L'infidèle 5

Sandrine et Ludovic repartent du bon pied. Comme d'habitude, elle rend visite le samedi à sa maman, elle ne se rendre plus au club se faire défoncer, elle est devenue sage. Les deux coulent des jours heureux. Le soir, sur le canapé, ils regardent la télé, blottis l'un contre l'autre. Ludovic regarde sa femme en souriant, il lui dit tendrement :

-La proposition d'Olga, ne te tente pas ?

Elle fait la moue et répond :

-Quelle proposition mon chéri ?

Ludovic répond un peu gêné :

-Hum eh bien Brutus le chien !

Elle réplique :

-j'avoue que je l'ai oublié celui-la, tu me vois me faire prendre par un animal, ce n'est pas sérieux mon chéri !

Ludovic répond en souriant :

-Rien que l'idée me fait bander !

Pour s'en assurer, Sandrine pose sa main sur la braguette de son mari, en effet une grosse bosse déforme le pantalon. Elle le regarde et lui sourit et lui dit :

-Eh bien mon chéri, tu as l'imagination fertile !

Elle ouvre la braguette et en sort la verge tendue, elle la décalotte et gobe le gland. Elle le suce avec amour, lorsque ce que son mari gémit, elle cesse de sucer. Elle retrousse sa jupe, écarte sa culotte, et monte rapidement à califourchon sur les genoux de son mari. Elle s'empale brusquement sur sa gaule raide et s'agite comme une forcenée. Le bassin de Ludovic suit le rythme que Sandrine donne, les deux amants gémissent en s'agitant de plus en plus vite. Sandrine pousse un long râle, et jouit en même temps que son mari fougueux. Elle se colle contre lui et lui dit :

-Je veux bien essayer avec Brutus mon chéri, je veux te faire plaisir !

Ludovic l'embrasse longuement. Une fois au lit, peut-être pour la remercier, il la baise et l'encule une grande partie de la nuit. Les jouissances qu'ils ont sont intenses. Le lendemain matin, Sandrine est deja levée, elle s'affaire à la vaisselle de la veille, elle porte encore sa nuisette. Ludovic descend en s'étirant, il est nu.
Il regarde les courbes du fessier de sa femme, il s'approche, les caresse. Passe ses mains sous le tissu transparent. Une main passe sous les fesses et s'attaque à la chatte. Sandrine pousse de nombreux soupirs, sa chatte transpire rapidement. La queue de Ludovic se dresse comme par enchantement, il relève la nuisette Sandrine se cambre légèrement, le bougre lui plante sa queue dans la chatte dégoulinante de jus. Le pilonnage est violent, les coups de reins font couiner Sandrine de plaisir. La tension monte de plus en plus dans les deux corps excités. Ludovic envoie plusieurs décharges dans le ventre de sa femme qui le supplie :


-Encore mon chéri cela vient encore, encore !

Le bougre accélère, il fait grimper sa femme aux rideaux comme jamais, il ne l'avait fait. Elle se retourne, enlace Ludovic et l'embrasse amoureusement. Une fois le baiser terminé, il lui demande :

-Tu es toujours d'accord pour Brutus ma chérie ?

Elle pousse un gros soupir et répond :

-Ce qui est dit, d'ailleurs, si tu le veux, alors je le veux aussi ?

Il la regarde, ses yeux brillent, il réplique :

-Tu es une femme formidable ma chérie !

Elle s'approche de lui, en le narguant, elle agite sa croupe devant lui avec arrogance. Il lui saisit brutalement le bras et la couche sur ses genoux, il dit en riant :


-Pour cela, je vais te fesser ma salope d'amour !

Elle éclate de rire et répond :

-Chiche mon chéri !

Il lui retrousse la nuisette et lui caresse un instant les fesses avant de les frapper durement, elle rougissent fortement sous la volée de coups. Sandrine grimace en agitant sa croupe mal menée. Il cesse de taper et lui caresse les demi-sphères en feu. Ses doigts glissent dans la raie culière, et arrivent jusqu'à la chatte. Il sursaute et dit en riant :

-Mais tu mouilles ma salope, cela te donne du plaisir une petite fessée, hein, tu aimes ça petite coquine !

