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La femme du pédéraste

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Lue : 25478 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 30/08/2011

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A l’époque nous faisions du basket mais aussi du théâtre, une pièce écrite pour des garçons de notre âge. Mais c’est au basket que je m’exprimais le mieux, capitaine d’une équipe plusieurs fois championne de Paris. Aux répétitions, des copains, des anciens, venaient voir nos progrès, parmi eux il y avait Lu, diminutif de son nom. Il s’intéressait à nous, il était familier et comme j’évoquais une dissertation à rendre le lendemain il me proposa de venir chez lui, il m’aiderait.

Après avoir prévenu mes parents il fut convenu que j’irai chez lui le soir même après l’entraînement.

Lu était marié et c’est sa femme qui m’ouvrit la porte de son appartement, elle était très belle et très gentille, elle aussi faisait du théâtre et maman avait déjà travaillé pour elle. Je me rappelle qu’un jour entrant dans la chambre où se faisait les essayages je l’avais vu l’espace d’un instant en petite culotte et la poitrine nue. Surprise, pas gênée le moins du monde, mon intrusion la fit sourire, confus je ressortis en quatrième vitesse mais j’avoue que dans le secret de mon lit quand je serrais les oreillers dans mes bras et entre mes cuisses c’est elle que j’étreignais et que j’embrassais.
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« Bonjour Jean, entre, Lu est dans son bureau, il t’attend, excuse moi j’ai à faire

Le bureau de Lu était encombré, sombre, beaucoup de livres sur des étagères au dessus d’un lit à une place, les volets fermés, l’éclairage consistait en une simple lampe de bureau.

« Tu rentres dans mon domaine, je suis tranquille ici pour travailler, personne ne me dérange

« Même pas ta femme ?

« Elle s’en garde bien et me laisse dans mon foutoir comme elle dit, mais assis toi près de moi pour travailler.

Lu ouvrit un tiroir et sortit un paquet de chewing gomme américain, à l’époque c’était introuvable, comment pouvait il en avoir ? Il m’offrit une tablette et me promit de m’en redonner quand je repartirais.

Nous travaillèrent assis côte à côte ; il ne me fut pas de grand secours car j’étais un bon élève, en une heure la rédaction était couchée sur le papier. Il m’offrit une deuxième tablette, c’est lui qui retira le papier d’emballage et familièrement me glissa la gomme odorante dans ma bouche.

« Je n’avais pas remarqué que tu avais un peu de poil au menton me dit il
Cela commence à la puberté poursuivit il tu dois commencer à bander !

J’étais un peu choqué par cette manière directe de m’interroger, mais comme j’étais en confiance, un peu par reconnaissance pour les chewing-gum et aussi pour récolter quelques informations d’un adulte sur la chose, je lui racontais qu’effectivement je bandais. Il était temps car j’avoue qu’à près de dix huit ans jusqu’alors ma sexualité ne m’avait pas trop travaillé.

« Je suis raide, parfois je m’agite si fort sur le lit qu’après j’ai mal, mes parties me semblent peser des tonnes

« Tu ne te masturbes pas ? Je lui racontais alors mes équipées, les branlettes faites de concert avec mon copain dans les douches municipales, que lui arrivait à juter. Je sentais Lu ému par mes confidences

« Et toi tu jouis aussi ?est ce que tu éjacules ?

« Non pas encore, j’aimerai pourtant.

« Merci de te confier à moi mais sous la douche as tu demandé à ton copain de te masturber ?

« Non, ce serait mal, chacun se branle, lui jute et pas moi

« Tu devrais lui demander car cela est plus jouissif quand on se fait caresser, le cerveau qui commande tout est surprit par des caresses qu’il ne commande pas

« Jamais je n’oserai et puis ce n’est peut être pas bien

« Tout est permis, si tu savais comme c’est bon quand le sperme jaillit de ta queue raidie de plaisir, on ne peut oublier sa première jouissance, c’est un plaisir extrême qu’on ne peut imaginer tellement c’est bon,...... si tu voulais j’aimerai être le premier à te faire connaître ce plaisir, te faire jouir, te faire éjaculer entre mes doigts, je m’en crois capable, je suis sur de te faire jouir, de faire gicler ton premier sperme, ne retarde pas plus longtemps ce bonheur suprême, fais moi confiance, tu veux ?

Je ne disais rien, surpris par cette proposition, si je laissais faire est ce qu’enfin j’allais jouir ? Connaître cette sensation qui faisait grimacer de plaisir mon copain, le faisait s’agiter, geindre et gueuler en jutant.

Je dû réfléchir un moment et n’eus pas à donner mon accord car prenant mon silence pour un acquiescement sa main s’avança vers moi, paume ouverte entre mes cuisses sur l’étoffe soyeuse de mon flottant de basket.

Il paraissait aussi ému que moi, il ne fit rien pour m’effrayer, sa main me caressa doucement, sur le tissu soyeux de mon short, la pointe de ses doigts me frôlaient, s’agitaient prenant connaissance des lieux longuement, puis délicatement en s’enfonçant légèrement entre mes cuisses il prit dans sa main la masse informe de mes couilles et de mon sexe en serrant légèrement tout simplement sans bouger sa main enveloppante mais déjà cette caresse m’excitait et je me surpris à m’offrir davantage en m’entrouvrant. Je sentais le bout de ses doigts frôler ma verge sur la soie de ma culotte et déjà tout mon être avait émigré vers mon ventre, entre mes cuisses, dans ma verge qui commençait à se tendre, dressée, plaquée sur mon ventre.

« Je te fais du bien ? Et comme interdit je ne disais mot « Ouvre bien tes cuisses !

