L'infidéle 4

Avec l'accord de Sandrine, Olga prépare le petit extra. Elle dit en souriant :

- Il est grand temps de s'occuper de son petit trou messieurs, il a l'air bien gourmand le bougre, allez, enculez-la à chacun votre tour, je veux l'entendre gueuler cette salope !

Sandrine subit les trois pénétrations, c'est inouï, elle a joui à chaque fois. Satisfaite du résultat, Olga déclare :

-Il parait que tu aimes la double pénétration, tu va l'avoir et même bien plus !

La position adéquate est prise, une première queue s'enfonce dans le rectum de Sandrine sans qu'elle rechigne. La seconde et plus difficile à faire, entrer dans le conduit élastique deja occupé, mais c'est chose faite. Sandrine grimace un peu, mais rapidement les engins se mettent en action. Ils agissent comme deux pistons. Les longs râles rauques que pousse la sodomisée ressemblent étrangement à des plaintes d'agonie. Le pilonnage sévère fait jouir abondamment Sandrine qui grogne fortement.

Les deux acteurs lui remplissent le rectum de jus gluant, avant qu'Olga les chasse. Elle plaque sa bouche sur le rectum ouvert et aspire tout se qu'elle peut, sa langue fouille le conduit à la moindre recherche de goutte de sperme. Elle savoure le jus qu'elle affectionne avec gourmandise. Une fois gavée, elle regarde Ludovic et lui dit :

-Il est temps de passer à la phase finale, pour la double vaginale, tu es prioritaire mon salaud, mais avant, je vais bien la préparer ta salope !


Elle demande à Sandrine de s'étendre sur le sol, jambes bien écartées. Elle prend une pompe vaginale dans la valise et la place sur la chatte et pompe longuement. La chatte gonfle affreusement, elle est horrible à voir. Sa couleur tire sur le violet. Olga s'empare d'un vibro et l'appuie fortement sur le clito quelques secondes, vibration maximum. La boule de chair devient énorme, plus gros qu'une noisette allongée. Sandrine gémit comme une bête, enfin Olga jette le vibro et dit à un homme :

-toi, allonge-toi, Sandrine, toi, empale-toi sur sa queue en lui tournant le dos :

La position est prise, vraiment affaiblit, Sandrine a des difficultés à s'empaler, les hommes doivent l'aider à prendre place sur sa monture. Ludovic se place entre les cuisses de Sandrine et lui enfonce sa queue jusqu'aux couilles dans le ventre. Olga ordonne :

-Allez-y très lentement, attendez mon signal !

Progressivement, les queues voyagent dans la gaine distendue. Olga s'accroche aux seins de Sandrine, les masse, les pétrit puissamment, pour les rendre plus fermes. Elle agit aussi sur les mamelons pour les faire durcir et gonflés au maximum. Elle place sur les tétons des pinces spéciales et les serre le plus possible. Sandrine fait une faible moue, elle n'a même plus la force de grimacer. Elle hurle :

-Allez-y à fond les mecs, bourrez-la à fond !

Les chevaux sont lâchés, les queues voyagent avec une vitesse affolante dans le ventre de Sandrine, qui geint faiblement sous les assauts redoutables de ses deux amants. Soudain Olga arrache brutalement les pinces, un cri sort de la gorge de Sandrine, elle grimace de douleur. Elle saisit rapidement le martinet et frappe les seins et le ventre de Sandrine en criant :

-Jouit, jouit, salope pour la dernière fois, jouit, jouit, donne tout ce qui te reste de jus dans le corps !
Les coups plus les bites qui lui défoncent la chatte, Sandrine se cambre comme un pont sous la tempête et explose comme une malade, sa jouissance est terrible. Les hommes lui déversent dans le ventre un flot de semence épais. À bout de force, elle se laisse retomber sur le torse de son amant en gémissant comme une bête malade. Olga repousse Ludovic et arrache la queue qui est encore plantée dans le ventre de Sandrine. Elle plaque sa bouche vorace sur le cratère qui continu de cracher sa lave brulante. Elle avale tout se qu'elle peut avec voracité. Enfin, elle se redresse et saisit dans la valise un baume apaisant qu'elle étend sur les marques rouges, quelques-unes sont sanguinolentes et douloureuses. Olga dit en souriant :

-Dans une heure ma chérie, tu ne ressentiras plus rien !

Sandrine réussit à dire :

-Avec ce que j'ai subi, je n'arriverai plus à marcher pendant trois jours au moins !

Tous éclatent de rire. Olga ajoute :

-Dommage que je n'aie pas pu amener Brutus avec moi !

Sandrine fronce les sourcils et demande, étonnée :

-C'est qui ce Brutus ?

-C'est mon chien, un labrador, c'est amant, merveilleux, il te donne plus de plaisir qu'un homme, il est infatigable et très courageux, bon tant pis !

Après une douche réparatrice, c'est la séparation. Sandrine et son mari rejoignent leur lit et récupèrent de leurs efforts violents.