L'amour, toujours l'amour

Hier était un des plus merveilleux jours de ma vie. Je m’appelle Natacha, j’ai 25 ans, je viens de finir mon cours d’infirmière. J’ai les cheveux blonds, les yeux verts, une bouche pulpeuse, une poitrine assez volumineuse, mais pas trop. Je ne suis ni petite ni grande. Ni mince ni grosse. J’ai des formes tout simplement. Avec les standards de beauté d’aujourd’hui, je ne fais peut être pas l’unanimité, mais je suis bien dans mon corps et c’est sans doute pourquoi j’ai pu dénicher Christian. On pourrait croire qu’un homme comme lui irait avec une femme au corps parfait, pourtant c’est avec moi qu’il est. Si vous pouviez le voir, vous comprendriez. Il est grand, athlétique, avec des bras, des pectoraux et des abdos à tomber par terre. Il a les cheveux noirs, les yeux noirs et un sourire enjôleur. Il a tout du mec idéal, selon moi. Bref, si hier était une des plus merveilleux jours de ma vie, c’est parce que mon petit copain m’a demandé si je voulais aller vivre avec lui. Depuis le temps que j’attendais ce moment. C’était vraiment parfait. Il m’a invité dans un restaurant chic et romantique. Je me suis alors mise belle pour lui. J’ai remonté mes cheveux, car il adore avec accès facilement à mon cou et j’ai mis une belle robe noire qui arrive à la mi-cuisse et qui offre une belle vue dans mon décolleté. Comme il est plus grand que moi, j’ai aussi mis de grands talons noirs. J’adore me faire belle pour mon amour et être sexy pour lui.

À mon arrivée au restaurant, il m’a offert une orchidée, ma fleur préférée. Mon homme parfait!
Alors que nous en étions encore à l’apéritif, il semblait vouloir me demander quelque chose, mais ne finissait jamais par cracher le morceau.

- Qu’est-ce qui se passe mon chéri? Tu sembles préoccupé?
- C’est qu’il y a quelque chose que j’aimerais te demander, mais j’ai un peu peur de ta réaction.

Ai-je mentionné que j’ai l’esprit mal tourné de nature et donc lorsqu’il m’a dit cela :

- Ohhh je crois avoir deviné de quoi il s’agit.

J’ai alors regardé autour de moi pour être sûre que personne ne me regardait et ensuite, j’ai disparu en dessous de la table, recouverte d’une grande nappe en soie rouge.

- Natacha, mais qu’est-ce que tu fais?! Sors de là!

Je n’ai pas écouté ces protestations et j’ai commencé à descendre sa fermeture éclair, tout en caressant son pénis à travers son pantalon avec mon autre main. Comme je m’en doutais, ça n’a pas été long pour qu’une érection pointe le bout de son nez. J’ai alors sorti sa verge de son pantalon et j’ai commencé à le sucer. J’ai d’abord commencé par lécher son gland avec le bout de ma langue, que j’ai ensuite promené de haut en bas sur sa queue si dure. Je sais comment exciter mon homme et lui faire de l’effet. Je sentais qu’il commençait à se détendre alors je rentrais et sortais son gland de ma bouche rapidement, puis je ralentissais et rentrais toute sa queue dans ma bouche jusque dans le fond de ma gorge. Lorsque je voyais que le plaisir devenait trop intense, je recommençais à lécher son pénis. Je dois dire que d’entendre ses soupirs de satisfaction et de plaisir m’a toujours beaucoup excitée. Alors pendant que je lui faisais sa fellation, j’ai commencé à me masturber. J’ai tassé mon string noir afin d’avoir accès à ma chatte et de passer mes doigts sur mon clitoris. J’avais beaucoup de plaisir, mais toute bonne chose a une fin. J’ai entendu le serveur demander à mon copain:

- Etes-vous prêts à commander?
- Je vais attendre que ma copine soit de retour. Elle est partie se rafraîchir à la salle de bain.

Entendant alors cela, j’ai arrêté de me toucher et me suis dépêchée de finir la fellation de mon chéri. Je l’ai alors sucer intensément jusqu’à ce que son sperme jaillisse et coule le long de ma gorge.

- Est-ce que la voie est libre? lui demandais-je.
- Attends 2 secondes. Oui, maintenant tu peux sortir.

Je sorti alors d’en dessous de la table, m’assis sur ma chaise tout en replaçant mes cheveux et ma robe.

- Tu sais que tu es une fille incroyable toi! me dit-il avec un large sourire. Le genre de sourire qui me fait craquer à tous les coups.
- J’essaie! Lui répondais-je en riant. Il faut bien que je te gâte si je veux te garder.
- Justement. Tu me gâte si bien que je me disais…qu’on pourrait peut-être avancer notre relation d’un pas.
- Que veux-tu dire exactement?
- J’aimerais que tu viennes habiter avec moi!

Ça peut sembler banal, mais à ce moment, mon cœur fit un bond dans ma poitrine.

- Mais bien sûr grand fou!

Je me suis alors approché de lui et l’ai embrassé à pleine bouche. J’étais si contente.

Nous avons alors continué notre souper tout en discutant des détails du genre quels meubles on garde, est-ce qu’on prend un nouvel appart, etc.
À la fin du repas, sous l’influence de la joie et du vin, mais aussi de notre excitation sexuelle émoustillée un peu plus tôt, mon copain et moi nous nous déshabillons du regard. Il voyait que je le désirais ardemment et je voyais aussi qu’il aurait aimé faire disparaître ma robe.

