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L'Appel du 18 Juin

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Lue : 5647 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/08/2010

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C’était un jeudi. Un 18 juin je crois. Je m’en souviens parce que je pensais encore à l’appel du 18 juin du général De Gaulle. Je n’avais aucune envie d’aller travailler.

Je m’étais réveillé avec une excitation capable de foutre des complexes à un âne ; mais ma femme m’avait répondu être trop pressée pour le travail, et qu’on avait qu’à remettre l’acte sexuel que je guettais au samedi.

Coté clients, je savais qu’ils allaient encore me faire courir comme un dingue, sans payer un sou. Quand au trésor, sa situation était trop critique pour que je puisse espérer le payement d’un de mes mandats.

Après le départ de ma femme, je buvais à la hâte un peu de bissap, allumais sans enthousiasme ma voiture et prenait le chemin du bureau. Au croisement de Badalabougou, juste à la montée du nouveau pont, de loin, je remarquai une belle silhouette. Pantalon en lin rouge, corsage blanc, cheveux au vent, talons hyper hauts, et un visage angélique. Sa poitrine était forte, bien faite, sexy, encore arrogante. Les fesses étaient bien dodues, à souhait.

Je la regardais encore avec envie, hésitant à m’arrêter car il y avait trop de monde. Arrivé à ses cotés, nos regards se croisèrent. Je la dépassais mais fut aussitôt pris de remords. Etant timide de nature, je me demandais ce qu’elle penserait de moi. Serais-je un simple dragueur ?

J’accostais et la pria de monter. Après les salutations, elle me dit qu’elle voulait prendre un taxi car sa voiture était en panne, mais qu’il y avait tellement de monde au bord du goudron qu’elle était découragée. Surtout qu’il s’apprêtait à pleuvoir. Les présentations furent réglées en 4 secondes, elle s’appelait Yasmine. Elle était vraiment bien foutue et sans même y penser, mon sexe pris la décision de bander ferme à nouveau, comme le matin au réveil. Mon problème était que je ne portais jamais de slips. Ni de caleçon. Alors la protubérance était là, fière mais indélicate.

5 mn plus tard, mon érection était loin d'avoir diminuée ; elle s'était au contraire intensifiée. Bien sur, elle s’en rendit compte car l'extrémité gonflée dépassait presque de la ceinture de mon pantalon. Le fit elle exprès ou pas ? Toujours est-il qu’elle me demanda de façon insistante à retourner chez elle pour y récupérer un dossier qu’elle avait oublié. La pluie commença, drue, intense, comme nos tornades bamakoises.

Devant sa maison, le temps de descendre et d’ouvrir les portes pour rejoindre le salon, nous étions véritablement trempés d’eau de pluie. Yasmine m’indiqua la salle de bain pour que je m’y sèche, et entrepris de son coté d’aller se changer et de nous préparer du café.

Installe-toi, et bois pendant que c'est chaud me dit elle tendrement, après nos retours consécutifs au salon. Nous sommes seuls et autant profiter de ce chaud café ajouta t’elle. Elle portait cette fois un débardeur, sans soutien-gorge et était entrain de se sécher les cheveux, un short cachant mal ses fortes cuisses et les lanières de son string qui débordaient de ses hanches pleines.

Je bandais tellement à cette vue, que je commençai à étouffer malgré la fraîcheur provoquée par la pluie. Mon sexe eu envie de se détacher de mon corps, tandis que mon cœur commençait à battre au rythme de mon sexe. A chacun de ses mouvements, ses seins ballottaient : c’était sensuel.

La phrase « nous sommes seuls » me revint à la tête et galamment, je me levais et allais l’aider à sécher ses cheveux, sous prétexte qu’une partie de sa tête était encore trop humide, et quelle risquait de s’enrhumer. Tout en la séchant, mes gestes se firent lents, puis langoureux et enfin caressant. De la tête, je passai au cou, puis de façon inconsciente je frôlai un sein. Elle frissonna, émis un petit gémissement, ses fesses se collèrent à moi et sa respiration se fit haletante. Je fus surpris ! je ne l’avais qu’effleuré. Alors que se passerait-il si je prenais ses seins à pleines mains. Mon sexe me cria vas y !!! Et bien sur, j’y allais

