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L'Exil 4

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Lue : 4295 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/12/2007

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Résumé : Une guerre nucléaire totale a éclaté. Seuls les passagers du Blue Royal, bateau de croisière dans le pacifique, semblent avoir survécus. Pour pallier les manques de vivre, le commandant Kruger décide de débarquer de nombreux passagers sur des canots de sauvetage. Un groupe de personnes « compétentes » avait été mis de côté.
Mais Jacques et ses compagnons semblaient avoir repris les commandes du bateau quand une rafale titanesque gifla le navire qui manqua de chavirer.
Que va-t-il arriver à Jacques, à Julie MacDowel, à Catherine la française et à Paula la jeune mexicaine. Kellian et Kriss les deux jumeaux vont-ils survivre ? Et le couple M’Vondo, Kwun la coréenne et le russe Vladimir Foutwov ? Greg Blackman le mécanicien et les autres passagers vont-ils pardonner au commandant Kruger et à son second, le capitaine Harris ?

Partie 1 : L’Exil

Chapitre 4 : L’île

Les yeux de Wim Zeigtedl regardaient sa femme se déshabiller. Cet homme, de 85 ans, s’était remarié pour la troisième fois avec Elga, une femme d’une quarantaine d’année. Riche industriel norvégien, Wim Zeigtedl était assis dans son fauteuil roulant et appréciait le corps très maigre de sa femme.

Dans la cabine du bateau de croisière, le capitaine Harris se tenait debout, pas très loin de la porte et observait les longues jambes nues de la quinquagénaire blonde qui se retrouva en déshabillé noir en fine dentelle. Il les avait rencontré à la soirée de réception la veille.

Wim Zeigtedl aimait passionnément Elga. Il lui avait offert un tour du monde. Depuis son handicap, le riche industriel ne pouvait plus assouvir les passions de sa femme. Souvent, il avait recours à des hommes plus jeunes pour la contenter.

Elga était élégante en toute situation. Ses cheveux châtains claires coupés assez courts n’étaient jamais décoiffés. La tête toujours haute, la norvégienne marchait avec dignité et grâce.

Le capitaine Harris sentait sa verge se serrer dans son pantalon d’uniforme. Il voyait la femme ôter son joli string et le lancer à son mari. Ce dernier rit et s’adressa au capitaine :
- Vous pouvez jouir de ma femme comme bon vous plaira. Elle adore ça.

Et c’était vrai que Elga aimait se faire prendre et surtout devant son mari pour qui elle avait beaucoup d’affection.

Harris approcha de la quinquagénaire et tout en regardant le vieil handicapé, il déboucla la ceinture en cuir de son pantalon. Elga fit dos à ce dernier et se pencha vers son mari pour l’embrasser tendrement. La verge raide cogna contre les fesses blanches de la norvégienne qui sursauta. Déjà des doigts fouillaient son intimité non sans une certaine brusquerie.

- Tu aimes ça chérie, dit Wim en tremblant d’excitation.
- Oui mon amour. J’adore que des hommes se servent de mon corps. J’aime qu’ils me possèdent.

Elga sentit la langue d’Harris forcer ses fesses pour titiller son orifice anal. Il le lécha consciencieusement comme pour signaler le lieu où il jouirait. Toujours penchée sur le fauteuil roulant, la quinquagénaire se tenait aux accoudoirs et écartait ses longues jambes. Wim regardait avec excitation les doigts du capitaine palper le minou de sa femme et imaginait ce qu’il pouvait faire avec sa langue. Elga gémissait un peu et embrassait son vieux mari qui passait ses mains ridées et tremblantes sous le déshabillé noir pour caresser les petits seins pointus.

Le marin, entièrement nu – il avait jeté sa casquette et sa chemise avec ses galons -, se posta debout juste à côté du fauteuil roulant. Avec un sentiment d’admiration mêlé peut-être de jalousie, Wim observa le membre en érection.

- Suce-le chérie. Il n’attend que ça.

Elga s’agenouilla et caressa la verge dressée devant elle. Puis, du bout des doigts, elle gratta, titilla les testicules velues pendant que sa langue dardait le gland palpitant. La verge sentait fort. Elle aimait ça, elle aimait le sexe. Elle aimait les effluves puissantes. Ca augmentait son plaisir.

