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Lue : 989 fois - Commentaire(s) : 9 - Histoire postée le 18/10/2013
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Liposuccion 7
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Julie et les autres femmes d’André.
Je suis en plein brouillard. Cette nuit d’amour a été merveilleuse après la certitude acquise que Julie m’aimait vraiment. Hélas au réveil, ma femme s’empêtre dans des mensonges. Seule certitude pour moi désormais, elle partira pour sa liposuccion à Tunis avec André. Si l’affaire était « normale », Julie n’essaierait pas de me faire croire que sa cousine Victoire sera son accompagnatrice. Je déteste Victoire. Mais André a tenté d’abuser de Julie, il était sur le point d’entrer dans son vagin, son gland forçait le vestibule quand Julie a eu la force de le repousser ; il retentera sa chance : il est donc plus à redouter. Quelle conduite tenir jusqu’à l’embarquement ?
Je les suppose amants : ne suis-je pas paranoïaque ? Le mensonge de Julie pourrait être une maladresse imputable à la difficulté de m’avouer, à moi, son mari, qu’elle part « en amie avec un ami ». Je ne crois pas à ce genre de relation amicale qui se termine trop souvent en relation adultère; sur les deux amis un au moins est un fourbe et tentera de transformer l’amitié en amour, passera des mots aimables aux douceurs, aux contacts innocents puis aux attouchements et enfin entrainera l’autre dans des rapports charnels. Je reconnais que il est délicat pour une épouse d’annoncer à son mari :
-Tu sais mon amour, c’est mon conseiller, le moniteur de sport, qui, en raison de ton absence, veillera sur moi pendant mon séjour en Tunisie. C’est un ami très serviable, un homme d’une grande moralité. Ne crains rien, nous sommes amis seulement. Il est d’une correction absolue.
Julie me tiendrait ce discours, j’aurais tout lieu de m’alarmer. Je sais quel ami peut être André. J’ai filmé son abordage avec Julie. Il est aussi l’ami de Victoire et quel ami, honnête, dévoué, serviable, respectueux et j’en passe.
La situation me déplaît gravement. Julie, de son point de vue, a raison de la cacher et compte sur le bon déroulement de l’événement pour garder son secret. Elle part dans deux semaines, sera de retour dans trois, elle gardera dans son jardin secret la vague impression d’avoir commis un mensonge véniel, sans répercussion sur notre vie de couple. Ce serait une erreur de m’alarmer. André se sera conduit en parfait gentleman, elle-même en parfaite épouse : ce sera l’essentiel. Elle ne joue peut-être pas la comédie. Je lui accorde le bénéfice du doute, mais je la taxe de malice.
Sa facilité à me prendre pour un gogo se heurte à un dernier obstacle. Je le dresse intentionnellement :
-Je vais m’ennuyer pendant ton absence. Ça va me donner l’occasion de faire mieux connaissance avec Richard (ndlr, le mari de Victoire.)
-Tu n’y penses pas, c’est un barman toujours entre deux alcools. Enfin si tu cherches des embrouilles avec un ivrogne, libre à toi. Ecoute mon conseil, évite cet individu à problèmes, tu pourrais te retrouver au poste de police.
Ma déclaration est un coup bas. Julie va devoir faire disparaître sa complice Victoire pendant deux semaines. Comme la cousine a posé un congé, où est le problème qui donne cet air soucieux à la menteuse? Je la laisse à ses réflexions. A elle de gérer le risque supplémentaire d’être prise en flagrant délit de mensonge pour le cas où je rencontrerais en ville une Victoire supposée partie en Tunisie. Je sème des embûches, mais je ne compte guère l’entendre se rétracter. J’aimerais tant un minimum de franchise.
Simplement je vais surveiller les deux « amis ». S’ils se voient en cachette, si j’acquiers la conviction qu’ils se paient ma tête et joue à la bête à deux dos, je serai sans pitié. Une bonne douche au réveil me rend un peu de lucidité. J’ai des RTT à prendre, je vais m’en servir pour tirer la situation au clair.
Je continue mon footing avec André. J’irai jouer au preneur d’images souvent obscènes ou pornographiques dans son placard. J’accumulerai sur DVD les films de ses rapports amoureux avec les petites femmes qui se jettent dans ses bras, je me constituerai des archives. J’ai droit moi aussi à mon jardin secret. André m’aurait-il confié cette tâche s’il avait su que Julie était ma femme ? Logiquement, non. A moins d’être un grand pervers, calculateur. Le DVD dans mes mains pourrait lui faire amèrement regretter de m’avoir pris comme témoin de ses turpitudes sexuelles. Je peux en faire une bombe.
Anaïs, Claudine, Marcelle, Ginette, Amandine, Elodie et Monique se succèdent ainsi devant le caméscope entre les bras du jeune homme, avant le retour de Victoire dans son lit. Je reçois sur mon portable à chaque occasion une convocation pour dix-sept heures, je suis ponctuel. J’utilise le reste de mon temps à contrôler les sorties d’André. Le matin il suit des cours. En soirée un jour sur deux il exerce comme moniteur à la piscine, dans l’intervalle il déploie ses talents d’amant dans son appartement. Ma surveillance se révèle fructueuse. Une fois, dans la rue, Julie l’a accosté. Ils ont longuement marché. La conversation était vive. Le soir ma femme a pleuré parce que Victoire refusait de sacrifier ses vacances et gardait le billet d’avion contre vents et marées. Elle nommait Victoire mais parlait d’André, trop heureux de conserver son privilège et le bénéfice escompté d’un séjour commun.
