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L'ex bourgeoise 7

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Lue : 2122 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/08/2018

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Pendant le trajet, nous discutons de la soirée et du type qui 'somme toute' n'avait pas l'air de ce qu'il était. Je lui dis : "mais vous le connaissez"? Non, me dit-elle. Pour ne pas me vendre non plus, je lui dis : "comme je vous ai dit, il a dû vous prendre pour quelqu'un d'autre, elle acquiesce de la tête. On a une petite pensée triste pour ceux qui se retrouvent dans ce genre de situation, et qui ne l'ont pas cherché.

La discussion du trajet retour est à son sujet. Le soir, au lit, nous en reparlons. Quand elle me doigte, elle me dit : "tu aurais bien aimé lui prendre son engin". Bien évidement, je repense à la scène. Ayant cela en tête, je la comprends avec Jean, même si nos jeux entre femmes nous apportent beaucoup de plaisir, nous ne sommes pas que lesbienne pour autant.

Dans mon fantasme de cette soirée, il n'y a que les images, il n'y a pas l'odeur ni l'hygiène douteuse, et je me vois lui attraper le sexe pour lui sucer. Elle me décrit la scène imaginaire à partir de la réalité : "regarde sa bite, imagine que tu lui attrapes et que tu le suces, une bonne bite bien dure qui ne demande qu'à juter". Ces mots m'excitent et rien que d'y penser, je jouis aussitôt.

La semaine suivante, je repense à ce fameux vendredi, et celui d'après aussi. Mme De, sans aller au but, tourne autour du pot en venant sur le sujet, disant juste que c'est dommage qu'il soit sale. Je la gode et cette fois, c'est moi qui lui en reparle en disant qu'elle a aimé le faire cracher. Je sens aussi que cela l'excite, et que, comme moi seule sa négligence forcée repousse. Après avoir bien transpiré, on reprend notre souffle.

J'énumère : une douche, un passage chez le coiffeur, des chaussures, pantalon, slip, chemise, pull, veste et il serait acceptable. Elle dit : "oui", mais je sens qu'elle ne veut pas être celle qui le décide. Alors je me lance et lui dis : "il y a les douches municipales et le coiffeur, pour un homme c'est abordable, il y a aussi surement des endroits où on peut trouver des habits potables et propres".

L'idée est lancée, elle me dit que ça peut aussi être une bonne action, même si derrière, ce n'est pas désintéressé. On se met d'accord pour y retourner le lendemain matin. Je m'habille de la même façon et elle se met en pantalon, lunettes noires, foulard, afin de ne pas être repérable. Sur place, nous nous promenons en discutant sans les surveiller. Ce qu'on découvre nous plait, il refuse la bouteille que lui tend son compagnon d'infortune.

On ne sait pas comment l'aborder devant les autres, on attend bien une demi-heure, jouant celles qui se promènent, puis, devant surement un désaccord avec eux, il part dans la direction opposée du bistrot. On le suit, et après avoir attendu un peu, en passant, les deux autres nous demandent une petite pièce, on poursuit notre chemin sans répondre.

Je lui dis ce qu'il faut qu'elle dise, elle comprend la démarche. Quand on commence à lui parler, il ne nous reconnait pas aussitôt. Elle se présente, il sourit en nous demandant comment on va. Je la pousse à prendre la parole. Elle lui dit sans fioriture : "êtes-vous intéressé pour prendre une douche et passer au coiffeur pour vous…… rafraichir …. Enfin, vous donnerez un visage soigné, déjà pour commencer". Il se désole qu'il ne pourrait pas payer, et de suite elle répond : "on ne vous parle pas de payer, mais d'y aller".

Il répond timidement : "oui, mais un bon casse-croûte, c'est ce que je préférerais de plus". Elle continue en disant : "ne vous inquiétez pas c'est prévu aussi. Ensuite, jetez vos ……… vêtements usés, pour en mettre des plus ……. 'enfin' moins usés". Tout surpris, il demande si on connait quelqu'un qui ne veut plus de ses habits? Mme De répond "oui". Il nous demande pourquoi on fait ça pour lui? Elle répond que c'est pour faire une BA et on lui dit de nous suivre en laissant déjà son manteau. Je reviens nous dit-il. Il est allé donner son manteau à garder aux deux autres puis est revenu.

