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Ma Première Sodomie

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Lue : 14288 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/08/2010

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Je suis un homme. Quentin, 25 ans, marié à Nina, 27 ans. Nous sommes en couple depuis un peu plus de trois ans et mariés depuis cet hiver. Nous nous aimons, nous nous respectons. Nous sommes toujours très complices, presque fusionnels. Nous avons toujours eu une sexualité très riche ensemble. Nous nous connaissons bien. Cependant, jusqu’il y a quelques jours nous n’avions pas exploré tous les endroits de nos corps.

Je n’avais jamais eu envie de pratiquer la sodomie sur une de mes partenaires, j’avais toujours refusé. Nina, elle, avait déjà été sodomisée. Elle en gardait un très mauvais souvenir. Elle m’avait raconté qu’elle avait la sensation de déféquer lorsqu’elle se faisait enculer, qu’elle avait des douleurs, et que sentir du sperme couler de son anus était répugnant. Jusque là, tout allait donc pour le mieux, puisque nous ne voulions pas entendre parler de sodomie ni l’un, ni l’autre.

Malgré cela, une nuit, il y a cinq mois environ, alors que je léchais la belle chatte de ma femme, ma langue descendit un peu plus bas qu’à l’habitude. Je venais de donner un coup de langue sur le petit trou de Nina, qui tout de suite réagit par un petit cri de plaisir, n’écoutant que cela, je recommençais. C’était bien cela, elle en jouissait, la coquine. Et moi aussi, qui auparavant avais si peur d’approcher un anus. Mais elle me stoppa, pour que je la pénètre.

Nous n’en n’avons pas reparlé pendant deux jours. Ce ne fut que le soir d’après, que je lui avouais avoir pris beaucoup de plaisir à lui lécher le cul. Elle me dit : « Je sais, moi aussi, mais … ». Je crois qu’à partir de ce moment là, nous savions tous deux que nous y retournerions un jour où l’autre.

Pendant quatre mois et demi, je n’avais ni vu, ni touché son recoin caché. Mais, un soir, alors que nous faisions l’amour très intensément, en « Andromaque », mon pénis s’échappa de son vagin et glissa entre ses fesses. Alors, que j’allais le remettre en place, elle m’arrêta me mis les mains au-dessus de la tête, sur l’oreiller et me dit : «bouge plus, laisse toi faire ». Elle cala ma queue entre ses belles fesses et commença à faire des mouvements de va-et-vient. Elle me masturbait avec sa raie ! C’était tellement bon qu’en deux minutes, je lui avais éjaculé dans la raie, sur les fesses. Bien sûr, elle avait pris du plaisir, mais pas joui. Je lui fis donc une rapide léchouille, mais efficace, car elle vint très vite. Ca avait dû lui plaire également ! Sur l’oreiller, elle me demandait comment j’avais trouvé son initiative, je lui répondis : « Excellente, mais ça m’a donné envie d’autre chose… » Elle me coupa pour me dire, évasive, « Qui sait attendre… ». Cela présageait tout autre chose…

Le surlendemain, alors qu’à nouveau, elle me chevauchait, elle me sortit la bite de son vagin, pour la placer entre ses fesses. Je me laissais faire, totalement dépassé par les événements. Elle me masturbait de la même manière que l’avant-veille. Sauf, que cette fois, elle gardait sa main sur ma verge. Puis d’un coup, elle la guida vers son petit trou, arrêtant tout mouvement. Je ne bougeais plus du tout. Le temps semblait s’être arrêté. Je la laissais faire. Je sentais son anus, encore fermé, posé sur mon gland. Puis, tout doucement, elle s’empala sur ma bite, que je sentais entrer en elle sans forcer. C’était magique. Je pouvais ressentir une grande pression sur mon gland, je glissais lentement dans son trou interdit. Même si je le sodomisais, à ce moment là, c’est elle qui me dominait. Petit à petit, je la pénétrais de plus en plus profondément jusqu’à arriver au bout. Elle émit un petit cri, de douleur, je pense. Nous restions quelques dizaines de secondes, peut-être même une minute, ainsi, sans bouger. Ce que j’appréciais à cet instant c’était de sentir son anus tout serré autour de la base de ma queue. Au bout d’un moment, Nina tenta quelques mouvements. Elle se redressa, remonta le long de ma verge et redescendit tout doucement. J’avais envie de crier, tellement c’était jouissif. Les mouvements s’accéléraient, je m’y mettais aussi. On était parti. On couinait tous les deux, envahis par ce nouveau plaisir anal. Je ne contrôlais plus rien, elle non plus. Finalement, au bout de quelques minutes à ce rythme fou, j’éjaculais dans son petit trou, maintenant dilaté. Comme souvent ma décharge de sperme et les cris de jouissance l’accompagnant, déclenchèrent un orgasme chez Nina. Nous venions de jouir tous les deux, pour la première fois de la sodomie. Ce plaisir était fantastique. Nous restâmes en position, quelques secondes le temps que je débande, et que son anus m’expulse naturellement. Cependant, contrairement, à ce que je croyais la nuit était loin d’être finie…