Il ne lui fallut pas longtemps pour faire grossir ma verge . Je m’attendais à une branlette énergique la bitte à l’air comme nous la pratiquions mon copain et moi sous la douche et ce n’était qu’une caresse, que des frôlements et pourtant je bandais, ma verge raidie dressée, arc-boutée dans mon flottant.

« Tu sens ma main sur toi qui te caresse ! elle est douce hein... comme ta verge et tes couilles, surtout que tu n’as pas de slip sous ton flottant, je le sens, tu ne dois pas encore avoir beaucoup de poils, c’est doux, tu commences à bander, laisse moi bien faire, tu es bien ?

J’évitais de le regarder, sa voix était mal assurée, je devinais son trouble égal au mien. En parlant ses doigts me prirent par dessous et pressèrent mes bourses, les soupesant plutôt, doucement, ses doigts en corolles palpaient mes couilles libres dans leur enveloppe de peau, les faisaient rouler une par une. Je sentis son pouce frôler mon sexe, peu à peu sa main ne prit en compte que ma verge qui continuait de grossir en se dressant.

« Lève toi, nous serons mieux.

Effectivement assis face à moi qui m’étais relevé il fut mieux pour continuer à me palper, avec délicatesse il me mit de profil,
« écarte-toi bien me dit il dans un souffle,

Il recommença a me caresser introduisant sa main par devant, ses doigts serrant mes couilles avec douceur tandis que de sa main gauche il me prit les fesses épousant leurs formes et les massant avec sa paume, ses doigts dans la raie de mon cul. Surpris, je sursautais, j’allais réagir, me révolter, me retirer de cette main sacrilège, mais je ne pus, par peur de décevoir cet adulte qui ne voulait que m’initier au plaisir.

Le plaisir d’ailleurs était déjà là, très différent des sensations que j’éprouvais quand je me branlais et j’étais impatient de connaître la suite. Cette nouvelle caresse plus complète s’ajoutant à la montée de bien être que je sentais naître de mon bas ventre. Jamais mes caresses ne m’avaient fait cet effet, je devinais que ma queue était bien raide, pourtant je ne ressentais que le frôlement de ses doigts sur le satin de ma culotte, ce soyeux contact me faisait de l’effet, en grossissant et en s’allongeant je reconnus le moment où mon gland émergea de son étui de peau. Je fus surpris quand il me dit

« Elle est grosse pour ton âge, pour quelqu’un qui commence à bander, je sens que tu viens de décalotter, voyons voir ton gland

En parlant, les caresses devenaient plus précises, il pelotait mes fesses en les écartant par dessous, sa main petit à petit s’insérera dans leur commissure, je senti mon anus visité ; frôlé, pressé d’un doigt agile et curieux, seule la soie de mon short faisait obstacle à son insolence. A ma grande honte je reconnus que ce n’était pas désagréable.

Par devant l’autre main s’agitait sur ma verge bandée à l’extrême, dressée, coincée par l’étoffe de mon short. Là encore assiégé par ces deux mains baladeuses j’eus l’envie de me dérober, jamais je ne m’aurais cru capable de me laisser faire ainsi mais le plaisir naissait de mes entrailles, plaisir inconnu jusqu’alors. Je crus défaillir quand d’un seul doigt il frôla la grosse veine gorgé de sang sous ma queue, je la sentais frémir, pulser dans mon flottant.

C’est alors que je commençais à m’agiter, à offrir mon ventre en serrant les cuisses et en me frottant sur ces mains si habiles, à me tendre. La pression sur le tour de mon anus amadoué se fit plus insistante.

« Quand tu seras bien montre le moi, n’est pas honte, cela m’aidera à te faire jouir, respire fort, continue de bouger, attends tu vas être plus à l’aise

En disant cela il avait tiré sur l’avant le tissus de ma culotte, prenant ma verge il la mit de côté sous l’étoffe, en travers tournée vers lui. En effet ma bite décoincée était libre sous la soie de mon short, je la sentis raide, grosse et roide dans la main qui l’avait reprise. Ce fut terrible quand ses doigts en corolle sur le bout de ma queue me pinceautèrent le gland décalotté, titillé par ces cinq doigts, le pouce toujours dessus ; en fait ma verge n’était pas serrée mais agitée et puis les couilles à leur tour furent branlées par quatre doigts le pouce servant de pince de velours.

En se levant, Lu me lâcha les fesses pour se mettre derrière moi en me serrant sur lui, sa main droite toujours active sur mon membre, brusquement passant par devant je sentis sa main gauche sur moi, sur ma cuisse et puis directement sous le short, mes couilles furent prises nues cette fois, à pleine main, la base de mon dard serré entre pouce et index, le petit doigt tendu, mouillé semble t’il obturant l’anus entrouvert, la droite me branlait maintenant franchement seul le fin tissus isolait ma pine gonflée à bloc.

Est ce pour mimer mon copain quand il allait jouir, est ce le plaisir qui commençait à m’inonder ; toujours est il que je m’agitais en tout sens, geignant de plus en plus fort. Derrière Lu me serrait, il suivait les mouvements désordonnés de ma croupe, lui aussi bandait se branlant entre mes fesses, je n’en avais cure tant ma curiosité était exacerbée, mon plaisir immense. De mon ventre aux couilles, jusqu’au bout de mon sexe je ressentis un bonheur inconnu, Lu me branlait maintenant sans ménagement sa main enveloppant ma queue, alternant avec le serrage des couilles et de la base de mon sexe. Quand le sperme se mit à monter des profondeurs je criais de bonheur,

« tu jouis ? me dit Lu dans un souffle

« Ouiiii !, c’est bon, oui continue, c’est pas comme quand je rampe !Je sens que je vais juter....dans mon short...tant pis.....Ah non tant mieux....Ahhhhhhh çà viens c’est bon, Ahhhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiii, ouiiii, ouiiiii, ah ouiiiiiii !