-Mon amour, tu ne peux pas imaginer comme je suis désolée. Tu aurais dû être mon accompagnateur naturel. Si le billet d’avion n’était pas si cher…Et puis j’ai téléphoné à la compagnie aérienne, il n’y a plus une place dans cet avion. Je suis malheureuse. Oh ! Pourquoi t’es-tu décidé si tard ?
Comédienne ! Habile comédienne : Elle vient d’utiliser une élégante façon de me faire porter le chapeau. Elle vit l’instant présent, ne pense pas qu’un jour la bombe pourrait lui péter à la figure. En attendant, tous les soirs je l’aime. Je me livre à un maximum d’expériences, je rejoue avec ma femme les scènes vécues par André et son invitée du jour. L’essentiel varie peu. Mais chacune a des préférences, et j’amasse une somme de détails sur les fantaisies des femmes en amour.
Anaïs est une compulsive. Avec elle André passe une heure pleine d’activité débordante. Elle arrive, court au lit en déposant ses vêtements, se jette sur le dos, et s’écrie :
-Vite, embrasse mon con.
Trente secondes plus tard c’est :
-Grimpe-moi dessus. Bourre-moi. Je veux jouir.
Anaïs n’est pas romantique. Après le premier orgasme elle exige :
-A moi, on fait le papillon.
André y gagne un peu de repos avant l’obligatoire levrette sur le tapis devant le miroir. Tête entre les mains elle attend. Ça ne va pas assez vite, elle repose sur les épaules, envoie ses mains tirer sur ses fesses et réclame :
-Tu es paresseux aujourd’hui, grouille-toi. Défonce-moi.
-C’est toujours comme ça, se plaint André après avoir épuisé les positions les plus connues en un temps record. Anaïs est partie, André est sans énergie.
Monique, la dernière en date de ses maîtresses demande plus de tendresse, adore sucer et recevoir des caresses. Sa spécialité consiste à presser le membre d’André entre ses seins. Bien sûr elle ne part pas sans sa dose de sperme reçue en position dite du missionnaire. Après l’éjaculation elle garde le bassin en position haute. Son mari serait stérile, André répare !
L’arrivée simultanée d’Amandine et d’Elodie a surpris leur hôte. Il m’avait annoncé une belle blonde. La blonde trainait une petite brune boulotte à grosse poitrine et à la lèvre supérieure ornée d’un duvet brun, avec un regard de myope.
- Victoire m’a affirmé que vous accepteriez de nous recevoir ensemble. Annonce la boulotte.
- Elle aurait dû me prévenir, ce n’est pas dans mes habitudes. Deux femmes à la fois… Je ne vais pas reculer devant la nouveauté. Vous prendrez un verre de…
- Jamais d’alcool, ni l’une ni l’autre. Si vous avez un thé.
La blonde laisse la parole à sa copine. André les regarde et conseille :
-Je le prépare tout de suite. Voudriez-vous vous mettre à l’aise, adopter la tenue adéquate.
Visiblement il reçoit les deux souris pour la première fois. La petite commence à enlever les vêtements de la blonde.
-Ça pourrait suffire ?
André se retourne,
-Et toi ?
- Moi ? Non, c’est elle. Victoire ne vous a pas expliqué ? Bon. Elodie, c’est-elle, et moi, Amandine, nous sommes mariées récemment comme la loi le permet désormais en France. Nous voulons avoir un enfant. Nous voulons un bel enfant. Vous représentez pour nous le père idéal. Nous avons admiré votre corps à la piscine. Victoire dit que vous êtes célibataire. Les conditions sont réunies pour la procréation de notre bébé. Vous fécondez Elodie et ensuite vous n’entendrez plus parler de nous. Nous pourrons vous payer.
- Vous voulez un bébé. Je dois faire ce bébé avec Elodie. Je savais ça. Mais le bébé, ça se fait à deux, pas à trois. Vous ne voulez qu’un enfant. Vous Amandine vous ne souhaitez pas devenir mère ?
-Vous m’avez comprise, rétorque la chef de famille. L’enfant sera notre enfant. Nous ne voulons pas attendre une éventuelle loi sur la PMA (ndlr : procréation médicalement assistée). La collaboration généreuse d’un bel étalon nous semble plus conforme à nos valeurs que l’utilisation de sperme congelé dans un laboratoire anonyme déshumanisé. Cependant Elodie ne voudrait pas s’amouracher du procréateur et demande que je la seconde pendant l’acte.
-Ah ? Comment veux-tu la seconder ? En lui tenant la main, en me chatouillant ou en priant pour que la première insémination produise un effet immédiat ? Vous faites de moi « un étalon » ? Pour faire un enfant il faut un minimum de sentiment et d’intimité. Vous faites une légère erreur, je ne suis pas un automate distributeur de sperme auquel il suffit de tendre une pièce de monnaie pour se retrouver enceinte.
- Vous nous refusez ce service ? Je regrette, Elodie rhabille-toi, ne perdons pas notre temps.
Stupéfaction : Elodie a une voix et la fait enfin entendre :
-Cette fois, Amandine, tu exagères. Monsieur me plaît…
- Voilà pourquoi il faut le quitter.
- Non, raison de plus pour rester. J’en ai marre d’aller d’un moche à un plus moche. Je veux mon bébé avec lui. Et il a raison. Il a sa dignité d’homme. Que tu le veuilles ou non, je reste, je veux coucher avec lui. Il faudra peut-être plusieurs accouplements, je me soumettrai aux lois de la nature et je reviendrai aussi souvent que nécessaire.