- Je vais me lever et me diriger vers la salle de bain. Attends une minute et rejoins-moi devant.

Je me suis alors levée et tout en marchant, j’ai pris grand soin de balancer mes hanches et de marcher de façon très sensuelle. Je n’ai pas eu à attendre très longtemps avant qu’il me rejoigne. Nous sommes alors entrés dans la salle de bain pour homme. Heureusement que ce n’était pas une salle de bain où il y a plusieurs cabines. Nous étions alors seuls et j’ai verrouillé la porte. Christian m’a alors plaqué au mur, de façon sauvage, exactement comme j’aime. Il me tenait les poignets et les as maintenu sur le mur, vers le haut de manière à dégager mon cou et ma poitrine. Il m’embrassa langoureusement dans le cou et mordillait parfois de manière à me faire lâcher de petits cris et m’exciter encore plus. Il descendit sa bouche à la hauteur de ma poitrine tout en continuant à caresser ma peau chaude avec ses lèvres. Il lâcha alors mes poignets et sorti mes seins de ma robe. Il se mit à lécher mes mamelons intensément et moi je gémissais de plaisir. Il remonta alors sa bouche vers la mienne et m’embrassa avec passion, tout en passant ses doigts sur mes seins et en caressant mes mamelons et en les titillant.

- Chéri, prends-moi tout de suite. Je n’en peux plus.
- J’aime tellement te voir dans cet état que je serais tenté de prendre encore plus mon temps.

Cependant, il sorti son engin et je vis alors qu’il était très en forme. Comme j’étais encore contre le mur, il me souleva d’un coup sec. Il tassa mon string avec une de ses mains et son sexe ne se fit pas prier pour entrer dans ma chatte. J’étais tellement excitée que ce ne fût pas très difficile et il commença alors un mouvement de va-et-vient lent, mais profond qui me faisait gémir intensément, augmentant du coup le désir de mon chéri. Nous nous embrassâmes alors de plus belle et Christian augmenta alors la cadence. De plus en plus vite et de plus en plus fort. Je devais me retenir de crier, car on nous aurait entendus. Bien que la possibilité de me faire surprendre soit excitante, je ne veux pas risquer de couper court ce moment. Puis, il se retira et me déposa sur la vanité. Il descendit alors sa tête entre mes jambes, écarta mes lèvres avec ses doigts et titilla mon clitoris. Il roula sa langue alentour, le mordilla et le suça. Les délices que mon amour m’offrait étaient excellents et je m’en délectais. Je sentais le plaisir monter de plus en plus tandis qu’il caressait mon clitoris avec sa langue et qu’il introduisait ses doigts dans ma fente si excitée. Je sentis l’orgasme arriver et appuya donc sur sa tête pour le lui faire comprendre. Il redoubla alors d’effort afin que mon orgasme soit intense. Je gémis alors plus fort que je n’aurais dû. Christian se releva alors et vient m’embrasser tout en me murmurant sensuellement à l’oreille qu’il n’en avait pas fini avec moi. Il me descendit alors de la vanité et me retourna. Il écarta un peu mes jambes, releva ma robe et rentra son érection encore très dure en moi. J’ai toujours aimé qu’il soit un peu autoritaire avec moi. Il me pénétra alors avec force et vigueur et me donna quelques claques sur les fesses. Nous gémissions tous les deux, nos corps étant en parfaite fusion. Ce ne fût pas très long que je senti alors son éjaculation arriver. Je le repoussai alors et m’agenouilla devant lui pour qu’il éjacule dans ma bouche. IL rentra son pénis au fond de ma gorge et laissa sa semence sortir. Une fois terminée, il m’aida à me relever et nous sommes partis à rire. Il était clair que quelqu’un avait dû nous entendre avec les bruits que l’on faisait et le temps que nous avions pris. Mais nous n’avions pas de regrets. Ça en valait la peine. Il déverrouilla la porte et regarda lentement à l’extérieur pour voir si la voie était libre. Elle l’était. Je me dépêchai alors de courir dans la salle de bain des femmes, question de m’arranger un peu. Ensuite, je suis retournée à la table en espérant pouvoir passer inaperçue. À mon retour, Christian était déjà à la table. Le patron de l’établissement vient alors vers nous.

- C’est assez embarrassant comme situation. Nous savons ce que vous avez fait dans la salle de bain. S’il n’y avait que le personnel au courant, je n’aurais rien dit, mais plusieurs clients sont venus me voir et se sont plaint des bruits et de ne pas avoir accès à la salle de bain. Certains veulent même que j’appelle la police pour grossière indécence. Mais je me suis dit que vous pourriez peut être préférer me payer leur repas. Qu’en pensez-vous?
- Je vais vous dire ce que j’en pense, lui répondit Christian. Premièrement, vous n’avez pas de preuve concernant ce que nous sommes supposés avec fait. Deuxièmement. Je vois plusieurs infractions dans ce restaurant que je pourrais dénoncer et vous seriez alors peut être contraint de fermer votre restaurant pendant quelques temps. Et troisièmement, je suis de la police. Voici ma plaque. Alors, vous voulez toujours que je vous paie un supplément?

Le patron dit alors qu’il allait s’arranger avec les clients mécontents et nous souhaita une bonne soirée. Il est incroyable mon amour!