L'inconnu 2

Six mois avaient passés depuis que la femme avait eu cette aventure dans le bois avec le bel inconnu et tentait de mettre cette expérience derrière elle. Elle réalisait cependant que c’était plus facile à dire qu’à faire. Entre elle et l’homme de sa vie c’était toujours l’amour fou, mais souvent lorsque ce dernier était en voyage d’affaire elle ne pouvait s’empêcher de se masturber en pensant au bel inconnu qui l’avait envoyée au septième ciel par ce bel après-midi d’hiver.
Puis un jour, ce qui devait arriver arriva.

C’était une journée pluvieuse comme elle les détestait lorsque son homme était en voyage et qu’elle était seule à la maison. Elle décida donc qu’elle irait passer la journée dans les boutiques question de passer le temps. Elle se leva et se dirigea vers sa chambre. Lentement elle retira sa chemise de nuit dévoilant un corps nu plein de chaleur qui ne serait satisfait qu’au retour de son mari. Et pour cela elle devait attendre un autre deux semaines. Machinalement, elle choisit une petite brassière noire avec la culotte qui formait l’ensemble.

Elle ne put s’empêcher de penser comment ce sous vêtement faisaient craquer son homme. Elle passa ensuite une mini-jupe et une blouse blanche pratiquement transparente. Elle replaça sa chevelure et retourna à la cuisine. Vraiment malgré ses 40 ans passés Elle faisait toujours tourner les têtes. Elle sortit de la maison embarqua dans son automobile et décolla en direction de la ville.

Elle entrait et sortait des boutiques, Elle entra dans sa boutique préférée et aperçue une belle petite robe très sexe qu’elle regardait sous tous ces plies. Elle sursauta lorsque quelqu’un lui souffla à l’oreille, « vous seriez très excitante dans cette robe madame ». Elle se retourna vivement et crue que ses jambes allaient l’abandonner.

C’était le bel inconnu qui était la devant elle. Gênée, elle baissa les yeux. Ils restèrent silencieux pendant un moment puis l’inconnu prit la parole. « Ma femme est partit dans une convention pour la semaine et comme je suis en vacances j’ai décidé de passer la journée en ville mais je ne pensais jamais faire ta rencontre. » Puis il lui demanda de ses nouvelles. Elle lui expliqua qu’elle était encore veuve du travail de son mari et qu’elle avait choisi de jeter son désespoir sur le magasinage pour la journée. Ils continuèrent à parler de choses et d’autres.

Elle ne l’entendait plus, tout simplement par ce qu’elle ne faisait que penser à son corps musclée sur le sien, ou sa langue chaude et rugueuse contre sa chatte trempée. Puis il l’invita à prendre un café au resto du mail. Hésitante elle accepta. Assi au resto, ils demeurèrent un moment silencieux puis il prit la main de la femme et lui dit. « Je n’ai pas oublié cet après-midi dans la cabane et le merveilleux moment que nous avons passé »

Tout en lui flattant doucement la main il continua. « Si tu veux tu vas venir avec moi je connais un endroit qui va te faire vivre encore plus d’ivresse que cette fois dans la cabane. » Tu laisses ton auto ici et je te ramènerai plus tard. Elle refusa catégoriquement. Mais la main tremblante qu’il tenait lui indiquait qu’il arriverait à ses fins. D’un geste érotique il approcha la main de ses lèvres et y déposa un doux baiser. Elle était vaincue et il le savait. Le regard sombre remplit de gêne elle lui dit à voix basse, « allons-y ».

C’était le silence complet durant le trajet qui dura une bonne heure. Puis finalement ils s’arrêtèrent devant une luxueuse auberge. Il débarqua et alla faire les arrangements nécessaires avant de revenir. Il ouvrit la portière et tendit sa main vers la femme. Elle la saisie et il l’aida à sortir de l’auto. Ils marchèrent lentement vers la suite qu’il avait louée.