Sans être forte, l'odeur est acceptable. Il se doute de notre gène et il s'excuse. Mme De lui dit qu'après la douche, ça sera plus agréable. Je passe acheter du savon, une brosse à dents et du dentifrice, puis on se fait indiquer les douches. On lui donne de quoi y aller et on l'attend une vingtaine de minutes. Puis on trouve un coiffeur homme, qui est réticent à le prendre, mais en disant que c'est pour un shampoing, une coupe, la barbe etc, bref la totale en somme. Elle dit : "quand il sortira d'ici, je veux un bel homme, un Casanova". Et on s'installe pour assister à la métamorphose.

Le coiffeur finit le seul client qu'il avait puis s'occupe de notre futur Casanova. Il nous fait remarquer qu'il s'est lavé les cheveux, chose qu'il apprécie. L'épaisse tignasse tombe, il fait les poils ensuite, on le regarde dans la glace, on sent aussi sa gêne. Une demi heure après, il est méconnaissable, sans être le Casanova demandé, il est très regardable, seuls ses habits le cataloguent. Dans la voiture, on ne sent plus que le parfum de ses cheveux.

On rentre prés de chez nous, dans un endroit où il y a des affaires d'occasions en bon état et nettoyés. On trouve tout ce qu'il lui faut, même une ceinture, sauf les chaussettes, slip et maillot de corps qu'on trouve en grande surface. On l'emmène à nouveau aux douches municipales d’où nous sommes et lui demandons de mettre ses affaires dans un sac poubelle, et qu'il prenne une autre douche et s'habille. On lui laisse croire que c'est pour un petit boulot, il parle de déduire les frais de vêtements.

Il comprend que mettant ses affaires sales après une douche ce n'était pas très normal. Avec humour, il nous dit qu'avec le retard qu'il a pris, il sera toujours déficitaire. Mme De prend ses affaires à travers la porte et lui demande qu'il nous attende devant les douches si nous ne sommes pas revenues. Je mets ses affaires sales et encore en état dans la machine à laver et le linge de corps dans la poubelle et on revient peu de temps après lui.

On fait quelques kilomètres pour être dans un endroit où personne ne nous connaît et comme il est plus de midi, on s'arrête manger. Dans la voiture je lui dis : "bon, on vous met au courant" mais il ne comprend pas. "On va manger" dis-je. Au début, à table, il ne parle pas, il est dans le brouillard total, alors je lui dis : "ne craignez rien, vous n'êtes pas et ne serez pas maltraité", ce sur quoi il nous répond qu'il a surtout peur de se réveiller.

Je ne me démonte pas et je lui dis : "bon voila, l'autre soir, ça nous a plu, mais c'était l'hygiène qui nous était désagréable, vous comprenez?" Il se sent mal. Je le rassure en disant qu'il n'en est pas responsable et qu'on comprend. Je poursuis en disant : "alors voilà, on a résolu ce problème, donc si vous êtes ok, ce soir on recommence dans un endroit plus …. tranquille, plus chaud et plus ….," "luxueux" : dit-il.

En sortant de chez le coiffeur, il avait les joues rouges sur des joues blanches, l'irritation du rasoir sur une peau qui n'est restée qu'à l'ombre. Maintenant cela s'était bien atténué, mais à mon annonce, il redevient rouge. Je ne me moque pas, car en moi-même je suis crispée aussi de dire cela à un homme, ce n'est pas facile, et Mme De n'est pas à l'aise non plus.

Sa présence me rassure, nous sommes deux femmes contre un homme, même si nous ne sommes pas là pour nous battre, pas facile de dire que nous sommes des salopes, mais il n'est pas facile pour lui de nous être redevable, et comme il le dit lui même avoir perdu tout amour propre. Je luis dis : "vous réfléchissez, vous nous direz après le repas". Il répond : "pas besoin de réfléchir, il est des choses qu'on accepte d'emblée, là je suis juste sonné."

On rejoint le restaurant en disant : "parlons d'autre chose". On a parlé de lui surtout, savoir comment qu'on peut en arriver là, le classique du genre, plus de boulot, plus de maison, plus de femme, plus d'envie de vivre, pas assez de courage pour en finir (selon ses termes). Il allait commander le moins cher, mais Mme De, pour se donner une contenance, lui prend la carte et lui demande ce qu'il aime, et comme il dit : "depuis pas mal de temps, je ne sais plus s'il y a des choses que je n'aime pas".

