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La caresse d'un regard

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Lue : 778 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 13/03/2022

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Je m’étire langoureusement, évitant de réveiller mon amant d’une nuit. Malgré cette nuit torride, je ne peux m’empêcher de culpabiliser, et me rappeler les moments difficiles, vécus en famille.
Je ne pourrais dire depuis combien de temps, maman trompe papa, mais je dois dire que, depuis l’âge de douze ans, j’en a vu défiler des amants. Combien de fois ai-je du boucher mes oreilles pour ne pas l’entendre crier, quand elle jouissait. Mais le pire, c’est quand elle comparait les performances au lit, de son amant, à celui de mon père. J’en pleurais, seule dans ma chambre. A seize ans, je voulu en savoir d’avantage, et par la porte entre ouverte, j’assistais au ébats frénétiques de maman. Je voyais l‘énorme bite de ses amants pénétrer sa chatte en profondeur, je la voyais sucer leur bite, avalé leur semence. La, je pouvais compare les mensurations de ses partenaires de jeux, à celle de mon père, pour l’avoir aperçu, au hasard d’une douche.
Ses images m’ont toujours marquées.
Et voila qu’aujourd’hui, dans le taxi qui me ramène chez moi, je réalise que je viens de faire ce que j’ai toujours reproché à ma mère...tromper mon mari.
Il est vrai, que depuis quelques temps, mon couple bat de l’aile, mon époux ayant tendance d’aller voir ailleurs si les chattes sont mieux épilées que la mienne.
Hier soir, par exemple, nous nous sommes couchés, sur une dispute.
Ce matin, j’arrive donc au bureau et découvre un message sur mon répondeur. C’est mon mari qui m’informe, qu’il ne rentrera pas de la semaine.
Heureusement, le travail me fait oublier les frasques d’un mari infidèle.
Ce soir, après une dure journée au bureau, je décide de profiter de mon célibat, pour aller me défouler au complexe sportif, et plus particulièrement, à la salle de gym, espérant y trouver des connaissances.
C’est à ce moment que je reçois un appel de Sylvie, ma meilleure amie, m’invitant à une soirée chez elle, sans d’autres précisions. Il est certain que l’ambiance sera plus détendue chez ma copine, qu’à la salle de gym.
Et les rencontres risquent d’y être plus intéressantes. Du coup, je monte chez moi, changer de tenue, pour une plus appropriée à ce genre de soirée. J’opte pour un tailleur gris, et des chaussures à petit talons.
Il est vingt heures quand j’arrive chez Sylvie.
Elle me détaille de la tête aux pieds, met sa main devant sa bouche pour ne pas éclater de rire. Elle trouve ma tenue vestimentaire vieillotte, pour une jolie femme de vingt huit ans. Devant ma gêne, elle me demande de me déshabiller, et ouvre sa garde robe. Elle est morte de rire en voyant mon soutien gorge, et ma culotte de grand-mère. Elle me demande de quitter tous ça. Je me retrouve entièrement nue devant ma copine.
« Dommage que tu n’aimes pas les filles, me dit-elle ».
Me sentant gênée, elle me dit que ce n’est pas la première chatte épilée qu’elle voit. Elle me passe un string, me fait essayer une courte jupe, et un petit haut échancré. Pas de soutien gorge. D’après elle, ma magnifique poitrine, n’en nécessite pas.
Le tout est perché sur des escarpins de huit centimètres. Je me place devant la glace, et avoue me trouver très belle, très désirable. Sylvie a un sifflement admiratif en me faisant tourner sur place.
En discutant, je lui avoue qu’on traverse une période difficile, avec mon mari. Elle me dit que justement, cette soirée va me détendre, et me faire oublier mes soucis.
Vers vingt deux heures, Une dizaine d’invités arrivent. Je connais la plupart des filles, Jenny, Cindy, Roberta, mais sur les quatre garçons, je n’en connais qu’un, et encore, de vue.
Sylvie s’empresse de faire les présentations. Kevin, Lucas, Jérôme.
Je me sens de suite troublée par le sourire, et le regard perçant de Lucas. Je sens son regard caresser mon corps avec intensité. Je suis scotchée devant tant de beauté.
Je suis sauvée de ce mauvais pas, quand Sylvie apporte les toasts et les boissons.
