul explose sa femme, il la prend par tous les trous, les deux jouissent affreusement, jamais, elle ne s'est donnée comme cela à son mari.
Enfin à bout de souffle, et après un instant de récupération, Karine, en profite pour changer de vêtements. Pendant qu'ils reprennent leurs souffles au salon, Lilian descend de sa chambre et retrouve ses parents, qui sursautent en le voyant. Sa maman dit
— Nous ne t'avons pas entendus entrer, mon chéri !
Lilian, en se pinçant les lèvres, dit :
-Je n'ai pas voulu vous déranger, donc je suis monté dans ma chambre !
Karine regarde son mari, puis pâlît, elle dit avec des tremblements dans la voix :
-Tu, tu, nous a vu ?
Avec un petit sourire, le fils voyeur répond :
-Malheureusement oui, et je dois dire que toi maman, tu es très expressive, tu ne simules pas, c'était merveilleux. D'un côté, je suis heureux, que vous, vous retrouvez sexuellement, j'étais inquiet !
Le papa prend la parole :
-Oui, il y avait dans notre couple un petit flottement, mais maintenant cela va beaucoup mieux !
En se raclant la gorge, il ajoute :
-Tu nous as épié longtemps ?
-Ben, j'ai vu maman s'effeuiller, et ensuite se goder, je dois dire qu'elle ne fait pas semblant, elle y met tout son cœur. Et après qu'elle a joui, je t'ai vu la défoncer. C'en était trop pour moi, je suis monté dans la chambre. Comme vous devez, vous en douter, je me suis, masturber en pensant à vous. J'ajoute, maman, que tu as un corps sublime, et que le string te sied à ravir !
Karine regarde son fils, elle est rouge pivoine, et en bafouillant dit :
-Tu dois me prendre pour une dépravée, qui joue du gode, devant son mari, oh comme je m'en veux, je regrette que tu nous es vu, j'ai honte de moi mon chéri !
Ses yeux s'emplissent de larmes, quelques-unes coulent sur ses joues. Lilian esquisse un petit sourire, et en s'approchant de sa maman, l'enlace. Il la serre très fort contre lui et lui dit tendrement :
-Il ne faut pas avoir honte de l'amour, maman, c'est un acte naturel, d'ailleurs, je ne te juge pas, je n'en ai aucun droit !
Karine renifle bruyamment. Avec douceur, Lilian gobe les perles salées qui coulent sur le visage de sa maman, et le couvre de petits baisers. Il agite doucement son bassin contre le sien, il la prend par les hanches et appuie très fort son bas-ventre contre celui de sa maman. Le coquin donne quelques petits coups de reins, en simulant un coït. La maman surprise serre les dents, les ondulations qu'entreprend son fils avec son bassin la trouble énormément. Elle sent contre son ventre le manche de chair de son fils, qui durcit. Lilian lui souffle discrètement à l'oreille :
-Je bande pour toi maman chérie !
Karine se contacte, sa respiration devient rapide, elle répond à faible voix :
-Tu es fou Lilian, en ne bande pas pour sa maman, c'est immoral !
Sans se soucier de la présence de son papa, il saisit la main de sa maman et la pose sur la bosse qui déforme son pantalon, et dit avec ironie :
-Et ça, qu'est-ce que c'est, c'est, du toc !
Inconsciemment, Karine presse plusieurs fois la verge gonflée de son fils, elle le regarde droit dans les yeux, et en poussant un gros soupir, réussit à se défiler. Elle se laisse tomber sur le canapé, elle est toute troublée. Paul se pince les lèvres, malgré ce qu'il vient de voir, n'ose intervenir. Les yeux de Karine ne quittent pas le bas ventre de son fils, en l'entend déglutir bruyamment. Étrangement son pubis se met à suinter, elle serre les cuisses et les poings, elle ne comprend pas ce qui se passe. Elle mouille pour son fils, qui lui bande pour elle. Il s'approche d'elle et sans se démonter, lui demande en se caressant la bosse :
-Maman, branle-toi, et gode-toi maman chérie, comme tu l'as fait tout à l'heure, j'ai trop envie de te voir jouir, fais-le je t'en prie ?
Les yeux presque exorbités, et en ravalant sa salive, Karine complément, déboussolée, dit :
-Mais, mais, ce que tu me demandes mon chéri, est insensé, je suis ta maman, je ne peux me masturber devant toi, c'est complétement fou !