Chaque aller et retour de sa main serrée sur ma queue me tirait un cri , c’était bon, c’était bien, Lu aussi s’agitait derrière moi en rampant de bas en haut entre mes fesses écartelées et quand j’explosais dans mon short mon hurlement masqua son râle. Je sentis nettement les giclées de foutre, chaque branlée me faisait éjaculer, jouir et crier, cela venait de mon ventre, éclatait dans mes couilles et montait comme la lave d’un volcan dans ma queue dressée ; Ah que c’était bon de jouir, on ne m’avait pas menti, j’étais comme ébloui avec des étoiles dans les yeux, les jambes flageolantes. Au diable ma pudibonderie qui me demandait de fuir avant que ce premier orgasme me laisse pantois et ravi.
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« Que se passe t’il ? rien de grave au moins ?

« Non chérie on répète

« C’est bon, je m’inquiétais
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C’était sa femme qui s’inquiétait à la porte de la chambre. Nous étions tous les deux pantelants, moi j’avais les jambes qui me portaient avec peine et le souffle un peu court.

« Tu as réussi à me faire jouir Lu, j’ai bien juté, je n’aurai jamais pensé que le plaisir était aussi fort, merci, seul je n’y arrive pas

« Pas encore, mais tu n’as encore rien vu, tu connaîtras je l’espère d’autres sensations, encore plus fortes, plus jouissives, mais c’est moi qui te remercie, regarde moi aussi j’étais bien.

Et avant que je ne réagisse, prenant ma main, il me fit le tâter à mon tour, je retirais ma main brusquement, choqué, mais j’eus le temps de toucher son sexe, une queue énorme, longue et noueuse dressée déformant son pantalon maculé, cette même queue qui l’instant d’avant se vautrait entre mes fesses, séparée de moi que par l’épaisseur de nos flottants.

« Pardon, mais j’ai joui aussi, au même moment que toi. Ton short est tout trempé par une bonne dose de sperme, je suis content d’avoir réussi. Tu n’as pas été choqué que je te prenne les fesses ?

« Au début si, mais je ne voulais pas te décevoir, décevoir celui qui me promettais de me faire jouir enfin.

« Merci, et pour l’anus, pour ton cul que je pressais sous ton short

« Là aussi je voulais tout plaquer mais à cette instant je commençais à être bien quand tu me branlais il était trop tard je voulais savoir

« Sais tu que l’anus est un endroit très sensible, très érogène et si tu as jouis c’est aussi parce que j’excitais ton cul en même temps que ton sexe

« Tu crois ?

« j’en suis sur, d’ailleurs quand tu as juté j’ai pu t’enculer délicatement avec mon petit doigt mouillé

« Enculé, c’est un vilain mot pourtant je n’ai rien senti, je n’ai pas eu mal

« Pourquoi du mal, tu rigoles quand tu vois la grosseur de ce qui en sort

« Ce qui en sort ?

« Tu m’as compris, on peut se faire jouir avec plus gros qu’un doigt

« Tu m’inquiètes, on peut jouir par le cul ? avec quoi ?

« Bon on arrête, chaque chose en son temps, aujourd’hui tu as joui pour la première fois et je crois t’avoir donné du plaisir. Continue de me faire confiance Mais si tu veux tu vas vite rentrer chez toi, si en y repensant ce que nous avons fait t’as plu reviens mardi soir, j’aurai du chocolat américain, des gros carrés, tiens prends le paquet de chewing-gum il en reste au moins cinq ou six allez file ; on peut jouir encore plus fort sais tu et plus longtemps! !

Je me retrouvais dans la rue, abasourdi ne sachant que penser de sa dernière phrase, j’avais joui pour la première fois en effet, jamais je n’avais eu un tel plaisir, pouvait t’on jouir plus ? Comment ? Qu’en penserait mon copain ? je ne lui dirai pas comment cela s’était produit, j’aurai eu un peu honte. Je repris une tablette, pensait au chocolat et je m’enfuis en trottinant, sur mes cuisses des traînées de sperme coulaient de mon short inondé. Je me retournais, chez Lu un rideau retomba, je partis en marchant normalement. ; il commençait à faire nuit.

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« Alors mon pauvre Lu, encore un nouveau ! Décidément tu les collectionnes. Cela a eu l’air de marcher, j’ai entendu le bruit que vous faisiez. Tu es le vrai pédéraste maintenant.

« Occupe toi de tes affaires, je leur rends service. Celui là n’avait pas encore joui, il se branle sans résultat, à part bander

« Et alors ?

« Cela t’intéresse ? C’est nouveau !

« L’as tu enculé comme les autres ? avec ta grosse queue

« Ma grosse queue que tu délaisses, il faut bien que je vois ailleurs, tu préférerais que je baise la voisine ?

« La salope elle fait tout pour t’aguicher, si elle avait ta grosse verge entre ses miches elle serait moins pressée de s’asseoir après. Non j’aimerai que tu ai un sexe normal, c’est tout

« J’aime les garçons majeurs et consentants, je ne fais rien contre leur volonté. Avec moi ils découvrent leur sexualité, le plaisir. Je leur rends service ; si tu avais vu comme je l’ai fait jouir

« Tu parles de celui qui viens de sortir, il est mignon, si un jour il veut baiser tu me le présente, il est monté comment ?

« Cela ne te regarde pas

« Tu lui a mis la main au cul ?

« Pas directement, juste sur son short pour ne pas l’effrayer, à la fin quand il éjaculais entre mes doigts j’avais une main à cru entre ses fesses et tout en massant ses couilles je l’ai pistonné avec le petit doigt seulement.

« Bravo mon salaud, la prochaine fois tu l’encules comme les autres

« Il a un beau petit cul tout lisse, tout neuf, rien que d’y penser je rebande

« Que lui donneras-tu pour ça, des cigarettes ? des timbres ? de l’argent ? pourquoi pas espèce de pédale.

