l'amur enn famille 2

'amour en famille 2


Cloé se place à califourchon sur son papa, le prend par le cou et en le regardant droit dans les yeux, lui dit :

— Pourquoi que tu délaisses maman, tu es en manque de libido, dis-moi ? Regarde comme elle est belle, elle ne demande qu'à être aimée. Mais nous allons si bien te décoincer que tu deviendras accro au sexe !

Clément regarde sa fille en écarquillant les yeux, il ne comprend rien à ce qui se passe, bouleversé, il n'a pas le temps de dire un mot, que Cloé plaque ses lèvres sur les siennes et force sa bouche avec sa langue agile. Clément a un geste de recul, mais la coquine le tien fermement par le cou. Elle cherche sa langue, il résiste. Elle déverse un flot de salive dans la bouche entrouverte, du papa retissant. Puis le miracle se produit, les langues se nouent comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler. Les respirations s'accélèrent, les souffles deviennent courts. Valérie, regarde avec émotion les deux amours de sa vie s'embrasser. Machinalement, elle pose sa main sur sa vulve humide, et caresse doucement son bouton d'amour qui rapidement prend du volume. Cloé sent contre son fessier la verge de son papa qui commence à gonfler. Vicieusement, elle agite sa croupe pour la faire grossir davantage. Le membre.

Le manche de chair devient dur comme tu bois, elle cesse le baiser, et dit en arborant un large sourire :

— Oh mon petit papa ta fille te fait bander !

Très gêné, il baisse honteusement la tête, puis tourne la tête vers sa femme qui continue de se caresser le clito, Clément regarde la boule qui est devenue énorme, jamais, il ne l'a vu dans cet état. Cloé l'apostrophe :

— Elle à un beau clito maman hein, je suis certaine qui tu as oublié le gout qu'il a, vas-y maman, vas-y montre à papa comment tu jouis !

Valérie se donne en spectacle, c'est avec acharnement, qu'elle se massacre le clito, l'écrase, l'agite en grimaçant. Clément reste baba devant l'effort que sa femme fournit, pour se masturber la boule sensible, un rictus affreux déforme son visage, elle geint comme une bête blessée. Valérie, semble isolée du monde, c'est sans complexe, qu'elle se maltraite le clito, en geignant de plus en plus fort, elle est en sueur. Les yeux hagards de marin ne la quittent, il se demande s'il rêve ou pas.

Cloé, toujours accrochée à son papa, s'agite sur les genoux. Il serre les dents, Le frottement continus de la croupe de sa fille sur son membre le fait souffler comme un dragon. Sa verge, emprisonnée dans le pantalon, devient douloureuse. Cloé, juge que son papa est appoint, descend se sa monture. Elle déboucle sa ceinture et tente de faire descendre le pantalon. Le bougre de papa, honteux, oppose une résistante, mais cela ne plait pas à Cloé, qui lui saisit la verge et la presse fortement. Il se redresse en grimaçant, il ouvre la bouche, mais aucun son n'en sort. Cloé en profite pour saisir le haut du pantalon, et de le baisser brutalement. Elle accroche au passage le slip, et découvre La verge, qui se détend comme un ressort. Cloé pousse un oh de surprise, en voyant la queue fortement veinée osciller sur le bas-ventre de son papa. Enfin, le pantalon se retrouve sur le sol avec le slip, Clément est rouge de honte, il tente de cacher sa verge en plaquant ses mains dessus.

Cloé, agacée, cherche à l'en dissuader :

— Papa, détends-toi, joins-toi à nous, ne fais pas ta chochotte !

Un cri le fait sursauter, sa femme vient de jouir. Yeux révulsés, en tremblant, elle halète sur le lit. Étrangement, son corps est secoué de spasmes violents qu'elle ne peut contrôler. Cloé sourit, elle adore voir sa maman jouir. Clément devient un peu plus audacieux, il retire timidement ses mains qui cachées mal son membre. Il regarde sa fille longuement, c'est la première fois qu'il la voit nue, ses formes le font saliver. Son membre, gonflé d'émotion, est étrangement secoué de petits spasmes. Cloé est hypnotisée, par l'engin gonflé. Il faut dire que, vu son jeune âge, elle n'a pas eu beaucoup d'occasion d'en voir. Clément se laisse tomber sur le bord du lit. Comme un boxeur groggy, il a du mal à reprendre ses esprits. Il regarde tantôt sa femme, tantôt sa fille sans savoir que faire.

Valérie émerge doucement, elle cherche du regard sa fille qui ne quitte pas des yeux la verge de son papa. Elle dit avec beaucoup de trémolos dans la voix :

— Elle te plaît la queue de papa, eh bien profites-en ma chérie., ce n'est pas souvent qu'il la sort. Clément, fais un cadeau à ta fille, fais lui profiter de ta queue, elle est en extase devant !

Clément regarde sa fille, puis comme par enchantement, ouvre lentement les cuisses. Cloé s'avance et saisit l'objet, quel désir. Son papa sursaute, se cabre, lorsque sa fille commence à lui agiter le membre. Le branlage est vigoureux, Cloé serre les dents en agitant férocement le membre tendu. La maman est aux premières loges, la pression monte dans son corps. Elle ravale sa salive, en contemplant sa fille faire un plaisir à son papa. Le bougre geint doucement, et se met à agiter son bassin, en marmonnant. Valérie, survoltée, dit :

— Suce-la ma chérie, suce-la, fais la giclée, surtout avale le sperme !