- Jure-moi que tu m’aimes et que cet enfant sera le nôtre. Ne me sois pas infidèle.
- O, mon amour, pourquoi douter ? Et puis quand je serai prise, toi aussi tu coucheras avec lui jusqu’à tomber grosse.
André a suivi le dialogue, un peu éberlué. Il attend. Un bonheur n’arrive jamais seul.
-Bon, les filles, qu’est-ce qu’on décide ? Pour votre information mon sperme est gratuit. Cependant il ne s’agit pas d’une orgie, mais d’un acte grave. Je pose mes conditions. Elodie va passer dans ma chambre à coucher, enlever tous ses sous-vêtements : sa culotte n’est pas indispensable comme tamis à sperme. La force des sensations physiques augmentera nos chances d’efficacité. Vous avez certainement découvert dans vos étreintes le rôle important des caresses sur les parties érogènes de votre corps, notamment sur les seins. Donc ce joli soutien-gorge restera ici. Amandine, une question ?
- Je peux venir dans la chambre pour l’encourager ?
- Encourager ou surveiller ? Dans ma chambre on entre nue. A vous de voir. Vous regarder ou vous caresser pendant que j’ensemencerai Elodie me procurera une excitation supplémentaire, sentir votre regard sur notre union me stimulera et d’éventuels attouchements sur moi ou Elodie devraient multiplier nos frissons et la probabilité d’un succès rapide.
Je n’ai pas réussi à déterminer laquelle d’Elodie ou d’Amandine éprouvait de la répulsion pour le sexe masculin. Car Elodie dûment pénétrée, serrée sous l’homme, conduite à deux orgasmes et bénie au sperme a voulu soumettre sa conjointe au même processus au nom du principe d’égalité à l’intérieur de leur famille. Amandine s’est fait prier, a cédé et s’est allongée. Elodie a procédé aux préliminaires sur sa compagne et a revigoré le donneur. J’ai vécu des émotions violentes pendant le léchage et les caresses intra vaginales et la fellation : elle doit son adresse à des exercices sur jouets. La petite grosse cachait un tempérament volcanique. Ces minutes de repos et les gémissements d’Amandine livrée à la bouche et aux doigts d’Elodie ont rendu vigueur et dureté à la verge d’André. Il a pris la petite brune, a trouvé le chemin entre ses cuisses grassouillettes grâce à l’aide d’Elodie. Lorsqu’Amandine essoufflée par les assauts du mâle s’est mise à geindre, à sangloter de bonheur et à lâcher une interminable plainte, Elodie a voulu hâter la conclusion. Elle a saisi en main les bourses, les a malaxées. André a cessé son va-et-vient, a émis un grognement de satisfaction. Fin du marathon sexuel.
Relevé, il s’est attendri au spectacle de l’enlacement des deux amantes (faut-il dire épouses ou maris ?) sur le lit. Il s’est rendu à la salle de bain afin de permettre leurs effusions touchantes.
-Revenez dans un mois. Celle qui n’aura plus de règles ne sera pas obligée de copuler. Je vous présenterai un ami qui pourrait vous plaire et assurer encore plus surement un résultat positif.
Je passe sur les remerciements et la sortie de ce couple surprenant.
-Jean, dans un mois tu seras mis à contribution. Tu choisiras. La blonde est plus jolie, la brune est plus chaude. Voilà un filon à exploiter : engrosser à la demande les couples de lesbiennes. Vive le législateur. Je vais réfléchir à une possible rétribution financière de mes efforts. Après tout, c’est un travail ; je pourrais joindre l’utile à l’agréable. Tu pourrais améliorer tes fins de moi pour faire des cadeaux à bobonne. Tu devais me la présenter. C’est pour quand ?
-Dès ton retour de Tunis. Julie t’aura vidé les couilles, tu seras moins séduisant. Je craindrai moins que tu ne la séduises.
-Tu as toujours le mot pour rire. Ah ! Cette Julie. J’en rêve, je l’aurai. J’y mettrai tout mon savoir-faire. Un jour je la coincerai. Elle a laissé entendre que dans l’avion elle serait moins farouche. Dommage pour toi, mon ami, tu ne seras pas dans notre avion pour enregistrer la première fois. Je te promets de recommencer ici avec Julie. Seul le premier pas est difficile, ensuite ça roule. Ton tour viendra.
Quant aux autres « visiteuses » Claudine, Marcelle, Ginette et Monique le scénario est classique. André enchaîne préliminaires, possession où chacun fournit l’effort tour à tour, câlins. Les malheureuses ont du mal à s’appliquer la devise du coureur : « Je répare, je n’épouse pas ». Chacune espère devenir l’unique, un jour. L’espoir de l’attacher par l’assiduité les fera revenir. La moins persévérante laissera la place à une autre. Ainsi se succèdent-elles dans un lit qui n’a guère le temps de refroidir. Je dois toutefois noter un fait particulier.