« Je lui ai promis du chocolat

« Du chocolat ! du chocolat, tu plaisantes ! pourquoi-pas des haricots. Et que comptes- tu faire en plus de le branler et de lui titiller le cul ?

« Je compte si je me débrouille bien de le déculotter

« Et toi ?

« Moi aussi

« Alors ?

« Tout est possible, il a eu l’air d’apprécier la petite branlette, je lui réserve une petite mise à l’air, il est nigaud à souhait mais il veut jouir et savoir j’espère en profiter avant qu’il ne s’aperçoive que ce que je veux c’est sa petite bitte dans mon cul et plus si affinité.

« Tu es un beau salaud, ils sont tous partis quand ils ont compris

« Qui ?

« Ceux d’avant, en as tu enculé un ?

« Plusieurs, çà ne manque pas les jeunes gens inexpérimentés mais curieux, c’est facile pour moi de les attirer, de les faire jouir d’abord et habilement d’aller de plus en plus loin avec eux, avant qu’ils aient tout compris, un cadeau par ci, un cadeau par là, et je leur glisse ma queue dans leur petit cul.

« Salaud, En as tu enculé un plusieurs fois ?

« Oui

« Qui ? tu le baises encore ? Il n’a pas mal au cul

« C’est un secret, tu ne sauras rien

« Ah c’est l’autre qui vient souvent, une autre pédale, la prochaine fois qu’il vient je regarderais comment il marche en sortant, je vais rire. Tu ne t’es pas fait sucer aujourd’hui ?

« Non mais j’en ai très envie, je sais que tu aimes mieux ça que de te faire baiser, aller viens, tiens regarde comme elle est grosse

« Au fait tu as jouis toi aussi ?

« Comme lui dans mon futal

« Et bien cela ne t’a pas calmé, tu parles d’un engin

« Je sais que tout cela t’excite aller mets toi à genoux, viens nettoyer ma verge avec ta langue ; oui ..... non devant l’armoire à glace. Oui c’est bien ! aller ma bonne femme suce, suce ton pédéraste de mari, mets bien ta langue, ah c’est bon, si tu baisais comme tu suces.... prends en plus et après tu gobes mes couilles comme la dernière fois. Si tu me suces bien la semaine prochaine tu pourras nous regarder par le miroir sans tain du couloir. Ne proteste pas, suce, je sais que tu en a envie et que si je suis pédéraste tu es une voyeuse de première, tu te caresseras en nous regardant ?

« Sans doute

« Tu te masturberas ?

« Certainement

« Tu jouiras ma salope ?

« C’est sur

« Et bien continue de me sucer et garde tout, je sens que ça vient, ouiiiiiiii.....Aaaaaaaahhh

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En arrivant à la maison, discrètement je changeais de culotte et rinçais le short souillé. Toute la semaine je repensais à cette formidable première jouissance, m’interrogeant cependant sur la manière qui avait aboutit à ce plaisir jamais ressenti. J’attendais samedi pour me branler sous la douche, en rampant je ne pus obtenir que le picotement habituel qui me parut bien fade.

Sous la douche j’annonçais à mon copain que j’avais juté, il en parut heureux et le sexe soigneusement savonné nous commencèrent à nous masturber de concert. Pour lui un succès il ne tarda pas à éjaculer en longs jets nacrés en se tortillant de plaisir, pour moi échec, rien à faire, je bandais en vain sous le regard apitoyé de mon copain.

Que faire pour mardi ? j’avais envie de ressentir à nouveau cette jouissance, je pensais également au chocolat si rare, était ce un appât destiné à faire céder une dernière hésitation.. Confusément je trouvais la situation scabreuse, malsaine même, pourtant Lu faisait tout pour m’initier me mettre en confiance, pourquoi ? pour quel profit ? Eprouvait-il du plaisir ? J’aurai préféré vivre la même situation avec une fille, avec une femme plutôt ; baiser une femme, une vraie, un fantasme pour mon copain et moi ; encore fallait il assurer.

Oui j’irai, après tout il faut savoir ce que l’on veut et ce que je voulais c’est jouir encore, ressentir le délicieux plaisir quand le sperme remonte des couilles vers ma queue, quand les jambes flageolantes et qu’on a des étoiles plein les yeux. Pour le moment seul Lu avait su me procurer cette ivresse, quand je saurai jouir tout seul, je verrais.

Lu sembla heureux de me voir, je vis son regard furtif sur mon short et cela sembla le satisfaire. Il me demanda si j’avais joui, seul ou avec mon copain, je lui expliquais mes tentatives infructueuses, il me demanda si je fumais et me tendit un paquet de Camel entamé, flatté j’en pris une et nous fumèrent en silence, une odeur de miel se répandit dans la chambre.

« J’ai pu avoir du chocolat me dit il, je t’en donnerais en partant. Nous n’étions pas à l’aise, nous ne savions pas comment commencer.
« Tu as aimé mardi dernier ? tu devrais pouvoir rejouir avec la bite que tu as, tu es bien monté sais tu ?

je pensais à la sienne, à l’énorme cylindre noueux que j’avais effleuré l’autre soir. Il devina ma pensée et me dit qu’à mon âge son sexe était moins gros que le mien. Nous étions debout, face à face et c’est en parlant qu’il avança sa main sur moi, je bandais déjà et sur le fin tissu de ma culotte il saisi mon membre à pleine main, tout en me caressant il me dit

« Tu devrais te branler avec un mouchoir de soie chaud, le contact du tissu est beaucoup plus doux que la main, laisse moi te déculotter

Sans attendre mon avis je sentis qu’il baissait ma culotte aux genoux, il semblait dans un état second, jubilatoire, je voulus résister, j’avais honte de me trouver offert ainsi, le cul et le sexe à l’air, mais déjà prenant un carré de soie sur le radiateur il me reprit la queue et là ce fut si nouveau, si jouissif que je le laissais faire.

