L 'assoiffée de sexe 1

Valériane, vingt ans, traine avec un garçon un peu louche. Depuis qu'elle connait ce type, ses résultats à la fac sont catastrophiques. Elle rentre à des heures impossibles, quelques fois fortement alcoolisée. Malgré les remontrances de ses parents, rien ne change. Elle traine tard le soir. Son papa Michel décide de la suivre pour savoir ce qu'elle fait pendant ses longues absences. Valériane retrouve son ami douteux, Karl qui a tout l'air d'un mac, il a trente-cinq ans, et vit de troc et de deal. Elle discute avec lui, puis monte dans sa voiture et partent. Michel, caché dans un coin, réagit promptement, il monte dans son véhicule et les suit.

La voiture de Karl s'arrête sur un parking, les deux passagers en descendent et entre dans un club très prisé par les échangistes. Michel se gare aussi en ne perdant pas de l'œil sa fille. Son sang ne fait qu'un tour, il connait la réputation de l'endroit, et cela l'inquiète. Il decide de rentrer, là coup de change, les participants peuvent s'il le souhaitent porter un loup sur les yeux. Michel qui ne veut pas se faire repérer commande une boisson au bar et demande un masque. Il regarde autour de lui et voit au bord de piste une table libre, il s'y precipite, mais là, c'est champagne obligatoire, et n'est pas donné. Mais, Michel est là pour la bonne cause. Il voit sa fille, dos à son pote, au centre de la piste. Karl lui a remonté la jupe, et frotte son bassin, contre les fesses bien rondes de Valériane, il la tient par la taille. La musique se prête bien aux évolutions des danseurs. Michel ne sait où donner de la tête, tous les couples ou personnes seules l'intriguent. Ses yeux se posent, sur Une femme dont le corsage est largement ouvert, et le soutien-gorge baissé sous ses seins. La femme, pas très jeune, se fait sucer les mamelons, par un homme, pendant qu'un autre, les mains sous sa jupe, lui caresse les fesses. La femme très souriante appuie sur la tête du suceur de mamelons en disant :

-Bouffe-moi bien les nichons, chéri !

Plus loin, Un homme s'évertue à déshabiller une femme. Une fois nue, la femme se trémousse devant lui. Elle agite ses seins et son bassin comme une danseuse orientale. Michel reprend ses esprits, il cherche du regarde sa fille qu'il avait perdue de vue. Karl, toujours collé à ses fesses, ondule du bassin. Un homme s'approche d'eux, il prend Valériane par le cou et l'embrasse goulûment, la coquine ne refuse pas le baiser, avec douceur, elle passe sa main sur le bas-ventre de l'homme et lui saisit à travers du pantalon la verge, qui est encore molle. Elle la triture un bon moment, avant de la lâcher. L'homme en veut plus, il sort sa verge et prend la main de Valériane qu'il la pose sur dessus, il lui dit :

-Mets-moi en condition chérie, je vais te baisser comme l'autre jour, tu es tellement bonne, ma salope !

Michel serre les dents de rage, sa fille semble être bien connue dans ce club libertin. Karl lui retire la culotte, et la jupe, l'homme se charge du top et du soutien-gorge à balconnets, rapidement, Valériane est nue. Elle regarde la queue de l'homme et la prend d'une main, elle commence à la tripoter, pour que la bête relève la tête, il, faut un peu de temps pour que la queue devienne dure. Valériane commence un branlage époustouflent, l'homme se raidit sous la puissance du branlage. Michel ne croit pas ce qu'il voit, sa fille sourit en masturbant l'homme. Karl, lui taraude le cul avec deux doigts, il sait que sa cochonne aime ça. Au bout d'un instant, il retire ses doigts du rectum, le salaud doit bien le connaitre cet endroit, car il place sa verge tendue contre l'anus, et pousse. Valériane se cabre légèrement en serrant les dents. Le mandrin s'enfonce sans faire une pause, jusqu'aux couilles.


Bien empalée, Valériane délaisse la queue qu'elle branle, elle se met à geindre de plaisir sous les coups de reins de l'enculeur. L'homme veut aussi sa part, il enserre la taille de Valériane et d'une main lui lève une jambe. Valériane s'accroche à son cou pour ne pas chuter, le coquin saisit sa verge et la dirige vers la chatte de Valériane. Il frotte quelques secondes son gland contre les grandes lèvres très humides et l'enfonce jusqu'à la garde dans le ventre de la chaudasse.


