ACCUEIL > Voyeurisme > Récit : La femme à la baie vitrée

La femme à la baie vitrée

+11

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/09/2023

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

LA FEMME A LA BAIE VITREE

Ces derniers temps, surchargé de travail, je rentrais tard. Je suis un homme, mais j'exerce une profession essentiellement pratiquée par des femmes. Je suis en quelque sorte l'éléphant blanc. Je fais du secrétariat médical à une cinquantaine de kilomètres de chez moi, pour un gros cabinet de dentisterie. Beaucoup de clients, beaucoup de documents à traiter...J'ai des journées bien remplies, je dois même dire que je ramène du travail le week-end. Mais ça me plaît, et puis j'ai pas mal de primes...
J'ai l'habitude me garer en bas de chez moi. Il y a un grand parking gratuit, 182 places, et il est couplé avec des espaces verts. J'aime bien y flâner.
Cet immense espace est entouré par des maisons. L'une d'entre elles est en accès direct alors qu'on arrive sur les autres par les routes qui entourent ce parking/espace vert. L'arrivée à la maison me fait un peu penser à la manière dont on dessine les accès aux maisons dans les contes de fées. Un petit chemin soigneusement délimité, une maison avec un beau portail, un espace avec une petite fontaine sur un côté et de la végétation de l'autre, mais un grand espace libéré pour accéder à la maison et au grand garage. Elle est apparemment faite avec un étage. En bas, sans doute plusieurs pièces, en haut un immense espace à vivre, sans limitation, totalement offert avec des baies vitrées.
C'est parce que j'arrivais de nuit et que la maison était éclairée que je l'ai vue pour la première fois.
Sans doute qu'elle venait de rentrer comme moi. La première image, la toute première, ça a été une crinière blonde, très blonde, qui lui arrivait aux fesses, d'un beau blond, il y a des blonds ternes, un blouson de cuir, et des sacs qu'elle a posés sur une table.
Les baies étaient basses, le lieu bien éclairé.
Par curiosité, je me suis figé.
Je n'ai pas été déçu dans les minutes qui ont suivi.
Il y a des plaisirs, liés au sexe et au corps de la femme que l'on découvre parfois très tard...Ou jamais...
En ce qui me concerne, par exemple, j'ai connu ma première fellation à 32 ans. (J'en ai 36.) Les partenaires que j'avais pu connaître n'avaient pas envie de me faire ce plaisir, ou pensaient que moi je n'en avais pas envie, ça les dégoûtait peut-être, au final ça a été une fille qui, à trente-deux ans, alors qu'on basculait dans le vif du sujet, m'a dit : 'J'ai envie de caresser ta queue avec ma bouche. Tu serais d'accord ?' Je n'avais pas répondu, elle avait pensé que qui ne dit mot consent, et elle m'avait procuré un plaisir infini.
De la même manière, avant ce soir-là, je n'avais jamais vu une fille se déshabiller devant moi. Dans l'intimité avec mes copines, elles se déshabillaient dans une autre pièce, dans la salle de bains, je les trouvais déjà à poil, et je ne les voyais pas s'habiller.
Bien sûr, j'avais entendu parler comme tout le monde de strip-tease. Je savais que ça avait été très à la mode dans les années 60, aujourd'hui dépassé. On avait basculé sur autre chose, ce qu'on appelait le burlesque, Quelque chose plus enveloppé dans un rituel.
Et puis je l'ai vue se déshabiller. Il n'y avait dans son attitude rien de ce que pouvait utiliser une strippeuse, une volonté de mettre tout en scène, de ralentir, d'aguicher. Elle s'est simplement déshabillée. Et pourtant ce moment est rentré en moi et il n'en est pas ressorti. C'était finalement très fort que de voir une femme dévoiler sa nudité, faire glisser ses vêtements pour donner à voir sa chair.
Il faut dire aussi qu'elle avait un corps magnifique. Elle était très grande, fine, mais en même temps elle avait des formes très marquées. Elle était splendide.
Rien que son visage était déjà troublant. Allongé, avec des pommettes hautes, une bouche charnue, et des yeux immenses et sombres, il disait déjà quelque chose de très sexuel que n'avaient pas de plus jolis visages.
Elle a commencé par faire glisser son blouson de cuir de ses épaules. Elle avait des bras fermes et musclés. Elle faisait sans doute de la musculation.