Seule l’étoffe légère guidée par sa main me frôlait, la caresse était immatérielle dans les plis bouffants de l’écharpe que Lu faisait virevolter sur mon sexe. A un moment il passa un pan dans la raie de mes fesses et il tirait sur ma queue en agitant l’étoffe par derrière et par devant. Jamais je n’avais ressenti l’effet d’une telle caresse de cette soie tiède et douce qui frôlait ma verge, mes parties et allait et venait dans la raie de mon cul.

Je m’aperçus qu’il était repassé debout derrière moi comme mardi dernier, il m’avait empaumé les couilles, les pétrissait, il me les remontait avec sa main gauche tout en serrant la base de ma verge entre deux doigts, avec sa main droite il m’astiqua le membre sans le serrer avec cette soie tiède

« C’est doux et chaud comme une chatte me dit il dans un souffle « comme un cul !

Il s’encastrait en s’agitant de bas en haut entre mes fesses nues et je compris qu’il avait lui aussi baissé son pantalon, il ne portait pas de slip dessous ! ! l’énorme cylindre de sa queue vertical coulissant entre mes fesses nues. J’étais choqué, outré mais je le laissais faire car déjà le plaisir montait impérieux de mes entrailles.

Jamais mon dard n’avait été aussi gros, aussi raide, avec sa main il décalottait mon gland, puis le recapuchonnait en allongeant mon sexe. Je ne pouvais rester silencieux et immobile, je râlais, soufflais en m’agitant, j’essayais de ne pas gueuler. Lu derrière moi haletait, sa main droite maintenant ne branlait plus que le bout de ma bitte décalottée, il se vautrait sur moi et je sentais son énorme membre vertical, plaqué sur son ventre durci, aller et venir dans la commissure de mes fesses.

A un moment ployant sa queue je sentis qu’il se branlait maintenant par derrière entre mes cuisses, sa longue verge horizontale coulissant grassement par-dessous dans la raie de mon cul, son gland en butée sur mes couilles, je sus plus tard qu’il l’avait enduite de vaseline. Tout en me branlant il râlait en s’agitant de plus en plus vite d’avant en arrière

« Serre bien tes cuisses sur mon zob ah oui ! et brusquement il déchargea en plusieurs fois son énorme sexe raidi dans la raie de mon cul entre mes cuisses et mes fesses. Chaque giclée de foutre, dans un claquement de son ventre sur mes fesses, lui tirait un cri, un râle. Moi, j’avais déjà perdu conscience, des étoiles voilant ma vue, mon ventre explosant de plaisir, je crus voir du sperme gicler de mon gland en longs jets nacrés à chaque branlée, Ah que c’était bon, au diable la pudeur et l’idée de péché, je laissais Lu me branler longtemps encore après la fin du plaisir, ma queue toujours grosse mollissante.

Quand nous nous désaccouplèrent Lu eu du mal à remonter son pantalon tant son sexe dressé à l’horizontale était encore gros, il dodelinait décalotté de droite à gauche au moindre de ses mouvements, c’était effrayant pour moi et je n’osais le regarder davantage. Avec un mouchoir il m’essuya les fesses souillées et je pus remonter mon short.

« Sais tu que les Romains aimaient mieux se faire jouir entre hommes ? les Grecs aussi. Avec les femmes il y a toujours une contrepartie au plaisir qu’elles nous tolèrent, entre hommes ont sait ce qui nous fait plaisir. As tu bien joui avec moi, essaie chez toi avec un mouchoir chaud et dis moi si seul tu jouis autant ?René et Paul m’ont dit que non.

« Ah bon ! dis je eux aussi tu les à fais jouir comme moi aujourd’hui ?

Oui et comme toi ils m’ont fait jouir ...... et plus encore, je ne peux te dire, c’est notre secret, je leur serais éternellement reconnaissant.

Je me sentais un peu vexé, qu’avaient ils pu faire de si bon, de si secret ? Lu m’avait fait jouir, m’avait initié, mais moi je l’avais laissé s’exciter sur moi, il avait jouit lui aussi, je n’avais rien dit quand il se branlait entre mes fesses, pourtant confusément je sentais que ce n’étais pas bien, pas normal, pas naturel. Voulait-il me rendre un peu jaloux ? Pourquoi ? Dans quel but ?

J’étais dans mes pensées quand il revint avec le chocolat. C’étaient de gros cubes de chocolat noir américain dur comme de la pierre mais délicieux quand il fondait dans la bouche, je m’en régalais en consolation de la petite contrariété due à ces propos, il en avait mis une plaque de côté que je prendrais à mon départ.

J’avais la bouche pleine quand il me dit

« Tu jouis maintenant, tu pourras te branler seul comme je t’ai dit mais monté comme tu es je t’affirme que tu peux jouir plusieurs fois de suite sans problème. Si tu me fais confiance je peux te le prouver et te faire connaître à nouveau le plaisir, plus fort encore peut être

« Confiance ? comment ?

« En te laissant faire

« Tu me rebranlerais ?

« En quelque sorte oui, mais différemment

« Comment ?