Wim caressait les cheveux courts de son épouse comme pour l’encourager. Ces situations de candaulisme l’excitait au plus haut point. Malgré son impossibilité de bander, à cause de son handicap et, aussi, un peu à cause de son âge, l’industriel tirait beaucoup de plaisir de ces échanges.

La blonde passa plusieurs fois sa langue le long de la hampe avant de mettre dans sa bouche la verge dure et odorante puis commença, doucement, une caresse voluptueuse. La bouche aspirait, serrait, suçait. Le capitaine Harris se raidit tant la fellation était généreuse et pour arrêter le divin supplice, il alla s’asseoir sur le divan en cuir de l’autre côté de la cabine. Elga le rejoignit après avoir embrassé son mari qui resta à son observatoire. La femme maigre fixa le marin avec un air de défi dans son sourire. Elle passa un doigt dans son minou pour l’ouvrir. L’homme nu assis sur le cuir du divan apprécia. Elle s’empala sur la tige tendue qui attendait avec impatience.

Harris tenait la norvégienne par sa petite taille et observait avec admiration son membre disparaître, avalé par le vagin gourmand. Le rythme imprimé par la blonde se ralentit car elle fatiguait et elle s’allongea sur le divan. Sa peau frissonna au contact du cuir.

Wim regardait son épouse. Il aimait ses longues jambes qui s’enroulaient autour du corps vigoureux du marin qui pénétrait avec facilité le vagin humide et offert. Très rapidement Elga sentit un grondement intérieur l’envahir et presque avec un regard suppliant, elle jouit en se tournant vers son mari de l’autre côté de la cabine qui s’excitait, seul sur son fauteuil roulant. La quinquagénaire serrait ses mains sur les épaules du jeune capitaine qui faisait durer son orgasme.

A bout de force, elle s’étendit sur le divan et soupira d’aise. Harris se leva pour laisser à la norvégienne le temps de reprendre ses esprits. Il observait le corps maigre de la femme qui se caressait négligemment la poitrine. Il pourrait inscrire cette nouvelle baise sur son carnet où il inventoriait toutes ses conquêtes. Encore une. Il lui était déjà arrivé de faire l’amour devant le mari. Depuis tant d’année sur ce bateau de croisière, il avait presque tout fait. Toutes les femmes qui travaillaient sur le navire, il les avait baisée, sauf le capitaine Julie MacDowel qui se refusait toujours, la salope !

- Vous voulez me prendre par derrière ? demanda-t-elle après un moment.

A la réponse affirmative du marin, la blonde ajouta :

- Faîtes-le doucement s’il vous plaît.

Encore une sodomie qu’il pourrait comptabiliser sur son précieux carnet.

Elga se leva et se mit à quatre pattes devant son mari en reposant sa tête sur ses genoux. Wim lui caressait les cheveux en observant le capitaine s’installer derrière la croupe tendue. Les doigts de ce dernier vinrent chercher la mouille abondante pour lubrifier l’anus déjà un peu détendu.

Un peu craintive, Elga serrait son vieux mari qui la dorlotait avec tendresse. Harris posa son gland contre l’orifice et le pressa doucement. La norvégienne se tendit un peu, puis se relâcha et c’est à ce moment que sa rondelle céda et que la verge s’engouffra. Elle poussa un cri mais le capitaine n’eut cure de sa plainte et, accroché aux maigres hanches, il enfonça sa tige dure puis revint ainsi de suite assez lentement.

Il aimait ça : sentir sa queue toute serrée dans le cul d’une femme, le Harris. Enculer était pour lui l’ultime revanche contre la gente féminine. Il pensait que les femelles se faisaient sodomiser par pur besoin de satisfaire les pulsions des mâles. Le faire et en abuser ; il aimait ! Ah, qu’il aurait aimé prendre le petit cul de la belle Julie. Dans son carnet, il n’avait jamais sodomisé une rousse. Un manque !

Elga serra les mains de son mari et gueulait en le regardant. Ses yeux pleuraient. Son visage était crispé.

- Chéri. Je jouis, hurlait-elle en fixant l’handicapé.