Sous le blouson, elle avait un débardeur framboise, qui tenait sur ses épaules par deux fines bretelles. J'ai été frappé de constater qu'il n'y avait pas de double bretelle. Soit elle avait un de ces soutien-gorge qui s'attachent uniquement dans le dos, pour éviter des bretelles disgracieuses, soit...
C'était le deuxième choix qui l'emportait. Elle a attrapé l'ourlet du top au niveau de son ventre, et l'a remonté d'un seul coup, le faisant passer par dessus ses épaules.
J'ai été impressionné par le jaillissement des seins, à vrai dire, je me le suis pris en pleine gueule. Parce que son top les écrasait, je n'aurais pas imaginé qu'elle ait d'aussi beaux nénés. Ils étaient bien volumineux, charnus, pleins, mais sans excès. Ils ne tombaient pas mais au contraire, ils étaient dressés, comme s'ils avaient eu une volonté propre et ils avaient voulu défier la gravité et crier au monde leur beauté.
Elle avait une taille fine, des hanches marquées, et un pantalon de velours noir qui collait à ses charmes.
J'étais tout entier dans ce strip-tease qui en était un sans en être un...Un avion aurait pu s'écraser à côté de moi je ne m'en serais même pas rendu compte.
Elle a défait la ceinture qui tenait le pantalon à sa taille. J'avais l'impression que soudain, tout s'était ralenti, quasiment figé. Elle a dégrafé le bouton, descendu la fermeture-éclair. Je me suis demandé si elle avait une culotte dessous...
Dans un geste gracieux, elle s'est pliée, pour descendre le pantalon le long de ses jambes. Elle avait une simple culotte blanche, et des jambes aussi bien faites que le reste de sa personne.
L'ultime pièce, c'était la petite culotte. Elle a calé pouce et index de chaque côté du slip, au niveau de ses hanches, et le sous-vêtement est arrivé à ses genoux, avant de finir plus bas. Un mouvement de jambe et elle l'a envoyé valser. J'ai bien pu apercevoir une toison pubienne, redessinée, taillée avec je ne savais trop quoi, des ciseaux, un rasoir, ou tout autre instrument, dans une forme plutôt allongée, le fameux ticket de métro dont on avait parlé tant autrefois, mais un ticket de métro plutôt large, et puis l'ouverture de son sexe, avec l'émergence de deux bouts de lèvre, qui m'ont troublé, tout comme, quand elle s'est retournée et qu'elle a traversé la pièce pour aller faire je ne savais quoi, la vision de sa croupe haute perchée, très charnue, comme tendue vers moi, offerte à mon regard.
C'est à ce moment-là que je me suis rendu compte que j'étais entrain de me jouir dessus. J'ai eu la sensation du sperme qui sortait de ma queue, et celle d'un orgasme qui arrivait sur moi. J'ai joui comme ça, debout, alors que le sperme chaud sortait et remplissait mon caleçon, traversé par un orgasme qui ne serait sans doute pas arrivé si je n'avais pas vécu de frustration ces derniers mois. Revoir un corps de femme, aussi beau, faisait remonter en moi tout ce qu'il y pouvait y avoir de frustration et de désir.
Je suis resté comme ca plusieurs minutes, à la suivre du regard. Intégralement nue, sans penser sans doute qu'on pouvait la voir, elle s'est baladée à travers la pièce, rangeant, allumant une cigarette. Elle s'est posée à un moment, s'appuyant contre une grande table, elle a baissé les yeux sur sa toison pubienne, et elle a passé ses mains dedans. Sans doute cherchait-elle à évaluer si une nouvelle taille était nécessaire.
Ca lui a apparemment donné une envie. L'envie d'un peu de plaisir après une journée harassante, à la fois comme une détente et une compensation. Elle a fait bouger ses doigts sur son sexe dans un mouvement de haut en bas, puis retour, montant, descendant, puis remontant le long de cette fente que, même d'où je me trouvais, j'ai vu s'ouvrir, gonfler et couler. Si j'avais pu en douter, la manière dont elle s'est tendue, cambrée, dont sa bouche s'est ouverte, disaient qu'elle avait du plaisir, puis ont dit qu'elle jouissait. Elle est restée figée quelques instants, puis elle a disparu.