« Il faut un petit effet de surprise, il faut même que tu ne vois rien

« Tu m’inquiètes, je ne suis pas d’accord, j’aime bien être libre de laisser faire ou non

« C’est là que tu dois me faire confiance, je ne veux que te faire rejouir, d’une jouissance encore plus forte, plus complète, un plaisir que tu ne peux imaginer tant il est fort, c’est simple met ce bandeau sur tes yeux c’est tout et laisse toi guider si cela ne te plais pas on arrête, mais ca m’étonnerais

Est ce cela qu’il faisait à René et à Paul ? Pourquoi ne le ferais je pas moi aussi, si cela ne me plaisait pas j’aurai tôt fait retirer le bandeau

« Essayons dis je à moitié rassuré, mais j’avais une telle soif de la jouissance promise que je laissais faire. Lu repris le mouchoir de soie et me banda les yeux, aussitôt après je sentis ses mains sur moi, il me poussa légèrement et je sentis le lit derrière moi, avec la plus grande douceur je compris qu’il fallait m’asseoir sur la couche et comme je me pliais je sentis que Lu me redéculottait, délicatement il déboutonna mon flottant et le fit glisser sur mes cuisses, j’avais de nouveau les fesses nues et le sexe à l’air. Une fois assis sur le dessus de lit en satin, je sentis qu’il m’ôtait entièrement ma culotte.
Troublé j’entendis Lu dire

« N’est pas peur, allonge toi, oui, écarte bien tes cuisses, non reste en travers, bien au bord du lit, avance encore, les fesses bien au bord, voilà c’est bon, laisse toi aller

Je sentis sa main sur moi, mes couilles et mon sexe amolli dans sa paume, ses doigts par dessous, mon sexe ne tarda pas à redurcir et à se dresser. Je sentis ses doigts serrant la base de mon sexe en le faisant vibrer, je sentais la raideur revenir, il se dressait roide en oscillant . Il me caressait maintenant avec ses deux mains et il s’occupa du bout de mon sexe décalotté, il avait du mouiller ses doigts de salive car le contact avec mon gland était d’une grande douceur, c’était une caresse subtile, chaude et humide, prolongée, têtue.

Son autre main serrant ma hampe présentait l’extrémité sensible de ma verge vers le calice de ses doigts. Jamais je n’aurai imaginé que des bouts de doigts puissent faire cet effet, mon gland était effleuré, la caresse en faisait le tour, s’attardant par dessous. Pourtant je sentais le gland entouré avec cette caresse tournante comme si mon sexe était dans un méat chaud et humide, comme une bouche et je m’imaginais dans la bouche de Lu, entre ses lèvres avec sa langue s’agitant autour de lui.

Ce ne pouvait être cela, ce n’était pas possible, c’étaient ses doigts, sa main qui m’excitaient tant ! Je me laissais faire en commençant à avancer mon ventre vers cette caresse si jouissive. Cependant, je ne sais pourquoi je me pris à imaginer qu’il me suçait, c’était plausible, je savais que cela se faisait, les copains disaient une bonne pipe. Dans ce fantasme puisque je ne voyais rien, c’est sa langue qui frôlait ma verge, elle descendait par dessous, lapait les couilles, sa bouche les gobait une après l’autre.

Les bras de Lu passèrent sous mes cuisses en les relevant, je fus écartelé, fesses offertes, ses doigts ou sa langue, si c’était elle, léchait la raie de mon cul, mon anus tout lisse et rose et je ressentis la délicatesse de cet endroit, jamais je ne l’aurai cru si sensible, le pointu en faisait le tour avant de se centrer sur lui en une légère pression.


Mais déjà ce que j’imaginais être sa bouche remontait léchant mes testicules, remontant ma hampe par dessous la langue étalée sur la grosse veine bleue qui irrigue ma verge en la faisant gonfler et arrivée sur mon gland le prenait entre ses lèvres et s’enfonçait avec toujours cette langue qui s’agitait sur moi. J’étais branlé dans ce doux cloaque, mon sexe était tout chaud et luisant de salive dans cette bouche qui allait et venait sur lui, elle me serrait en remontant cachant mon gland dans son fourreau de peau, s’ouvrait un peu en me pénétrant de plus en plus profondément en me dépucelant.


Incroyablement elle me goba entièrement, ce ne pouvait être sa bouche qui absorbait ma queue jusqu'à sa racine, ce n’était pas possible. J’étais comme fou, je m’agitais en tout sens, tordant ma queue dans ce puits sans fond, je me branlais, mes couilles étaient agitées par des doigts effrontés, quand à un moment la bouche me déglutit j’entendis un crachotement et je devinais plus que je ne ressentis le jet de salive coulant sous mes couilles et dans la raie de mes fesses mouillant mon cul.

Puis la bouche me repris dans sa ronde satanique, je me sentais aspiré et de mon ventre un désir pris naissance, je sentais venir la jouissance, monter le sperme des profondeurs, je perdais pied, c’est à peine si je me rendis compte qu’un doigt mouillé pénétrait mon anus délicatement et me branlait lui aussi au même rythme que la bouche sur mon gland, que la main sur mes couilles, je me surpris à m’ouvrir sur ce doigt qui pénétrait mon cul.

Je hurlais de jouissance quand le sperme remonta dans ma queue, fou j’ôtais mon bandeau et tout se confirma je vis mon sexe planté entre les lèvres de mon initiateur, il me regarda d’un air inquiet mais j’étais tellement bien qu’au lieu de me retirer je me vautrais en râlant, avançant mon ventre m’enfonçant un peu plus dans cette bouche si prévenante.

Rassuré c’est lui qui se déchaîna sur moi, il me branlait entre ses lèvres en aspirant une main flattant mes couilles et me serrant la queue à sa base, tandis qu’il me branlait l’anus avec un doigt de l’autre main. Ivre de désir j’agitais mon bassin pour baiser cet orifice si jouissif, j’allais et venais sortant mon gland pour mieux forcer ses lèvres serrées.

J’allais jouir et j’essayais de sortir pour ne pas souiller sa bouche mais je compris qu’il ne voulait m’échapper Je me laissais aller et dans un spasme je déchargeais, le foutre dégoulinant de cette bouche avide sur mon sexe en furie. Oui c’était bien la bouche de Lu qui me faisait rejouir encore plus fort comme il me l’avait promis, je n’aurai jamais cru cela possible, ses deux mains étaient prises, je les sentais sur mes bourses et dans mon cul.