Après quelques gorgées, Sylvie met une musique douce, composés de slows langoureux. Je ne suis pas surprise, quand Lucas s’avance vers moi, et m’invite à danser. Il me prend par la taille, tandis que je pose mes mains sur ses épaules. Je sens de suite son souffle dans mon cou, ce qui est loin d’être désagréable. Sa bouche s’approche de mon oreille, me murmure des mots coquins. Je ne peux m’empêcher de sourire.
A la fin de la danse, Sylvie me rejoint, me rappelle que je suis mariée, de ne pas tout gâcher pour un moment de plaisir. Elle me dit de faire attention à Lucas, réputé pour être un homme à femme, et un baiseur hors pair, de surcroît, et qu’il en a rien à foutre de moi.
Je la rassure, en lui disant que ce n’est pas parce que je suis en froid avec mon mari, que je vais le tromper, et baiser avec le premier venu.
Sylvie m’invite à prendre un verre. Nous sommes rejoint par Lucas.
Sylvie en profite pour mettre les choses au point. Elle lui rappelle que je suis mariée, et que je ne suis pas là, pour me faire troncher, que mon mari peu très bien le faire. Le vocabulaire employé me surprend un peu.
Du coup, sur le prochain slow, Lucas invite Roberta, comme lui, de souche italienne. Quant à moi, je me coltine...Sylvie. Près de nous, je vois Lucas serrer sa partenaire. J’avoue ressentir une pointe de jalousie.
Sylvie comprend mon désarroi, me demande s’il me plaît.
Je lui avoue que, célibataire, je me laisserai facilement séduire.
Elle me dit que de nos jours, le mariage n’est plus un obstacle. Combien d’épouses commettent l’adultères ? Certaines mêmes avec la bénédiction de leur mari.
Je lui avouais que Lucas m’attirais physiquement, mais loin de moi le fait que mon mari sache que je l’ai trompé.
Sylvie me fit remarquer que si mon envie, était de me faire baiser par Lucas, je pouvait compter sur sa discrétion, et éventuellement me couvrir.
Soudain Lucas lâche Roberta, me prend la main, et m’attire au milieu du salon. D’entrée, il me prend par la taille, ce qui m’oblige à passer mes bras autour du son cou. Nos corps sont pratiquement en osmoses, collés un à l’autre. Je me sens déstabilisée quand je sens son souffle chaud dans mon cou. Je le suis encore plus, quand il me caresse le dos.
La danse fini, j’en profite pour rejoindre Sylvie qui lit ma détresse. Elle avait suivi la scène. Elle me demande de me lâcher si j’ai réellement envie de lui. Elle me propose de me prêter sa chambre, me promet encore de me couvrir.
Le slow qui s’ensuit, est plus chaud.
Les mains deviennent plus entreprenantes. Lucas caresse toujours mon dos, mais sous le petit haut cette fois. Un agréable frisson me parcours l’échine. Le bel italien va plus loin, colle sa joue contre la mienne, me mord l’oreille. Je le repousse légèrement, en souriant. Nos visages se croisent, nos lèvres s’effleurent, pour devenir un vrai baiser. Je suis en train de succomber aux avances du beau latino. Je sais que je vais faire une énorme bêtise, que je vais tromper mon mari, moi, si fidèle, mais je suis attiré par la virilité ce bel inconnu. Finalement, il m’invite à finir la soirée chez lui.
Je bois une gorgée, et retourne à la table. Je me penche sur Sylvie, lui parle à l’oreille. Celle-ci me regarde en souriant, me souhaite de passer une bonne nuit. Je retourne au buffet, ou m’attend mon bel italien.
Arrivé dans l’appartement, j’arrache littéralement les vêtements de Lucas. Je me déshabille à mon tour, apparaît entièrement nue devant lui, ce qui provoque un sifflement admiratif en me voyant ainsi. Tout comme moi, en voyant les mensurations colossales de son sexe...au repos.
Nous roulons sur le lit, nous donnons de farouches baisers. Sans retenu. Je saisis l’énorme queue, la décalotte, la branle doucement, me penche, et la prends en bouche. Les mains de Lucas caressent mes superbes seins, fait rouler les bouts chargés de désir entre ses doigts. Doucement, sa main descend entre mes cuisses, caresse ma chatte parfaitement épilée, excite mon clitoris.
Lentement, il me couche sur le dos, plonge son visage entre mes cuisses. Je sens sa langue pénétrer ma chatte, ses lèvres aspirer mon petit bouton. Il sait y faire le salaud. Il remonte sur moi, me prend les lèvres. Je sens sa queue en érection contre mon ventre.
