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Les Cévènes

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Lue : 987 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/10/2013

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Partir dans les Cévennes en voiture est fastidieux : virages, tournant, lacets, méandres. Ma femme devait venir avec moi pour me tenir compagnie. Et vlan au dernier moment elle fait faut bon. Je pars seul en allant doucement comme le veut la géographie de la route. A la sortie d’un hameau une fille : elle me fait signe d’arrêter. Encore une emmerdeuse ! Non, une étudiante en rade : elle a raté son bus.

Son peu de bagage derrière, nous partons. Je ne sais trop comment engager une conversation : elle sait parfaitement, à m’étourdir. Et enfin elle arrête, ouf un peu tranquille.
- J’ai envie de faire pipi !
- Tiens moi aussi.

J’arrête la voiture au bord de la route étroite. Je suis presque au bord du fossé. Elle doit descendre de mon côté. Je file de l’autre côté de la route, elle se cache derrière la voiture. Pour moi c’est vite fait : sortir mon machin pisser, le secouer un peu et le rentrer. J’attends pas mal de temps. Je sais que les filles doivent relever la robe, descendre la culotte, se baisser, pisser, relever la culotte, la remettre, relever la robe, se secouer et peu. J’entends un léger « au secours ».
Première pensée : j’aurais mieux fait de ne pas la pendre.
Deuxième pensée : qu’est ce qui lui est arrivé.

Je vole, je cours, je file vers elle à condition de savoir où elle est. Je l’aperçois la culotte sur les chevilles, la robe relevée, ses fesses dans un roncier. Qu’elle idée d’aller se fourre dans des ronces ? La vue est agréable sur sa féminité. Je ne peux pas m’y attendrir. Elle s’accroche à la main qui l’aide. En guise d’intimité, ça se pose là. Me voilà promu au rang d’enleveur d’épines. Je ne sais comment elle a pu faire son compte, les épines sont sur ses fesses, logique, mais en remuant elle a trouvé le moyen d’en avoir dans la raie. Cahin caha, elle arrive à la voiture. Je l’installe contre la malle, pliée en deux, ses fesses bien exposées. Je rigole, elle le prend plutôt mal. Ce n’est pas triste de voir un joli popotin. C’est quand même moi qui suis de corvée : je dois la débarrasser des épines. Je vais doucement au début pour ne pas l’énerver encore. Vers la fin j’enlève ce qui reste en passant une main caressante sur la peau des fesses : un véritable régal pour moi. Elle revient dans la voiture en se tenant fort mal. Dans son malheur elle a de la chance, quant au passage nous trouvons une pharmacie : une pommade est utile : c’est la pharmacienne elle-même qui la tartine de son produit. L’effet est presque immédiat.

Nous repartons, moi mi rigolard, elle faisant un peu la tête. Il lui faut ôter sa culotte qui la gêne. Elle se trémousse pour ôter son morceau de tissus. Un moment plus tard, c’est la robe qui est gênante. Je lui prose de continuer sans sa robe, je ne demande pas mieux. Elle me toise arrogante et sans plus de pudeur, elle se trouve en simple soutien-gorge. Pour montrer qu’elle n’a pas peur elle ne pose même pas une main sur son pubis. J’aperçois quelques poils qui se font la belle. Je remarque qu’elle fixe bien ma braguette. Pourtant je l’ai bien fermée. Elle regarde surtout si je ne bande pas, intéressée ?

Après tout je ne risque rien : j’ai vu ses fesses, sa raie, vaguement aperçu sa chatte. Lors je demande innocemment si des fois elle ne voudrait pas m’en montrer plus.
- Laissez-moi, arrêter vous là.

Elle entame la descente avant de se raviser. C’est dommage qu’elle fasse la tête. Je vois tout son corps. Je la prendrais bien contre moi, sur mes genoux pour la consoler comme un enfant. Elle réfléchit un instant avant de remonter. Cette fois elle ne cache plus rien.
- Si vous me promettez de me faire du bien je me donne à vous avec plaisir.

Elle ne pense pas que je vais me précipiter sur elle comme un cannibale, la bouffer toute crue, en faire des petits paquets pour la vendre au détail dans les Cévennes.

Je démarre, elle reste scotchée sur le siège toujours nue. Le vent lui donne froid. J’arrête pour sortir la couverture de la malle. Elle est mignonne, attirante ainsi couverte. Là maintenant j’ai envie de lui faire mal à ma façon. J’arrête un peu plus loin dans un sentier. Elle comprend cette fois qu’elle va y avoir droit. Je sors de ma place, je me remets sur le ventre, la tourne vers moi. Ses jambes sont ouvertes. Je vais la satisfaire à ma façon : elle s’en souviendra longtemps. Je pose de petits bisous sur l’intérieur des cuisses. Plus je monte plus je la sens. Elle me fais plus que bander. J’écarte son pli à deux mains douces pour sa chatte. Elle pue la femme en chaleur. Je sors ma langue. Je la goute, je la déguste, je la savoure, je l’apprécie, j’aime, je me pourlèche. Depuis le périnée, l’espace entre son cul et son con, ma langue monte doucement. Son odeur me soule, m’enivre. J’ai besoin de son sexe pour me soulager. Pour la soulager aussi.

J’ai mal à la queue. J’ai mal à la langue. Je lèche tout son sexe elle gémit sans cesse. Je n’arrête pas même si elle me le demande. Il parait qu’une femme jouit 7 fois plus qu’un homme ! On verra bien. Je la sens partir plusieurs fois, elle me dit jouir plusieurs fois de suite.
- Baises moi, mets moi la.
- Où tu la veux ?
- Où tu veux.

Je veux partout. J’arrive difficilement sur elle. Elle est mise de telle façon que je ne peux aller que dans son arrière train. L’enculer pourquoi pas si elle le veut. Elle le veut justement. Elle passe sa main pleine de salive juste sur le petit trou. Le gland est contre elle, prêt comme les scouts. Je pensais entrer difficilement dans un cul tout neuf. Il s’ouvre assez facilement. Celle prend vite son plaisir, ses plaisirs. J’éjacule par surprise. Je suis nue, elle est nue. Nous allons à Montpellier toujours nus. Il est très tard : nous sommes seuls. Personne ne nous voit. Même quand, juste avant de nous quitter elle tient à me lécher la queue.

Nous nous voyons toujours quand elle doit aller chez elle dans les Cévennes. J’ai pitié des étudiantes isolées.
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Histoire de baiserjouir

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