C’est bien dans sa bouche que je déchargeais, je vis Lu appliqué entre mes cuisses écartelées, mon sexe entre ses lèvres, dans sa bouche souillée de mon foutre. Il continuait à me sucer, à me branler, à lécher mon gland, puis à lâcher mon sexe encore dressé et me sourire tout en continuant à agiter doucement son doigt dans mon cul.

« Alors tu as bien rejoui ? c’était bon ?

Je ne savais que dire, oui c’était très bon, jamais je n’avais eu un tel plaisir, que c’était bon de se branler dans une bouche, chaude, humide, profonde, j’avais en mémoire la sensation incroyable du collier de ces lèvres serrées coulissant sur ma verge et de cette langue affolant mon gland, quand les joues creusées j’avais ressenti cette implacable succion qui m’aspirait mon foutre du plus profond de mon ventre, puis le plaisir suprême de sa remontée des couilles dans ma verge.

D’un autre côté je ressentais de la honte à me laisser faire ainsi, dans cette position, nu , cuisses écartées sur son visage, lui offrant mon cul et ma queue. pourquoi ? pour le chocolat, le chewing, les cigarettes américaines ? Pour être apprécié par un grand comme René et Paul ? pour jouir comme mon copain ? pour m’éduquer au plaisir charnel avant de pouvoir baiser une femme ? certainement !

« Pourquoi fais tu cela ? lui dis je

« Pour t’initier au plaisir, tu penseras à moi à chaque fois que tu jouiras, et puis il m’arrive de jouir moi aussi, certains que j’ai initié ont su me rendre du plaisir en en retrouvant de nouveaux, si tu viens mardi prochain, tu pourras jouir d’une autre façon et si tu le veux j’y retrouverai mon compte.

Lu s’était redressé et je remarquais qu’il s’était déculotté pendant qu’il me suçait, il bandait dur et sa verge érectée se dressait arquée vers moi. Son braquemard était énorme, le gland décalotté émergeait de sa hampe noueuse, gorgée de sang.

« Que dirais tu si je te demandais de l’embrasser ?

« Quoi ?

Lu me montra sa verge qui dodelinait devant mon visage

« Cela ne me dit rien

« Tu vois, tu es un peu égoïste, toi aussi tu peux me rendre un peu du plaisir que je t’ai donné ; tu sais maintenant comme c’est bon de se faire sucer, j’aurai aimé que tu me prennes dans ta bouche, ne serait ce qu’un peu, pour quelques instants de bonheur pour moi, tant pis, je me branlerais quand tu seras parti

A contre cœur et pour le remercier de l’immense plaisir que j’avais pris je m’entendis dire
« Juste le bout alors

Malgré moi, Il y avait aussi un brin de curiosité, éprouve t’on du plaisir à essayer d’en donner ? J’étais assis sur le lit, les yeux brillants, lui debout en face de moi, la queue dressée. Avec hésitation je pris sa hampe entre mes doigts, c’est la première fois que je touchais la bitte d’un autre, elle était énorme, le gland décalotté, je pris sa verge à pleine main et la ployant vers moi.

« Je léchais son gland à petits coups de langue, j’en faisais prudemment le tour, c’est par dessous, là où un filet de peau s’accroche au gland que l’effet était le plus grand, Lu s’agitait en râlant, il avançait convulsivement son ventre, je m’y attardais. Ce fut un déchaînement quand ouvrant ma bouche je le pris entre le doux collier de mes lèvres en allant et venant la langue toujours active par dessous, quand je déglutissais l’extrémité de son membre, ma main enveloppait sa verge en tournant et quand je lui palpais les couilles Lu poussa un grand gémissement je continuais de le branler en le suçant, son membre était si gros et si long que je devais ouvrir grand ma bouche pour n’en absorber qu’une faible partie.

« Oui, merci, suce moi bien, oui tourne ta langue autour de mon nœud, je veux la voir s’agiter toute rose autour de mon gland, sa pointe me frôler le membre, oui comme ça, c’est bien, j’aimerai que tu me lèches les parties, ah tu veux bien, merci, prends les une après l’autre dans ta bouche, oui ouvre bien, gobe moi ahhhh que c’est bon. Maintenant reprend mon sexe entre tes lèvres et laisse moi baiser ta bouche, mets ta main pour que je n’aille pas trop profond, oui, un peu plus, encore recule ta main, ahhh c’est bon, aspire un peu maintenant, branle ma queue, caresse bien mes couilles, ah je vais jouir, je suis bien ahhhhhhh.

Brusquement Lu se retira de ma bouche et eut tout juste le temps de se détourner pour ne pas souiller mon visage de son sperme. Seule ma main s’agitait agrippée sur son membre

« Continue à me branler ah c’est bon, c’est bon

Il continuait de juter à chaque branlée un jet puissant giclait et puis ce ne fut que quelques gouttes, mais chacune d’elles le rendait comme fou de plaisir, il tendait son ventre vers ma main qui purgeait son panet et quand de l’autre je lui pressais ses couilles pour le vider à fond tout en léchant la dernière goutte qui perlait au bout de son gland il poussa un grand cri et s’écroula à plat ventre sur le lit en battant des bras et des cuisses comme si la jouissance était devenu insupportable.

« Merci, me dit il au bout d’un moment,

« Laisse moi maintenant, je vais tout nettoyer, prends le chocolat et les camels, j’aimerai que tu reviennes mardi prochain, je serai seul à la maison, nous serons plus tranquilles, je te donnerais un harmonica, essaie de jouir seul ou avec ton copain, fais toi bander souvent, tu verras ta queue va encore grossir, ce sera meilleur encore pour nous deux, aller file.