Je suis rentré chez moi, halluciné sans doute par ce que je venais de voir. J'ai diné léger, et j'ai passé la soirée à me masturber en repensant à elle, à la manière dont elle s'était deshabillée, caressée...Ca faisait des mois que je n'avais pas pensé au sexe, que je ne m'étais pas caressé, et ca a été comme si je rattrapais mon regard en manière d'orgasmes, mais aussi de jaillissement de sperme. Je me suis endormi sur un dernier orgasme, les draps et ma chair trempés de semence. Et j'aurais pu encore jouir.
C'est le lendemain, et les jours qui ont suivi que s'est établie une routine. On se cale vite dans des habitudes surtout quand elles sont plaisantes. Je rentrais le soir, et je savais que j'allais la retrouver. Effectivement elle arrivait quasiment au même moment que moi, un peu avant, ou juste après...Et elle était elle aussi, on est tous pareils, calée dans ses habitudes...Elle descendait de voiture avec ses affaires, plusieurs sacs, elle rentrait, elle allumait la lumière et elle se mettait à poil, se baladant ensuite nue pour une multitude de tâches...Je l'ai vue avec pas mal de tenues...Un tailleur, une robe, une jupe et un pull, un pantalon et un top divers, débardeur, petit pull, chemise...Et puis il y avait cette phase d'effeuillage dont je ne me lassais jamais...C'était toujours comme si c'était la première fois, et à vrai dire, c'était un peu le cas...Je redécouvrais à chaque fois ses charmes, ce corps qui n'était sans doute pas parfait, mais qui, dans son dessin, était d'une sensation à mes yeux extrême...Elle ne se caressait pas tous les soirs, prise dans une routine post-travail de détente, de tâches quotidiennes...Dans laquelle, effectivement la recherche du plaisir pouvait intervenir, comme une sorte de compensation des tensions de la journée.
Je ne m'attendais pas à ce qui s'est passé un soir...Ca devait faire deux mois que j'avais ce rituel...
Elle a disparu de mon champ de vision.
Mais ce n'était pas pour se rendre dans une autre pièce.
A côté du garage, en bas, il y avait la porte d'entrée. Elle est sortie, enveloppée dans un peignoir léger. On lui avait installé des lampes qui s'éclairaient quand il y avait du mouvement, et la lumière, comme autant de projecteurs qui l'auraient entourée et mise en valeur a donné à voir son corps à travers le tissu qui l'enveloppait. Une autre approche de sa nudité, tout aussi excitante.
L'autre aspect de sa nudité, c'est celui que j'ai eu quand elle s'est calée devant moi, et, avec une expression de défi, son regard planté dans le mien, elle a ouvert son peignoir. Elle était tout près de moi et la chaleur et l'épaisseur de son corps m'ont frappé de plein fouet.
--C'est bien de mater...Ca te dirait de consommer ? J'ai envie d'une queue qui me donne du plaisir. Mes doigts ne me suffisent plus.
C'était une proposition cash. Je l'ai suivie jusque chez elle, mon regard collé à ses fesses, trois kilomètres derrière elle, pleines et offertes.
Ca m'a fait un drôle d'effet de basculer de la salle à la scène. De me retrouver sur cette scène avec elle. Elle a laissé glisser le peignoir sur le sol. Elle a eu un jeu qui a achevé de me faire chuter, de me ravager, si ce n'était pas encore fait, en venant tourner autour de moi, tout près, à me frôler, me faisant percevoir son corps de tout près...Après l'avoir vu de loin.
--Ca fait trop longtemps que je n'ai pas vu de queue...Tu me prêtes la tienne ?
Elle n'a pas vraiment attendu de réponse, basculant à genoux pour défaire mon pantalon et mettre ma queue à nu. Elle m'inspirait énormément, et toujours, même si deux mois étaient passés, et elle a trouvé une queue bien gorgée de sang, bien dure et bien longue...Elle a paru ravie.
--Ca, c'est de la queue où je ne m'y connais pas !
Et elle a plongé dessus de la bouche.
Pour sûr, elle savait faire une fellation à un homme. Ou alors elle était inspirée par le manque. Ou les deux. Sa langue, sa bouche, maniées avec souplesse et rythme...Du plaisir à l'état pur.
Ce qui était aussi du plaisir à l'état pur, c'était de la voir, d'être juste à côté d'elle. Ses seins lourds, bien fermes...Sa main, entre ses cuisses, frottait son sexe dans un mouvement circulaire, pour apaiser la tension qui l'habitait, et lui donner du plaisir. Entre ses doigts, je voyais ses lèvres, toutes gonflées, qui s'épaississaient et s'allongeaient encore, son gland clitoridien qu'elle est venue pincer, et qui était aussi érigé que ses lèvres étaient gonflées. Mais ce qui me plaisait le plus, sans doute, c'était la manière dont ses jus coulaient d'elle et arrosaient ses chairs. Un véritable micro-déluge, ça ruisselait.
--Bon maintenant que tu es énorme, j'ai envie que tu viennes dans ma chatte...Ca te dit ?
--Tu as des préservatifs ?
--Mon sac à main...Ne traîne pas...
J'ai trouvé une grosse boite dans le sac. Avait-elle des aventures dans la journée ? .
Elle s'est basculée en arrière sur la lourde table en chêne, et elle s'est ouverte avec ses doigts, me laissant voir une bonne partie d'un intérieur tout rose.
--Viens, tu seras bien là-dedans et tu n'auras plus envie de sortir...C'est doux, c'est chaud, c'est le plaisir à l'état pur...
Avec une promesse pareille, impossible d'imaginer que je puisse ne pas avoir envie de venir en elle...Je me suis approché. Elle a attrapé ma queue, quand celle-ci n'a été qu'à quelques centimètres de ses lèvres, et, au lieu de me faire rentrer dans son sexe, elle est partie sur autre chose. Elle a posé mon gland congestionné contre son gland clitoridien, lui aussi congestionné, et elle s'est mise à frotter...Elle a totalement perdu la tête, prise par un plaisir intense de sentir ma queue caresser cette partie ultra-sensible. Yeux révulsés, de la bave coulant à la commissure de ses lèvres, elle gémissait de plaisir. Moi-même, cette sensation me procurait un immense plaisir, et j'ai du me maîtriser pour ne pas jouir sur elle. J'avais l'impression trouble de frotter, non pas un gland clitoridien, mais une queue, une queue en pleine érection, moi qui n'avais jamais eu d'expérience avec un homme.
Elle a rompu le contact, et ça a été tant mieux, sans quoi il est fort probable que j'aurais joui. Ca a cassé le rythme, et elle m'a amené à l'entrée de ses lèvres, me guidant pour que je rentre en elle. Je me suis retrouvé enveloppé par ce gant de chair soyeux, chaud et doux. Une opportunité que je n'avais jamais pensé avoir. Je pensais que notre relation, ce serait, toujours, moi la regardant, elle jouant un show sans spectateur. Depuis quand savait-elle que je la regardais ? J'avais été bien stupide. Il y avait des lumières partout autour de moi, et je ne m'étais pas suffisamment soucié de rester dans l'ombre.
--J'ai envie que tu me fouilles longtemps...Mais je veux que tu jouisses dans ma bouche. Tu crois que c'est possible ?
On sentait en elle une demande, une attente, une sorte de crainte de ne pas satisfaire son partenaire, et qu'il la rejette et ne veuille plus lui donner du plaisir, et je trouvais surprenant qu'une femme aussi jolie qu'elle, qui me semblait susceptible d'avoir tous les hommes qu'elle voulait, puisse être ainsi aux abois, et presque quémander.
On s'est plongés dans ce moment de plaisir, avec l'idée, pour moi en tout cas, de le faire durer. Un moment simple, mais intense, le plaisir d'avoir devant mes yeux une jeune femme d'une rare beauté, et de voir qu'elle éprouvait. Du plaisir, mais surtout le bonheur d'avoir un partenaire. C'était une évidence.
C'est elle qui a senti, avant moi, que j'allais jouir. Elle m'a expulsé d'elle en contractant son vagin, la queue qui est apparue n'avait rien à voir avec celle qui était rentrée en elle. Je n'avais jamais été aussi gros, dilaté à l'extrême. Elle s'est redressée et est venu me prendre dans sa bouche. Elle m'a masturbé vivement, et j'ai craché tout mon sperme en elle. Je n'en finissais pas d'éjaculer,comme si je m'étais libéré de tout le sperme que je n'avais pas donné à une femme pendant des mois. Mais, il y en aurait eu dix litres, elle aurait tout accueilli, elle était avide de semence.
Dès lors, tous les soirs, je ne la matais pas, je l'attendais. Parce que je voulais avoir foi dans les paroles qu'elle avait prononcées au terme de cette première rencontre : ' Je voudrais que tu viennes tous les soirs, et que tu me donnes du plaisir.'
Je me demandais, le premier soir, devant chez elle, elle n'était pas encore là, si c'était des paroles en l'air ou si c'était réel. Mais je l'ai vue arriver, hyper-sexy avec une rôle courte et collante, et des cuissardes, et son sourire m'a rassuré, tout comme le fait qu'elle soulève sa robe et me montre son corps.
--J'ai envie d'une queue dans le ventre.
Pourtant les moments forts qu'on a partagés n'ont pas forcément impliqué  que ma queue soit dans son ventre. J'ai quelques souvenirs très intenses.
Comme le jour où elle m'a pris entre ses seins. Jamais aucune fille ne l'avait fait avant. D'ailleurs, elle avait la bouche sur ma queue, je ne pensais pas qu'elle allait basculer la-dessus. Mais elle a posé ses mains sur ses seins, a eu un mouvement du torse, et hop, elle a enveloppé ma queue de ses seins. Une sensation nouvelle, celle d'une peau douce et chaude. Ma queue avait totalement disparu au milieu de cette chair souple. J'avais le double plaisir d'avoir sous les yeux cette poitrine magnifique, et d’être au cœur de celle-ci pour une caresse comme on ne m'en avait jamais fait, et on ne m'en ferait sans doute plus jamais. J'ai tout fait pour me contenir, retenir mon orgasme aussi longtemps que possible. J'aurais sans doute inconsciemment voulu rester au creux de ses seins pour l'éternité. Elle me massait de manière régulière. Elle a relâché la pression, et ma queue est réapparue, dilatée à l'extrême.
-C'est bon, hein les cravates de notaire ? Quand j'étais plus jeune, et que mes nichons ont pris de l'ampleur, ça s'est fait en quelques mois, les garçons voulaient tous que je les prenne entre mes seins. Les copines les masturbaient. Moi, après quelques hésitations, j'ai tenté ça, j'adorais..Je peux te dire que j'ai dégommé la concurrence...Tous les garçons venaient me voir parce que je leur offrais autre chose qu'une simple branlette...
Et elle a replongé sur ma queue, cette fois différemment...Elle a exercé une caresse de bas en haut et de haut en bas sur ma queue, exactement comme si elle avait fait aller et venir sa main sur ma queue, alors que c'étaient ses seins...Une caresse que j'ai ressentie différemment sur ma bite, et qui m'a fait monter vers l'orgasme sans que cette fois, je puisse résister...Elle a plongé sur ma queue, l'enserrant de sa bouche, deux secondes avant que je ne jouisse, et a laissé mon sperme couler en elle.
Elle savait se servir de ses atouts naturels. C'est ce que j'ai compris la fois où, nue, elle est venue coller son dos contre mon ventre. Et elle s'est mise à onduler contre moi. J'ai perçu son dos lisse, et la masse de sa croupe, dure, pleine, qui est venue peser contre ma queue.
Ce qu'elle m'a fait, aucune fille ne me l'avait fait avant, et aucune ne me le refera sans doute jamais. Elle s'est penchée en avant, elle a posé les mains à plat sur ses fesses, elle les a ouvertes, me laissant voir son sillon profond et la déchirure, en de multiples plissements, de son anus dans sa chair. J'ai pensé un instant qu'elle voulait enfoncer ma queue dans son anus, mais ce n'était pas ça. Elle s'est collée contre moi et elle a relâché la pression, ses fesses venant prendre ma queue comme ses seins l'avaient déjà fait plusieurs fois.
Parce qu'on a toujours à apprendre question sexe, j'avais bien sûr entendu parler des branlettes brésiliennes, sans penser que cela puisse être autre chose qu'une légende. Et puis je me retrouvais calé entre ces deux fesses...Une sensation différente d'entre ses seins, parce que la chair avait une consistance différente, mais un tel plaisir que j'ai cru jouir des les premières secondes. Là aussi, j'aurais rêvé de laisser ma queue des jours et des jours au creux de cette chair caressante.
Elle a esquissé différentes techniques, d'abord, dans un mouvement de reptation, ma queue bien calée dans son sillon, me faisant glisser le long de sa raie, puis elle m'a caressé dans un mouvement plus resserré, redressée, faisant sortir ma queue en haut de son sillon, le gland apparent, le frottant en même temps qu'elle donnait de petits coups de cul, plus serrés. Quand elle a senti que j'allais jouir, j'étais à la fois excité par l'inédit de la situation et ses caresses, elle m'a ramené totalement entre ses fesses, et elle les a bien comprimées. Ce qu'elle voulait éprouver, je l'ai bien compris, c'était le jaillissement de mon sperme contre la zone sensible de son sillon et de sa muqueuse anale. Et effectivement, sans toucher son sexe, elle a joui, criant à chaque jet de semence qui venait la frapper. C'était impressionnant.
La semence est restée emprisonnée dans son sillon, coulant doucement, alors qu'elle se retournait et, yeux mi-clos, à la fois ici et ailleurs, elle masturbait un sexe dilaté d'excitation, je ne l'avais jamais vu aussi ouvert, dont avaient déjà jailli de multiples jets de liquide qui maculaient ses cuisses, pendant que j'éjaculais dans sa raie...Sa main a bougé très vite sur son sexe, elle a crié alors qu'elle éjaculait des jets puissants...Au bout de sa jouissance, elle a semblé soudain vidée de toute son énergie, comme une marionnette qu'un marionnettiste cesse de manipuler.
Peut-être plus que de moments de pénétrations classiques, même si c'était aussi très bon, c'est toujours bon d'être dans le vagin, l'anus, ou la bouche d'une fille, je garde le souvenir intense de ces sensations différentes, la queue entre ses seins, ou entre ses fesses, d'autant qu'elle avait suffisamment d'imagination pour varier à chaque fois. Du plaisir, un plaisir aussi intense qu'original. C'était ce que j'aimais.
Et puis il y a eu ce soir qui a cassé la routine qui était la notre. Ca faisait huit mois que nous nous retrouvions tous les soirs, je la rejoignais même le week-end, les samedi et dimanche soir.
C'est au bout de quelques minutes, on peut être très con dans la vie, que je me suis rendu compte qu'elle avait laissé une enveloppe avec un mot dedans, collés sur le portail. Il y avait mon prénom dessus, donc c'était forcément pour moi.
Je suis obligée de partir. Dans mon entreprise, on part du jour au lendemain.
C'était plus que bien.
A un de ces jours.
Je n'ai pas été vraiment décontenancé. Toutes les relations que j'avais pu vivre jusqu'à présent s'étaient souvent terminées du jour au lendemain...
Je me suis renseigné, je connaissais du monde en ville. J'ai découvert que la villa appartenait à un grand groupe pharmaceutique et dermatologique, né dans le département, qui avait un nombre de filiales à travers le pays mais aussi le monde...
Il me restait les souvenirs. Je me suis branlé cent fois en pensant à son corps, à ma queue en elle, à ma queue entre ses seins ou ses fesses...
Bien sûr, tous les soirs, je passais devant la maison. Fermée. Je repensais à ces moments partagés. Et encore plus le soir en me branlant.
Et puis, un soir, ça devait etre huit mois après, j'ai vu que la maison était ouverte. Volets levés. Quelqu'un qui travaillait pour la firme sans doute et qui venait occuper l'appartement.
Après le dîner, je venais souvent me balader par ici, m'aérer après une journée de travail longue, avant de rentrer et de m'adonner aux plaisirs solitaires, en pensant à cette blonde que j'avais du mal à oublier.
Ce soir-là, je me suis campé sur un banc dans l'axe de la maison.
La pièce était éclairée.
Je n'ai pas été déçu par le spectacle.
Il y avait deux filles face à face. Deux petites brunes, l'une aussi nue que l'autre. Enfin quasiment. La fille de droite avait une ceinture autour de la taille, et je n'ai compris qu'après ce dont il s'agissait. Elles avaient toutes les deux un corps charnu, des seins, des fesses, et une passion sans bornes l'une pour l'autre. En tout cas, c'était ce que leur manière de s'embrasser semblait dire.
Elle l'avait certainement coincé entre ses cuisses, une queue de plastique de belles dimensions a fait son apparition, longue et blanche, et j'ai compris ce qu'était la ceinture autour de sa taille. La brune de gauche s'est pliée en deux pour sucer la queue postiche avant d'aller se positionner contre la table, et de s'offrir à sa partenaire qui est venue la pénétrer, et l'a fouillée à grands coups de reins, jusqu'à ce que l'une puis l'autre soient agitées de spasmes.
Je suis rentré chez moi après ça, écrivant dans ma tête des scenarii où il y aurait eu un homme au milieu d'elles avec une queue de chair.



11 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : La femme à la baie vitrée

Le 04/09/2023 - 13:15 par OlgaT
Excellent!

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :