ACCUEIL > Hétéro > Récit : L'amie d'enfance

L'amie d'enfance

+21

Lue : 8507 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/09/2012

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Je m’appelle Loïc, 18 ans et j’habite dans une petite maison de bord de mer très agréable. Il y a maintenant 8 ans que mes anciens voisins ont déménagé emmenant avec eux leur fille, Julia, ma meilleure amie et ma complice d’enfance; du même âge que moi. On continuait à s’écrire de temps en temps, mais sans se voir. Jusqu’au jour où je reçois une lettre de sa part me demandant si elle pouvait passer ses vacances chez moi. Fou de joie à l’idée de la revoir, je planifie son arrivée avec mes parents et quelques jours plus tard, je vais la chercher à la gare. Je suis assez curieux de savoir comment elle a changée pendant ces huit années, et si je la reconnaîtrais. Alors que le train arrive, je cherche des yeux une personne pouvant lui ressembler, quand soudain, une jeune femme blonde me saute au cou en m’embrassant sur la joue. C’était elle, Julia! Qu’est ce qu’elle avait changé, la petite fille que j’avais quittée était devenue une superbe femme. Je n’arrivais pas à ne pas penser à sa poitrine serrée contre mon torse, ses bras nus qui m’enlacent, et ses fesses magnifiques que j’avais sous les yeux, la tête sur son épaule. Lorsqu’elle relâche son étreinte, je me recule pour la regarder, elle est magnifique. Elle devait mesurer environ 1m70, ses cheveux lisses descendaient jusqu’à sa poitrine, elle avait des formes parfaitement harmonieuses. Elle me regardait aussi, de ses yeux verts. Que pouvait-elle penser de moi ?

Le soir, en me couchant, je ne pouvais effacer cette vision de ma pensée. Elle dormait dans un lit à coté, et je pouvais l’observer. Je devinais les formes de son corps, et je me pris à bander légèrement. Mon excitation grandit de plus en plus et mon sexe se trouvait à l’étroit dans mon boxer. Sa nuisette mettait en apparence sa poitrine magnifique et je commençai à me masturber discrètement. Je la fixais de plus en plus au fur et à mesure que ma verge se gonflait. Je l’imaginais nue à travers sa nuisette, et cette pensée m’excita encore plus ; je respirais de plus en plus vite, mon sexe était bien dur, l’orgasme m’envahit d’un coup. Je sentais mon sperme chaud qui sortait par saccades de mon membre, qui se répandait sur toute ma verge et sur mes testicules, mais je ne pouvais que penser à cette superbe créature endormie, innocente, et loin de se douter de mes attirances pour elle.

Pendant la première semaine que je passais avec elle, nous étions toujours ensemble, à ressasser nos souvenirs, à discuter, à se balader. Lorsque je lui proposai d’aller se baigner, elle me demanda d’aller sur la plage et qu’elle me rejoindra plus tard. Quand je la vis arriver, je fus subjugué. Je croyais voir arriver une sirène, tant elle était belle. Elle se jeta à l’eau pour me rejoindre. Je bénis le fait d’être immergé, sans quoi, mon érection qui déformait mon caleçon aurait été visible. Nous nous amusâmes une bonne partie de l’après-midi dans l’eau, et chaque fois qu’elle se collait près de moi, je sentais mon sexe durcir un peu plus, à m’en faire presque mal. Une fois sortis de l’eau, elle s’allongea sur sa serviette à coté de moi, resplendissante. En maillot de bain, le corps exposé au soleil, elle paraissait plus belle que jamais.

En rentrant, mes parents nous annoncèrent qu’ils devaient s’absenter 2 jours pour voir des amis dans la région. Après un repas rapidement englouti nous nous installons dans mon lit pour regarder un film sur mon ordi. Julia s'était changée entre temps et ne portait plus qu'un t-shirt, qui laissait dévoiler son absence de soutif, ainsi qu'un shorty qui mettait ses jolies jambes à l'air. Nous étions tout les deux sur le ventre l'un à coté de l'autre. Inutile de vous dire que je m'intéressais plus à mon amie qu'au film, et ça gigotait rapidement dans mon caleçon.
Julia, semblait assez fatiguée, au point qu'elle vint se blottir contre moi pour s'endormir avant la fin du film.
Je me retrouvais dans une situation assez agréable, tout en espérant que mon érection ne bute pas trop contre son dos et ne la réveille.