Ce soir-là, Ginette a déjà bien fêté son héros. Elle a du mal à le quitter. La position debout dans le placard me fatigue. Soudain elle ose :
-Chéri, j’ai une question. Promets-moi de ne pas en rire. Voilà : plusieurs copines ou amies m’ont parlé de « sodomie ». Tu sais ce que c’est ? Bon. Elles disent toutes que c’est spécial, qu’une femme normale doit la pratiquer au moins une fois de temps en temps pour plaire à son mari et pour connaître des sensations différentes. Or Nicolas, le mien, ne veut pas en entendre parler. Il prétend que c’est une pratique contre nature source de blessures ou d’hémorroïdes et autres complications rectales. J’aurais voulu savoir, sentir, me faire une idée. Il m’a traitée de folle et a ajouté :
- Tu verras que ces bonnes femmes ne tiendront plus assises. Mon sexe est trop gros pour ton petit cul, je te ferais trop mal. N’est-ce pas bon comme nous faisons ?
Elle reprend son souffle :
-Je n’ai pas voulu le vexer et lui faire observer que souvent il est trop rapide. Beaucoup trop rapide pour moi. Il bat en retraite avant la montée de mon plaisir. Avec toi c’est mieux, mille fois mieux. Alors je me demande si tu ne voudrais pas me prendre par derrière, comme elles disent.
- A ton service ma chère. Mais la prochaine fois. Il faut un sexe d’homme bien dur pour passer le muscle. Tu m’as beaucoup fatigué.
- Pardon, mais juste un peu aujourd’hui. S’il te plaît.
André la met en position de levrette sur la descente de lit. Il inspecte l’orifice du bout de l’index mouillé de salive, passe une longueur d’ongle. Ginette fait « Oh ! » puis « Encore un peu, s’il te plaît ». L’index disparaît peu à peu, décrit des cercles concentriques, élargit le passage. La verge d’André ragaillardie lève la tête.
-Effectue un quart de tour, pose ta tête et ta poitrine sur le lit, avec tes mains tire sur tes fesses pour agrandir l’espace. N’aie pas peur. Au début cela peut faire mal. Signale-moi la douleur. Oh ! Le joli petit trou. Je touche, tu sens ? Je pousse, ça va ?
Ginette se montre héroïque. André lui prend le cul, elle gémit à peine. Il entame le mouvement alternatif, la plainte se fait un peu plus forte. Il veut mettre fin au supplice, elle le supplie de rester en elle mais de ne pas bouger. Il lui laisse le temps de s’accoutumer, elle réclame une sortie complète suivie d’une autre introduction. André n’écoute plus que son instinct, la force, se démène, passe un doigt sur la vulve, sur le clitoris, le chahute longuement. Ginette jouit, ne sait pas, voudrait mieux analyser.
-Excuse-moi, ce sera meilleur la prochaine fois.
-Au moins, toi tu m’aimes. Ah ! Comme j’aimerais être ta femme.
Encore une ! Elle a droit au fameux « Je répare, je n’épouse pas ». Elle s’en va avec le sourire : la prochaine fois la fait rêver
A suivre.
Je suis en plein brouillard. Cette nuit d’amour a été merveilleuse après la certitude acquise que Julie m’aimait vraiment. Hélas au réveil, ma femme s’empêtre dans des mensonges. Seule certitude pour moi désormais, elle partira pour sa liposuccion à Tunis avec André. Si l’affaire était « normale », Julie n’essaierait pas de me faire croire que sa cousine Victoire sera son accompagnatrice. Je déteste Victoire. Mais André a tenté d’abuser de Julie, il était sur le point d’entrer dans son vagin, son gland forçait le vestibule quand Julie a eu la force de le repousser ; il retentera sa chance : il est donc plus à redouter. Quelle conduite tenir jusqu’à l’embarquement ?
Je les suppose amants : ne suis-je pas paranoïaque ? Le mensonge de Julie pourrait être une maladresse imputable à la difficulté de m’avouer, à moi, son mari, qu’elle part « en amie avec un ami ». Je ne crois pas à ce genre de relation amicale qui se termine trop souvent en relation adultère; sur les deux amis un au moins est un fourbe et tentera de transformer l’amitié en amour, passera des mots aimables aux douceurs, aux contacts innocents puis aux attouchements et enfin entrainera l’autre dans des rapports charnels. Je reconnais que il est délicat pour une épouse d’annoncer à son mari :
-Tu sais mon amour, c’est mon conseiller, le moniteur de sport, qui, en raison de ton absence, veillera sur moi pendant mon séjour en Tunisie. C’est un ami très serviable, un homme d’une grande moralité. Ne crains rien, nous sommes amis seulement. Il est d’une correction absolue.
Julie me tiendrait ce discours, j’aurais tout lieu de m’alarmer. Je sais quel ami peut être André. J’ai filmé son abordage avec Julie. Il est aussi l’ami de Victoire et quel ami, honnête, dévoué, serviable, respectueux et j’en passe.
La situation me déplaît gravement. Julie, de son point de vue, a raison de la cacher et compte sur le bon déroulement de l’événement pour garder son secret. Elle part dans deux semaines, sera de retour dans trois, elle gardera dans son jardin secret la vague impression d’avoir commis un mensonge véniel, sans répercussion sur notre vie de couple. Ce serait une erreur de m’alarmer. André se sera conduit en parfait gentleman, elle-même en parfaite épouse : ce sera l’essentiel. Elle ne joue peut-être pas la comédie. Je lui accorde le bénéfice du doute, mais je la taxe de malice.
Sa facilité à me prendre pour un gogo se heurte à un dernier obstacle. Je le dresse intentionnellement :
-Je vais m’ennuyer pendant ton absence. Ça va me donner l’occasion de faire mieux connaissance avec Richard (ndlr, le mari de Victoire.)
