l'anniversaire de Marine 2

Marine tremble, elle se demande ce qu'il lui arrive, elle voie floue. Le danseur n'a pas fini sa prestation. Il entretient sa queue en la caressant doucement. Il regarde Roger, qui s'écarte des cuisses de marine, il s'avance, dirige sa verge vers le puits d'amour détrempé. Étrangement, la vulve est secouée de petits frémissements. Il décalotte sa verge, appuie son gland contre les grandes lèvres et pousse sans discontinuer. Les grandes lèvres s'ouvrent, le gland pénètre le conduit étroit. Marine écarquille les yeux, en grimaçant, elle s'agrippe aux hanches de l'homme, elle fait non de la tête. L'homme pousse fortement, Marine pousse un cri rauque, en se cabrant fortement. Une brulure intense lui traverse le ventre, elle serre les dents en plantant ses ongles dans les hanches de son pourfendeur. Elle geint, ses yeux s'emplissent de larmes. L'homme toutes les trois ou quatre secondes donne un coup de reins puissant comme s'il voulait la traverser. À chaque enfoncement du membre dans son ventre, Marine gémit en grimaçant.


Charlotte sursaute, elle vient de comprendre quelque chose, elle dit haut et fort :

-Oh putain, Marine, était encore vierge !

L'assistance reste sans voix, il regarde Marine en écarquillant les mirettes. Charlotte n'en croit pas ses yeux, elle s'avance et donne sur le visage de son amie une multitude de baisers. Délicatement, elle lèche les larmes salées qui coulent sur ses joues. L'homme, comme un métronome, donne des coups de reins réguliers. Marine sursaute à chaque coup de pilon. Charlène, Edgar et Roger restent baba, ils n'arrivent pas à comprendre pourquoi qu'à quarante ans Marine était encore vierges.


Le baiseur augmente la cadence, les râles de marine sont impressionnants, son corps est parcouru de frissons. Au fur à mesure du pilonnage, la douleur s'estampe, ses gémissements deviennent, des gémissements de plaisir. Elle halète sous les coups redoublés de son amant d'un jour. Elle s'accroche à lui comme une pieuvre à son rocher, se cabre fortement, pousse un long râle rauque et jouit comme jamais, elle n'a pu le faire avec ses doigts. L'inconnu accélère, ses coups de reins sont plus rapides. Il se crispe, grogne comme un animal en remplissant le ventre de Marine, la douceur de la semence dans son corps, la fait frémir, elle a beaucoup de mal à réaliser, ce qu'il lui arrive. Enfin l'homme se retire, il essuie avec un mouchoir en papier sa queue gluante, ramasse ses vêtements, les enfile puis disparait.



Marine reste sur sa chaise en tremblant, elle n'ose regarder ses amis, tellement elle a honte. Même en serrant les cuisses promptement, sa chatte laisse échapper un filet de liquide blanchâtre, mêlé à du sang. Charlotte lui tient la main en, lui disant tendrement :

-Ma chérie, j'ignorais que tu étais, hum, hum, encore vierge !

Marine pleine de honte éclate en sanglots, elle se jette dans les bras de Charlotte en la serrant très fort. Elle reniflre fortement, son corps fébrile est tremblant. Charlotte lui murmure à l'oreille :

-Tu a eu bon ma chérie !

Pour seule réponse, Marine la serre encore plus fort contre elle. Charlotte ajoute :

-Il ne faut pas se cantonner à un seul coup ma chérie, ose maintenant, nous sommes à ta disposition, profites de la situation !


Doucement, Marine desserre son étreinte, regarde longuement son amie et répond avec quelques trémolos dans la voix :

-Mais je n'oserai jamais, vous êtes mes amies et ce sont vos maris !

C'est Charlène qui réplique un peu agacée :

Mais enfin, tu viens de devenir femme, décoince-toi bon Dieu, ils ne te plaisent pas nos mâles, regarde-les

Elle fait un signe aux hommes en souriant. Les deux lascars baissent leur pantalon et exhibent leur membre en érection. Marine regarde les deux sexes que les deux amis agitent en lui souriant. Charlène relève sa jupe et dit à Edgar :

- baise-moi, fait lui voir ce que c'est qu'un mâle !

Edgar arrache le restant de culotte de Charlène, elle se laisse tomber sur le canapé en ouvrant les cuisses. Mais c'est Roger qui plonge entre ses cuisses, il plaque sa bouche sur la vulve en ébullition et la dévore comme un affamé. Charlène couine de bonheur, sous les yeux hagards de Marine qui petit à petit se détache de Charlotte. Edgar offre à la bouche de Charlène sa queue tendue, que la coquine gobe d'un coup et la pompe avec gourmandise. Rapidement, le bougre éjacule dans la bouche vorace, qui avale sans rechigner la décharge visqueuse.
La bouche habile de Roger fait geindre Charlène comme une bête blessée, elle est sur le point de non-retour, elle se cabre et jouit. Charlotte excitée entraine doucement Marine vers la table base du salon, avec douceur, elle la bascule dessus. Marine semble sans réactions, son regard semble ailleurs, mais elle se cambre en soufflant légèrement, lorsque les mains moites de son amie se posent sur elle. Les caresses douces de Charlotte sur le corps de son amie ont un effet rapide. Marine frissonne, elle ferme les yeux pour ne pas croiser ceux de ses amis.

Les mains douces font des cercles autour de ses seins, sans les toucher, les frémissements qu'ils provoquent sont visibles, la peau laiteuse semble faire de petites vagues. Tous ses amis sont autour d'elle, et la regardent soupirer fortement. Les mains de Charlène se posent aussi sur son corps, ils caressent son ventre plat en s'approchant dangereusement de son nid d'amour. Les deux hommes, dans un état d'excitation pas possible, désirent ardemment posséder cette femme fraichement dépucelée. Mais ils doivent patienter avant d'intervenir. Car leurs épouses ne cèdent pas la place, le corps de Marine est devenu un concerto à quatre mains. Charlène et Charlotte font geindre Marine avec de douces caresses habiles. Les mains de Charlotte enserrent les lobes mammaires et les pétris fermement en enfonçant profondément ses doigts dans les masses charnues souples. Marine souffle comme une bête malade. Soudainement, elle se cambre en grognant, la main de Charlène vient de se poser sur sa fente qui rejette encore de la semence humaine. Ses doigts s'emparent de son clito affreusement gros et le triturent pour que la boule de chair devienne encore plus volumineuse.


Charlotte sourit en entendant son amie geindre de plaisir, elle commence à rouler entre ses longs doigts fins les mamelons, qui comme par enchantement se dresse fièrement. Elle les aspire à tour de rôle, les bouts très sollicités se mettent étrangement à frétiller dans la bouche de la suceuse. Charlotte surprise par cette réaction bizarre des mamelons s'acharne dessus. Marine est en transe, son clito et ses mamelons malmenés la font gémir de plaisir. Elle agite son bassin en soupirant profondément, elle saisit les bords de la table, se cabre et explose. Sa jouissance monstrueuse la fait se cabrer davantage, elle a les yeux presque exorbités, l'air commence à lui manquer, elle ouvre grandement la bouche, en gémissant comme une malade. Elle retombe sur la table, vaincue par cette jouissance intense. Elle tremble de tous ses membres, elle regarde ses amis, en devenant rouge pivoine. Charlotte lui donne un baiser bruyant sur les lèvres et dit :

-Bravo ma chérie, laisse-toi aller, ne résiste pas, tu vas encore jouir !