Lentement, l’énorme calibre ouvre mes lèvres intimes, s’installe dans ma chatte. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir, dès les premiers coups de reins. Puis les va et vient s’accélèrent, mes ongles labourent son dos. Il s’arrête, reprend, et ainsi de suite. Quel enfoiré, il joue avec moi. Puis les coups reprennent de plus belle. C’est là que j’atteins l’orgasme, dans un cri de plaisir. A peine remise, qu’il me fait mettre à quatre pattes, me demande si j’aime la levrette.
J’ai l’impression qu’avec lui, j’aime tout. Je cambre ma croupe, pour qu’il puisse mieux me prendre. La bite me pénètre lentement, puis la machine se met en marche, inlassablement. Quand il s’arrête, c’est moi qui fait des va et vient sur son calibre. Pendant cette scène, qui a duré à peine une vingtaine de minutes, j’ai joui deux fois.
Lentement, Lucas se retire. De sa queue décalottée, il excite mon petit trou, reste dans cette position quelques secondes, silencieux.
Je sens le gland énorme faire pression sur le petit orifice, qui petit à petit, se dilate. Même si l’y va doucement, il sent que j’ai mal, stoppe sa progression.
La colossale queue reprend sa progression. Je sens qu’il a tout rentré, quand je sens ses grosses couilles frapper contre mes fesses. Lucas reste un court instant immobile, puis entame de lent va et vient. Finalement, j’apprécie la sodomie. Je sens la queue se tendre d’avantage.
Il se retire d’un coup, et vient se placer devant moi. Sa bite s’enfonce dans ma bouche, tandis que ses doigts fouillent ma chatte, excite mon petit bouton. Soudain, la jouissance, ensemble. Il crache copieusement dans ma bouche, à m’en étouffer. Il prend tout son temps pour vider ses grosses couilles. J’avale tout…vais même jusqu’à nettoyer le bout de la queue.
Lucas n’a pas de répit. Il se couche sur moi. Sa bite s’enfonce à nouveau dans ma chatte pleine de mouille. Moi-même suis en nage. En une nuit, je suis passé du routinier, au torride, à l’exceptionnel…avec un amant exceptionnel. Il prend plaisir à me faire crier, à me faire jouir, à plusieurs reprises. Je n’ai jamais vécu une relation aussi forte. Lucas a su réveiller la cochonne qui sommeillait en moi.
Il connaît les femmes, sait ce qu’elles aiment. Il sait les rendre folle, à faire renier leur mari, même aux femmes les plus fidèles.
Épuisée, je m’écroule sur le lit. Lucas me prend dans ses bras, me donne un tendre baiser. Il veut me prendre encore. Comment lui refuser. Nous poursuivons nos jeux libertins sous la douche, ou là encore j’atteins un énième orgasme.
Nous allons au lit, et nous assoupissons dans les bras l’un de l’autre.
Il aura suffit de la caresse d’un regard, pour me laisser séduire.
Il est dix heures du matin quand je me réveille. Je m’étire langoureusement, évitant de réveiller mon amant d’une nuit.
Sur le chemin qui me ramène chez Sylvie, je pense soudain à ma mère. Je revois la queue de ses amants baiser sa chatte, sodomiser son petit trou, se branler dans sa bouche, jusqu’à l’éjaculation. Je suppose que comme moi cette nuit, elle devait tout avaler. Je me dis que si elle a connu le bonheur, que j’ai connu cette nuit, elle a dû être heureuse.
Je peux comprendre qu’elle est trompé son mari, et ne l’en blâme pas.
J’arrive chez Sylvie, pour mettre en place un alibi. Je la trouve au lit, entièrement nue, enlacée dans les bras de Roberta. Elles sont magnifiques.
En voyant les cernes sous mes yeux, elle comprend que la nuit à du être torride. Je lui avoue quelle l’a été. Que Lucas est un amant exceptionnel, increvable. Je lui avoue aussi qu’il n’y à pas photo, quand elle me demande s’il est mieux monté que mon mari.
Et voila. La vie reprend ses droits, avec son lot d’infidélités, les disputes en moins, car j’ai décidé de m’aligner sur le comportement de mon mari. J’entretiens, depuis peu, une relation discrète, avec un collègue de travail, célibataire. Il est hors de question, pour moi, de détruire un couple. Quant à Lucas, Sylvie avait raison. Je n’avais été pour lui, que l’aventure d’une nuit.
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Histoire de Aurore34

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