Elle choisit donc pour lui, elle l'oblige à du fromage, un dessert, un café, il dit non pour le verre de vin avec le fromage, disant que c'était un ami qui lui voulait du mal. Quand il s'absente aux toilettes, on se dit toutes les deux, qu'on est en train de prostituer ce pauvre homme. Mme De me répond ironiquement : "oui bon, on ne va pas le plaindre non plus, il ne trouvera d'ailleurs personne pour cela", ce de quoi on se marre.

Quand il revient, on rigolait. Surpris, il nous regarde pour comprendre et je lui dis : "nous nous moquions de vous, en disant que peut être, vous être à plaindre de la situation, qu'on abuse, qu'on vous oblige." Il répond que si les secondes pouvaient durer des heures, il signerait volontiers. On quitte le restaurant puis nous allons nous promener.

En fait, il est de bonne compagnie, on ne s'ennuie pas, il ne discute jamais de lui, même, sur les instants hard. Il y répond quand on lui demande et revient sur un sujet soft. Comme on est tatillonne, on se répète peut être mais on lui dit que l'hygiène est une qualité qu'on apprécie, et il répond qu'il ne faut pas s'inquiéter, qu'il est prêt à rentrer dans la machine à laver d'une laverie automatique, avec un baril de lessive s'il le fallait.

Nous sommes toujours habillées de manière non sexy. En nous promenant, on arrive devant une crêperie, nous rentrons nous reposer un peu, nous prenons une crêpe et un thé. Puis en ressortant, en enfilant sa veste, il me touche le sein, il s'excuse comme s'il m'avait tripoté sans que je le veuille, je lui dis que ce n'est pas grave, ça sera comme un acompte.

Tous les trois, nous attendons le moment crucial, mais nous préférons, elle comme moi, attendre le soir. Nous continuons notre promenade et discussion, lui comme moi, on visite ce qu'on ne connait pas. Le soir arrive, on cherche un hôtel qu'on retient, et on lui demande de nous attendre qu'on revienne le chercher pour aller diner, qu'il nous surveille à la fenêtre.

Nous allons nous habiller pour la soirée et aussi prendre nos vêtements pour ce soir. Nous sommes un minimum sexy, moi plus qu'elle, vu son âge. Ses traits sont moins tirés, elle est plus souriante, elle n'a plus le manche à balai dans le derrière. On sort de la voiture pour qu'il sache que c'est nous, il arrive rapidement, moi je monte derrière et il prend la place passager devant.

Comme nous sommes dans un endroit du parking non éclairé, je dis : "attendez avant de démarrer, assurez vous qu'elle a bien mis une culotte pour aller au restaurant". Tout surpris, il se tourne, me regarde, la regarde, et me regarde encore. Je dis : "quand il n'y a personne qui nous voit, c'est moi qui commande". Mme De répondit : "oui, connaissant nos antécédents". Il passe sa main entre ses cuisses et remonte plus haut, elle frémit complice, et je pense qu'il fait plus que de contrôler.

Après s'être bien assuré consciencieusement qu'elle avait bien une culotte, je lui demande si elle a bien son soutien-gorge. Et maintenant sur le fait et sans hésiter, il le fait et je dis : "c'est bien, vous êtes obéissant". Tout ravi, il répond : "oui je suis un vrai fayot".

Quand il m'informe qu'elle a bien le soutien-gorge, je dis : "bien, allons-y, on rentre dans le restaurant". De manière très galante, il nous ouvre la porte, nous laisse passer les premières, à tel point que nous avons du mal à reconnaitre le SDF du soir où Jean l'avait amené à lui.

Il ne s'en rend pas compte, mais à la tête de Mme De, je découvre ce qui ne va pas. Ses vêtements sont plus corrects et propres que ceux qu'il avait ce matin, mais on voit de suite que c'est du "made in grande surface". Je suis certaine que si nous n'étions pas là, on lui aurait refusé d'entrer. Toutes les deux, nous sommes désolées de cela, et elle me dira après, qu'elle n'avait pas réfléchi en allant là.