-Tu n’y penses pas, c’est un barman toujours entre deux alcools. Enfin si tu cherches des embrouilles avec un ivrogne, libre à toi. Ecoute mon conseil, évite cet individu à problèmes, tu pourrais te retrouver au poste de police.
Ma déclaration est un coup bas. Julie va devoir faire disparaître sa complice Victoire pendant deux semaines. Comme la cousine a posé un congé, où est le problème qui donne cet air soucieux à la menteuse? Je la laisse à ses réflexions. A elle de gérer le risque supplémentaire d’être prise en flagrant délit de mensonge pour le cas où je rencontrerais en ville une Victoire supposée partie en Tunisie. Je sème des embûches, mais je ne compte guère l’entendre se rétracter. J’aimerais tant un minimum de franchise.
Simplement je vais surveiller les deux « amis ». S’ils se voient en cachette, si j’acquiers la conviction qu’ils se paient ma tête et joue à la bête à deux dos, je serai sans pitié. Une bonne douche au réveil me rend un peu de lucidité. J’ai des RTT à prendre, je vais m’en servir pour tirer la situation au clair.
Je continue mon footing avec André. J’irai jouer au preneur d’images souvent obscènes ou pornographiques dans son placard. J’accumulerai sur DVD les films de ses rapports amoureux avec les petites femmes qui se jettent dans ses bras, je me constituerai des archives. J’ai droit moi aussi à mon jardin secret. André m’aurait-il confié cette tâche s’il avait su que Julie était ma femme ? Logiquement, non. A moins d’être un grand pervers, calculateur. Le DVD dans mes mains pourrait lui faire amèrement regretter de m’avoir pris comme témoin de ses turpitudes sexuelles. Je peux en faire une bombe.
Anaïs, Claudine, Marcelle, Ginette, Amandine, Elodie et Monique se succèdent ainsi devant le caméscope entre les bras du jeune homme, avant le retour de Victoire dans son lit. Je reçois sur mon portable à chaque occasion une convocation pour dix-sept heures, je suis ponctuel. J’utilise le reste de mon temps à contrôler les sorties d’André. Le matin il suit des cours. En soirée un jour sur deux il exerce comme moniteur à la piscine, dans l’intervalle il déploie ses talents d’amant dans son appartement. Ma surveillance se révèle fructueuse. Une fois, dans la rue, Julie l’a accosté. Ils ont longuement marché. La conversation était vive. Le soir ma femme a pleuré parce que Victoire refusait de sacrifier ses vacances et gardait le billet d’avion contre vents et marées. Elle nommait Victoire mais parlait d’André, trop heureux de conserver son privilège et le bénéfice escompté d’un séjour commun.
-Mon amour, tu ne peux pas imaginer comme je suis désolée. Tu aurais dû être mon accompagnateur naturel. Si le billet d’avion n’était pas si cher…Et puis j’ai téléphoné à la compagnie aérienne, il n’y a plus une place dans cet avion. Je suis malheureuse. Oh ! Pourquoi t’es-tu décidé si tard ?
Comédienne ! Habile comédienne : Elle vient d’utiliser une élégante façon de me faire porter le chapeau. Elle vit l’instant présent, ne pense pas qu’un jour la bombe pourrait lui péter à la figure. En attendant, tous les soirs je l’aime. Je me livre à un maximum d’expériences, je rejoue avec ma femme les scènes vécues par André et son invitée du jour. L’essentiel varie peu. Mais chacune a des préférences, et j’amasse une somme de détails sur les fantaisies des femmes en amour.
Anaïs est une compulsive. Avec elle André passe une heure pleine d’activité débordante. Elle arrive, court au lit en déposant ses vêtements, se jette sur le dos, et s’écrie :
-Vite, embrasse mon con.
Trente secondes plus tard c’est :
-Grimpe-moi dessus. Bourre-moi. Je veux jouir.
Anaïs n’est pas romantique. Après le premier orgasme elle exige :
-A moi, on fait le papillon.
André y gagne un peu de repos avant l’obligatoire levrette sur le tapis devant le miroir. Tête entre les mains elle attend. Ça ne va pas assez vite, elle repose sur les épaules, envoie ses mains tirer sur ses fesses et réclame :
-Tu es paresseux aujourd’hui, grouille-toi. Défonce-moi.
-C’est toujours comme ça, se plaint André après avoir épuisé les positions les plus connues en un temps record. Anaïs est partie, André est sans énergie.
Monique, la dernière en date de ses maîtresses demande plus de tendresse, adore sucer et recevoir des caresses. Sa spécialité consiste à presser le membre d’André entre ses seins. Bien sûr elle ne part pas sans sa dose de sperme reçue en position dite du missionnaire. Après l’éjaculation elle garde le bassin en position haute. Son mari serait stérile, André répare !
L’arrivée simultanée d’Amandine et d’Elodie a surpris leur hôte. Il m’avait annoncé une belle blonde. La blonde trainait une petite brune boulotte à grosse poitrine et à la lèvre supérieure ornée d’un duvet brun, avec un regard de myope.
- Victoire m’a affirmé que vous accepteriez de nous recevoir ensemble. Annonce la boulotte.
- Elle aurait dû me prévenir, ce n’est pas dans mes habitudes. Deux femmes à la fois… Je ne vais pas reculer devant la nouveauté. Vous prendrez un verre de…
- Jamais d’alcool, ni l’une ni l’autre. Si vous avez un thé.