J'ai peur, dit-elle. Effectivement il la sentait trembler un peu. De quoi lui demanda-t-il? Jamais jusqu'à aujourd'hui un homme ne m'a emmené dans un hôtel! Tu n’en as plus envie? Oh oui plus que jamais répliqua t’elle en se serrant un peu plus contre lui.
Une fois rentré dans l'ascenseur il la serra contre lui, elle blottit sa tête contre son épaule. Il eut l'impression qu'elle allait se mettre à pleurer. Ça va ? Lui chuchotait-il à l'oreille. Oui, ça va aller, et elle vint poser un baiser sur ses lèvres. Il sentait qu'elle se détendait.

C’est le bel inconnu qui entra le premier dans la chambre. Comme un robot la femme le suivit. Elle sursauta quand la porte se referma derrière eux. Elle savait qu’elle ne pouvait plus reculer. Mais sincèrement le voulait –elle?

La porte fermée, c’était l'obscurité totale dans la chambre. L’inconnu alluma les lumières le spectacle qui s’ouvra devant eux était à en couper le souffle. C'était une des pièces les plus érotiques qu’elle n’avait vue Tout autour des murs il y avait des miroirs, commençant du plafond jusqu'au milieu du mur. Il y avait de nombreuses chandelles. Plus loin dans la pièce, se trouvait le lit de grandeur King avec les draps de satin blancs. La vue de ce spectacle érotique fit basculer toute hésitation qu’elle pouvait encore avoir.
Tout ce qu’elle souhaitait maintenant était de se retrouver dans les bras de ce bel inconnu qui l’avait tant fait jouir la dernière fois. Elle se rappela cette journée d’hiver alors qu’il l’avait si tendrement prise dans sa cabane en plein bois.

L’homme avait commencé à se déshabiller, il avait retiré son gilet. Torse nu, elle se souvint de la puissance de l’homme. Il avait un corps à faire mourir une femme de désirs.
Poitrine et bras musclés on pouvait voir qu’il prenait un soin précieux de ce corps parfait. Elle leva la tête et regarda son visage. Ses cheveux blonds en broussaille faisaient ressortir le bleu de ses yeux. Un rapide souvenir de l’habileté de sa bouche la fit frémir. Lentement, l’homme défit sa ceinture et retira son pantalon. Elle remarqua aussitôt l’érection de l’homme, à nouveau l’excitation monta en elle et devenait incontrôlable. Elle le voulait, elle n’en pouvait plus, elle devait l’avoir.

Lentement la femme déboutonna sa blouse. Elle savait que le bel inconnu la dévorait des yeux. Elle retira sa blouse découvrant son soutien-gorge noir.
Pour la première fois elle dirigea son regard vers l’inconnu. Il y avait quelque chose de magique dans le regard de l’homme. Ses mains descendirent vers sa jupe qu’elle défit et laissa tomber au sol, découvrant ainsi la culotte qui matchait la brassière. Debout presque nue devant l’étranger, l’engin de ce dernier se durcissait de plus en plus.

Ses mains saisirent les agrafes de la brassière et les défirent. Le soutien-gorge alla rejoindre les autres vêtements sur le plancher laissant apparaître une poitrine menue mais ferme ornée de petits mamelons d’un rose pale.
Une fois de plus elle regarda en direction de l’homme. Lentement sans que son regard ne quitte le sien, elle fit tomber sa culotte dévoilant ainsi une chatte parfaitement rasée. Tout en se contemplant, ils marchèrent l’un vers l'autre. L’inconnu prit l’initiative, saisissant doucement le visage de la femme entre ses mains puissante et commença à l’embrasser tendrement sur le front. Finalement leurs lèvres se sont rencontrées. Sans résistance elle lui offrit sa bouche appétissantes.

Leur échange était passionnée leur langues se battaient pour conquérir celle de l’autre c’était un abandon complet. Il désirait ce moment depuis la fois ou elle était sortie de la cabane et maintenant il allait la posséder. Il savait que la femme lui permettrait de tout faire, elle était ivre de passion et folle de lui.
Le baisé s’arrêta, ils se sont regardés. Chaque fois qu'ils se regardaient, leur désire augmentait fortement. Puis la femme sauta au coup de son amant en enroulant ses jambes fines autour de la taille de l’homme avant de recommencer à l’embrasser. Sans le moindre effort l’inconnu transporta la femme jusqu’au lit.

