L'orage 2

Les nombreuses jouissances de Karine l'ont un peu essoufflées, elle realise un peu tard de l'acte incestueux, qu'elle de faire. Ses yeux se remplissent de larmes, elle regarde sa fille tendrement, elle se sent coupable de ce qui vient de se produire. Jamais, il ne lui serai venue à l'esprit qu'un jour sa fille deviendrai son amante. Elle culpabilise de plus en plus, elle stresse, elle s'en veut terriblement. Manon se penche sur elle, souriante et lui demande :

-Maman, tu as l'air soucieuse, ça ne va pas ?


Karine enlace sa fille et la serre fortement dans ses bras et répond :

-Je ne suis pas digne d'être ta maman ma chérie, après ce que nous venons de faire !


Manon fronce les sourcils et réplique :

-Mais maman, nous nous sommes aimées, quoi de répréhensible là-dedans !



Karine en sanglotant dit :

- Sur le coup, j'étais tellement excitée que j'en avais oubliée que j'étais ta maman !


Manon donne un baiser bruyant sur les lèvres de sa maman et lui dit :


-Mais maman, tu m'avais dit que tu me ferai jouir, donc oublies que tu es ma maman et fais-le, j'en ai trop envie !


Karine pousse un gros soupire, Manon pose ses lèvres sur les siennes et l'embrasse amoureusement, sa langue agile se noue à celle de sa maman, un flot de salive remplit la bouche de sa maman qui frémit. La baiser dure un long moment. Karine reprend le dessus, elle tout en embrassant sa fille, sa main glisse sur le corps qui frissonne. Avec douceur, l'intrus, moite, pas rassurée, s'avance vers la poitrine généreuse de Manon qui gémit doucement. La main tremblante caresse tendrement les lobes, les presse comme pour en connaitre la texture. Comme par miracle les bouts se dressent, Karine les agace un instant, le baiser prend fin. La bouche de la maman, encore stressée, s'aventure sur les seins de sa fille. Les baisers humides qu'elle donne sont de vrais baisers d'amoureuse. À chaque baiser sur les masses souples de chair, Karine pousse un soupir. Enfin, elle gobe un mamelon. Elle le suce avec douceur au début puis les succions deviennent voraces. Manon se cabre, en gémissant de plaisir. La maman n'épargne pas les bouts qui, par l'acharnement de la bouche sur eux, deviennent énormes.


Manon fond de bonheur sous les caresses buccales de sa maman, elle geint en agitant faiblement son corps. La bouche, gourmande, change d'objectif, elle descend sur le torse, embrasse de nombreuses fois la peau laiteuse et se pose sur le nombril. Manon se cabre, la pointe de la langue maternelle fouille délicatement son nombril. Elle s'agrippe à sa maman comme une pieuvre à son rocher. La bouche continue sa progression, elle se pose sur la fente encerclée d'une toison soyeuse, fait quelques montées et descentes sur les lèvres charnues de la vulve en ébullition, qui lâche son jus. Karine, consciencieuse dans tout se qu'elle entreprend, s'abreuve au puits, jusqu'à plus soif. Manon est surprise par le genre de professionnalisme, que sa maman déploie pour la rendre heureuse. Elle geint comme un animal, la langue lui qui fouille profondément le vagin la fait se cabrer comme un cheval qui rue. Manon jouit si fort que ses cris font trembler les murs.


Karine et satisfaite du résultat, elle se redresse, saisit le gode encore luisant de sa cyprine. Elle caresse avec le clito enflé, avant de l'introduire doucement dans le puits débordant de cyprine. Pendant que Karine enfonce minutieusement l'engin de silicone dans le ventre de sa fille, elle ne la quitte pas des yeux. Manon se cambre pour que la bite factice la pénètre totalement. La maman, habituée à manier l'engin du plaisir, commence un godage parfait. Le va-et-vient prend de la vitesse, Manon rugit comme un lion en cage, elle agite son bassin en gémissant de plaisir. La maman bloque le gode au fond du cratère et saisit le vibro. Elle en actionne la vibration au maximum et le pose sur le clito qui ne cesse de gonfler. Tout en tenant l'engin vibrant d'une main, de l'autre, elle reprend le godage. Manon croit mourir, elle souffle comme un bœuf. Soudain, elle se tend comme un arc et jouit comme une malade. Sa maman, en grande connaisseuse, déplace le vibro et contre toute attente, l'enfonce profondément dans le rectum de sa fille qui pousse un cri inhumain. L'effet est immédiat, Manon jouit plusieurs fois de suite. Sa maman lui ramone les deux orifices en même temps. Pour Manon, c'est le summum du bonheur. Maintenant Karine retire le gode, ramone encore un instant le rectum de sa fille avec le vibro en pleine vibration, le pousse le plus loin possible, le maintient un moment jusqu'à ce que sa fille jouisse une nouvelle fois. Elle retire le vibro et approche du trou bien ouvert le gode ruisselant de cyprine. Avec douceur, Karine le fait pénétrer dans les entrailles de sa fille, qui grimace. Avec lenteur, la maman consciencieuse commence l'enculage.


Le gode qui dilate la gaine anale de sa fille coulisse sans brusquerie dans le temple de Sodome. La maman ne brusque pas les choses, elle attend que s'a fille s'habitue à l'intrus avant d'augmenter la cadence. Enfin, la maman peut agir à sa guise. L'enculage est magistral, Manon jouit trois fois avant que sa maman ne retire l'engin délateur d'anus de son fondement. Les deux femmes passent la nuit à s'aimer comme des folles, l'inceste est mise de côté, seul le plaisir des jouissances compte. Le lendemain, les orifices douloureux se souviennent des défonces qu'ils ont subis pendant la nuit.