La blonde laisse la parole à sa copine. André les regarde et conseille :
-Je le prépare tout de suite. Voudriez-vous vous mettre à l’aise, adopter la tenue adéquate.
Visiblement il reçoit les deux souris pour la première fois. La petite commence à enlever les vêtements de la blonde.
-Ça pourrait suffire ?
André se retourne,
-Et toi ?
- Moi ? Non, c’est elle. Victoire ne vous a pas expliqué ? Bon. Elodie, c’est-elle, et moi, Amandine, nous sommes mariées récemment comme la loi le permet désormais en France. Nous voulons avoir un enfant. Nous voulons un bel enfant. Vous représentez pour nous le père idéal. Nous avons admiré votre corps à la piscine. Victoire dit que vous êtes célibataire. Les conditions sont réunies pour la procréation de notre bébé. Vous fécondez Elodie et ensuite vous n’entendrez plus parler de nous. Nous pourrons vous payer.
- Vous voulez un bébé. Je dois faire ce bébé avec Elodie. Je savais ça. Mais le bébé, ça se fait à deux, pas à trois. Vous ne voulez qu’un enfant. Vous Amandine vous ne souhaitez pas devenir mère ?
-Vous m’avez comprise, rétorque la chef de famille. L’enfant sera notre enfant. Nous ne voulons pas attendre une éventuelle loi sur la PMA (ndlr : procréation médicalement assistée). La collaboration généreuse d’un bel étalon nous semble plus conforme à nos valeurs que l’utilisation de sperme congelé dans un laboratoire anonyme déshumanisé. Cependant Elodie ne voudrait pas s’amouracher du procréateur et demande que je la seconde pendant l’acte.
-Ah ? Comment veux-tu la seconder ? En lui tenant la main, en me chatouillant ou en priant pour que la première insémination produise un effet immédiat ? Vous faites de moi « un étalon » ? Pour faire un enfant il faut un minimum de sentiment et d’intimité. Vous faites une légère erreur, je ne suis pas un automate distributeur de sperme auquel il suffit de tendre une pièce de monnaie pour se retrouver enceinte.
- Vous nous refusez ce service ? Je regrette, Elodie rhabille-toi, ne perdons pas notre temps.
Stupéfaction : Elodie a une voix et la fait enfin entendre :
-Cette fois, Amandine, tu exagères. Monsieur me plaît…
- Voilà pourquoi il faut le quitter.
- Non, raison de plus pour rester. J’en ai marre d’aller d’un moche à un plus moche. Je veux mon bébé avec lui. Et il a raison. Il a sa dignité d’homme. Que tu le veuilles ou non, je reste, je veux coucher avec lui. Il faudra peut-être plusieurs accouplements, je me soumettrai aux lois de la nature et je reviendrai aussi souvent que nécessaire.
- Jure-moi que tu m’aimes et que cet enfant sera le nôtre. Ne me sois pas infidèle.
- O, mon amour, pourquoi douter ? Et puis quand je serai prise, toi aussi tu coucheras avec lui jusqu’à tomber grosse.
André a suivi le dialogue, un peu éberlué. Il attend. Un bonheur n’arrive jamais seul.
-Bon, les filles, qu’est-ce qu’on décide ? Pour votre information mon sperme est gratuit. Cependant il ne s’agit pas d’une orgie, mais d’un acte grave. Je pose mes conditions. Elodie va passer dans ma chambre à coucher, enlever tous ses sous-vêtements : sa culotte n’est pas indispensable comme tamis à sperme. La force des sensations physiques augmentera nos chances d’efficacité. Vous avez certainement découvert dans vos étreintes le rôle important des caresses sur les parties érogènes de votre corps, notamment sur les seins. Donc ce joli soutien-gorge restera ici. Amandine, une question ?
- Je peux venir dans la chambre pour l’encourager ?
- Encourager ou surveiller ? Dans ma chambre on entre nue. A vous de voir. Vous regarder ou vous caresser pendant que j’ensemencerai Elodie me procurera une excitation supplémentaire, sentir votre regard sur notre union me stimulera et d’éventuels attouchements sur moi ou Elodie devraient multiplier nos frissons et la probabilité d’un succès rapide.
Je n’ai pas réussi à déterminer laquelle d’Elodie ou d’Amandine éprouvait de la répulsion pour le sexe masculin. Car Elodie dûment pénétrée, serrée sous l’homme, conduite à deux orgasmes et bénie au sperme a voulu soumettre sa conjointe au même processus au nom du principe d’égalité à l’intérieur de leur famille. Amandine s’est fait prier, a cédé et s’est allongée. Elodie a procédé aux préliminaires sur sa compagne et a revigoré le donneur. J’ai vécu des émotions violentes pendant le léchage et les caresses intra vaginales et la fellation : elle doit son adresse à des exercices sur jouets. La petite grosse cachait un tempérament volcanique. Ces minutes de repos et les gémissements d’Amandine livrée à la bouche et aux doigts d’Elodie ont rendu vigueur et dureté à la verge d’André. Il a pris la petite brune, a trouvé le chemin entre ses cuisses grassouillettes grâce à l’aide d’Elodie. Lorsqu’Amandine essoufflée par les assauts du mâle s’est mise à geindre, à sangloter de bonheur et à lâcher une interminable plainte, Elodie a voulu hâter la conclusion. Elle a saisi en main les bourses, les a malaxées. André a cessé son va-et-vient, a émis un grognement de satisfaction. Fin du marathon sexuel.
Relevé, il s’est attendri au spectacle de l’enlacement des deux amantes (faut-il dire épouses ou maris ?) sur le lit. Il s’est rendu à la salle de bain afin de permettre leurs effusions touchantes.
-Revenez dans un mois. Celle qui n’aura plus de règles ne sera pas obligée de copuler. Je vous présenterai un ami qui pourrait vous plaire et assurer encore plus surement un résultat positif.
Je passe sur les remerciements et la sortie de ce couple surprenant.
-Jean, dans un mois tu seras mis à contribution. Tu choisiras. La blonde est plus jolie, la brune est plus chaude. Voilà un filon à exploiter : engrosser à la demande les couples de lesbiennes. Vive le législateur. Je vais réfléchir à une possible rétribution financière de mes efforts. Après tout, c’est un travail ; je pourrais joindre l’utile à l’agréable. Tu pourrais améliorer tes fins de moi pour faire des cadeaux à bobonne. Tu devais me la présenter. C’est pour quand ?
-Dès ton retour de Tunis. Julie t’aura vidé les couilles, tu seras moins séduisant. Je craindrai moins que tu ne la séduises.
-Tu as toujours le mot pour rire. Ah ! Cette Julie. J’en rêve, je l’aurai. J’y mettrai tout mon savoir-faire. Un jour je la coincerai. Elle a laissé entendre que dans l’avion elle serait moins farouche. Dommage pour toi, mon ami, tu ne seras pas dans notre avion pour enregistrer la première fois. Je te promets de recommencer ici avec Julie. Seul le premier pas est difficile, ensuite ça roule. Ton tour viendra.
Quant aux autres « visiteuses » Claudine, Marcelle, Ginette et Monique le scénario est classique. André enchaîne préliminaires, possession où chacun fournit l’effort tour à tour, câlins. Les malheureuses ont du mal à s’appliquer la devise du coureur : « Je répare, je n’épouse pas ». Chacune espère devenir l’unique, un jour. L’espoir de l’attacher par l’assiduité les fera revenir. La moins persévérante laissera la place à une autre. Ainsi se succèdent-elles dans un lit qui n’a guère le temps de refroidir. Je dois toutefois noter un fait particulier.
Ce soir-là, Ginette a déjà bien fêté son héros. Elle a du mal à le quitter. La position debout dans le placard me fatigue. Soudain elle ose :
-Chéri, j’ai une question. Promets-moi de ne pas en rire. Voilà : plusieurs copines ou amies m’ont parlé de « sodomie ». Tu sais ce que c’est ? Bon. Elles disent toutes que c’est spécial, qu’une femme normale doit la pratiquer au moins une fois de temps en temps pour plaire à son mari et pour connaître des sensations différentes. Or Nicolas, le mien, ne veut pas en entendre parler. Il prétend que c’est une pratique contre nature source de blessures ou d’hémorroïdes et autres complications rectales. J’aurais voulu savoir, sentir, me faire une idée. Il m’a traitée de folle et a ajouté :
- Tu verras que ces bonnes femmes ne tiendront plus assises. Mon sexe est trop gros pour ton petit cul, je te ferais trop mal. N’est-ce pas bon comme nous faisons ?
Elle reprend son souffle :
-Je n’ai pas voulu le vexer et lui faire observer que souvent il est trop rapide. Beaucoup trop rapide pour moi. Il bat en retraite avant la montée de mon plaisir. Avec toi c’est mieux, mille fois mieux. Alors je me demande si tu ne voudrais pas me prendre par derrière, comme elles disent.
- A ton service ma chère. Mais la prochaine fois. Il faut un sexe d’homme bien dur pour passer le muscle. Tu m’as beaucoup fatigué.
- Pardon, mais juste un peu aujourd’hui. S’il te plaît.
André la met en position de levrette sur la descente de lit. Il inspecte l’orifice du bout de l’index mouillé de salive, passe une longueur d’ongle. Ginette fait « Oh ! » puis « Encore un peu, s’il te plaît ». L’index disparaît peu à peu, décrit des cercles concentriques, élargit le passage. La verge d’André ragaillardie lève la tête.
-Effectue un quart de tour, pose ta tête et ta poitrine sur le lit, avec tes mains tire sur tes fesses pour agrandir l’espace. N’aie pas peur. Au début cela peut faire mal. Signale-moi la douleur. Oh ! Le joli petit trou. Je touche, tu sens ? Je pousse, ça va ?
Ginette se montre héroïque. André lui prend le cul, elle gémit à peine. Il entame le mouvement alternatif, la plainte se fait un peu plus forte. Il veut mettre fin au supplice, elle le supplie de rester en elle mais de ne pas bouger. Il lui laisse le temps de s’accoutumer, elle réclame une sortie complète suivie d’une autre introduction. André n’écoute plus que son instinct, la force, se démène, passe un doigt sur la vulve, sur le clitoris, le chahute longuement. Ginette jouit, ne sait pas, voudrait mieux analyser.
-Excuse-moi, ce sera meilleur la prochaine fois.
-Au moins, toi tu m’aimes. Ah ! Comme j’aimerais être ta femme.
Encore une ! Elle a droit au fameux « Je répare, je n’épouse pas ». Elle s’en va avec le sourire : la prochaine fois la fait rêver
A suivre.