Karine cherche du secours auprès de son mari, mais le bougre reste muet un instant. Mais, l'idée ne lui déplait pas, il serait heureux de revoir sa femme se goder, cela l'avait excité terriblement. Sans trop se mouiller, il dit :
-Ma chérie, je ne peux te conseiller, mais si tu veux faire plaisir à Lilian, et si tu te sens capable de le faire, eh bien, fais-le !
En regardant sa maman, Lilian, lentement, déboutonne sa braguette, et en extirpe sa verge, elle est tendue au maximum. Sans précipitation, lui l'agite sans quitter des yeux sa maman. La culotte de Karine est trempée. Bien qu'elle soit très fusionnelle avec son fils, ce qu'il lui demande, pour elle, c'est une humiliation monstrueuse, ses yeux s'emplissent de larmes. Mais elle prend enfin une décision. Avec des gestes maladroits, elle passe sa main mon sous sa jupe et la retrousse. Fébrilement, elle baisse sa culotte, et se contorsionne pour la faire tomber sur le sol. Elle ouvre doucement les jambes, sa main glisse entre ses cuisses et se plaque contre sa fente humide.
En regardant son fils jouer avec sa verge, elle commence, elle aussi, à se masturber. Ses longs doigts fins glissent sur les grandes lèvres de la vulve en ébullition, s'insèrent dans le sillon, et montent à la recherchent de la boule des plaisirs. Elle la serre entre ses doigts et commence à l'agiter. Rapidement ses yeux s'embuent, elle commence à geindre. Paul, commence à saliver, les doigts de sa femme s'agrippent au clito comme une pieuvre à son rocher
Elle serre les dents, son mari en veut plus, il lui donne le gode. Karine le passe plusieurs fois sur sa fente dégoulinante de cyprine, avant de se l'enfoncer profondément dans le vagin. La pénétration la fait cabrer, elle grogne en se fouillant rageusement le conduit. Le va-et-vient est redoutable, la coquine très habile d'une main se triture le clito pendant que de l'autre, elle manipule le gode comme jamais, elle ne l'a fait.
Une violente jouissance la fait hurler, elle reste un instant haletante avant de retirer en tremblant l'engin de son ventre., et de rabattre sa jupe.
Lilian bande comme un poney, il agite avec fermé son membre en s'approchant de sa maman, il dit :
-Oh maman comme tu es belle lorsque tu jouis, j'ai envie de toi, donne-toi à moi maman chérie !
Karine entre deux respirations se contracte et dit en béguant :
-Lilian, j'en ai déjà trop fait, ne me demande pas l'impossible, ai pitié de moi, je suis ta maman !
Elle regarde son mari, en l'implorant du regard. Le cochon bande terriblement, et l'idée de voir sa femme prise par son fils, bien que ce soit immoral, l'excite affreusement. Lui en bon faux cul ne se mouille toujours pas, en prenant une voix mielleuse dit :
-Karine ma chérie, tu es la seule à prendre une décision, et peu importe ce qu'elle est, elle sera bonne !
Karine ne quitte pas des yeux la verge que son fils agite sous son nez, son regard est triste. Elle se pose des questions, si elle le fait, c'est de l'inceste et cela la ferait mourir de honte. Par contre, si elle ne le fait pas, elle risque de le regretter toute sa vie. Elle pèse le pour et le contre, il est vrai que Lilian à une queue bien plus grosse que celle de son mari, l'idée est très tentante. Sans attendre une réponse de sa maman, Lilian, s'assoit près de sa maman, pose sa main sur sa cuisse, et la glisse doucement sous sa jupe, Karine baisse la tête, elle n'ose regarder son fils, qui devient de plus en plus audacieux. La main, en passant entre ses cuisses, la fait frissonner. Avec douceur, elle se plaque contre son puits d'amour, qui déborde de cyprine. Les intrus glissent sur les grandes lèvres humides, et sans savoir pour quoi, Karine ouvre légèrement les cuisses. Pour Lilian, c'est comme une invitation. De sa main libre, il retrousse la jupe et dévoile la vulve trempée, que ses doigts taquinent. À chaque passage sur son temple d'amour, Karine dit faiblement :
-Non, non, mon chéri, il ne faut pas, c'est malsain, mon Dieu, je suis damnée !
Des larmes coulent sur ses joues, elle ferme les yeux, et elle rejette sa tête en arrière, en murmurant :
-Non, non, Lilian, cesse, je t'en prie !
