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La clef partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/03/2023

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LA CLEF

partie 1

VIOLETTE

--Tu es sûr que c'est possible?, je lui ai demandé.
--Ca va passer comme une lettre à la poste.
Il était sept heures dix et on a vu la femme de ménage sortir du local avec son chariot, puis s'engager dans le couloir et disparaître. On était dans l'ombre, et elle ne nous avait même pas remarqués.
--On aura une demi-heure pour nous. Je rentre, je récupère la clef. Personne n'arrive avant sept heures quarante, crois-moi, j'ai bien observé. C'est toujours la même personne, d'ailleurs.
--Si ce n'est pas le cas...Imagine qu'il soit là quand tu veux remettre la clef. Ou alors qu'il rentre dans la salle pile au moment où tu y es...
--Je trouverai un moment pour m'y glisser. D'autant que la salle donne sur deux autres ouvertures.Trois manières de rentrer. Trois manières de sortir. Je m'échapperai facilement.
Il attendait mon approbation.
--Bon, on va essayer. Demain ?
--Et pourquoi pas maintenant ?
--Je ne me sens pas prête. Laisse-moi jeter un coup d'oeil, j'ai ajouté.
Sortant du no man's land d'obscurité dans lequel nous nous tenions, je me suis glissée dans le couloir, et j'ai entrouvert la porte.
Il y avait bien, accrochées aux murs, deux clefs. J'ai refermé la porte, et on s'est éloignés.
Il faut sans doute que je reprenne l'histoire à son tout début.
Mika et moi on est tous les deux étudiants dans un centre de formation pour apprentis. Mika fait de l'électricité, et moi des biotechnologies.
Il y a beaucoup de monde ici, et beaucoup de formations. On se côtoie, on se mélange, et c'est comme ça que lui et moi, une soirée de jeudi, on nous prête une salle et on peut passer la soirée comme on veut à condition de ne pas consommer d'alcool et bien évidemment de stupéfiants, on s'est rencontrés. Je ne croyais pas, et je ne crois toujours pas au coup de foudre, en tout cas, il y a eu entre lui et moi une alchimie particulière et immédiate, une sorte de fascination mutuelle. J'ai été m'asseoir à sa table. Banalement, il faisait des réussites. On ne s'est plus séparés. On s'est tout de suite bien entendus, et ça a dérivé bien vite sur une attirance indéniable, qui s'est accrue au fil du temps. Une envie de l'autre. De se rapprocher charnellement.