Michel croit défaillir, sa fille se fait prendre en double pas loin de lui, il voit nettement les deux queues voyager dans le corps de sa fille qui geint comme une malade. Il n'ose le croire, mais sa queue se met à gonfler de plus en plus. Il souffle sous son masque, soudain il sursautte sa fille vient de pousser un cri en jouissant superbement fort. Karl lui remplit le cul de son sperme, pendant que l'homme lui décharge sa semence brulante dans le ventre. Les deux baiseurs se retirent, un autre homme s'avance et bascule Valériane sur une table. Mais, le bougre n'a pas le temps de faire quoi que ce soit, qu'une femme, le bouscule et plaque sa bouche sur la chatte dégoulinante de sperme et de cyprine mélangée. Elle lèche et fouille profondément la vulve gorgée de semence. La vorace, avale un maximum de liquide avant de faire cabrer Valériane en lui gobant le clito. L'homme, frustré, réagit, il offre à Valériane sa queue gonflée. Elle la gobe sans rechigner. Son papa entend les succions monstrueuses que sa fille fait sur le gland de l'homme. Son membre et dur comme du béton, il serre les dents et presse fortement sa verge pour tenter, arrêter l'afflue de sang, qui rend son engin de plus en plus volumineux.


La femme s'acharne sur le clito de la soumise, elle lui fait subir, toutes les misères possibles. Valériane pousse un cri en jouissant. La femme souriante se redresse, la coquine, elle aussi, à jouit pendant qu'elle devorait sa proie. La place est vite prise, un homme trapu, enfonce son large glaive dans le ventre de Valériane qui tète toujours la queue de l'homme. Les coups de reins font couiner Valériane comme une bête, l'homme, surexcité, jouit rapidement. Michel ne tient plus, il repousse l'éjaculateur, et sans se poser de questions enfonce son mandrin dans le ventre de sa fille. Il la saisit par les hanches et la défonce avec une violence inouïe. Valériane doit laisser la verge de l'homme qu'elle sucais. Elle s'agrippe à son pourfendeur, en grognant de plaisir. L'homme délaissé doit se rabattre sur les seins de Valériane, il les suce, les tète avec voracité.


Michel n'économise pas ses coups de bélier, il ressort entièrement sa queue du vagin qu'il malmene pour la replonger brutalement dans le ventre de sa fille qui se cabre en grognant :

-Oh oui, oui, oh la vache que c'est bon !


Michel la défonce brutalement pour lui infliger une punition, amis, c'est le contraire qui se produit, sa fille en redemande. Tout d'un coup, il cesse de la violenter, il lui replis les jambes sur le ventre, et reprend la défonce, le bougre n'est pas avare de ses coups, il la démonte avec une rage inhumaine. Soudain, il retire sa queue du vagin en feu et la plante dans le cul de Valériane qui se cabre en poussant un OUI, qui surprend son papa. Michel lui défonce le cul avec une telle sauvagerie, que Karl reste bouche bée devant le spectacle. Valériane pousse des râles monstrueux, elle est au bord de la crise d'hystérie, elle agite sa croupe comme une damnée, en gémissant comme une agonisante. Le papa fougueux donne encore quelques coups de reins avant de répandre dans le cul de sa fille sa semence épaisse. Valériane semble ne plus avoir toute sa tête, les mots qu'elle prononce font frémir à son papa :

Oh putain toi, toi, mon salaud, éclate-moi le cul, arrache-le avec ta queue, enfonce tes doigts, ouvre-le, putain ce que c'est bon !

Un petit attroupement se fait autour d'eux, les yeux des voyeurs ne quittent pas la queue qui défonce avec une force inhabituelle le cul de Valériane. Elle pousse un cri terrible en jouissant du cul. L'homme lui étire les mamelons, les mordille pour la faire hurler encore plus fort. Michel retire son masque, Valériane encore sous le coup des jouissances à du mal à réagir. Lorsqu'elle comrpend, elle sursaute en disant :

-Papa, c'est toi, mon Dieu !

Michel réplique en rageant :

-Ne mêle pas dieu à tout ça, tu n'es qu'une salope, une grosse pute, ah, tu raffoles de la queue pouffiasse, moi, je vais t'en donner salope, aller, on rentre !