Pour l'heure, lui, il ne voit pas cela, et moi je ne suis pas une habituée de ce genre d'endroit, et lui encore moins. Quand la carte arrive et qu'il l'ouvre, il a des sueurs froides, il se dit qu'à chaque bouchée qu'il mange ici, il mange la semaine là d’où il vient. Et comme tout à l'heure, il se laisse encore guider par Mme De. Nous discutons de tout et de rien, et pour le repas, Mme De et moi avons pris une bouteille de vin, ainsi qu'une bouteille d'eau. Lui a dit non pour le vin, et nous n'avons pas insisté.

Nous avons fait une petite marche ensuite et sommes allés directement à l'hôtel. Nous étions soit le couple marié avec leur fille, ou alors le couple marié avec la belle mère, mais ni l'un ni l'autre ne cadrait. Une fois arrivés à l'hôtel, je lui dis : "douche, brossage des dents", et qu'il prenne son temps, qu'on l'appellera pour venir.

Nous savons que nous n'avons pas besoin de fioriture avec lui, mais nous voulions lui donner le maximum, sa tenue en société nous avait impressionnée. Comme prévu, nous nous habillons en pute toutes les deux, nous avions tout prévu : la soirée était à thème, on ne lui en avait pas dit plus. Mme De avait pris un portefeuille de son mari, et elle avait mis dix billets de 100 francs à l'intérieur.

Je lui tends le portefeuille, en disant : "on sort dans le couloir, vous attendez derrière la porte, on frappe et vous nous ouvrez, après vous devinerez". Nous avions prévu un manteau pour aller dans le couloir, au cas où il y aurait du monde qui passe. Il nous ouvre après que j'ai frappé, en tortillant du cul, on rentre et on retire nos manteaux. Il dit : "le thème me convient tout à fait", et moi je dis façon vulgaire : "c'est ça chéri, mais pense à notre petit cadeau".

Disant cela, je lui montre le portefeuille, il ouvre et voit l'argent. Je dis : "alors chéri, tu prends quoi ? 500 chacune et tout est permis ou 400 juste pour se laisser toucher les seins"? "Je donne tout" dit-il. En sortant l'argent, je joue le jeu, je prends l'argent et dis : "bravo chéri, tu as droit à tout maintenant". Mme De, tout comme moi, se met à coté de lui, mais il demande tout stupéfait : "c'est sérieux"? Je lui répondis : "oui, mais la seule chose, c'est qu'on embrasse pas sur la bouche, sinon tout le reste est ok".

Il veut reposer une question, mais je le coupe en disant : "tout, aller, vous êtes un client, vous avez payé, fin de toutes questions". Il me met aussitôt la main au sexe, comme je ne dis rien, il continue, se rappelant de la première fois où elle se faisait traiter. Il dit timidement : "salope je peux je crois". Je dis oui de la tête, puis il s'essaie avec Mme De : "viens la toi aussi saaa..., non je peux pas" dit-il, et il ajoute : "je vous manquerais trop de respect, et je vous dois trop".

Je soupire en rouspétant intérieurement et lui dis, "allez vous assoir là-bas. Dans la vie, il y a le moment public, comme au restaurant où vous avez été très bien, et ensuite le moment privé où là, on se défoule, vous m'avez trouvée comment avec elle"? Il dit : "gentille". Je dis : "bien. Alors regardez maintenant".

Je prends la cravache et dis : "allez salope, viens là, donne ton cul. Je lui mets 5 coups qui sans être violents, cinglent quand même. Je lui dis qu'en privé, c'est ma putain, elle aime ça être une morue en privé, il faut lui donner ce qu'elle aime. Je lui fais tendre son cul vers lui, la honte l'envahit, le SDF n'est plus un inconnu maintenant, il sait qui elle est, qu'être humilié devant un inconnu et quelqu'un qui sait qui on est, c'est complètement différent.

A sa tête, je devine la honte qu'elle a et qui la trouble, et je ne fais rien pour atténuer cela, bien au contraire. Je lui demande de mettre sa main au sexe pour qu'il me dise comment c'est. Je dis : "voilà, tu as compris" (je le tutoie). Il dit : "oui", mais il n'y arrive pas. Je venais de comprendre que je devais garder les choses en main, qu'il n'avait rien du dominant, que c'était un homme soumis.