Je découvrais la fermeté et la douceur de la chair sous sa paume, elle ne put réprimer le frisson voluptueux qui la parcourut toute.
- Mais tu as froid ! Lui dis je avec hypocrisie, l’enveloppant complètement, me collant à elle, mon sexe complètement collé à ses fesses. Le gémissement ne fut plus camouflé, elle me demanda d’arrêter, tout en se collant encore d’avantage ; ses mains commençaient à explorer ma poitrine. Ses seins étaient gros, fermes et doux. Je tirais les bouts, les tournais lentement, les caressais…

Je souris, du sourire d’un sadique devant sa proie : elle était souris et je devenais chat. Elle allait gentiment souffrir, et je le lui dis.

N’en pouvant plus, je la retournais, enlevais son corsage, son short et fut tétanisé par la vue. Elle me demanda inquiète ce qui n’allait pas. Je la suppliais de me sucer, là, tout de suite. Elle était foutument belle, avec son ventre, ses cuisses…

Incapable de dominer ses sens en émoi, l'entrecuisse déjà fort humide par l'extrême désir qui lui consumait la vulve, Yasmine se pencha sur mon bas-ventre. Fixant avec convoitise l'affolante protubérance qui déformait mon pantalon, elle décida de faire durer encore un peu ce merveilleux supplice qui lui torturait le sexe. Délicatement, presque religieusement elle posa ses lèvres sur la bosse que faisait le long membre viril gonflé, et à travers le tissu du pantalon, elle le picora de tendres baisers, le mordillant même délicatement.

Je poussai un gémissement de plaisir en agitant subrepticement mes hanches dans un mouvement d'impatience amoureuse. Du fait des agitations désordonnées de mes hanches, le pantalon glissa légèrement, dévoilant l'extrémité gonflée de ma virilité tendue à l'extrême. Découvrant soudainement à quelques centimètres de ses yeux le merveilleux gland, noir comme un serpent, elle fit chuter le pantalon qui lui cachait l'admirable objet sexuel, elle le repoussa vivement sur mes cuisses, découvrant enfin ce membre qui l'affolait tant :
- Oh, quel morceau, ne put-elle s'empêcher de s'exclamer, en découvrant la longue verge qui se dressait orgueilleusement devant son visage... Ce n'est pas possible, tu es monté comme un âne !

Troublée par l'apparition de cette jeune virilité à la dimension surprenante, Yasmine s'empressa de refermer ses doigts autour. Tout en la contemplant avec curiosité elle la pressa fermement, faisant ainsi gonflé le gland dilaté par l'afflux de sang. Jamais elle n'aurait imaginé voir pareil sexe, sur un corps si mince et menu comme celui de Elkondor. Elle le considérait presque comme un « petit » !

Admirative, Yasmine se demanda jusqu'où pouvait s'enfoncer dans le ventre d'une femme une bite aussi longue ? Quel effet pouvait ressentir cette femme lorsqu'une queue de cette taille venait lui frapper le fond du vagin ? Un frisson sensuel la traversa toute à cette pensée. Sans s’en rendre compte, accroupie, elle écarta les cuisses. Son vagin ainsi offert, humide à souhait, commença à suinter. Elle avait chaud. Mais elle ne savait plus si cela venait de son sexe, de sa tête ou de ses seins.

Yasmine se demanda comment pourrait-elle accepter dans son ventre ce dard d'une longueur prodigieuse ? Le désir qu'elle ressentait depuis un moment déjà s'accentua un peu plus dans ses entrailles. Mais c'est surtout l'absence de tous poils sur le sexe et le bas ventre de Elkondor qui l’excitait le plus. Elle aussi était nettement et fraichement rasée. Elkondor avait les jambes largement écartées et elle pouvait admirer avec émoi les bourses pleines et lisses comme une peau de bébé. Affolé par cette main féminine qui étreignait son sexe de façon fort savoureuse, mais qui demeurait par trop passive à son goût, Elkondor agita doucement ses hanches, tentant par ce subterfuge de se masturber soi même : il avait follement envie.