En sortant de mon sommeil, je fus très surpris de voir ma sirène qui était face à moi, plongeant ses yeux dans les miens, une main sur mes côtes. Je n'eu à peine le temps d'ouvrir ma bouche que la sienne était sur mes lèvres. Elle s'allongea sur moi et desserra son étreinte.
"Je suis désolée Loïc, c'était plus fort que moi."

Ma seule réponse fut de l'attirer à moi pour l'embrasser à nouveau, nos langues jouaient ensemble tandis que nos mains parcouraient nos corps dans l'excitation. Je fus rapidement mis torse nu par ma belle qui s'empressa de le parcourir de baisers. Elle se releva, assise sur moi, nos deux sexes n'étant séparés que du tissus de nos sous vêtements. Avec toute la sensualité du monde Julia enleva son t-shirt montrant au grand jour une poitrine magnifique. Je me redressai pour caresser et embrasser ses seins qu'elle me présentait, puis elle me força à me réallonger. Elle descendit, la tête à quelques centimètres de mon membre qu'elle caressait à travers mon caleçon. Ma verge allait exploser si elle ne l'avait pas sortie à l'air libre, elle commença à me branler doucement. Je fermais les yeux pour savourer la sensation de ces douces mains qui parcourait mon membre. Soudain je ne sentais plus ses mains. Puis une chose humide toucha mon gland, me faisant tressaillir de plaisir. Cette chose fit des cercles au bout de mon sexe, et je devinai que c'était sa langue. Rapidement elle avala ma verge et commença des va-et-vient tout en malaxant mes testicules avec ses mains. J'étais à deux doigts de jouir, si le traitement qu'elle me réservait continuer j'allais déverser ma semence dans sa gorge. Voyant cela ma belle libéra mon sexe et enleva sa culotte pour la suite des événements. Je sorti un préservatif de ma table de chevet qu'elle me prit des mains pour le mettre. Rien que pour ce geste elle y mettait une douceur et une sensualité qui m'excitait au plus haut point. Julia s'allongea sur le dos tandis que je me plaçai à genoux devant elle, nos sexes presque collés. Pour faire monter la pression je caressai l’entrée de son intimité avec mon membre pendant quelques secondes, en léger va-et-vient, la belle commençait à gémir et à me supplier de la pénétrer. Doucement, j’entrai ma verge en elle tout en caressant ce corps qui m’avait tant fais fantasmer. Au fur et à mesure des mes pénétrations, le rythme s’accélérait et Julia laissait échapper sans retenue des gémissements bruyants. Je m’allongeai sur elle, nos bouches se rejoignirent, nos mains parcouraient les moindres parcelles de peau, le tout rythmé par les vas et viens de plus en plus rapide et nos respirations saccadées. Julia avait de plus en plus de mal à tenir le rythme et ses gémissements se transformaient en cris, à chaque coup de rein que je lui donnais. Ses mains s’accrochaient dans mon dos, elle s’abandonnait totalement à moi et sa jouissance arriva rapidement, son corps fit une dernière convulsion et elle jeta un dernier cri de plaisir avant de retomber complètement, exténuée par notre accouplement. Pendant quelques minutes nous sommes restés ainsi, elle reprenant son souffle et moi la couvrant de baisers et de caresses. Sachant que je n’avais pas encore joui, ma belle se releva et enleva mon préservatif pour commencer à me sucer. Sa langue parcourait mon gland et je sentis que je n’allais pas tarder à me décharger à ce rythme là. Elle retira sa bouche et fini le travail en me masturbant, ma semence sortait en saccades sur ses mains, je savourais ce moment de bonheur. Elle me rejoint ensuite pour s’endormir dans mes bras avec un air d’innocence qui me faisait craquer.

Le reste de nos vacances fut essentiellement consacré au sport de chambre, et sous ses airs angéliques ma petite Julia se releva être parfaitement douée dans cette discipline et c’est le cœur serré que je la quittai en fin de semaine à la gare d’un dernier baiser interminable, promesse d’un au revoir et non d’un adieu.
21 vote(s)


Histoire de locrie

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : L'amie d'enfance


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :