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La consultation

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Lue : 14694 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/07/2009

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Il était allongé sur le divan et je l’écoutais me parler de ses problèmes. Cela faisait maintenant trois mois que je suivais ce patient et je commençais à me poser des questions sur la suite à donner à la thérapie que nous avions élaboré ensemble.

Il rencontrait des problèmes avec son épouse. Je l’avais amené à me parler d’elle et de leur relation. Puis petit à petit nos échanges ont abordés le problème de leur sexualité. Je n’ai aucune formation de sexologue. M’en étant ouverte à lui, je lui conseillais de rencontrer, avec son épouse, soit un conseiller conjugal, soit un sexologue. M’opposant un refus, il m’avouait être à l’aise avec moi pour parler de ces choses-là. Un peu embarrassée, j’acceptais de continuer nos séances.

Lors d’une séance, il me racontait un de ses fantasmes qu’il aimerait réaliser avec sa femme.

Pendant qu’il me parlait, mon esprit vagabondait. Heureusement, pour moi, il ne pouvait pas me voir. Assise dans mon fauteuil, à la tête du divan, j’avais tout loisir pour l’observer. Je ne voyais pas son visage mais je pouvais voir aux mouvements de son corps, l’état où l’amener son récit. Un renflement dans son pantalon me prouvait qu’il n’était pas insensible à son propre récit.

Moi, je voyais son fantasme en image.

Je me sentais envahir par une douce chaleur, mes seins commençaient à durcir. Je sentais la soie de mon soutien-gorge sur la pointe de mes seins. J’avais l’impression d’être trop à l’étroit dans ce soutien-gorge.
Les images de son fantasme emplissaient ma tête et mon corps. Devant mes yeux, je voyais deux corps se chercher, se trouver, s’emmêler.

Il continuait son récit sans de douter de l’état d’excitation dans lequel il me mettait.
Je ne savais comment calmer ce désir que je sentais monter en moi. Et puis, en avais-je envie ?
Je sentais un spasme dans mon ventre, tiraillait par le désir, se propageant à mon organe qui se resserrait et me procurant une sensation de bien-être incontrôlable.
Etre là assise à sa tête, sans qu’il s’aperçoive de mon émoi était tout simplement excitant.

Ma chatte s’humidifiait, je croisais et décroisais les jambes. Le frottement de la soie de mes bas sur mes jambes m’excitait également. Je fermais les yeux pour savourer cette sensation lorsque je sentis une main caresser ma cuisse. Toute à mes images, je ne m’étais pas aperçue qu’il s’était levé du divan et s’était agenouillé devant moi.

Sa main, maintenant, caressait mes jambes et ne s’arrêtait qu’à la bande de mes bas.
Le contact de ses doigts sur mes cuisses m’électrisait, mais je devais arrêter tout cela. Il était mon patient. L’éthique m’interdisait d’avoir une relation avec lui !

Je me redressais dans mon fauteuil quand ses doigts frôlèrent mon entrejambe. Aussitôt, je me laissais retomber. Je ne savais plus quoi faire.
J’avais envie de cet homme, agenouillé là devant moi mais c’était impensable.

Sentant mon dilemme, Il entreprit de me caresser à travers le tissu de mon string. Alors je capitulais et acceptais ses caresses.

Son autre main remontait vers mes fesses, mes hanches. Ses doigts m’électrisaient. Tous les pores de ma peau réagissaient à ces caresses sexy.
A mon insu, mes cuisses s’ouvraient de plus en plus, s’offrant à cette caresse.
Je sentais mon ventre s’humidifiait, un léger filet de mouille s’écoulait hors de ma chatte. Mon string était trempé, Il s’en aperçu et me l’enleva, le faisant glisser doucement le long de mes jambes et le jetant plus loin.

Je me retrouvais assise devant lui, les jambes écartées et ma chatte bien en vue. Ma respiration se faisait plus forte, plus rapide. Je le regardais faire, le laissant à ses initiatives, et incapable du moindre mouvement.

Mes seins excités pointaient sous mon chemisier. Trop à l’étroit, je décidais de les libérer. Un à un, je déboutonnais ma chemise. Il entreprit de m’aider à délivrer mes seins en dégrafant mon soutien-gorge. Hors de leur précieuse prison, ils se redressèrent et pointèrent fièrement.
Il enclencha une série de léchage, de suçage de tétons. Je gémissais sous sa langue.
Mes mains dans ses cheveux comme pour mieux le retenir, le guider.
Je voulais fondre dans sa bouche, je voulais qu’il m’avale toute entière.

