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L'Inconnue

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Lue : 17631 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 10/06/2011

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Chapitre 1 : MASTURBATIONS

Je me branlais sans retenue. Nu dans mon fauteuil, j'astiquais ma queue raide en songeant à Alexandra, à sa bouche chaude, à la fellation qu'elle m'avait fait la veille au soir. Y repenser m'avait fait bander aussitôt. Depuis, je me masturbais, fermant les yeux pour mieux revoir sa tête entre mes jambes en train de me sucer avec appétit. J'étais coupé du monde. Je ne sentais que mes couilles se balancer avec frénésie.

J'ouvris soudain les yeux pour admirer ma queue dont la tenue m'impressionnait toujours. Mais mon regard fut attiré par un mouvement derrière une fenêtre de l'immeuble d'en face. Une fille se tenait là, droite, et me regardait avec attention. Je lâchais de surprise ma queue mais la fille resta fixe à me mâter nu, sans aucune gêne apparente de m'avoir surpris en pleine branlette. J'ignorais depuis combien de temps elle était là. Ma queue restait dure, sans doute excitée par cette fille blonde au doux et impudique regard. Or, si sa présence maintenait mon érection, elle bloquait néanmoins quelque peu ma masturbation.

C'est alors que je vis onduler doucement son pull sous lequel elle venait de glisser sa main droite. Je suivais sa main aller d'un sein à l'autre, devinais les caresses et pressions qu'elle attribuait à chacun à tour de rôle, lorsqu'elle leva son pull, dévoilant deux gros seins fermes qu'aucun soutien gorge ne maintenait. Elle leva les bras et ôta doucement son pull. Je n'avais plus du tout envie de fermer les yeux que je gardais fixés sur les deux tétons qui pointaient au bout des admirables nichons. Elle entreprit alors de défaire sa ceinture, puis retira gracieusement chaque bouton de son jean moulant, sans jamais quitter mon regard. Je suivais avec attention son sensuel déhanchement, découvrant peu à peu ses jambes fines et blanches auxquelles contrastait la culotte noire en dentelles qui seule la vêtait désormais. Plus il m'était dévoilé, plus son corps me paraissait sublime et désirable.

Elle fit enfin glisser sa culotte le long de ses cuisses puis, nue, repris sa position verticale tout en maintenant ses yeux au fond des miens. Je pus voir alors ébahi ses jambes s'écarter doucement, dévoilant sans pudeur sa chatte trempée d'excitation et les traces de mouille descendant le long de ses cuisses. Comment pouvait-elle oser ? Mais ma nudité et mon érection me revinrent à l'esprit et je me surpris à sourire tout en continuant de la regarder. Elle me rendit un sourire complice qui me fit admirer la douceur de ses traits, le charme de son visage, détails que je n'avais guère eu le temps d'approfondir.

Je retournais néanmoins à son corps pour tomber sur sa main gauche qui malaxait ses seins, tenant le gauche dans sa paume et le droit du bout de ses doigts. Elle avait dans le même temps glissé son autre main entre ses cuisses, faisant passer son majeur entre ses lèvres charnues pour presser son clitoris en feu, le caressant doucement. Sa main gauche se porta à sa bouche. Elle en suça l'index et le majeur avant de les mener à sa chatte et de se les enfoncer bien profondément. Je n'arrivais à y croire, c'était un spectacle fabuleux. De délice, j'en avais ressaisis inconsciemment ma queue, la branlant doucement pour bien dégager mon gland à chaque mouvement.

Elle se doigtait juste devant sa fenêtre, probablement visible de tout mon immeuble, si ce n'est de la rue. Son appartement offrait une vue plongeante sur le mien, lui permettant de m'admirer dans mon fauteuil, le bite entre les mains. Je ne pouvais au contraire la voir qu'à proximité de sa fenêtre, fait peu dérangeant vu le peu de pudeur dont elle faisait preuve. Les jambes largement écartées, elle continuait de s'astiquer la chatte. Elle se mordait désormais les lèvres de plaisir, mais ne fermait pas les yeux qu'elle maintenait fixés sur moi et ma grosse queue. La fille ondulait désormais, m'offrant une vue imprenable sur sa chatte ouverte. Je me sentais flatté d'être à l'origine de ses caresses et son regard persistant semblait démontrer que mon spectacle lui plaisait. Il faut bien reconnaître en retour qu'elle seule m'excitait, que la douce bouche attentionnée d'Alexandra ma paraissait désormais bien lointaine.

Le spectacle se poursuivait, odieusement bon. Je branlais ma queue alternant de main et de rythme fréquemment. Je m'imaginais là haut entre les jambes de la fille à lui bouffer le con, tout en lui massant ses gros seins fermes aux tétons excités. Je bandais de plus en plus dur, saisissais mes couilles et tirais pour dégager mon gland, les relâchais pour faire tomber ma queue sur mon ventre en un bruit sec. Pourquoi n'était-elle pas là, entre mes jambes, pour gober mon gland, glisser ma queue entre sa langue et ses joues pour la pétrir savoureusement ?

Pourtant, me masturber en face d'une fille faisant de même était une expérience nouvelle pour moi, et cela m'excitait énormément. Ma queue prenait des proportions rarement atteintes lorsque je baisais simplement une fille. Certes, une bonne pipe me durcissait autant, mais je ressentais là autre chose; le plaisir de la frustration de ne pouvoir que mâter une fille aussi chaude et surtout aussi belle, sans possibilité de la caresser, de la prendre, voire de la sodomiser.

Elle aussi paraissait excitée. Elle devait crier mais je ne pouvais l'entendre. Ces deux doigts allaient et venaient dans sa chatte, son autre main massait alternativement son clitoris tout rouge et ses seins. Elle l'amenait parfois aussi dans sa chatte, écartant les parois de son con au maximum pour inonder sa main de mouille, puis remontait la frotter entre ses lèvres, se les enfonçant délicatement dans la bouche tout en léchant avec attention la mouille offerte.

Je la voyais jouir, enfin fermer les yeux pour mieux appréhender ces frissons qui parcouraient son corps surexcité. Je me régalais en l'admirant onduler, se lâcher complètement, me branlant comme un dingue pour la rejoindre dans son extase. J'allais le faire quand je la vis soudain se crisper non pas de jouissance mais de surprise. Elle s'immobilisa, me jeta un dernier regard intense, puis s'éclipsa subitement. J'attendais quelques secondes, la queue entre les mains, mais elle ne revint pas. Je décidais de me terminer seul, fermant les yeux pour revoir cette fois son corps sublime se masturber pour moi, les ouvrant parfois en espérant la revoir, en vain. Je jouis sauvagement peu après...
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Histoire de alex83

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Commentaires du récit : L'Inconnue

Le 03/09/2014 - 15:21 par baiserjouir
dommage qu'il n'y eut pas de suite et corps à corps.

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