Le coquin lui saisit entre son pouce et son index la boule de chair qui est terriblement gonflée et l'agite à un rythme lent. La maman se cambre en serrant les dents. Des mots inaudibles sortent de sa bouche. Paul, excité, ne tient plus, il s'avance vers le couple, et ouvre le corsage de sa femme. Les seins jaillissent et tombent lourdement sur le torse, lorsqu'il dégrafe le carcan de tissu., qui les emprisonnait. Il les malaxe, enfonce ses doigts dans les chairs souples, les pétrit. Roule entre ses doigts les mamelons, qui rapidement doublent de volume. Il les étire et les presse si fort que Karine grimace en geignant. Lilian, accélère la masturbation du clitoris. Karine se tend comme un arc, en grognant :
-Lilian, non, non !
Une violente jouissance la fait cabrer, elle se mord le poignet pour étouffer le cri qu'elle pousse. Il se lève et frotte sa verge contre les lèvres charnues de la maman qui, vaincue, n'oppose plus de résistance. Elle saisit la hampe épaisse, décalotte le gland, et le gobe sans plus se poser de questions. Elle suce, tète comme une affamée. Paul est aux anges, enfin sa femme se libère, de son côté, il lui dévore les mamelons, les malmène, en les étirant avec ses dents, et en faisant des aspirations terribles dessus. Karine pousse des gémissements étouffés par le gland qu'elle suce. Elle s'avère être une suceuse de première, car son fils geint comme un agonissant.
Rapidement, la maman est récompensée par le travail qu'elle fait, une décharge puissante de sperme, lui remplit la bouche. Elle repousse son fils, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. Elle se pince les lèvres, son mari, lui cri :
-Avale ma chérie, avale !
Par petites gorgées, Karine avale la totalité de la décharge. En regardant son fils elle dit :
- Tu fais de moi une catin ,Lilian ,je te hais , j'ai honte de moi !
Mais lorsqu'il se place entre ses cuisses et qu'il lui enfonce sa queue gluante dans le ventre jusqu'aux couilles, elle pousse un long râle accompagné d'un :
-Oui, oui, baise ta salope de maman mon chéri !
Elle s'accroche à lui en geignant de plaisir. A chaque coup de reins qu'il lui donne elle se cabre, en poussant des :
-oh putain, oh putain ,comme il m'embroche, regarde Paul comme ce salaud défonce sa maman, mon Dieu je vais mourir !
Enfin à bout de souffle, et après un instant de récupération, Karine, en profite pour changer de vêtements. Pendant qu'ils reprennent leurs souffles au salon, Lilian descend de sa chambre et retrouve ses parents, qui sursautent en le voyant. Sa maman dit
— Nous ne t'avons pas entendus entrer, mon chéri !
Lilian, en se pinçant les lèvres, dit :
-Je n'ai pas voulu vous déranger, donc je suis monté dans ma chambre !
Karine regarde son mari, puis pâlît, elle dit avec des tremblements dans la voix :
-Tu, tu, nous a vu ?
Avec un petit sourire, le fils voyeur répond :
-Malheureusement oui, et je dois dire que toi maman, tu es très expressive, tu ne simules pas, c'était merveilleux. D'un côté, je suis heureux, que vous, vous retrouvez sexuellement, j'étais inquiet !
Le papa prend la parole :
-Oui, il y avait dans notre couple un petit flottement, mais maintenant cela va beaucoup mieux !
En se raclant la gorge, il ajoute :
-Tu nous as épié longtemps ?
-Ben, j'ai vu maman s'effeuiller, et ensuite se goder, je dois dire qu'elle ne fait pas semblant, elle y met tout son cœur. Et après qu'elle a joui, je t'ai vu la défoncer. C'en était trop pour moi, je suis monté dans la chambre. Comme vous devez, vous en douter, je me suis, masturber en pensant à vous. J'ajoute, maman, que tu as un corps sublime, et que le string te sied à ravir !
Karine regarde son fils, elle est rouge pivoine, et en bafouillant dit :
-Tu dois me prendre pour une dépravée, qui joue du gode, devant son mari, oh comme je m'en veux, je regrette que tu nous es vu, j'ai honte de moi mon chéri !
Ses yeux s'emplissent de larmes, quelques-unes coulent sur ses joues. Lilian esquisse un petit sourire, et en s'approchant de sa maman, l'enlace. Il la serre très fort contre lui et lui dit tendrement :
-Il ne faut pas avoir honte de l'amour, maman, c'est un acte naturel, d'ailleurs, je ne te juge pas, je n'en ai aucun droit !
