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Lendemain de veille

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Lue : 5936 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/10/2012

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Avant même d’ouvrir les yeux, je savais que quelque chose n’allait pas. Les sons, les odeurs, la sensation des draps sur ma peau… Je n’étais pas chez-moi. En ouvrant les yeux, mes soupçons se confirmèrent. La chambre où je me trouvais m’était totalement inconnue. De plus, la respiration délicate émanant de ma droite m’indiquait que je n’étais pas seule à m’être endormie dans ce lit inconnu. Lentement, je tournai la tête pour voir dans quel pétrin je m’étais encore foutu. Wow ! Mais qui parle de pétrin ? Je n’avais absolument aucune idée de qui était ce bel étalon, mais quel homme ! J’ai essayé pendant quelques secondes de me souvenir de la façon dont j’avais atterri ici, mais ma mémoire refusait de collaborer. Putain d’alcool !

La pièce était chaude. Le souffle de mon partenaire était chaud. Un simple drap de satin recouvrait mon corps, de même que celui de mon étalon. En parcourant la pièce des yeux, mon regard s’arrêta sur un léger renflement sous la couverture. Sous les draps, ce renflement trahissait une magnifique érection matinale. À l’idée d’avoir cet objet de désir si près de moi, mon cœur se mit à battre la chamade. Une chaleur m’emplit et une drôle de sensation me poussa à glisser, doucement, très doucement sous les draps. En prenant soin de ne pas réveiller l’inconnu, je m’installai par-dessus lui, et je pris très délicatement entre mes mains le membre durcit se dressant devant mes yeux. J’entendis alors le souffle de l’homme changer légèrement, mais celui-ci ne sembla pas se réveiller pour autant. J’entrepris un faible un mouvement de va-et-vient, découvrant ainsi un magnifique gland rosé. La tentation étant atroce, je ne pu me retenir de commencer à lécher le bout de cette verge.

À ce moment, les légers mouvements de mon partenaire me firent comprendre qu’il était en train de se réveiller. Cette constatation me poussa m’activer encore plus. Mon mouvement de va-et-vient devint alors plus prononcé. Je suçais ce sexe avec de plus en plus de férocité, tout en malaxant les testicules de l’autre main. Les délicats gémissements de l’homme prouvèrent qu’il était maintenant pleinement conscient de la situation dans laquelle il se trouvait. Ses cuisses s’écartèrent, me laissant ainsi plus de place pour manœuvrer son engin avec habileté. Entre mes jambes naissaient une chaude sensation d’humidité. Après quelques minutes de délectables succions, la respiration de plus en plus rauque de mon partenaire me laissait croire qu’il n’en n’avait plus pour longtemps avant de faire jaillir son sperme. Je ralentis doucement le rythme avant de terminer en mordillant délicatement le gland ruisselant de salive. Les mouvements saccadés de l’homme trahissaient son excitation. J’entrepris l’ascension jusqu’à son visage en embrassant chaque centimètre carré de peau que je parcourais. Lorsque ma tête sorti de sous les draps et que mes yeux croisèrent les siens, je savais qu’il était tout aussi étonné de retrouver une femme inconnue dans son lit. Malgré tout, la bite durcit qui me frôlait le bas-ventre me laissait croire qu’il n’en était pas déçu pour autant. Il me prit par la crinière et m’enfonça sa langue profondément dans la bouche. Quel délice de sentir cette langue inconnue sur mes lèvres.

Avant même que je ne puisse comprendre ce qui se passait, l’inconnu me pris par les hanche et me renversa sur le lit, prenant position au-dessus. De ses mains, il empoigna ma poitrine et se mit à me malaxer les seins. Les coups de langue qui frôlaient le bout de mes mamelons m’excitaient au plus haut point. Ma chatte ruisselante était sur le point d’exploser. Tout en me suçant les tétons, une de ses main se glissa jusqu’à mon entrejambe. De ses doigts habiles, il écarta mes lèvres déjà bien lubrifiées pour venir agacer mon bourgeon sensible. Effectuant des délicats mouvements circulaires de sa main droite, il pouvait ainsi de la main gauche retenir mon sein pour ainsi en mordiller le bout. J’étais incapable de retenir les plaintes d’excitations provenant de ma gorge. Je ne savais pas laquelle des deux interventions m’allumait le plus, mais le mélange des deux allait fort probablement me propulser jusqu’au 7e ciel. Délaissant ma poitrine, sa main libre rejoignit l’autre vers mon entrejambe. Il enfonça alors un doigt à l’intérieur de mon vagin. J’étais tellement mouillé que la procédure lui parut un peu trop facile. Il enfonça alors un autre doigt. D’une main experte, il me roulait la bille, et de l’autre, me pénétrait de plus en plus férocement. Au bout de quelques minutes, je savais qu’il ne me restait plus beaucoup de temps avant d’être foudroyé d’un orgasme. Alors je lui dis, le souffle court : « Prends-moi ! Baise-moi comme une salope ! »

En moins de deux, l’homme me retourna et me prit en levrette. Il enfonça sa bite dans ma chatte déjà endolorie et se lança dans une série de rapides mouvements de va-et-vient. Je sentais ses testicules me fouetter le clito à chaque coup de bassin. Agrippant ma croupe à une main, il me gifla l’arrière train de l’autre. Sa bite s’enfonçait si profondément en moi que j’avais l’impression de la sentir buter contre le fond de mon vagin. Ses gémissements s’entremêlaient aux miens tout comme nos corps semblaient vouloir se fondre l’un contre l’autre. Après quelques minutes de cet épuisant exercice, sa respiration de plus en plus saccadée m’indiqua qu’il était sur le point d’exploser. Je profitai alors pour me retirer et me retourner rapidement, tout en agrippant sa queue, pour l’enfoncer très profondément dans ma gorge. Quelques secondes et quelques coups de bassin plus tard, un cri bestial résonna dans la pièce et je senti plusieurs jets de liquide chaud me remplir la bouche. Une fois l’éjaculation complétée, j’en profitai pour nettoyer de ma langue le gland rosé de toute trace de sperme, comme une chatte nettoyant ses chatons. Nous nous allongèrent ensuite l’un à côté de l’autre, le temps de reprendre notre souffle. Nos corps ruisselant de sueur nous suppliaient le repos. C’est alors qu’il se tourna vers moi, le regard amusé, pour me dire :

-Salut ! Moi, c’est Adam !
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Histoire de lulus1983

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