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La Médiathèque

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Lue : 1990 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 26/09/2018

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J’ai choisi de venir dans le Sud-Ouest faire des études d’œnologie pour des raisons évidentes : c’est la région du vin, ce n’est pas la seule, mais la vie y est agréable sous le soleil, et je pensais pouvoir profiter de quelques bons moments en plus de faire mon BTS, même si je savais que je devrais travailler beaucoup, ce qui n’était pas un problème pour moi. J’ai fait 900 kilomètres pour me retrouver à L… une petite ville qui m’a tout de suite charmé… En plus, j’ai bénéficié de quelques coups de chance. En effet l’appartement que je louais se trouvait sur la même grande place que le lycée où je faisais mes études. Et un peu plus loin, il fallait prendre une petite ruelle, on débouchait sur une belle médiathèque, fonctionnelle, qui bénéficiait de la lumière que laissaient entrer les baies vitrées, de ressources copieuses et d’une ambiance sympathique. J’ai pris l’habitude d’y aller très régulièrement, à la fois pour mes études, il y avait un fond copieux sur l’œnologie, de manière logique, mais aussi simplement pour le plaisir de lire. C’est un peu devenu ma seconde maison.
C’est en décembre que je l’ai remarquée pour la première fois. Elle a fait son apparition dans l’immense salle du haut pour la première fois à ce moment, mais elle était déjà là, ailleurs, je l’ai compris par la suite. J’étais occupé à relire des cours pour les mémoriser, j’ai levé les yeux et j’ai capté les éléments clef de sa silhouette, ceux qu’un caricaturiste retient lorsqu’il fait une esquisse. Une silhouette fine, des jambes qui m’ont semblé très longues, et une chevelure blonde, épaisse et soyeuse, qui masquait son visage. Elle était de profil, elle a donné un coup de tête, dévoilant un profil très pur, ce qui était plutôt rare. Elle lisait avec attention une bande dessinée.
J’en ai vu plus dans les minutes qui ont suivi. Parce qu’elle s’est levée, et est partie chercher une autre BD. Le galbe bien marqué de ses jambes, bien qu’elles soient fines, la plénitude de son derrière, et sa cambrure poussée, un visage avec des traits très fins, des yeux bleus qui allaient bien avec sa blondeur. Elle était tout simplement ravissante, et moi qui n’avait pas trop regardé les filles jusque là, j’ai ressenti un élan vers comme je n’en avais jamais éprouvé pour aucune femme auparavant. Elle devait avoir mes âges, peut-être un ou deux ans de plus.
Dès lors, il y a eu une sorte de fatalité qui a fait que nos chemins se sont croisés très très souvent. Il faut dire que, quand je ne travaillais pas, j’étais très souvent à la médiathèque. Et je l’ai été encore plus une fois que je l’ai croisée, ce samedi là, avec cet espoir, que je ne m’avouais pas vraiment à moi-même, de la revoir.
J’ai été exhaucé au-delà de mes espérances. Je l’ai vue de plus en plus. Toujours semblable et cependant toujours différente, avec toujours cette même beauté teintée de sensualité, mais qui variait chaque jour, selon ses tenues, selon aussi sa manière de se coiffer. Elle se passionnait décidément pour les BDs, mais elle lisait aussi pas mal de romans, tout genres confondus.
Il y a bien eu, par contre, une évolution de notre relation. Oh pas grand-chose. Nos regards s’accrochaient l’espace de quelques secondes. Difficile de savoir ce qu’elle pensait. De toute façon, je ne m’imaginais pas une seconde pouvoir la séduire. Pour faire simple, disons que je pensais qu’elle était trop belle pour moi.
Ca faisait bien trois mois que je la voyais quand les choses se sont dénouées. On devait être en février. Je la regardais et je me disais avec amertume que rien n’avait évolué depuis que je l’avais aperçue pour la première fois. J’étais posé à une table, je lisais un livre sur les vins dans le Sud-Ouest et elle était plongée dans un roman. Ce jour comme les autres jours, elle était en beauté, avec une jupe courte rouge cerise, qui dévoilait des jambes gainées de nylon, prises haut par des bottes noires luisantes à talon aiguille qui semblaient neuves, et qu’elle portait peut-être pour la première fois, en tout cas je ne l’avais jamais vue avec auparavant. La jupe était assortie à un haut noir qui tenait avec des bretelles fines.