Ce soir là, j'avais envie d'être brusquée, dominée, mais cela n'étant pas possible, je suis restée la maîtresse du jeu. Avec un homme, cela n'est pas déplaisant non plus, je l'ai fait mettre à poil, il la suçait à ma demande, il me suçait aussi, et je me suis même risquée à une petite tape sur la fesse, en lui disant plus vite. En bon soumis, il à accéléré, ensuite, j'ai trouvé une excuse pour le punir, en lui disant de mettre son cul en évidence, il l'a fait, grimaçant aux coups.

Je me suis faite caresser, embrasser, tripoter par les deux en même temps, c'était divin. Ensuite moi je l'ai sucé en même temps qu'elle me suçait, et elle lui a mis une capote, et moi je me suis empalée sur lui et avec le gode ceinture, Mme De m'a sodo, ils étaient tous les deux à ma botte. Quand je lui disais de la sucer, il avait le cul en l'air et je lui ai attrapé le sexe en passant entre ses cuisses par l'arrière, je l'ai branlé un peu, il bougeait son fessier, c'est la que j'eus l'idée de lui enfiler un doigt dans l'anus.

Je me lève et prend la vaseline, je le branle, puis je lui mets de la vaseline, il fait non la bouche pleine, mais forcément je ne l'écoute pas, et commence à le pénétrer. Il arrête de la sucer en disant non, mais en même temps il roulait du cul. J'enfonce mon doigt et je vois bien qu'il n'est pas négatif à ma caresse, emporté par le jeu, par l'excitation, encouragé par sa docilité, je le laisse. J'enfile le gode ceinture, il me devine faire, je viens derrière lui, je pousse et je m'attends à un refus, et là, à ma grande surprise, il s'écarte l'anus de ses deux mains.

Je le pénètre doucement et à fond. Il ouvre grand la bouche pour respirer, Mme De regarde sa tête. Après avoir encaissé le coup, il la butine de plus belle. La scène, plus le coup de langue, Mme De jouit dans sa bouche qui lape avidement. Le coup de grâce pour lui de la sentir jouir plus la sodo, il jouit tout seul, s'attrapant le sexe pour bien jouir.

Laissant Mme De en plan, je dus me retirer de lui et la baiser avec le gode ceinture. Après s'être nettoyé dans la salle de bain, il revient penaud. Le deuxième orgasme de Mme De passé, elle s'occupe de moi, il me caresse aussi. Une demi-heure après, il a pu me baiser, me sodomiser, et sodomiser Mme De, où il a joui en elle, avec capote.

Nous nous sommes reposés, le caressant comme un nouveau jouet, et donc fatalement au bout d'une bonne heure, ça avait repris du volume, mais pas suffisamment pour être baisée. Toutes les deux, nous l'avons sucé à tour de rôle, une qui suce et l'autre qui lui caresse le torse en lui regardant l'expression du visage. Et c'est pendant que de Mme De le suçait qu'il a joui, c'est beau aussi l'expression d'un homme qui jouit.
Nous sommes parties, et il a voulu nous suivre, mais on lui a dit : "la chambre est payée jusqu'à demain, on se revoit demain midi". Il a dit : "oui, et je vais dormir dans un lit avec vos odeurs". C'est un cinq étoiles, nous avons dormi dans nos lits respectifs.

Le lendemain matin au petit déjeuner, on parle de tout ça, mais ni elle, ni moi, n'osons aborder le sujet : "qu'allons nous faire du SDF"? La matinée se passe et vers 10h30, elle dit : "mon portefeuille"? non pas qu'elle en ait besoin, mais c'est celui de son mari. On sort pour rejoindre l'hôtel, et pendant le trajet, je lui demande : "il y avait l'argent dedans?" "Oui" me répond-elle mais c'est le portefeuille qui m'ennuie.

On se dit, que peut être, il l'aura laissé dans la chambre, et que l'on demandera au personnel. On arrive au parking, on descend de voiture et avant de faire quelques pas, on le voit qui nous rejoint en courant avec son sac de linge qu'on avait lavé. "Vous avez oublié cela hier soir", et il lui donne le portefeuille en disant : "contrôlez, tout y est". On se regarde, honteuses de nos mauvaises pensées. Il avait prit une douche avant de sortir, ses cheveux étaient humides, il nous dit : "voilà mesdames, merci pour tout", et s'en retourne.

