Maman en plein ménage 3

Petite rectification, dans mon deuxième épisode, je me suis trompée sur un prénom, j'ai marqué par erreur Olga, à la place de Magda, mille excuses.

Magda, depuis qu'elle a couché avec son fils, n'est plus la même, elle est plus joyeuse, plus détendue. Très souvent les deux ébattent dans des délires indescriptibles.
Il est 22 heures, Grégoire s'accroche à sa maman qui vient de sortir de la salle de bain, enroulée dans une serviette, nouée au-dessus de ses seins. Le coquin, deja en pyjama près pour la nuit, lui caresse les fesses en lui donnant des baisers sur la nuque et le cou. Le bougre bande comme un âne, il a sorti son engin et se frotte contre le corps de sa maman.


Soudain une clé tourne dans la serrure, c'est Paul, le mari et papa, qui rentre, lui qui découche fréquemment, eh bien pas ce soir. Les deux amants sont surpris de le voir.

Magda lui dit avec ironie :

-Tu n'es pas avec ta poule ce soir, elle t'a larguée ?

Paul regarde son fils qui a toujours les mains sous la serviette, il lui dit :

-Toi qu'est-ce que tu fais avec tes mains sur le cul de ta mère avec ta bite a l'air ?

Sans se démonter, Grégoire lui répond :


-Je fais le travail que tu ne fais plus !

Brusquement, il arrache la serviette que porte sa maman et la bascule contre la table, d'un coup de reins violent il lui enfonce sa queue jusqu'aux couilles dans le ventre. prise en levrette, Magda se cabre, mes coups de pilon brutaux que lui assène son fils, lui font serrer les dents, elle s'accroche à la table, car chaque coup la fait sursauter. Honteusement, elle ne cesse de regarder son mari. Paul est tétanisé, il regarde les yeux grands ouverts en soufflant fortement. Magda ne peut retenir ses gémissements de plaisirs, elle agite inconsciemment sa croupe, sa bouche et grande ouverte, ses yeux embués. Le va-et-vient de son fils la fait défaillir. Elle ne se soucie plus de son mari, qui regarde bouche bée le duo.

Grégoire, regarde son papa et dit en souriant :

-Je ne te comprends pas, tu cherches ailleurs ce que tu as en mieux à la maison !
J'ajoute que c'est une sacrée chaudasse, elle baise comme une déesse ta femme !

Grégoire serre les dents, et dit sans quitter des yeux son papa :

-Oh putain ce qu'elle est bonne, je me régale, regarde maintenant, je vais la prendre par le cul, j'en ai fait une grosse salope de ta femme !

Grégoire retire sa queue de la chatte en ébullition, et sans préliminaires la plante brutalement dans le cul de sa maman. Magda pousse un grognement, elle grince des dents et se cambre davantage pour bien offrir sa croupe. Grégoire la défonce comme un beau diable. Paul regarde le pieu sortir puis se renfoncer violemment dans le fondement de la maman qui geint comme une bête blessée. Paul s'avance, il respire bruyamment, sa queue se tend dans son pantalon, il l'extirpe rapidement, et il se met sur la pointe des pieds et frotte son gland contre les lèvres pulpeuses de sa femme. En pleine excitation, elle saisit d'une main la verge de bon diamètre et ouvre la bouche. Elle commence à donner quelques coups de langues bien ajustées sur le gland, puis le suce en grognant, les aspirations sur le gland font couiner Paul de plaisir. Soudain Magda se cabre en recrachant le gland, elle vient de jouit du cul comme une malade. Son corps tremble, elle est prise de frissons incontrôlables. Elle reprend en bouche le gland et reprend la fellation interrompue.


Grégoire replonge sa verge dans la chatte débordante de cyprine, et la défonce sauvagement. Paul ferme les yeux entre deux souffles, il dit :

-Tu as raison Grégoire, elle est vachement bonne ta maman, moi aussi, je vais lui exploser, le cul !

Grégoire sourit et répond :

-Enfin te voila raisonnable, nous allons la prendre en double, cela va être une première pour ma grosse salope !

Paul gicle dans la bouche de sa femme, qui avale en se léchant les lèvres. Il s'allonge sur le sol et invite sa femme de s'empaler sur son engin gluant. Avec adresse, la coquine devenue une accro au sexe depuis que son fils l'a prise en main. S'empale sur la verge encore raide, elle fait l'ascenseur sur le mandrin gorgé de sang. Son fils se place derrière elle et l'encule sauvagement. Les assauts des deux baiseurs sont si violents que Magda hurle en se tortillant sur les pals en folie.

Le bourrage est phénoménal, Magda gémit comme une malade, elle s'agite sur les queues comme une forcenée. Les deux mâles la défoncent comme des malades, les assauts font jouir Magda plusieurs fois, sont corps s'agite pris d'une frénésie terrible. Ses jets puissants noient les couilles de ses pourfendeurs, ses cris ressemblent à des plaintes de bête malade. Elle se tend comme un arc et jouit comme jamais, elle ne l'a fait. Les deux la défoncent comme pour l'anéantir. Ils se répandent en elle presque en même temps. Les deux la travaillent jusqu'à ce qu'elle jouisse encore et encore. Les jouissances de Magda sont monstrueuses. Son mari ne la jamais vue ainsi.

Paul est convaincu, que sa femme, sous l'influence de son fils, est devenue une grosse pute. Les deux lui remplissent les entrailles de leur semence. Magda n'est qu'une machine à jouir, elle geint terriblement sous chaque jouissance. Les deux baiseurs l'épuisent, elle est au bord de la syncope. En inondant encore une fois son cul, Grégoire clame haut et fort :

-Je vais la livrer à mes amis cette pute insatiable, ils faut qu'ils en profitent aussi !

Paul n'en revient pas de la performance sexuelle de sa femme, il répète sans cesse :

-Putain ce qu'elle est bonne, je n'irai plus voir ailleurs, cette pute me dégorge le poireau comme jamais une femme ne l'a fait !