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La campagne

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Lue : 1958 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/10/2013

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Elle attend sur le quai de la gare, avec sa valise, son manteau de cuir. Son dernier mail précisait bien de l’attendre. Alors sans s’agacer elle patiente. Il y a peu de mouvement dans la gare de Carcassonne à cette heure. Enfin, si juste à la porte : il est là : beau comme un dieu. Sur un signe, elle traverse les voies pour se jeter dans ses bras à lui, ses bras si désirés si attendus.

Ils s’embrassent pour la première fois, sans pudeur, leurs mains commencent à caresser le corps de l’autre. Le quatre/quatre les mène vers la campagne (Dans l’Aude une campagne est une ferme isolée) vers la Montagne Noire, dans le Cabardès, cette région est riche en vues extraordinaires sur les Pyrénées, sur la plaine du Lauragais, du Canigou jusque vers le Pic du Midi.

Une petite demi-heure de route, ils sont dans la cour de la campagne. Là, ils n’ont plus la patience d’attendre. Il leur faut d’urgence s’aimer même pour la première fois. Les voisins sont à 7 ou 800 mètres, invisibles. Eux s’aiment, eux se veulent d’urgence, surtout elle qui sort d’un long combat.

Avant lui, il y avait eux. Eux, c’était ses « clients » qui la payaient pour ses services particulier, elle qu’ils louaient par téléphone pour une nuit, une journée ou plusieurs jours. Elle devait faire semblant d’être heureuse avec eux. Toujours d’une joie simulée.

Une nuit, elle se demande encore comment, elle a eu un gros malaise. Hospitalisée d’urgence elle reste plusieurs semaines cloitrée. Et en sortant elle tombe sur lui, sur un homme qui allait, elle n’en doutait pas la faire encore tomber de ce côté qu’elle voulait quitter.

Il l’accompagne dehors, dans un bistro, lui offre le café de la fin du spectacle. Mieux, il l’invite chez lui dans la Montagne Noire, quand elle veut. Il laisse son adresse internet. Ils correspondent des mois, A là, comme ça, d’un seul coup elle tombe amoureuse d’une ombre, elle le lui dit. Il est comme elle.

Leur désir emporte sur tout. Là, devant la porte elle se donne sans crainte. Il n’a rien demandé, ne l’a jamais payée. Quand il caresse son corps, elle revit.
- Mets-toi nue, si tu veux, tu ne risques rien chez moi.
- Et toi ?
- La vue de ton corps suffit pour moi. Tu es belle, tu es sexy, je te veux, pas de suite, tout à l’heure.
- Prends-moi là

Il la respecte, chose rare pour elle. Incompréhensible, même. Il n’empêche qu’être nue, dans la nature lui ouvre des plaisirs inconnus. Elle enlève même ses chaussures, elle court sur les gravillons. Certains cailloux entre dans ses pieds, ça ne fait rien, c’est si bon d’être libre, nue, de ne pas écarter les cuisses pour laisser passer une bite inconnue, faire semblant, encore semblant de jouir alors qu’elle jetterait au loin celui qui la baise. Etre nue, tranquille devant ce panorama impossible à imaginer.

Elise reste dehors pour le paysage. Lui entre. Il l’appelle un moment après :
- C’est l’heure.

L’heure de quoi, elle n’en sait fichtre rien. Elise a une belle peur en rentrant : il l’attrape pas les épaules, la tourne vers lui pour lui coller un retentissant baiser. Elle lui répond en se collant à lui. Elle ne s’aperçoit qu’après qu’il est nu comme un ver. Pourtant, elle remarque toujours cette chose, il ne bande pas. Sa queue au repos est belle avec de belles veines. Ses couilles pendent au repos, aussi : son côté sexe ne marche pas.

C’est l’heure de prendre un apéritif puis de diner de ce qu’il a porté : un poulet froid accompagné d’un rouge des Corbières. Elise sent ses papilles se dilater : elle a brusquement faim. Un poulet ne suffira pas. C’est un drôle de couple qui mange : les deux nus, qui parlent de tout sauf de sexe. Elle qui rêve d’un futur loin de Paris, avec des enfants à elle, lui qui pense à un futur avec elle, loin de Paris.