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Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
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Commentaires du récit : Liposuccion 7
Le 21/10/2013 - 17:58 par Veilleur
A POLPOLP Merci d'avoir si bien compris ma façon de procéder
A POLPOLP Merci d'avoir si bien compris ma façon de procéder
Le 20/10/2013 - 23:11 par Veilleur
A nenes. Excuse-moi d'avoir mal interprété ton mot. Je me réjouis de savoir que tu fais partie de ceux qui apprécient. Certains thèmes sont plus porteurs et plus payants que d'autres tels l'inceste et la zoophilie sur certains sites, le SM ici me dis-tu. Il en faut pour tous les goûts, dans les limites de ce que supporte la charte de chaque site. Merci de ton soutien. L'essentiel n'est pas dans la notation, mais de produire des choses qui plaisent. Ton avis me rassure.
A nenes. Excuse-moi d'avoir mal interprété ton mot. Je me réjouis de savoir que tu fais partie de ceux qui apprécient. Certains thèmes sont plus porteurs et plus payants que d'autres tels l'inceste et la zoophilie sur certains sites, le SM ici me dis-tu. Il en faut pour tous les goûts, dans les limites de ce que supporte la charte de chaque site. Merci de ton soutien. L'essentiel n'est pas dans la notation, mais de produire des choses qui plaisent. Ton avis me rassure.
Le 20/10/2013 - 16:38 par polpolp
Bonjour Veilleur, je tien à te féliciter et t'encourager pour toute tes séries et textes, j'ai absolument tout lu et ces types de récits avec une histoire et des rebondissements et a la fois des scènes "sexe" très bien décrite sont absolument géniaux. Donc continue ainsi, j'attends avec impatience la suite ^^
Bonjour Veilleur, je tien à te féliciter et t'encourager pour toute tes séries et textes, j'ai absolument tout lu et ces types de récits avec une histoire et des rebondissements et a la fois des scènes "sexe" très bien décrite sont absolument géniaux. Donc continue ainsi, j'attends avec impatience la suite ^^
Le 20/10/2013 - 08:41 par nenes
le commentaire n'est pas une attaque contre toi au contraire j'aime beaucoup tes texte c'est par rapport aux notes donné par les lecteurs par exemple la personne devant toi au classement n'a que 14 textes SM et tout ces titres ont en moynne 12 points
le commentaire n'est pas une attaque contre toi au contraire j'aime beaucoup tes texte c'est par rapport aux notes donné par les lecteurs par exemple la personne devant toi au classement n'a que 14 textes SM et tout ces titres ont en moynne 12 points
Le 20/10/2013 - 04:16 par Veilleur
34200 consultations d'un de mes textes sur ce site. Plus de 6530 consultations en moyenne par texte pour 95 textes sur un autre site, soit un total de plus de 620400 clics : certains font beaucoup mieux. Je ne me plains pas. Je me connais un ennemi, il voyage sous différents pseudos, je n'en mourrai pas.
34200 consultations d'un de mes textes sur ce site. Plus de 6530 consultations en moyenne par texte pour 95 textes sur un autre site, soit un total de plus de 620400 clics : certains font beaucoup mieux. Je ne me plains pas. Je me connais un ennemi, il voyage sous différents pseudos, je n'en mourrai pas.
Le 20/10/2013 - 03:59 par Veilleur
Liposuccion 850 lecteurs entre le 12 et le 20/10, je trouve que ce n'est pas mal. Malgré un commando malveillant qui a cherché à détruire le site, j'ai le sentiment d'être apprécié par un petit nombre. Les responsables du site ne m'ont pas adressé d'avertissement: ils me tolèrent. Faisais-tu partie du commando ? J'ai un doute assez fort; tes deux interventions sont signe de jouissance étrange.
Liposuccion 850 lecteurs entre le 12 et le 20/10, je trouve que ce n'est pas mal. Malgré un commando malveillant qui a cherché à détruire le site, j'ai le sentiment d'être apprécié par un petit nombre. Les responsables du site ne m'ont pas adressé d'avertissement: ils me tolèrent. Faisais-tu partie du commando ? J'ai un doute assez fort; tes deux interventions sont signe de jouissance étrange.
Le 20/10/2013 - 03:53 par Veilleur
J'en doute. on m'a refusé un texte sans SM, mais avec un peu de violence. Tu te trompes d'adresse. Fais-tu partie de la maison? Administrateur, modérateur correcteur, conseiller ? Si tu n'aimes pas mes textes tu n'es pas obligé de les lire. Tu peux même voter contre. Je ne connais pas SM, donc j'évite de parler de choses que je ne connais pas. Je raconte des histoires inspirées de faits divers, je brode autour d'un article de journal ou d'un compte rendu de tribunal. On y trouve rarement du SM. Pardon de ne pas te plaire. As-tu trouvé un spécialiste du FM ici. Guide-moi vers un de ses textes.
J'en doute. on m'a refusé un texte sans SM, mais avec un peu de violence. Tu te trompes d'adresse. Fais-tu partie de la maison? Administrateur, modérateur correcteur, conseiller ? Si tu n'aimes pas mes textes tu n'es pas obligé de les lire. Tu peux même voter contre. Je ne connais pas SM, donc j'évite de parler de choses que je ne connais pas. Je raconte des histoires inspirées de faits divers, je brode autour d'un article de journal ou d'un compte rendu de tribunal. On y trouve rarement du SM. Pardon de ne pas te plaire. As-tu trouvé un spécialiste du FM ici. Guide-moi vers un de ses textes.
Le 19/10/2013 - 17:42 par nenes
Et ici ont préfère le SM
Et ici ont préfère le SM
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