Derrière elle, Harris se déchaîna et éclata aussi. Au paroxysme de leur orgasme, un éclat soudain emplit la cabine baignant la pièce d’une funeste lumière. C’était l’explosion.

Dans un accès de compassion qui ne lui était pas commun, le capitaine Harris avait ajouté le couple norvégien à la liste des « élus » du commandant Kruger. Plein d’une curieuse sollicitude, il était revenu dans leur cabine pour les emmener à la salle de réception. Elga n’était pas encore habillée. Elle n’eut le temps que de passer un string sous son déshabillé en dentelle noire. Elle poussa son octogénaire de mari jusqu’à la salle de réception.

Jacques, Bonaventure M’Vondo, Marc Middle et Jigoro Jotsu venaient de débouler sur la passerelle pour arrêter le commandant lorsqu’un souffle gigantesque frappa le navire manquant de justesse de le faire chavirer. Tous les passagers du Blue Royal furent projetés au sol. Il était évident que les canots de sauvetage en mer avaient été balayés et qu’aucun survivant n’était à espérer.

Le commandant Kruger se releva péniblement. Du sang coulait de son front. Bonaventure se saisi de lui. Julie MacDowel, qui venait de rejoindre le groupe sur la passerelle, prit le com interne :

- Greg ! Greg ! appelait-elle en hurlant
- Oui. Greg Blackman !
- C’est Julie MacDowel. Je prends les commandes du bateau. Le commandant est relevé de ses fonctions.

Un long silence, lourd de signification, envahit la passerelle et la salle des machines.

- Une gigantesque tempête voire un ouragan va fondre sur nous, dit-elle en regardant à travers les vitres.
Mets les moteurs à fond pour diminuer le tangage.
- Bien mademoiselle MacDowel.

Jacques et Julie organisèrent le rationnement. Il restait environ 500 personnes sur le navire. Depuis des jours la tempête faisait rage. Les réserves de carburant diminuaient dangereusement. Greg Blackman monta à la passerelle. La pluie et le vent battaient les larges vitres.

- Nous avons encore une journée de carburant, dit-il à Julie.

Une atmosphère particulière s’était établi. La hiérarchie avait quasiment disparu pour laisser la place à une coopération saine et naturelle. Jacques, secondé par Vladimir et par Catherine, organisait la vie.

On avait dû déplorer de nombreuses disparitions à cause d’imprudents qui sortaient sur les ponts extérieurs. Il devenait indispensable qu’une organisation se mette en place et les qualités naturelles de Jacques en firent l’agent.

Les enfants avaient tous été regroupés et quelques adultes s’en occupaient sous la responsabilité de Kwun et de la gentille Mikyo, la femme de Jigoro le japonais.

Le rationnement était organisé par Kriss et Kellian épaulé par l’imposant Vladimir Foutwov qui devait parfois calmer les disputes et les réclamations intempestives.

La météo ne décolérait pas. Le navire filait droit devant lui ne rencontrant aucune terre. Marc Middle et Julie MacDowel gardaient nuits et jours un oeil sur les jumelles. Les radars, les appareils électriques ne fonctionnaient plus. Sans doute, l’explosion avait été suivie d’une immense onde de choc électromagnétique qui avait détruit toutes les installations.

Le commandant Kruger lisait son livre fétiche dans les soutes où il était enfermé avec ses hommes fidèles. Harris le regardait feuilleter sans relâche son exemplaire de la République de Platon.

Le soir venu, tout le monde cherchait le sommeil tellement la mer déchaînée grondait dehors.
Nommés médecins responsables, Bonaventure et Ella M’Vondo passait voir les passagers pour s’enquérir de leur santé et surtout de leur moral. Pour favoriser le sentiment de sécurité, ils avaient regroupé des couples dans les grandes salles avec les enfants et les adolescents. Ainsi, on comptait une dizaine de dortoirs de fortune à travers le navire.

La nuit les jumeaux rejoignaient Paula dans une des cabines désertes du bateau pour se consoler et jouir de moments intimes.

Catherine se joignait parfois à eux ou restait seule à lire son exemplaire à tirage limité du cinquième livre de la République. Depuis ces études de philosophie à Paris, ce livre n’avait cessé de la hanter. Son oncle l’avait initié à la lecture de Platon et lui en recommandait une lecture assidue. Depuis bien longtemps, elle ne vivait plus avec lui, néanmoins elle entretenait ce rituel.

Mikyo Jotsu retrouvait son mari dans la cabine qu’ils n’avaient pas quitté. Jigoro faisait l’amour à sa femme qui docilement acceptait ces étreintes chaque soir. C’était un homme petit mais énergique qui concevait l’acte sexuel plus comme un devoir conjugal qu’un moment d’échange de plaisir avec sa femme.

Après avoir couché tous les enfants, Kwun vint se délasser dans sa chambre mais, plus de douche ! L’eau était rationnée. Toute habillée, elle s’allongea sur son lit. Une légère angoisse étreignait son ventre et elle ne put longtemps la contenir. Comme elle ne trouvait pas le sommeil, elle se releva en quête d’un homme pour éteindre l’angoisse qu’elle éprouvait.

Elle entrouvrit la porte de la cabine de Jacques mais ce dernier n’était pas là ! La coréenne monta à la passerelle où elle le vit avec la belle rousse, Julie MacDowell, le timide, Marc Middle et le grand noir, Greg Blakman. Vladimir Foutwov dormait dans un coin. Pas question de compter sur lui. Tous se tournèrent vers elle.

- Ca va Kwun ? Tu as l’air fatigué, demanda Jacques qui posa les jumelles.
- Ouais... Je suis crevée mais le sommeil ne vient pas et j’ai peur.
- Vous voulez rester avec nous, proposa Julie qui portait les jumelles à ses yeux verts.
- Non. Je vous remercie mais il faut que je dorme pour m’occuper des enfants demain, répondit-elle en regardant Greg Blackman avec des yeux mouillés.
- Je dois retourner aux machines, commença le marin noir. Voulez-vous que je vous fasse visiter puis vous pourrez vous coucher ?

Jacques et Marc les regardèrent sortir.

- Voilà. Ce sont les machines. Là, vous voyez c’est la jauge du carburant et nous allons bientôt être à court.

La cale des machines était immense. Une odeur d’huile et de fuel s’en dégageait. Il était assez étonnant de remarquer que le bruit qui s’en émanait n’était qu’un ronronnement uniforme. Un petit bureau attenant à cette cale accueillait le mécanicien de quart.

- Et là c’est votre bureau ? s’écria Kwun en regardant la photo du calendrier Play Boy.

Greg Blackman fut un peu gêné et comme la coréenne feuilletait les différents mois, il déclara :
- vous savez ce que c’est....

La femme se retourna et ôta sa chemise en fixant l’afro-américain avec ses jolis yeux bridés.

- Oui. Je sais ce que c’est.

Rapidement elle laissa tomber son petit soutien-gorge sur le sol métallique pour offrir sa poitrine ronde. Instinctivement le marin les prit dans ses grosses mains et les malaxa avec une certaine joie naïve. Kwun continua à se déshabiller puis déboucla la ceinture de l’homme qui recula. Il observa les petites hanches de la coréenne et le pubis taillé en un rectangle vertical assez étroit.

- Je dois vous dire quelque chose mademoiselle, déclara-t-il avec un peu d’appréhension dans la voix.

Il ne continuait pas alors Kwun approcha.

- Et bien je ne sais pas comment vous dire... je vais vous montrer.

Il baissa son pantalon et son caleçon. Un énorme membre pas encore en érection jaillit. La petite asiatique poussa un cri en écarquillant les yeux. C’était un monstre long et très épais qui pendait entre les jambes velues du noir. Jamais la coréenne n’aurait pu imaginer tel engin. Penaud, Blakman attendait.

L’angoisse qui taraudait la jeune femme quelques instants auparavant avait fait place à un sentiment trouble mêlé d’excitation et perplexité.

Kwun reprit ses esprits, enleva la chemise du marin noir et ils se retrouvèrent tous les deux nus dans la salle des machines qui ronronnaient. Ils s’enlacèrent doucement. Le corps de la coréenne était tout petit entre les bras puissants de Greg qui caressait son dos et ses frêles épaules saillantes. Kwun ne pu s’empêcher de prendre rapidement le monstre reptilien avec ses deux mains pour le soupeser. Il était lourd. Il était chaud. Elle se mit de côté pour laisser l’énorme verge se dresser. Il fallait bien ses deux mains pour l’entourer entièrement. Des veines gonflées longeaient le membre qui enflait.

Depuis toujours, Blackman rencontrait des difficultés pour trouver des femmes qui voulaient bien de lui. Certaines fuyaient en courant lorsque apparaissait le monstre. D’autres, plus polies, minaudaient avant de prendre congé prétextant de quelconques variétés de mal de tête. Bref, rares étaient les femmes assez courageuses pour prendre du plaisir avec cet homme qui, du reste, était élancé, d’allure sportive, avec les traits du visage engageant.

Le gourdin était en érection. Une barre horizontale dressée au niveau du ventre plat de l’asiatique.

- Et bien ! s’exclama Kwun pleine d’une admiration teintée de gêne.
- Vous voulez quand même de moi ? sourit gentiment le black.

Il était debout au milieu de la salle des machines bourdonnante. Elle posa une main sur le monstre dressé, l’autre sur la belle poitrine velue et susurra à l’oreille :

- oui je veux bien essayer.

La petite coréenne enjamba la verge noire et la pressa entre ses cuisses. Ses jolies fesses plaquaient le ventre du marin qui saisit les seins ronds comme des pommes bien mûres. D’un lent mouvement des hanches, d’avant en arrière, Kwun longeait le gourdin qui frottait sa petite chatte et comme elle mouillait déjà, la verge noire devint luisante. Elle savourait avec délectation la raideur du cylindre entre ses cuisses serrées. Sur la pointe des pieds – le machiniste était assez grand et elle assez petite – Kwun gardait l’équilibre.

Greg Blackman admirait le petit corps qui se frottait sur son engin. Il sentait la pression exercée par les cuisses de la jeune femme et le ruissellement qui le trempait. Cet homme de 45 ans, aux cheveux rasés, éprouva de suite une douce affection pour cette petite. Bien sûr il était excité comme tout homme qui se respecte devant les avances non dissimulées d’une femme, toutefois la gentillesse qui se dégageait de Kwun le touchait.

Dur comme du marbre, le reptile était si long que l’asiatique pouvait en admirer la tête toute veineuse qui dépassait devant. De ses deux mains, elle la pressa. Kwun sourit ; elle se voyait comme une sorcière sur son balai.

La pression des cuisses, les mouvements amples et réguliers et les doigts qui jouaient avec son gland bouleversèrent le marin dont les mains avides parcouraient le corps délicat de la jeune femme.

- Arrêtez. Ca vient, murmura-t-il en posant son visage sur les cheveux courts de Kwun.
- Vous voulez que j’arrête ? demanda-t-elle un peu déçu car son plaisir montait.
- Enfin... j’avais espéré... bredouilla-t-il.

Elle se dégagea de la verge noire toute gonflée et se tourna vers le mécanicien dont la sueur mettait en évidence sa belle musculature.

- On va essayer, dit-elle gentiment en caressant le visage.

D’un geste ample, Greg balaya le bureau de toutes les fournitures. Kwun s’y allongea avec un peu d’inquiétude en regardant miss juillet sur le mur.

- J’ai ce qu’il faut, déclara le marin en sortant d’un tiroir, un flacon de vaseline avec lequel il enduit consciencieusement sa verge qui n’avait guère dégonflé.

Puis, avec quatre doigts, il étala le liquide visqueux sur la fente de l’asiatique qui l’observait en souriant. Elle était vraiment sexy et magnifique et Greg Blackman était fasciné par la beauté exotique de son visage.

Le gland toucha la chair et la pression commença. La jeune coréenne se sentit écartée, envahie, percée. L’ampleur de la verge prenait réellement sa mesure à l’entrée de son vagin. Le gland n’était pas encore entièrement entré que la jeune femme s’écriait qu’il fallait qu’il s’arrête. Mais Blackman l’a rassura tout en continuant sa lente progression et le gland fut avalé. Kwun se cambra et tomba sur le bureau, les bras en croix, sentant toujours le membre énorme l’emplir. Une sensation d’étouffement la saisit. Pas une douleur aiguë, un sentiment d’oppression. Ca s’écartait toujours.