La fin du repas arrive doucement, Elise sens un manque dans son ventre : elle n’a pas fait l’amour depuis la veille au soir, elle n’a même pas pu se caresser. Il la fait venir sur le pas de la porte, ils s’assoient sur une sorte de banc en bois pour regarder le paysage magnifique. Elle en oublie ces désirs, même si elle reste à côté de lui toujours nus l’un et l’autre. Ils se croiraient dans un cercle de naturiste où la nudité reste sacrée. Le corps de l’autre est respecté.

Naturisme ou pas, elle revient vers ses désirs. La vue de la queue, même tranquille de son hôte ne la calme pas : baiser elle veut, baiser elle doit. Tant pis pour ce qu’il dira : elle le veut, elle l’aura. Enragée elle a toujours envie d’un orgasme. C’est vital, essentiel, indispensable. Il lui explique que naturisme ne veut pas dire libertin. Elle ne comprend pas, il lui faut jouir.

Il fut croire qu’il tient à elle quand il la conduit à l’endroit qu’il a réservé à l’onanisme : une petite pièce dans le bâtiment avec un petit lit, une lumière, des livres illustrés d’image très amorales, des revues pornos, des godes de toutes formes, l’ensemble dédié aux amateurs de plaisirs personnels. C’est volontairement que cette pièce a été créée : elle permet aux amateurs, pas exhibitionnistes de se livrer à leur plaisir sans contrainte.

Il lui faut donc se plier à cette règle. Elle se trouve isolée, le choix de ses plaisirs à disposition. Elle prend un gode, le regarde, le touche, le pose pour prendre un autre. Elle trouve ce qu’elle veut : un gode avec des picots tout le tour. Elle jette un œil dehors : il ne regarde même pas dans sa direction. Elle s’appuie les fesses sur le table, passe le gode entre ses jambes. Elle pousse juste à peine, il entre très facilement. Elle se baise ainsi les quelques minutes nécessaires pour attendre un bon orgasme.

Quand elle sort, lui est toujours en train de bricoler nu. Sa bite balance dans tous les sens sans que ça ait l’air de le gêner. Elle la voudrait bien cette queue, elle est venue pour ça justement.

Le repas du soir passe sans qu’il se rhabille. Il montre toujours son sexe. Et enfin :
- Je t’ai fait venir pour que tu connaisses la vraie vie, la mienne. Tu vois je suis resté nu devant toi, tu es encore nue, je n’ai pas bandé une seule fois. Mais j’ai envie de toi, je voudrais te baiser. Le veux-tu ?
- Tu, tu, tu veux me, me, me baiser ?
- Parfaitement, te baiser, te la mettre dans le con ou le cul ou les deux, comme tu veux, je voudrais même te lécher la chatte.

Il n’a pas fini sa phrase qu’elle est contre lui. Elle se frotte à lui, contre sa cuisse, son sexe humide se caresse seul. Elle est sur le point de partir. Il caresse le ventre, descend encore contre le pubis.
- Tu veux que je te branle ?
- Oui, branles moi.

Sa main est entièrement posée sur la chatte. Un seul doigt agit, le majeur qui se détache pour se poser sur le clitoris. Là, le plaisir commence. Il caresse le clitoris, va dans le vagin, où il met deux doigts. Il la doigte un bon moment, le temps pour elle de jouir deux fois. Il change de secteur : en passant par le périnée, il caresse le cul. Instinctivement elle l’ouvre : il y met le doigt. Ce n’est pas un limage, c’est un usinage. Il faut qu’elle se tienne à lui pour ne pas tomber quand elle jouit encore.

Le remerciement arrive plus tard. Ils vont se coucher, toujours nus : la température clémente pousse à ce genre d’incorrection. Elle ne demande rien, elle agit. Elle a envie d’une chose toute simple : son élixir. Elle se tourne, prend la bite molle. Elle la met dans sa bouche, lèche lentement, fait sortir le gland en descendant le prépuce. Ca sent son sexe à elle. Elle fait grossir la bite qui ne demande pas mieux. Ses lèvres entourent la queue. Une main entoure les couilles poilues Elle fait coulisser toute sa tête sur la pine. Elle en est récompensée en recevant une bonne dose de sperme. Elle ne l’avale pas, elle va la cracher par la fenêtre pour revenir branler encore le pieu ce son homme.

Elle ne veut plus agir comme une pute qu’elle a été.
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Histoire de fabrissa

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