Mais ma petite chatte le réclamait, je mouillais de plus en plus. J’amenais sa main vers ma vulve. Il entreprit de caresser l’entrée de ma grotte. Ces caresses me faisaient fondre et impatiente de le sentir en moi, mon corps se trémoussait.
Je sentais ma chatte se serrer dans un brusque spasme, libérant un nouveau flot de mouille. Il passa immédiatement son doigt dans cette mouille et le fit glisser dans l’entrée. Enfin, je sentais son doigt en moi. Mes muscles vaginaux se comprimaient pour mieux le sentir et le retenir mais déjà, il ressortait.

Frustrée de ne pas être prise par son doigt, je lui tirais les cheveux par derrière pour pouvoir l’embrasser à pleine bouche. Puis je sentis, un doigt, puis 2, entrés dans ma grotte. Un gémissement sorti de ma gorge pendant que ma langue jouait avec la sienne. Ses doigts entraient, sortaient. Je me sentais proche de la jouissance. Ces doigts étaient à présent bien enfoncés et se mettaient à bouger, à tourner comme pour découvrir chaque centimètre de leur fourreau.

Mes spasmes augmentaient, se faisaient plus fort, j’étais au bord de la jouissance. Il le sentit, alors il retira ses doigts et sa bouche vint goûter à mon bouton d’amour. Je soupirais, criais, le suppliais de me faire jouir. Mais il n’avait pas finis, il voulait prolonger encore cette souffrance. Sa langue se fraya un passage entre mes nymphes et agaça de nouveau mon clitoris. Je n’en pouvais plus, ne me contrôlait plus Et tout à coup, incapable de me retenir je jouis dans la bouche de mon amant. Mon corps se cambra sous cette jouissance, des milliers d’étoiles volaient dans ma tête. Je m’agrippais fortement aux bras de mon fauteuil, laissant échapper un rugissement de plaisir.

Il profita de cette jouissance torride pour enfiler trois doigts profondément dans mon ventre offert, comme pour marquer un peu plus sa possession. Je le laissais faire, trop heureuse de la jouissance qu’il venait de m’offrir. Trois de ses doigts profondément ancrés dans son ventre, il attendit patiemment que je récupère. Il avait l’air d’apprécier l’abri de chair. Doucement, il recommença à bouger dans le fourreau. Encore dans les vaps, je réagissais cependant en sentant les doigts bouger dans mon ventre. J’écartais un peu plus les cuisses comme pour lui indiquer que j’étais prête à de nouvelles réjouissances.

Les doigts continuaient leur travail et rapidement je sentais de nouveaux spasmes me tordre le ventre. Je ne pensais pas pouvoir jouir à nouveau si rapidement mais pourtant, le plaisir était de nouveau là, fort, de plus en plus fort.

Alors il entreprit de trouver le fameux point G et de l’asticoter. Rapidement, je sentis de nouveau la jouissance proche. Des ondes de plaisir déferlaient sur moi. Tout mon corps était dans l’attente d’une nouvelle délivrance. Très vite, celle-ci vint et me voilà de nouveau en train de jouir.

A demi inconsciente, je sentais qu’il se relevait et se rapprocher de moi. Son créateur se posa sur mes lèvres que j’entrouvrais. Sans force mais reconnaissante de ces jouissances, je me disais que je lui devais bien ça. Alors j’ouvris grand la bouche. Pendant que mes mains jouaient avec ses bourses, ma langue recueillait sa sève qui perlait au bout de sa tige. Ses soupirs, ses gémissements m’excitaient plus que tout le reste. J’ai pris son pénis délicatement entre mes lèvres et lui tétait le gland quelques instants. J’ai ressortis son sexe de ma bouche et entrepris de lécher sa verge de bas en haut sans oublier un baiser sur le gland en passant. Je l’ai pris en entier dans ma bouche et commencé de lents allers retours. J’ai fait tourner son créateur dans ma bouche. Je montais, je descendais, je tournais et retournais…. Je le tétais et le sentais vibrer. J’adorais.

Je montais et redescendais de plus en plus vite et à chaque aller-retour, je le prenais un peu plus dans ma bouche. Il m’encourageait en me caressant les cheveux, il gémissait et voulait plus, plus vite.

J’ai continué jusqu’à sa jouissance. J’avalais jusqu’à la dernière goutte, le laissant tout propre et me redressais. Il me souriait. Je me penchais vers lui et l’embrassais à pleine bouche. Il semblait aimer autant que moi le contact de nos salives et de son sperme mélangés, symbole de son plaisir.

Je le regardais se relever. Chacun de nous enfila ses vêtements et avant de partir, il me dit « vivement la prochaine séance ». Il ouvrit la porte pour sortir et quand celle-ci se referma j’étais toujours assise dans mon fauteuil en réalisant ce qui venait de se passer. Rien que d’y repenser, je sentais de nouveau mon ventre se tordre dans un léger spasme. Oui, il avait raison : vivement la prochaine séance !
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Histoire de nat0727

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