Le marin commença un mouvement de va et vient très lent en allant toujours plus loin à chaque avancée. Il sentait sa verge serrée dans l’étroit fourreau de la jeune asiatique qui regardait le plafond blanchâtre la bouche ouverte.

Des cris aigus sortirent de la gorge de Kwun. Tout son corps se crispa. Ses jambes, largement écartées, giflèrent les flancs musculeux de son amant qui poursuivait son labeur. Elle hurlait qu’elle jouissait, qu’elle allait mourir, que c’était trop bon. Puis, au bout de quelques minutes, elle pleura se plaignant de douleurs. Greg sortit.

- Vous avez mal ?
- Oui, pleurait-elle. J’ai joui comme une folle mais je n’en peux plus. Vous êtes trop gros.

Ils demeurèrent ainsi sans bouger un moment. Kwun dit qu’elle était désolée mais elle était trop petite pour lui. Gentiment, Greg la caressa. Ce petit corps allongé sur son bureau l’attendrissait. Les petites mèches de cheveux noirs de la coréenne étaient collés sur son visage en nage.

Blackman lécha doucement le membre béant. Il se releva et se masturba. Redressée, Kwun lui dit qu’elle allait le boire s’il le voulait bien. Elle approcha son petit minois du gourdin qui palpitait. Quelques coups de langue sur le prépuce et le sperme épais et chaud jaillit. La bouche s’ouvrit et le liquide abondant s’y déversa par jets successifs. Pas question de prendre le membre herculéen dans la bouche ; juste l’extrémité du gland. Le noir était aux anges.

Le lendemain après-midi, la tempête frappait toujours le Blue Royal qui filait tout droit malgré une houle gigantesque. La pluie battait le navire et le vent, assourdissant, giflait les hublots. Greg Blackman remonta des machines.

- Dans quelques minutes, lança-t-il en arrivant à la passerelle.
- Merci Greg, répondit Julie déconcertée. Allez-vous mettre à l’abri.
- Non. Je reste avec vous, décida le marin en s’approchant de la grande baie vitrée.

Jacques et Marc étaient là, eux aussi. Tous les passagers avaient été réunis dans les grandes salles. On avait apporté autant de matelas et de couvertures qu’on avait pu. Catherine et Paula en avaient distribué à tous les rescapés aidées par Kriss et Kellian. Kwun et Mikyo avaient réuni les enfants. Julie MacDowel avait prévenu tout le monde : une fois en panne de carburant, le navire serait chahuté et le naufrage était à prévoir. Tous restaient calme malgré leur funeste destin. Résignés. Les prisonniers, en fond de cale étaient remontés avec les autres. Le commandant Kruger était muet, recroquevillé, serrant son livre entre ses mains tremblantes.

Les moteurs stoppèrent. Le navire ralentit pendant que les éléments redoublaient de colère. De violentes bourrasques claquaient les flans du bateau. La pluie incessante depuis l’Explosion (voir chap 1), frappait sans relâche les vitres de la pauvre embarcation qui tanguait dangereusement.

Au fur et à mesure que le temps passait, les passagers étaient de plus en plus secoués. Personne ne criait pourtant, comme s’ils attendaient le dénouement avec une acceptation totale. Combien de minutes s’écoulèrent ? Des secondes vertigineuses pour Julie, Greg, Jacques et Marc accrochés à la passerelle, mais aussi pour Kwun, Catherine, Paula, les jumeaux et le vieux russe Vladimir blottis dans des couvertures, des secondes abyssales pour les M’Vondo, les Jotsu et les norvégiens Zeigtedl barricadés dans leur cabine, un temps incommensurable pour tous les passagers.

Soudain un craquement énorme et terrifiant résonna comme la plainte d’un monstre. Le navire hurlait. Un choc immense se propagea. Alors que la furie des éléments malmenait le bateau perdu sur l’océan démonté, l’embarcation percuta de plein fouet des puissants rochers.

Tout le monde fut projeté comme des pantins à travers le navire. Des hurlements s’élevèrent.
Jacques se releva. Les vitres de la baie avaient explosé. Et il la vit ! Julie se redressa également et se cramponna à Jacques. Ils virent l’île. Mais une immense vague déferla sur le Blue Royal.

(La suite dans la Partie 2 : « Le royaume », certainement précédé par un prologue « La prophétie »)
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