Elle s’est soudain levée. J’ai pensé qu’elle allait poser le manga qu’elle parcourait, et qu’elle semblait avoir fini, mais, si ça a bien été le cas, elle a évolué ensuite d’une manière totalement inattendue. Elle n’en a pas pris un autre dans le bloc à mangas. Au lieu de cela, elle a avancé dans ma direction. Mon cœur s’est mis à battre plus fort. Je me suis dit que ce n’était pas possible, qu’elle ne venait pas vers moi. Et pourtant, ses yeux étaient posés sur moi.
Elle s’est arrêtée à quelques centimètres de moi. Il y avait un demi-sourire sur son visage, qui pouvait signifier bien des choses. Sans un mot, elle m’a attrapé la main. Je me suis levé, et je l’ai laissée m’entrainer.
En fait, on n’a pas été très loin. Juste à côté, il y avait une porte. Je voyais du personnel passer régulièrement par là.
Elle a tiré la porte. On s’est retrouvés dans une semi-obscurité avec plusieurs options. Un escalier conduisait vers les étages, sinon, on pouvait continuer tout droit le long d’un couloir. C’est par là qu’elle m’a entrainé, et on s’est retrouvés dans une grande pièce occupée par plusieurs tables sur lesquelles étaient posés des livres, en attente sans doute d’être étiquetés et classés.
Elle s’est retournée vers moi. Elle n’avait jamais été aussi près de moi, et je n’avais sans doute jamais imaginé que ce soit possible.
—Il faut savoir bouger… Je me demandais quand tu allais te décider à venir vers moi, mais comme rien ne se passait, j’ai décidé de moi faire le premier pas. On est tranquilles ici pour un moment.
C’est sans doute pour m’en administrer la preuve qu’elle s’est penchée sur moi et qu’elle a posé ses lèvres sur les miennes. Ca a été un baiser bref mais délicieux qui est devenu plus poussé quand nos langues se sont accrochées. Elle s’est collée à moi tout le temps qu’a duré ce long baiser, plus poussé, et j’ai senti sa chaleur et ses formes contre moi. Je crois bien que mon sexe n’avait jamais été aussi dur, en aussi peu de temps. C’est sans doute ce qu’elle a voulu vérifier quand elle est tombée à genoux, et qu’elle a entrepris de faire sortir ma queue de mon pantalon. Elle a eu un petit rire quand elle l’a mise à nu.
—Elle est belle ! Et toute gonflée ! Dis donc, tu as vraiment envie de moi !
Et c’était vrai, avec tous ces mois d’attente, je la désirais intensément.
Elle a pris mon sexe entre ses lèvres, et elle a fait coulisser sa bouche dessus, d’avant en arrière, un contact irrésistible, et j’ai cru que j’allais jouir. Elle m’a relâché, déjà couvert de salive, et elle a entrepris de donner des coups de langue sur la dureté de mon sexe. Elle a tourné sur moi avant de me reprendre entièrement dans sa bouche. Elle se débrouillait bien. J’ai remarqué qu’en même temps qu’elle me caressait buccalement, elle se caressait elle, sa main glissé sous sa jupe qui s’était retroussée quand elle s’était accroupie, révélant qu’elle ne portait pas de collant dessous, mais des bas stay-up et un simple slip blanc qu’elle avait tiré dans son aine.
Elle a fini par plonger une main dans son décolleté et elle en a retiré un préservatif emballé dans de l’aluminium. Elle a déchiré l’alu pour révéler le plastique luisant. Ce n’était sans doute pas la première fois qu’elle faisait l’amour à un garçon, et ça m’est apparu encore plus évident quand elle a posé la rondelle de plastique contre ses dents, et que, dans un mouvement fluide, elle a descendu sa bouche jusqu’à la racine de ma queue avant de remonter et de libérer un sexe entièrement gainé de plastique du sommet à la base.