Tous deux allongés sur le dos, côte à côte, nous échangions nos impressions sur cette nouvelle expérience que nous venions de partager. C’est alors que Nina me demanda si je voulais goûter au même plaisir qu’elle quelques minutes auparavant. Après une courte réflexion, je lui répondis : « Nous sommes fait pareil, à ce niveau là nous avons le même trou, alors pourquoi pas. Je te fais confiance. » C’est alors qu’elle me guida pour que je me tourne sur le côté, dos à elle. Elle saisit ma bite de sa main droite, fermement. Et de la main gauche commença à me caresser les fesses. Jamais je n’aurais imaginé pouvoir accepter ça. Et pourtant, ce soir là, j’avais confiance, j’étais entre ses mains. Elle caressait maintenant mon anus, le titillait. Peu à peu, je sentais son doigt entrer en moi. Ce n’était pas désagréable. C’était plutôt agréable même. Elle l’enfonçait délicatement jusqu’au bout, puis elle le fit tourner, comme pour élargir mon petit trou du cul. C’était bon. De sa main droite, elle me masturbait. Je m’en mordais les lèvres. Je glissais ma main entre ses cuisses pour lui donner également un peu de plaisir. Elle était trempe. Vu qu’elle sentait que j’aimais ça, elle me proposa d’utiliser son gode. Au point où on en était, je ne pouvais refuser. Comme elle me le rappela, il n’était pas monstrueux, « seulement » 14 centimètres. Je devais être suffisamment dilaté car elle me pénétra sans trop d’effort. Tout doucement, elle l’introduit et me dit : « Ca y est je suis au bout, commence à bouger pour me montrer ton rythme ». Sans trop savoir comment faire, je me mis à onduler du bassin et à m’empaler sur ce gode qui connaissait si bien le minou de ma femme. Au fur et à mesure, nous accélérions, elle avec sa main droite m’astiquait de plus en plus fort et avec sa main gauche me pénétrait plus vite. Je n’étais pas en reste, puisque mes coups de reins étaient plus marqués pour me faire sodomiser plus profondément, et ma main caressait la chatte de Nina avec une grande fougue. Nous jouissions une deuxième fois tous deux ensemble. Je maculais les draps de mon sperme épais. Au même moment, Nina me sodomisait violemment sous l’effet des contractions que lui provoquait son orgasme. Nina me demanda d’attendre quelques secondes avec le gode dans mon cul, le temps que mon anus l’expulse tout seul. Elle avait raison car quand cela arriva, j’éprouvai un grand plaisir. Elle me fit toucher mon anus pour me montrer son état de dilatation, comme j’avais fait avec le sien. Juste après, nous partagions un tendre câlin en amoureux.

Ce soir là, nous avons vécu la plus intense relation sexuelle que nous avons eue. C’était magnifique et réussi, car plein d’amour, de partage, de respect et d’écoute. Ce fut tellement réussi, que nous avons décidé de partager la pénétration anale, que de temps en temps, pour ne pas banaliser cet acte que nous avons trouvé magique, car plein d’attention et de partage.

Depuis nous n’avons pratiqué la sodomie que quelques fois, quand ça nous venait naturellement. Nina prend maintenant énormément de plaisir à ce faire sodomiser. Et moi-même, j’en prends également, sans me sentir touché dans ma virilité. C’est pour cela que, vous, messieurs, ne devez pas hésiter à tenter l’expérience si vous en avez l’occasion ; et vous, mesdames, n’hésitez pas à encouragez vos hommes, ils vous remercieront.
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Histoire de Quentin

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