Yasmine se pencha alors sur le membre viril frémissant qu'elle tenait, elle commença à agiter sa main refermée en anneau, de haut en bas, en un mouvement alternatif, recouvrant le méat, pour aussitôt repousser celui-ci le plus loin possible sur la base de la verge. Le regard fixé sur le visage de son partenaire pour y guetter la monté du plaisir. Puis elle enfonça le dard dans les profondeurs de sa gorge. Emporté par le plaisir, j’ osai alors lancer mon bas-ventre en avant, à la rencontre de cette merveilleuse bouche, chaude et ferme qui le caressait si agréablement, poussant des petits gémissements de bonheur.

Du fait de la longueur de mon sexe, elle ne réussit, malgré le désir qu'elle en avait, à en avaler qu'une partie. Les lèvres de Yasmine atteignirent les trois quarts de la jeune virilité dressée lorsque que le gland gonflé vint lui heurter la glotte, l'obligeant à stopper l'avance de sa bouche.

Sentant ce fourreau chaud et humide m’enserrer la verge, je me cambrais de plaisir. Complètement affolé par la douceur de cette caresse, je m’agitais sensuellement, lançant de plus en plus furieusement mon bas-ventre en avant, à la rencontre de cette bouche féminine qui me dispensait un tel bien-être. Elle suçait trop bien. Elle demeurait accroupie et alors, j’avais une vue plongeante sur son derrière et cela m’excitait encore. Ses seins, collés à mes cuisses me caressaient. Je voyais sa bouche menue se mouvoir sur mon sexe : j’étais aux anges.

J’avais envie de lui rendre la pareille.
La fontaine qui avait pris naissance au plus secret de sa féminité c'était rapidement transformée en un véritable torrent bouillonnant qui s'échappant des tréfonds de son vagin, inondait l'entrejambe de son string : elle mouillait comme une dingue et gigotait de plus en plus en gémissant souvent.

Au bout d’un moment, n’y tenant plus, j’allongeais Yasmine sur son canapé, lui écartant bien les jambes. Ma main droite repris possession de ses seins lourds. Elle commença alors à gémir comme une dingue. Elle était vraiment sensible. Elle possédait une poitrine lourde, qui tombait légèrement, mais qui n'en avait que plus de charme
Je roulais adroitement les deux tétons entre mes doigts.
- Oui ! Comme ça, soupira t’elle, ravie par cette initiative. C'est bien. Continue. Prends bien mes bouts entre tes doigts...

Entre ses cuisses, tapie dans sa chaleur intime, sa chatte s'était remise à suinter abondamment. Je lui enlevais le string en un tour de main et, la main droite toujours sur les seins, je lui enfonçais l’index dans son vagin ruisselant. Je remerciais son long gémissement d’un sourire sadique.
Elle enfonça l'un de ses mamelons congestionnés dans ma bouche et me dit dans un souffle :
- Tête le ! STP libère moi ! Délivre moi de cette tension qui m’habite !

Elle était à 2 pas de la jouissance. C’était le moment idéal pour lui appliquer « les ciseaux sénégalais » : je lui mettais deux doigts dans le vagin et commençais à les pédaler. Je lâchais le sein d’Ami pour m’occuper de son clitoris avec ma bouche chaude. Je manquais d’étouffer suite à sa réaction : elle ouvrit grand les jambes, plaqua ma tête sur son sexe, se courba comme une personne sous haute tension et lança un gémissement libérateur venant des profondeurs de son vagin.

Tétanisée, Yasmine se relâcha, inerte, comme sous l’effet d’un puissant somnifère. Pendant 1 à 2 minutes, elle fut sans réaction et je commençait à avoir peur car je la croyais évanouie. Elle roula du canapé, s’allongea sur les carreaux en marbre de son salon et me demanda 5 mn de repos pour se remettre. Couchée sur le ventre, elle présentait une paire de fesses qu’il me plaisait de regarder. Mais Flair play, je la laissais se reposer.
1 à 0 me dis je.

Deux minutes plus tard, mes doigts couraient sur ses fesses. Couchée sur le ventre, les fesses s’étaient relâchées, ouvrant largement la raie et le vagin. Cette vue me perturba à nouveau. Je commençais par lui caresser les fesses, les grandes lèvres et l’intérieur des cuisses. Ami ne commandait plus ses hanches : cette partie de son corps répondait désormais à mon cerveau à moi. Elle commença a onduler les hanches, à gémir. Petit à petit, sans s’en rendre compte, elle écarta au maximum les cuisses : la porte était large ouverte. Elle souleva les fesses et se retrouva ainsi prête pour la levrette.

