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La chambre d'hôte

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/02/2024

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Pour la St Valentin 2023, Libertin avait loué 3 nuits dans une chambre d'hôte dans les Ardennes.
Lorsque nous sommes arrivés j'étais aux anges car du salon nous avions vue sur un ruisseau et la roue à aubes jouxtant la maison.
Nous avons défait les bagages, pris une douche, puis sommes allés manger dans un petit restaurant que nous avait indiqué le proprio.
A notre retour, au salon, il y avait un autre couple (d'autres hôtes) et le proprio qui buvaient un verre tranquillement. La pièce était bien chauffée grâce à un feu de bois, l'atmosphère était douce et tranquille.
Le proprio nous a invité à prendre place sur un divan et nous a servi un petit alcool assez corsé. Pendant plus d'une heure nous avons conversé tous ensemble en buvant un peu déraisonnablement.
Quand nous avons regagné notre chambre nous étions tellement fourbus que nous nous sommes endormi directement.
Le lendemain matin, c'est en nuisette (non, pas transparente) que je suis descendue, accompagnée de Libertin, au petit déjeuner. L'autre couple était déjà en train de manger, il partait juste après et nous avons été déçus car ils étaient fort sympathiques.
Le petit déjeuner terminé, nous avons pris congé de l'autre couple et sommes allés dans notre chambre afin de nous habiller chaudement pour aller marcher dans les bois. C'était magnifique, un silence total et des petits chemins bien balisés.
Lorsque nous sommes rentrés la chaleur du feu de bois nous a presque étouffés et nous sommes montés dans notre chambre pour nous changer.
Comme nous allions encore au resto, nous avons mis des tenues plus élégantes que le matin, ainsi Libertin a mis un jean et une chemise, tandis que moi je me suis parée d'une robe.
Au resto tout fut impeccable, nourriture et service.
L'après-midi nous avons fait quelques jeux de table avec le proprio, j'ai perdu presque à chaque fois (Rrrr !).
Vers 17h Libertin est allé se changer et mettre un training, il voulait aller courir et ce n'est pas ma came.

Restée seule avec le proprio j'ai pris place sur le divan et il m'a servi un chocolat chaud puis s'est assis face à moi et nous avons discuté.
Le chocolat chaud ajouté à la chaleur de la pièce ont eu pour effet que, sans arrière-pensées, j'ai ouvert ma robe d'un bouton supplémentaire et ai dévoilé quelque peu ma poitrine. Cela ajouté à mes jambes très légèrement cachées, le type a dû penser que je le chauffais. Son regard sur moi a changé, sa conversation et le ton qu'il lui donnait aussi.
Je m'en suis très vite aperçue, faut dire qu'il n'était pas très discret à me mater !
Mais j'aime être regardée, désirée, alors j'ai eu envie de jouer avec lui et me suis amusée à croiser et décroiser mes jambes, les écartant légèrement par moments.
Il m'a posé tout un tas de question sans quitter mes cuisses du regard, des questions pour savoir depuis combien de temps Libertin et moi étions ensemble, si c'était mon premier amour,...
Jusqu'au moment où il m'a dit, textuellement, "une aussi jolie jeune femme que vous doit avoir de nombreuses propositions, il doit vous être difficile d'être fidèle ?".
Je lui ai répondu qu'il n'est pas plus difficile d'être fidèle qu'infidèle, que c'est une question d'envie.
A cet instant il s'est levé et j'ai cru qu'il allait venir près de moi, mais Libertin est revenu à ce moment-là.
Je l'ai accompagné dans notre chambre et il est allé prendre une douche. Quand il en est sorti je lui ai raconté tout et il m'a dit que j'étais incorrigible, il a même ajouté que si il avait su il serait revenu 1/2 h plus tard.

Le soir, c'est en compagnie du proprio que nous sommes allés manger, l'homme n'était plus le même, il semblait mal à l'aise quand Libertin lui parlait.
Au retour nous avons encore bu un verre ensemble, mais vers 23 h Libertin a prétexté être complètement mort et est allé se coucher en me laissant seule avec l'homme.
Quand il m'a fait un petit baiser d'aurevoir, Libertin m'a susurré "bon amusement", ce qui voulait dire qu'il me donnait carte blanche si je le désirais.

Et bien OUI, je le désirais ! Depuis l'après-midi je ne cessais de penser à ce qui aurait pu se passer si Libertin était revenu plus tard de son jogging, les images traversaient sans cesse mon esprit. Il faut dire que cet homme, malgré son âge, avait une magnifique prestance malgré son gros bidon. Très soigné et assez distingué, il ne me laissait pas indifférente.
Portant toujours la même robe que l'après-midi, j'ai profité d'une courte absence de sa part pour dégager un peu plus ma poitrine et déboutonner le bas de ma robe d'un cran supplémentaire.
Si il ne comprenait pas l'offre que je lui faisais c'est qu'il était aveugle, mais il me prouva que non.
- "Je viens de passer devant votre chambre, votre mari n'avait pas fermé la porte et j'ai vu qu'il dormait à poings fermés, je me suis permis de pousser la porte à fond".
Je lui ai répondu qu'il avait bien fait, qu'ainsi nous pourrions parler sans le réveiller.
- "Oui, j'ai tellement envie de vous complimenter et votre mari serait certainement jaloux".
- "Mon mari n'est pas jaloux, pas du tout. Et j'aime les compliments".
Aussitôt ils ont fusés: Vous êtes superbe, la femme idéale pour tout homme bien constitué, vos jambes sont merveilleuses et tellement bien mises en valeur avec votre petite robe qui n'en cache pas grand chose,...
- "Oui, j'adore cette robe, même si je la trouve un peu sage. J'ai plus l'habitude de mettre des jupes très courtes".
- " Très courtes ? Comment ?".
Je me suis levée et , en lui tournant le dos, ai remonté ma robe jusqu'à ras des fesses en lui disant "Comme ça".
Il ne disait plus rien, juste il matait mon cul. Mais il ne bougeait pas !
Alors, à reculons, je me suis approchée de lui jusqu'à toucher ses genoux. Il n'avait que la main à tendre, mais ne le faisait pas.
Tout allait vite dans ma tête, j'ai deviné qu'il n'osait rien faire de peur que Libertin ne descende et nous surprenne.
- "Comme je vous l'ai dit, mon mari n'est pas du tout jaloux, soyez sans crainte".
Enfin il a osé ! Ce n'est pas une, mais deux mains qui se sont posées sur mon fessier. D'abord immobiles, puis caressantes, mais il ne pénétrait pas ma petite culotte.
C'est encore moi qui ai dû l'encourager:
- "Tu peux m'enlever ma culotte si tu veux".
Il me l'a ôtée, je me suis tournée face à lui et ai mis un pied sur l'accoudoir de son fauteuil, l'écart entre son visage et ma chatte était si court qu'il devait en sentir son odeur, l'odeur du désir.
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Histoire de lucrece

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Commentaires du récit : La chambre d'hôte

Le 19/02/2024 - 11:15 par Bigben0308
Tjrs aussi excitante chère Lucrece

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