Elle s’est redressée, et tournée vers la table la plus proche. Il y avait suffisamment de place pour qu’elle puisse se plier en deux et s’appuyer dessus.
—Je te laisse faire le travail…Tout ce que je te demande c’est de bien me remplir avec ta queue, et de me fouiller avec…Je veux qu’elle frotte longtemps contre mes parois internes, que je la sente bien.
J’ai roulé sa jupe à sa taille, révélant l’intégralité de ses jambes gainées du nylon des bas et sa culotte blanche, que tendaient ses fesses. Je me suis accroupi, comme elle l’avait fait et je suis venu caresser ces jambes si joliment dessinées, la chaleur de son corps montant dans mes mains, au-delà du contact électrique du nylon. Elle a poussé un petit soupir de contentement qui ne pouvait que m’encourager dans cette voie. Alors, je suis remonté un peu plus haut, et j’ai descendu sa culotte, révélant son intimité.
Elle était à l’image de ce que j’attendais, de ce que promettaient ses vêtements. Des fesses rondes et bien rebondies, fendues par un sillon profond, dont le galbe était encore accentué par une chute de reins cambrée, cambrure qu’accentuaient ses talons aiguille. Au fond du sillon, j’apercevais le plissement de son anus, et entre ses cuisses, une vulve bien en chair, ouverte sur les plissements de ses lèvres.
Je suis venu poser mon gland contre celles-ci et je les ai frottées. Elle s’est mise à souffler plus fort. Je l’ai caressée comme cela un moment, sans rentrer en elle, jusqu’à ce que je sente qu’elle avait envie, tout autant que moi, que je vienne entre ses muqueuses. J’ai posé la tête de mon sexe pile au milieu de l’ouverture de son sexe, et j’ai donné un coup de reins. J’ai senti que mon gland glissait dans sa vulve, une sensation de chaleur et d’humidité me prenant. Je suis rentré en elle centimètre par centimètre, jusqu’à venir la remplir totalement. Sensation unique de la sentir autour de moi.
Je me suis mis à bouger en elle, comme elle me l’avait demandé. Elle s’est mise à geindre, et je me suis inquiété, mais le local semblait isolé suffisamment en tout cas pour qu’on ne nous entende pas dans la médiathèque.
Au bout d’un moment j’ai senti quelque chose d’insolite. Je me suis rendu compte qu’elle m’avait sorti de son sexe de la main, et qu’elle m’amenait plus haut, entre ses fesses.
—Mets-moi la dans l’anus… Et n’aie pas peur de me faire mal. Je me suis déjà souvent faite prendre par là, et j’adore ça. Ma muqueuse est souple.
Je me suis senti un peu décontenancé par sa demande, pourtant, j’ai obéi. Elle a posé mon gland contre son anneau plissé. J’ai poussé, m’attendant à rencontrer une résistance, mais j’ai pu rentrer en elle avec une facilité déconcertante, jusqu’à me loger totalement en elle. C’était plus étroit, mais c’était justement ce qui faisait le charme de la situation, le fait d’être plus serré. J’ai bougé en elle, me rendant compte qu’elle avait amené sa main contre son sexe, et qu’elle se caressait en même temps que je la fouillais… Elle m’a semblé avoir plusieurs orgasmes, avant que je ne jouisse, me vidant longuement dans le préservatif.
Après on s’est rajustés, et on a rejoint la partie publique de la médiathèque, sans que personne semble avoir prêté attention à notre absence, ou notre retour.
Elle est venue s’installer à côté de moi, et elle m’a proposé :
—On pourrait partir ensemble, aller se promener un peu, diner ensemble, puis passer la soirée et la nuit ensemble.
C’était un beau programme.
C’est ij peu plus tard que je lui ai demandé :
—Dis moi, une question…Comment ça se fait que tu connaisses si bien les lieux ?
Je suis tombé des nues quand elle m’a répondu :
—Ma maman est bibliothécaire ici. Je viens y passer quasiment tout mon temps libre depuis que je suis toute petite.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : La Médiathèque

Le 03/10/2018 - 01:40 par unemeline22
La fin est savoureuse

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