"Attendez" dit-elle, elle prend l'argent et lui donne 300 francs pour le remercier d'avoir ramené le portefeuille. Il dit : "non, ou alors juste cent francs, pour retourner sous mon pont". "Ne discutez pas, prenez et on vous ramène". Mme De retrouve son ton de meneuse d'homme. En route, il nous demande si on peut passer par un certain endroit, elle lui répond : "oui, bien sûr", et là, il nous dit : "avant, ici il y avait une usine", on roule encore quelques minutes, et il rajoute : "et là, j'habitais au deuxième".

Le ton de sa voix a changé, on se regarde furtivement. L'endroit n'est pas reluisant, mais par rapport à "son pont", c'est le luxe. Elle lui demande s'il n'a pas de famille, même ailleurs qu'ici, même loin qui pourrait le recueillir? Il dit : "que non hélas, et s'il j'en avais, je ne les connaîtrais pas". Mme De me connait bien, elle sait mon mal être de cette situation.

On prend un pauvre type, on lui offre de bons moments (resto de luxe, hôtel, baise avec deux femmes) fantasme de beaucoup d'hommes, et une fois fini, on le remet là d'où il vient, comme un objet. Moi je ne dis rien vu mon mal être, et de plus je n'ai aucun moyen d'agir. On arrive à l'endroit sous le pont, il y a un petit passage entre les arbres, on descend, on se dit au revoir, le moment est triste, il nous remercie pour tout, et s'en retourne sous son pont.

Elle va faire demi-tour, là où elle s'était garée la première fois avec moi, et en repassant on le voit à travers un pilier et un arbre, assis sur son carton. Aucune de nous ne parle, on fait peut-être cinq kilomètres avec des têtes d'enterrement, et à un carrefour, elle fait demi-tour. On se regarde sans se parler, on s'est comprise. Ni elle, ni moi, ne savons ce qu'on va faire, mais on sait qu'on va le faire.

Dans ma tête, j'échafaude plein de possibilités qui se heurtent toujours à la même barrière : celle de l'argent. Je suis la principale responsable de ce qui arrive, c'est moi qui suis venue le chercher, c'est moi qui suis revenue le sortir de là en lui faisant passer une bonne journée.

Ce type, est un type bien, c'est une victime, il aurait pu se sauver avec l'argent, il aurait pu en demander encore, il aurait pu nous ennuyer à vouloir rester avec nous, faire des histoires une fois qu'il aurait vu qu'on le jetait, mais non, tout le contraire, il s'est remis dans sa situation, sa condition de tous les jours... "d'homme de la rue".

Arrivé sous le pont, là où on l'avait laissé quelques minutes plus tôt, elle me dit : "des questions"? Je l'embrasse et je vais le chercher. Il était évasif, en train de regarder dans l'eau, sûrement plongé dans ce qu'il venait de vivre et triste de la dure réalité de son retour à la vie de "SDF". Je l'appelle, il se tourne, ses yeux le trahissait, ce n'était pas de la tristesse mais des pleurs, "allez venez" dis-je. Il allait reprendre son sac de vêtements, mais je lui dis : "donnez-le à vos compagnons". Il allait le reposer, mais comprenant, il le pose sur la place de l'un d'eux.

Arrivés à la voiture, il monte et on va se garer plus loin. Moi je m'efface, et elle lui dit : "voila, comment voyez-vous la suite de votre vie, voulez-vous continuer d'habiter à la belle étoile, ou voulez-vous essayer de vous en sortir"? Il nous dit qu'il avait essayé de retravailler, mais qu'on lui disait que la place était prise. En fait, nous comprenons qu'on lui refusait la place car il allait au rendez vous, en tenue négligée.

Mme De lui pose plein de questions, tandis que moi je suis complètement effacée, inutile, incompétente. Puis à ma grande surprise, je la vois se diriger vers chez elle, puis dans sa rue, et même rentrant au garage. Elle me regarde, je la regarde, elle se retourne en disant : "j'espère que je n'aurais pas à regretter ce jour". "Où sommes-nous" dit-il? Elle répond : "chez nous".

Elle me demande si je veux l'accompagner à la boulangerie. Je dis oui, et on ramène le pain. Elle avait commencé à préparer le repas. On lui inculque les bonnes habitudes, du moins les nôtres : celles qu'il avait surement perdues, comme se laver les mains avant de passer à table, le fonctionnement de la maison. Elle lui dit : "par contre, ce n'est pas gratuit, après manger, nous irons dans le jardin, il y aura un peu d'entretien à faire, le temps de trouver un vrai travail".