Karine renifle bruyamment. Avec douceur, Lilian gobe les perles salées qui coulent sur le visage de sa maman, et le couvre de petits baisers. Il agite doucement son bassin contre le sien, il la prend par les hanches et appuie très fort son bas-ventre contre celui de sa maman. Le coquin donne quelques petits coups de reins, en simulant un coït. La maman surprise serre les dents, les ondulations qu'entreprend son fils avec son bassin la trouble énormément. Elle sent contre son ventre le manche de chair de son fils, qui durcit. Lilian lui souffle discrètement à l'oreille :
-Je bande pour toi maman chérie !
Karine se contacte, sa respiration devient rapide, elle répond à faible voix :
-Tu es fou Lilian, en ne bande pas pour sa maman, c'est immoral !
Sans se soucier de la présence de son papa, il saisit la main de sa maman et la pose sur la bosse qui déforme son pantalon, et dit avec ironie :
-Et ça, qu'est-ce que c'est, c'est, du toc !
Inconsciemment, Karine presse plusieurs fois la verge gonflée de son fils, elle le regarde droit dans les yeux, et en poussant un gros soupir, réussit à se défiler. Elle se laisse tomber sur le canapé, elle est toute troublée. Paul se pince les lèvres, malgré ce qu'il vient de voir, n'ose intervenir. Les yeux de Karine ne quittent pas le bas ventre de son fils, en l'entend déglutir bruyamment. Étrangement son pubis se met à suinter, elle serre les cuisses et les poings, elle ne comprend pas ce qui se passe. Elle mouille pour son fils, qui lui bande pour elle. Il s'approche d'elle et sans se démonter, lui demande en se caressant la bosse :
-Maman, branle-toi, et gode-toi maman chérie, comme tu l'as fait tout à l'heure, j'ai trop envie de te voir jouir, fais-le je t'en prie ?
Les yeux presque exorbités, et en ravalant sa salive, Karine complément, déboussolée, dit :
-Mais, mais, ce que tu me demandes mon chéri, est insensé, je suis ta maman, je ne peux me masturber devant toi, c'est complétement fou !
Karine cherche du secours auprès de son mari, mais le bougre reste muet un instant. Mais, l'idée ne lui déplait pas, il serait heureux de revoir sa femme se goder, cela l'avait excité terriblement. Sans trop se mouiller, il dit :
-Ma chérie, je ne peux te conseiller, mais si tu veux faire plaisir à Lilian, et si tu te sens capable de le faire, eh bien, fais-le !
En regardant sa maman, Lilian, lentement, déboutonne sa braguette, et en extirpe sa verge, elle est tendue au maximum. Sans précipitation, lui l'agite sans quitter des yeux sa maman. La culotte de Karine est trempée. Bien qu'elle soit très fusionnelle avec son fils, ce qu'il lui demande, pour elle, c'est une humiliation monstrueuse, ses yeux s'emplissent de larmes. Mais elle prend enfin une décision. Avec des gestes maladroits, elle passe sa main mon sous sa jupe et la retrousse. Fébrilement, elle baisse sa culotte, et se contorsionne pour la faire tomber sur le sol. Elle ouvre doucement les jambes, sa main glisse entre ses cuisses et se plaque contre sa fente humide.
En regardant son fils jouer avec sa verge, elle commence, elle aussi, à se masturber. Ses longs doigts fins glissent sur les grandes lèvres de la vulve en ébullition, s'insèrent dans le sillon, et montent à la recherchent de la boule des plaisirs. Elle la serre entre ses doigts et commence à l'agiter. Rapidement ses yeux s'embuent, elle commence à geindre. Paul, commence à saliver, les doigts de sa femme s'agrippent au clito comme une pieuvre à son rocher
Elle serre les dents, son mari en veut plus, il lui donne le gode. Karine le passe plusieurs fois sur sa fente dégoulinante de cyprine, avant de se l'enfoncer profondément dans le vagin. La pénétration la fait cabrer, elle grogne en se fouillant rageusement le conduit. Le va-et-vient est redoutable, la coquine très habile d'une main se triture le clito pendant que de l'autre, elle manipule le gode comme jamais, elle ne l'a fait.
Une violente jouissance la fait hurler, elle reste un instant haletante avant de retirer en tremblant l'engin de son ventre., et de rabattre sa jupe.
Lilian bande comme un poney, il agite avec fermé son membre en s'approchant de sa maman, il dit :
-Oh maman comme tu es belle lorsque tu jouis, j'ai envie de toi, donne-toi à moi maman chérie !