Sandrine ne répond pas, sûrement trop gênée par ce que son mari vient de découvrir qu'elle aime ça.
Il l'embrasse, fonce sur le téléphone et appel Olga :

-Olga, tu es libre vers dix-sept heures ?

Elle répond oui, que puis-je faire pour toi mon chéri !

-Viens avec Brutus, Sandrine veut bien l'essayer !

Olga répond :

-Formidable, je serai là à l'heure mes chéris !

L'heure tourne, Sandrine est nerveuse, elle angoisse même. Elle ne sait plus si elle doit ou pas faire cela avec un animal. Elle passe plusieurs fois sous la douche, enfile enfin un peignoir sur son corps nu. Soudain la sonnette retentit, Sandrine sursaute, son joueur se met à battre fortement dans sa poitrine, elle stresse terriblement. Olga entre accompagnée par un magnifique labrador haut sur pattes, bien charpenté. Olga embrasse Sandrine et Ludovic. Elle regarde Sandrine et lui dit en souriant :

-Pas trop peur ma chérie ?

-Je ne suis pas rassurée, mais je te fais confiance Olga !

Rapidement, Olga fait tomber le peignoir sur le sol, elle regarde longuement Sandrine et dit d'un air amusé :

-Brutus va bien se régaler, d'ailleurs toi aussi, tu m'en diras des nouvelles, bon aller assez discuté, passant aux choses sérieuses, mets-toi à quatre pattes, pose ta tête sur tes avant-bras et cambre bien ta croupe en écartant bien les jambes !


Le chien tourne autour de Sandrine comme un fou, mais il n'approche pas, il n'en a pas encore reçu l'ordre. Olga badigeonne l'anus et la chatte de miel liquide. Elle regarde le chien et dit :

-Lèche mon chien lèche !

Brutus est très agité, rapidement, il est sûr sa proie, il lui renifle les orifices puis commence à donner de grands coups de langue. À chaque coup de langue, Sandrine pousse un gémissement de plaisir, la langue rapeuse de l'animal sur ses orifices, lui fait un effet monstrueux. Pendant que le chien lèche Sandrine, Olga lui saisit la bite, elle la branle un instant, la queue sort de sa gaine comme un vérin qui se tend. La bite à une forme étrange, en sortant de son étui, elle enfle de plus en plus. La couleur, marbrée du sexe, est bizarre, il est rouge, blanc et noir, une grosse protubérance coiffe l'ensemble. Un petit branlage est nécessaire pour que la bite de l'animal soit au top. Olga ordonne :

-Baise le chien, baise !

Brutus monte comme il peut sur sa proie, heureusement ses griffes sont limées pour ne pas blesser. Il donne des coups de reins rapides, sans trouver l'anus. Sandrine pousse un grognement, la bite vient de trouver l'ouverture anale et s'enfonce jusqu'aux couilles dans son anus. Les coups de reins de Brutus sont très rapides. La sensation est terrible, Sandrine jouit rapidement en geignant fortement, sa chatte suite abondamment, sa cyprine se répond sur le sol. Soudain, elle sent un jet de liquide lui remplir le rectum, se qu'elle ressent est fabuleux, elle jouit immédiatement une seconde fois, son corps tremble, il est parcouru de nombreux frissons.

Il faut attendre un moment avant que la bite dégonfle et qu'elle puisse ressortir du rectum sans dégât. Olga caresse le chien en le complimentant. L'animal re-lèche les trous dégoulinants de jus. Sandrine n'en revient pas du plaisir que lui donne le chien. Olga demande à Ludovic d'enculer Sandrine, elle veut que Sandrine subisse une double avec Brutus et son mari ensemble.

Ludovic s'allonge sur le sol, Olga demande à la soumise de s'empaler sur la queue de son mari, mais en lui tournant le dos, car Brutus doit lui prendre la chatte. Sandrine en tournant le dos à son mari lui saisit la verge et s'empale dessus, le jus du chien facilite la pénétration. Olga regarde Brutus et lui dit :

-Baise mon chien, baise mon chien !