L'après-midi, nous nous promenons, et le soir, c'est lui qui veut préparer le repas, ce qui n'est pas compliqué. Il nous sert, nous apporte les plats, débarrasse. On ne voulait pas non plus abuser mais il dit : "laissez, rien que ces gestes me manquaient". Puis on lui montre la chambre de Jean où il va s'installer. On se regarde en pensant à ce qu'on va pouvoir inventer.

La douche pour tous, elle lui donne les affaires de son mari : pyjama, peignoir... On regarde la télé, on est contre lui, et fatalement, je dis à Mme De : "ha, on a oublié de lui dire aussi : sa tâche du soir, être à notre entière disposition. Il dit: "ça y est, j'ai tout compris, je suis mort et j'ai atterri au paradis..."

La minute d'après, c'est moi qui y étais au paradis, sa langue s'activait sur moi, tandis que Mme De me caressait, me tripotait, il m'a faite jouir, j'ai voulu qu'il me baise ensuite. Assis sur le canapé, je me suis empalée sur son membre, assise sur lui après qu'il ait mis une capote, (à l'époque, ce n'était pas encore pour le HIV, mais pour les MST, et aussi que n'ayant pas de petit ami, je ne prenais pas la pilule).

Il me tripotait les seins pendant qu'elle me suçait le clito. J'ai joui à nouveau, puis il s'est occupé d'elle ensuite. Moi je l'embrassais, sa peau d'homme m'excitait. Je leur ordonne une sodomie en levrette, pendant que moi je lui touche le clito et lui les couilles.

Il dit : "non pas ça, je vais partir". Je lui dis : "oui remplit la, cette salope". Il accélère le mouvement, elle gémit, elle jouit en hurlant. Cela accentue son excitation, et à sont tour il jouit en elle pendant que je le tripote. On se repose ensuite, le temps qu'il récupère afin d'avoir notre deuxième service où c'était à mon tour d'être remplie.
J'avoue que j'ai fermé ma porte à clef la nuit et elle aussi. Mais le lendemain, nous n'avions plus peur.

Le lundi, ils sont allés faire des achats pour l'habiller pour la semaine et pour sortir. Elle s'occupait de ses papiers pour lui faire avoir des prestations, une assurance maladie. Elle lui disait d'aller chez le dentiste, avançant les frais et en payant même sa partie, il est même allé passer une visite médicale pour voir s'il n'avait rien attrapé.

Certains soirs, je la mettais dans des positions qu'elle avait eu avec Jean : comme celle sur la table, avec la chatte face à lui sur une chaise, attachée également, torturée de plaisir avec le gode. Quand je me donnais à elle, elle me rendait la pareille, attachée sur la table à m'exciter à l'extrême en ne me faisant jouir qu'après de longs moments où elle retardait l'explosion.

La journée, il ne restait pas inactif : le jardin était entretenu comme il ne l'avait jamais été, la cave vidée, nettoyée... Elle s'occupait de son courrier pour du travail en répondant à des annonces. Je la soupçonne même, d'avoir eu des rapports sexuels avec lui l'après midi. Il ne me disait rien non plus, il avait bien vu que c'était elle qui était la maitresse de maison. Mais cela ne me dérangeait pas, je n'étais pas jalouse, et quand j'étais là, j'étais la reine.

Leur plus grand plaisir : c'était de me faire jouir le plus possible. J'étais gâtée pourrie, elle m'habillait comme une poupée, et lui, il me faisait tout sous les fesses. Quand on se promenait, j'étais la fille, et ils étaient mes parents. J'étais la fille qu'ils n'avaient jamais eue. Ma seule corvée c'était mes études qu'elle surveillait, voir si je suivais.

Des voisins avaient vu le changement dans l'entretien de l'extérieur de la maison, ils avaient demandé à Mme De s'ils pouvaient l'employer pour un travail ponctuel : comme entretenir le jardin aussi, vider une cave, lessivage des murs, décoller du papier... Bien sûr elle leur a dit oui en donnant le tarif. Sans être mirobolant, c'était très honnête, c'était sa première rentrée d'argent depuis longtemps, il en était fier.

A suivre.
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Histoire de annizette

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