Cloé cesse de branler l'engin, et le décalotte. Elle l'observe un long moment, comme si c'était une chose rare. Malhabilement, sa langue monte et descend le long de la colonne de chair, elle longe lentement les veines gonflées, qui sillonnent la hampe épaisse.

Son papa geint, elle glousse de bonheur. De la pointe de la langue, elle titille le frein, lape les perles visqueuses que rejette le méat. Enfin, sa bouche gobe le gland marbré, et le suce jusqu'à la récompense promise. La giclée est telle, que Cloé repousse son papa brutalement. Un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres, ses yeux sont écarquillés au maximum. Encouragée par sa maman, elle déglutit par petites gorgées et finit par tout avaler. Elle sent glisser dans sa gorge la crème onctueuse, pour elle ce n'est que du bonheur. Un hum de gourmandise sort de sa bouche, elle s'essuie les lèvres d'un coup de langue. Elle sourit à sa maman, et ouvre la bouche pour lui montrer qu'elle a tout avalée.

Valérie est un brasero, elle saisit la main de sa fille et l'attire contre elle. La coquine sait ce que sa maman cherche. Elle lui ouvre ses cuisses, et plaque sa bouche sur la boule qui, n'a pas dégonflé. Elle la suce, la tète en faisant rugir sa maman. Clément, ose s'approcher plus près, et dit :

-Cloé, laisse moi la place !

Cloé surprise, cède la place, elle est ravit que son papa enfin se libère. Clément aspire férocement le clito, il s'acharne dessus, il est vrai qu'il en avait oublié la texture et le goût. Quelques fois sa langue dérape, et passe volontairement, sur l'anus de Valérie qui se cabre. le coquin joue avec les deux orifices en faisant couiner sa femme de bonheur. Une violente jouissance, fait hurler Valérie, qui retombe lourdement sur son lit. Cloé, qui n'a pas la langue dans sa poche, dit en souriant :

-Tu vois papa quand tu veux, tu peux, maintenant fourre la bien avec ta grosse queue, fais la encore jouir !


Clément, excité comme jamais, se place être les cuisses de sa femme, et lui enfonce sa bite dans le ventre. La pénétration fait pousser à Valérie un long râle rauque. Elle s'agrippe à lui en geignant de plaisir, elle agite son bassin en marmonnant. Lui la défonce comme un butor. Cloé regarde en se pinçant les lèvres, la verge vigoureuse de son papa qui voyage dans le ventre de sa maman. Sa chatte suinte affreusement, elle est dans un état d'excitation tel, qu'elle s'empare de son clito et le violente sauvagement. Elle grogne, sans perdre une image du spectacle que donnent ses parents.

Clément travaille la chatte de sa femme comme jamais il ne l'a fait, ses coup des reins sont terribles à chaque coup, sa femme pousse un grognement. Cloé encourage le pourfendeur de chatte:

-Vas-y papa, tape fort, maman va jouir, vas-y, vas-y !

Elle délaisse sa boule de chair, et se joint au couple, elle prend entre ses doigts les mamelons de sa maman, et les écrase pour stimuler plus. Valérie geint sous les coups de boutoir répétés de son mari. Un cri affreux sort de la bouche de Valérie, une jouissance la fait cabrer. Son mari tire fortement sur ses hanches, et donne un grand coup de reins pour que la pénétration soit totale. C'est si violent, que la jouisseuse pousse un long râle, en mordant férocement l'épaule de son amant. En serrant les dents, et en rugissant comme un fauve. Clément, avant de se retirer, déverse dans le ventre de sa femme sa semence abondante. Cloé regarde le corps de sa maman qui est secoué par d'innombrables spasmes. Elle ne quitte pas du regard la chatte béante de sa maman, qui rejette le surplus de sperme qu'elle en peut absorber. Quant à la verge gluante, Clément la presse fortement, pour bien vider la hampe, du jus qui s'y cache encore.

Comme par miracle, Clément retrouve sa libido. Il regarde sa fille d'un autre œil, elle n'est plus la petite fille qui se blottissant contre lui le soir en regardant la télé. Elle est devenue un beau bout de femme. Il la regarde intensément, il est en en admiration devant la chatte bien lisse. les fines lèvres bien dessinées, l'interpellent, juste au dessus d'elles, se trouve un beau clito qui n'a pas eut le temps de dégonfler.

La tentation est trop forte. Clément se presse la verge pour atténuer le flux sanguin qui enfle les veines de la hampe. Il salive fortement, en l'entend même déglutir. Il prend son courage à deux mains et ose poser ses mains moites sur le corps fébrile de Cloé, qui n'attendait que cela. Délicatement, ses mains tremblantes, caressent le corps laiteux de la jeune gourmande, elles malaxent les seins, agressent longuement les mamelons, avant de descendre sur le ventre plat. Les soupirs de Cloé sont bruyants, sa respiration s'accélère. Elle se cabre lorsque que son papa pose sa bouche sur ses mamelons et les suce comme un affamé. Les frissons qui parcourent son corps sont visibles. la bouche vorace descend sur le torse, s'attarde sur le nombril , la langue agile le fouille, en arrachant à Cloé des gémissements de plaisirs