MIKA
Au début, il n'y a eu que des heures de discussion, puis les premiers effleurements, et des baisers, de vrai baisers, intenses, appuyés, profonds, et le désir d'aller plus loin.
C'est là que les choses ont commencé à devenir problématiques.
Il y avait pas mal de barrières à ce rapprochement. D'abord, le fait qu'on habitait vraiment loin l'un de l'autre. Le centre recrutait sur un bassin large,et les apprentis pouvaient venir de très loin. Certains étaient par contre très proches.
Ce n'était pas notre cas à Violette et à moi. Disons, pour schématiser, mais cette schématisation n'était pas loin de la vérité, qu'elle était à l'extrême nord de la zone de recrutement, et moi à l'extrême sud. Elle faisait un trajet de quasiment 200 kilomètres. Elle aurait pu aller ailleurs, mais ici, la formation était réputée.
Nous étions tous les deux en internat. Même si nous étions majeurs, on nous soumettait à des obligations, l'une d'entre elles était que nous ne pouvions pas nous mélanger. Alors bien sûr, on pouvait tenter un rapprochement de nuit, mais s'exerçait une surveillance discrète, mais bien réelle. Ni l'un ni l'autre, nous n'avions envie d'être renvoyés. Nous tenions vraiment à finir nos études, dans un domaine qui nous plaisait, et à avoir un travail.
Si, dans la journée, on nous voyait souvent ensemble, notre pudeur naturelle faisait que nous restions à distance l'un de l'autre, sans effusions.
Nous avions exploré l'établissement. Et une évidence s'imposait : les endroits pour s'isoler étaient rares. Il était vrai qu'il n'était pas conçu pour ça. On avait quand même repéré une zone dans les couloirs, une autre près des ateliers. Et une avancée qui nous paraissait sympathique au niveau des labos. Mais la malchance a fait qu'on n'a pas pu en profiter, de manière tragi-comique. Ou alors, ça a dérivé.
Je me souviens du palier près des labos, un prolongement décalé qui nous avait semblé idéal. Il jouxtait en fait un ascenseur, le mur de soutien imposant une avancée. Personne se pensait à s'y aventurer dans la journée, et on s'était dits qu'on pourrait s'y embrasser loguement et tranquillement. Langues accrochées l'une à l'autre, et vraiment pas l'envie de les éloigner.
Je lui avais dit :
--Je passe mon temps à frotter ma queue en pensant à toi, et j'aimerais que ta main remplace la mienne.
Une demande audacieuse, sans aucun doute, mais j'avais vraiment très envie.
--Oh, mon pauvre chéri, je vais m'occuper de toi.
Si dans les moments d'isolement tout relatifs on se caressait à travers nos vêtements, c'était une première mise à nu. Elle n'a pas hésité en tout cas, collée à moi, de manière à limiter la vision qu'on pouvait offrir, venant chercher ma queue dans mon pantalon, et la trouvant bien gonflée. Etre contre elle, sentir sa chaleur, ses formes...Comment ne pas bander.
Elle s'est mise à me caresser doucement. Je m'étais trop branlé, en fantasmant, ces derni-res années. Une autre main, une main de femme, sur moi, c'était totalement différent. Une nette plus-value. Ma verge s'est épaissie et allongée et le feu s'est répandu de mon ventre à tout mon corps. Une main douce, chaude et caressante. Elle ne me lâchait pas, et j'ai vu le moment où j'allais jouir, regrettant qu'on ne puisse pas aller plus loin, et que je puisse lui donner du plaisir aussi. Elle aurait eu une jupe... Mais elle était en jean, et ça aurait été trop voyant si j'avais défait le pantalon, baissé sa culotte...
Je faisais un effort pour me maitriser, ne pas jouir tout de suite, et faire durer ce moment magique.
Je sentais que la jouissance était proche, je dégoulinais sur sa main et sur ma queue, quand Lakma est sortie de l'un des labos. Lakma, c'était une ravissante technicienne de laboratoire. Elle troublait tous les hommes, jeunes ou vieux, avec sa sensualité à fleur de peau. Elle avait un visage très bien dessiné, et un corps qui ne l'était pas moins, avec des formes pleines que rien n'aurait pu dissimuler, et que le moindre vêtement, que ce soit voulu ou pas, mettait en valeur. Il y avait d'ailleurs eu une période où elle portait du neutre, ce neutre qui la mettait quand même en valeur, avant de basculer sur du court, du très moulant, du révélateur, ou les trois en même temps. Difficile donc de rester indifférent.
On s'était figés Violette et moi. Elle s'était engagée dans le couloir, vers les marches, plongée dans ses pensées. Elle venait de se rendre compte qu'on était là était à 50 cm de nous, et elle nous avait pris en flag. On avait bâti sur l'illusion qu'on n'était pas visibles, mais on l'était bien. De près, on voyait bien que Violette caressait ma queue en pleine érection.
Elle portait un pantalon de vinyle ultra-moulant qui la faisait plus nue que nue, ne laissant rien imaginer de ses charmes personnels. Son sexe se dessinait avec une précision hallucinante, on voyait même clairement que ses lèvres sortaient d'elle. Je n'avais pas forcément de certitudes, mais là il était bien évident qu'elle ne portait pas de slip dessous. Son débardeur jaune citron, sous un blouson entrouvert, était tendu par ses seins lourds et fermes.
Elle nous a dédié un sourire complice, pour nous faire comprendre qu'elle était de notre côté, qu'elle n'allait pas se mettre à hurler, ni nous dénoncer.
Elle a franchi les quelques mètres qui nous séparaient, venant se coller à nous, et formant, consciemment ou inconsciemment, uine barrière qui nous isolait du couloir.
Elle avait le regard brillant et un immense sourire s'affichait sur son visage.
Je crois bien que Violette et moi, si on était soulagés qu'elle ne se mette pas à hurler, on a quand même été décontenancés par son attitude. On se demandait quoi faire. Et surtout ce qu'elle allait faire.
Sans doute que, même si on l'a accepté, on ne s'attendait pas VRAIMENT à ce qu'elle a fait.
Elle a tendu la main vers ma queue. Dans un réflexe, Violette a enlevé la sienne pour lui laisser la place.
Sans hésitation, dans un geste franc, elle s'est mise à caresser mon membre, à présent très dilaté. Son sourire disait son plaisir, à simplement avoir une queue dans la main et jouer avec. Une main chaude, une approche différente. Chaque main de fille, chaque caresse était forcément différente.
Alors que Violette avait mis de la vivacité dans sa masturbation, elle, au contraire, a eu un mouvement infiniment lent. Surprenant, déconcertant même, mais aussi terriblement excitant. Une lenteur que je n'avais pas exercé sur moi, et que les filles qui m'avaient masturbé n'avaient pas non plus pratiqué. Une lenteur qui a exacerbé mon excitation, tout comme le fait que, alors qu'elle pratiquait ce va-et-vient très lent, elle venait caresser mes couilles, ce qu'aucune fille n'avait fait jusqu'à présent.
C'était tellement fort qu'elle n'a pas eu le temps d'aller au bout de son deuxième mouvement de va-et-vient. La jouissance m'a traversé, indéniablement très forte, Je crois que j'aurais hurlé si je n'avais pas été dans un bâtiment public, tellement mon orgasme a été fort. Ce moment, les caresses additionnées des deux filles, je ne risquais pas de l'oublier. En effet, la main de Violetta a rejoint celle de Lakma, alors que mon sperme jaillissait en jets copieux et souillait leurs vêtements, mais aussi le dessus de leurs mains.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : La clef partie 1

Le 10/03/2023 - 16:15 par OlgaT
Une belle initiation!

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