Il la déposa doucement sur le lit et se pencha sur elle. La femme ferma les yeux. Il commença à sucer les mamelons doux et chauds. Sans s’arrêter il se relayait du droit au gauche. Les mamelons de la femme avaient tellement durcit d’excitation sous les caresses habiles de l’homme qu’ils la faisaient presque souffrir.
Puis en lui couvrant le ventre de baisés chauds, il descendit vers la chatte brûlante de son amante. Il commença à lécher le sexe enflammé de la femme. Il devint excité Lorsque cette dernière commença à gémir. Il accentua la cadence et avec une extrême douceur enfonça sa langue dans cette chatte trempée offerte en festin. Elle criait maintenant son plaisir. « Ralentit s’il te plaît ralenti ». Cette demande ne fit qu’exciter l’homme d’avantage il savait qu’elle ne tiendrait pas le coup longtemps.

Doucement sans ne lui faire aucun mal, il commença à mordiller le clitoris de la femme. Elle hurla de plaisir et parti dans un orgasme qui ne voulait s’arrêter. Sans même lui laisser le temps de récupérer, il la tourna tendrement sur le ventre et approcha à l’entrée de cette chatte douloureuse son sexe prêt à exploser. Et commença à la pénétrer habilement.
AHHHhhhhhhh gémissait la femme.

Il commença un mouvement de va et vient lent. Chacun de ses coups étaient précis, en un rien de temps la femme se retrouva à nouveau au seuil de l’orgasme. Calculant bien ses gestes il commença à accélérer la vitesse de ses mouvements. Elle gémissait de plus belle. A son tour il commença à gémir. Les deux étaient sur le point de jouir.

Dans un grognement elle l’entendit s’écrier, « je viens je viens » et elle sentit son membre gicler en elle la semence qui ne semblait vouloir s’arrêter. Excitée d’avantage, la femme plaça ses jambes autour des fesses de l’homme et malgré sa petite taille le fit basculé sur le dos. Elle était maintenant empalée sur son membre. Leurs yeux se sont rencontrés. Il lui demanda de l’embrasser. Elle ne se fit pas prier et laissa tomber son corps sur celui de l’homme. Ses seins doux écrasés contre sa poitrine, et leur bassin pressé l’un contre l’autre. Elle posa ses lèvres sur les siennes. La langue de l’homme força l’entrée de la bouche offerte à lui. Ardemment, sa langue retourna le baiser qui lui était offert. Elle sentait son corps l’abandonner. Elle commençait à gémir comme elle n'avait jamais fait auparavant. Finalement après cinq à six mouvements intenses du bassin sur l’engin de l’homme elle s’effondra sur lui dans un orgasme si intense qu’il lui faisait presque mal.
Tous les deux étaient épuisés. Ils restèrent ainsi un bon moment, elle couchée sur lui. Dehors la nuit avait tombée mais pour elle le temps n’avait plus d’importance.
Lentement ils sombrèrent dans un profond sommeil. Elle fut éveillée plus tard par des mains musclées qui flattait son corps chaud. Le jour était levé. Depuis 40 ans c’était la première fois qu’elle passait une nuit dans les bras d’un autre.

Elle regarda l’homme avec passion avant de commencer à descendre lentement vers son membre déjà rigide. Elle couvrait de baisers doux l’engin de l’homme, avant de l’introduit dans sa bouche. L’homme ferma les yeux. Habilement elle le masturbait tout en le suçant doucement.
Il n’y avait aucun doute, en fellation, elle savait s’y faire. Elle lâcha le membre de l’homme pour descendre vers les boules qu’elle suçait avidement avant de retourner au sexe qu’elle engloutit d’un coup. L’homme gémissait maintenant de plaisir.