Karine entre deux respirations se contracte et dit en béguant :
-Lilian, j'en ai déjà trop fait, ne me demande pas l'impossible, ai pitié de moi, je suis ta maman !
Elle regarde son mari, en l'implorant du regard. Le cochon bande terriblement, et l'idée de voir sa femme prise par son fils, bien que ce soit immoral, l'excite affreusement. Lui en bon faux cul ne se mouille toujours pas, en prenant une voix mielleuse dit :
-Karine ma chérie, tu es la seule à prendre une décision, et peu importe ce qu'elle est, elle sera bonne !
Karine ne quitte pas des yeux la verge que son fils agite sous son nez, son regard est triste. Elle se pose des questions, si elle le fait, c'est de l'inceste et cela la ferait mourir de honte. Par contre, si elle ne le fait pas, elle risque de le regretter toute sa vie. Elle pèse le pour et le contre, il est vrai que Lilian à une queue bien plus grosse que celle de son mari, l'idée est très tentante. Sans attendre une réponse de sa maman, Lilian, s'assoit près de sa maman, pose sa main sur sa cuisse, et la glisse doucement sous sa jupe, Karine baisse la tête, elle n'ose regarder son fils, qui devient de plus en plus audacieux. La main, en passant entre ses cuisses, la fait frissonner. Avec douceur, elle se plaque contre son puits d'amour, qui déborde de cyprine. Les intrus glissent sur les grandes lèvres humides, et sans savoir pour quoi, Karine ouvre légèrement les cuisses. Pour Lilian, c'est comme une invitation. De sa main libre, il retrousse la jupe et dévoile la vulve trempée, que ses doigts taquinent. À chaque passage sur son temple d'amour, Karine dit faiblement :
-Non, non, mon chéri, il ne faut pas, c'est malsain, mon Dieu, je suis damnée !
Des larmes coulent sur ses joues, elle ferme les yeux, et elle rejette sa tête en arrière, en murmurant :
-Non, non, Lilian, cesse, je t'en prie !
Le coquin lui saisit entre son pouce et son index la boule de chair qui est terriblement gonflée et l'agite à un rythme lent. La maman se cambre en serrant les dents. Des mots inaudibles sortent de sa bouche. Paul, excité, ne tient plus, il s'avance vers le couple, et ouvre le corsage de sa femme. Les seins jaillissent et tombent lourdement sur le torse, lorsqu'il dégrafe le carcan de tissu., qui les emprisonnait. Il les malaxe, enfonce ses doigts dans les chairs souples, les pétrit. Roule entre ses doigts les mamelons, qui rapidement doublent de volume. Il les étire et les presse si fort que Karine grimace en geignant. Lilian, accélère la masturbation du clitoris. Karine se tend comme un arc, en grognant :
-Lilian, non, non !
Une violente jouissance la fait cabrer, elle se mord le poignet pour étouffer le cri qu'elle pousse. Il se lève et frotte sa verge contre les lèvres charnues de la maman qui, vaincue, n'oppose plus de résistance. Elle saisit la hampe épaisse, décalotte le gland, et le gobe sans plus se poser de questions. Elle suce, tète comme une affamée. Paul est aux anges, enfin sa femme se libère, de son côté, il lui dévore les mamelons, les malmène, en les étirant avec ses dents, et en faisant des aspirations terribles dessus. Karine pousse des gémissements étouffés par le gland qu'elle suce. Elle s'avère être une suceuse de première, car son fils geint comme un agonissant.
Rapidement, la maman est récompensée par le travail qu'elle fait, une décharge puissante de sperme, lui remplit la bouche. Elle repousse son fils, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. Elle se pince les lèvres, son mari, lui cri :
-Avale ma chérie, avale !
Par petites gorgées, Karine avale la totalité de la décharge. En regardant son fils elle dit :
- Tu fais de moi une catin ,Lilian ,je te hais , j'ai honte de moi !
Mais lorsqu'il se place entre ses cuisses et qu'il lui enfonce sa queue gluante dans le ventre jusqu'aux couilles, elle pousse un long râle accompagné d'un :
-Oui, oui, baise ta salope de maman mon chéri !
Elle s'accroche à lui en geignant de plaisir. A chaque coup de reins qu'il lui donne elle se cabre, en poussant des :
-oh putain, oh putain ,comme il m'embroche, regarde Paul comme ce salaud défonce sa maman, mon Dieu je vais mourir !
Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.
Commentaires du récit : Karine, ,devient incestueuse 2
Aucun commentaire pour le moment
Histoire précèdente <<<