Je lui mettais un doigt, puis deux et enfin 3 dans le vagin. En gémissant, Ami venait à ma rencontre, les hanches secouées, de façon saccadée. Mes doigts étaient mouillés de son foutre. De l’autre main, je lui foutais un doigt dans l’anus. Elle fut prise de tremblements : tel un volcan, ça montait. Encore et encore. Elle essaya bien de se retenir mais elle n’y pouvait rien : quand les doigts sortaient de son vagin, celui de l’anus entrait profondément. Elle avait l’impression d’être baisée par 2 mecs. « Caresse toi le clitoris » lui ordonnais je ! Elle ne l’avait jamais fait, mais timidement, elle se toucha. Elle connaissait son corps et au bout de 5 s, elle était de plus en plus à l’aise. La suite, elle ne le compris jamais malgré les explications données par Elkondor. Pour elle, le monde s’était arrêté de tourner tout simplement ou bien en montant au 7ième ciel, elle avait heurté le plafond. La vague avait quitté son vagin et son anus, pour monter jusqu’au cerveau et redescendre. C’est cette descente qui l’avait complètement fauchée, au point qu’elle ne comprenait pas d’où venaient les larmes qu’elle essuyait. Elle avait explosé de l’intérieur et souhaitait maintenant dormir sur les cuisses d’ Elkondor.
Si on lui avait soufflé à l’oreille qu’elle flottait, elle aurait répondu par l’affirmative.
2 à 0 me dis je.

Je n’avais pas encore ma dose. La façon la plus rapide que j’avais pour réveiller Ami était soit ses seins, soit son clitoris. J’attaquais des 2 cotés et elle recommença à gigoter. J’aimais la voir dans cet état. Elle me dit d’une douce voix être fatiguée et repus. J

Je lui demandais alors juste de se mettre sur moi, en 69, afin que je puisse passer encore un peu de bon temps avec elle. Vu son état de fatigue, elle était assez lascive ; Je la suçai lentement, comme un chat lapant da dose de lait frais. L’odeur de l’encens de Yasmine me rendit dingue de bonheur. Et dans cette position, ses baya émettaient un bruit régulier de roulis que j’aimais bien, qui me faisait bander d’avantage. Ses hanches tressautaient régulièrement et j’en profitait pour lui mettre 2 doigts dans le vagin : encore les ciseaux sénégalais. Elle n’arrivait parfois plus à me sucer tant elle gémissait. Elle me demandant suppliante de continuer, qu’elle sentait un volcan en elle. Elle ne gémissait plus : elle criait et pleurait à la fois. C’est bon me dit t’elle !!! Cette fois, je sentis qu’on allait exploser ensemble car ses cris m’excitaient vraiment. Je lui dit alors que j’allais jouir, qu’elle n’avait qu’à continuer. Mon sexe toujours dans sa bouche, Yasmine commença à me masser les testicules. C’en était trop : je me crispais, puis me relâcha, laissant la vague déferler et inonder la bouche de Ami à grands jets. De son coté, ma jouissance déclencha la sienne et son cri de jouissance la poussa à ouvrir la bouche d’abord et à se redresser ensuite pour profiter de sa jouissance. Mon sperme lui arrosa alors la poitrine, tandis que des flots de son jus me remplissait la bouche. Ses hanches effectuer un mouvement de va et viens sur ma bouche, mes lèvres caressaient encore son clitoris. Ses mains s’agrippèrent sur ses propres seins déclenchant par elle-même un petit orgasme encore. Yasmine s’écroula alors à ma droite, agrippa mon sexe au repos et me pria de la laisser cette fois ci dormir. Elle me dit d’appeler son DRH à sa place, pour avertir qu’elle ne sera au boulot que vers 11heures. En tant que cadre, elle n’avait pas de problèmes de retard.

Je me relevai doucement la regardant s’assoupir, elle était belle dans sa jouissance. Ses hanches larges m’attirèrent comme un oreiller. J’y posai ma tête, une main sur son sein gauche, je me laisser aussi aller au sommeil.

On en avait besoin
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Histoire de Elkondor

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