Brutus connait le chemin, il prend place entre les cuisses de Sandrine, il donne de nombreux coups de reins avant de trouver l'entrée. Sandrine ressent dans son corps une excitation incontrôlable, elle s'accroche à son amant à poil, en le serrant comme une chienne, c'est le cas de la dire. Elle agite son bassin en accompagnant les coups de reins rapides de l'animal fougueux. Sandrine grogne de plaisir, son bassin s'agite à un rythme effréné, elle donne des coups de reins pour que le chien l'empale le plus profondément possible. Elle pousse un gémissement rauque en se cambrant, elle jouit comme une malade. Brutus s'acharne sur sa femelle. Il grogne férocement, soudain, il émet un genre de couinement, et déverse dans le ventre de Sandrine sa semence transparente comme de l'eau. Le liquide produit sur Sandrine une deuxième jouissance tout aussi intense que la première. Ludovic lui démonte le cul avec férocité, il s'agrippe à elle en lui donnant des coups de bélier redoutables. Enfin, il déverse son sperme dans le rectum brulant de sa femme qui gémit toujours. Brutus reprend le contrôle, il démonte Sandrine avec violence, la coquine semble en transe, ses yeux sont révulsés, un rictus déforme son visage. Son corps est secoué de tremblements, incontrôlable. Elle jouit encore, en s'accrochant à Brutus, enfin la bête gicle à nouveau dans le vagin de Sandrine qui hurle sous une seconde jouissance, elle est au bord du coma, ses orgasmes sont fabuleux de nombreux spasmes secouent son corps fébrile.

Enfin, les amants se dessoudent, Olga ordonne au chien de se coucher, elle demande à Sandrine de bien ouvrir les jambes, elle plaque sa bouche sur l'anus dégoulinant de sperme et l'aspire pour s'engaver. Sa bouche remonte vers la chatte qui laisse échapper le jus que la bête y a déversée. Olga aspire le jus et l'avale sans se poser de question comme elle aime le faire.

Enfin, elle délaisse Sandrine, elle la regarde et lui dit :

-Alors comment c'était ma chérie ?

Sandrine répond :

-Mon Dieu, c'était fabuleux, quel amant se Brutus,j'ai adoré sa bite ouah quelles sensations merveilleuses de se faire démonter par un chien !

- Tu veux encore faire une découverte ma chérie !

Sandrine répond :

-Oui, je veux tout découvrir !

Olga sort d'un sac un gode ceinture de bon calibre, le harnais porte trois godes. Un pour que la baiseuse prenne aussi du plaisir, et les deux autres pour la soumise, un anal et l'autre plus important vaginal.

Olga retire rapidement ses habiles, sa chatte est trempée, elle s'arme de l'engin et empale Sandrine fortement par le cul et la chatte en même temps. La baiseuse donne de grands coups de reins Sandrine gémit à chacun des assauts. Olga est tres doué pour manipuler un tel engin. les godes entrent et ressortent à grande vitesse du corps de Sandrine qui grimace de plaisir. Lodovic regarde les deux femmes se defoncer, il se branle sans faiblir.

Olga est la pemiere à jouir, elle grogne en s'accrochant à sandrine sans cesser de la pilonner. sandrine pousse un long râle rauque et explose de jouissance. Les deux femme se passe le harnais plusieurs fois, les joiiissance sontb monstrueuses. Enfin tout a une fin. Avant de se separer, Olga demande à Sandrine de faire un pipe à Brutus car il l'a bien mérité le coquin. Soius l'ordre D'Olga le chien se couche sur le côté. Sandrine le branle doucement, la bite ssort de sonetui et prend du volume. Elle gobe l'engin en le suçant voracement, Brutus s'agite fortement, soudain il pousse un grognement et remplit la bouche de sandrine qui avale le jus divin. Il est temps de se quitter, Ludovic regarde sa femme, il l'embrasse comme jamais il ne l'a fait et l'embroche pour une ultime chevauchée. les deux jouissent affreusement fort, ils se promenttent de faire plein de chose sexueles inedites. Olga applaudit la bonne résolution de ses deux amis.