Elle savait qu’il allait bientôt venir à nouveau. Soudainement l’homme arqua les reins vers la bouche de la femme enfonçant son engin profondément dans sa gorge. Elle enroula la langue autour du ‘’shaft’’ de l’homme et appliqua une pression énorme. Elle sentit le membre de l’homme se raidir dans sa bouche et compris qu’il ne résisterait plus longtemps. Au même instant, des coups saccagés du sexe de l’homme lui envoya une ondée de sperme au fond de la gorge. Elle avala le tout comme s’il n’y aurait pas de lendemain. Se glissant jusqu’à son visage elle lui fit goûter par un baisé passionné son propre sperme, avant de redescendre compléter le nettoyage de l’engin de l’inconnu.

Lorsque l’homme ouvra les yeux et regarda dans l’un des miroirs au mur le reflet de la femme qui léchait son membre. Il remarqua son beau cul et savait ce qu'il avait à faire ensuite.
« Vas-y ma belle lubrifie moi bien. » « Je veux que tu m’offre ton cul. »
Nerveuse la femme fit ce que l’inconnu lui demanda et utilisa sa salive pour bien lubrifier son membre. Elle n’était plus la même, après deux mois de retenue par ce que son homme était en voyage et malgré la douleur qu’elle anticipait, elle était prêt à se plier aux demandes de l’homme.
Tendrement il la retourna puis s’assura que son engin était suffisamment lubrifié. Elle savait ce qui était sur le point d'arriver, elle attrapa la tête du lit fermement et ajusta sa position afin de faciliter son entré. L’inconnu appuya la tête de son pénis contre l’anus de son amante avant de commencer à y appliquer une pression.
«Tu me fais mal.» «Tu me fais vraiment mal lui dit-elle.»

Il se retira et avec sa propre salive lubrifia l’anus de la femme avant de reprendre position derrière elle. Lorsque son amant força l’entrée de son cul une douleur se fit sentir au passage du gland du pénis puis la douleur se transforma en plaisir. Elle était une vierge anale et l’inconnu venait habilement de la débauchée. Jamais elle n’aurait crue retirer un tel plaisir de cette pratique.
Sans problème maintenant, il avait adopté un mouvement de va et vient dans le cul de la femme. Elle sentit le membre de l’homme se durcir en elle en même temps il passa une main à l’avant de femme et la glissa jusqu’à la chatte trempée saisissant son clitoris entre le pouce et l’index produisant une pression insupportable.
Lorsqu’il commença à cracher son sperme à l’intérieur de son cul, elle partit dans un orgasme si puissant qu’elle crue qu’elle allait s’évanouir. Ils s’écrasèrent tous les deux sur le lit haletant épuisé à bout de souffle. Ils venaient de vivre une nuit des plus torrides.

Ils restèrent un long moment sans bouger. Il la tenait toujours serré dans ses bras. Les amants ne semblaient vouloir se séparer. Puis sans rien dire, elle se leva pour aller à la douche. Quelques instants plus tard, Il entra dans la chambre de bain Elle était belle ainsi nue sous la douche, il la trouvait encore plus désirable. Il lui sourit et elle lui rendit. Il entra dans la douche avec elle et emplit ses mains de savon avant de l’inviter à se retourner. Il commença par frotter ses épaules avant de descendre dans son dos, sur ses reins pour finalement atteindre ses fesses. Lorsqu’une de ses mains entra en contact avec sa chatte douloureuse elle sursauta. Elle se retourna et lui rappela qu’ils devaient partir avant de lui planter un baiser passionnant sur la bouche. Pour une dernière fois il put admirer le corps sensuel de la femme. Il quitta la douche et elle compléta sa toilette. Lorsqu’elle revint de la salle de bain il s’était rhabiller et l’attendait pour la ramener à son auto. Ils n’échangèrent aucun mot durant le trajet du retour.

Lorsqu’ils arrivèrent à la voiture de la femme elle se retourna pour l’embrasser rapidement puis sans ne rien dire sortit et marcha d’un pas rapide vers son auto. Ils partirent dans des directions opposées.
Allaient-ils se revoir?

« C’est à vous chers lecteurs de décider. Laissez-moi savoir si vous voulez une suite. »