Je me retrouvais dans la rue, les jambes un peu molles, perplexe mais heureux, j’avais bien joui deux fois, en pensant à la deuxième fois sans le vouloir j’avançais mon ventre vers une bouche imaginaire. Lu ne faisait que ce que je lui permettais, il savait le plaisir qu’il me faisait découvrir, habilement il me comblait de cadeaux rares, de plus en plus convoités, il essayait de me rendre un peu jaloux d’autres copains qu’il avait du initier avant moi, quel plaisir pouvait il avoir de faire jouir des adolescents comme nous, il avait une femme, bien foutue, alors ?

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« Alors chère femme tu t’es rincé l’oeil ?

« Tu peux le dire, quel tableau ! il est giron le môme, il a de belles fesses et une belle queue pour son âge, tu avais l’air de te régaler

« Je l’ai fait jouir deux fois, avec mise à l’air avec mes mains et dans ma bouche

« J’ai vu et toi aussi tu as joui tu as pu lui caresser l’anus ?

« Avec mon doigt, mais a fond, il n’a pas moufté, la prochaine fois je l’encule, si tu voyais comme son petit trou de balle est mignon, je l’ai léché il avait l’air d’aimer, mais au fait tu t’es branlée ?

« J’avais pris un gode par précaution je ne l’ai pas regretté

« Lequel ?

« Pas le plus gros mais presque

« Et alors ?

« Je me suis amusée avec durant tout vos ébats, j’ai joui au moins quatre fois, le meilleur moment c’est quand il t’a déchargé dans la bouche, si tu avais pu voir sa croupe, ses fesses serrées aller et venir, il a un sacré coup de rein, il est drôlement bien foutu, je me le farcirai bien !

« Salope ! et avec moi rien

« J’ai déjà donné, cela ne t’a pas empêché de t’enticher des ados, reste avec eux. Au fait je suis présumée être absente mardi prochain. N’y compte pas je ne veux pas louper le spectacle, je veux le voir prendre du rond s’il se laisse faire.

« Il est tellement curieux de ces sensations nouvelles que je suis à peu près sur d’y arriver, la semaine va me paraître longue, au fait tu veux me sucer comme la semaine dernière ? c’était bon

« Va te faire foutre, j’ai à faire, d’ailleurs j’ai vu qu’il t’avait pompé ce petit vicieux, qui préfères tu, lui ou moi ?

« Toi, quand tu me gobes à fond, tes lèvres près de mes couilles, oui toi quand je me branle de toute ma longueur quand tu m’aspires et que tu gardes mon foutre me permettant de jouir entre tes lèvres jusqu’à la dernière goutte

« A la bonne heure, je compte encore un peu

« Je vais l’éduquer, il faudra bien qu’il m’absorbe lui aussi dans sa bouche et dans son petit cul que je vais ramoner.

« Bon programme, satyre, pédéraste, je persiste et signe, va te faire foutre

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Le lendemain, je vis mon copain, il avait l’air furieux.

« J’en ai de bonnes à te raconter me dit il,

« Tu sais que je prends le train tous les jours pour aller à Gambetta, il y a un monde fou, surtout quand c’est des rames métro, ce matin figures toi nous étions serrés comme des sardines à ne pas pouvoir remuer un doigt, j’étais dans mes pensées quand d’un coup j’ai senti une main sur ma braguette, sans aucune retenue elle me prit au travers du pantalon et me palpait franchement les couilles, ce ne pouvait être involontaire car elle commença comment dirais je à me les pétrir par dessous.

« En face de moi, un vieux assez bien bâti me regardait, sourire aux lèvres, ce ne pouvait être que lui, j’avais l’habitude de le voir aux mêmes heures, j’essayais en vain de me retourner, ce fut pire à la station, un nouvel arrivage nous encastra littéralement les uns dans les autres, le vieux en avait profité pour mieux se placer encore, j’étais furieux, si j’avais pu je lui aurait mis mon poing dans sa gueule, mais c’est qu’il me faisais bander le con, ce vieux pédéraste. Il me souriait avec des airs entendus semblant me dire qu’il me faisait de l’effet.

« Comble de malheur, ce matin j’étais pressé et j’ai oublié de fermer ma braguette, je m’en suis aperçu quand sa main passant directement sous mon slip commença par me soupeser les couilles mises à nues. Sa main était dure, épaisse, calleuse mais à aucun moment elle ne me fit mal. Il savait y faire le salaud car sans attendre et à ma grande stupéfaction il me sorti tout mon attirail de mon pantalon, j’avais le service trois pièces à l’air, les roustons en appui sur mon futal.

« Je t’ai dit que sans que je le désire je commençais à bander, j’avais beau me dire le contraire, malgré moi et à cause de ses caresses j’étais maintenant gros et raide, le gland décalotté. A l’insu de tous il me branlait la verge, il avait trois doigts sous mes baloches et avec le pouce et l’index il me serrait la pine en l’agitant. Depuis le début je sentais qu’il me scrutait, guettant sur mon visage la moindre de mes réactions ; il a vu ma colère muette puis compris que je ne ferais pas de scandales, quand j’ai commencé à bander il m’a souri d’un air entendu.

« Mon sexe étais dressé, tu sais comme quand on se branle dans les douches, j’ai senti sa grosse patte s’enrouler sur lui, sans le serrer et l’agiter, le tordre. Il savait y faire la pute, malgré moi j’étais bien, le plaisir commençait à naître dans mes baloches et j’avançais mon ventre, le vieux avait l’air d’en jouir et il me vint à l’idée qu’il se branlait avec sa main libre.

« L’espace d’une seconde il me lâcha portant sa main à sa bouche, c’était pour mieux me reprendre, cette fois il avait mit son pouce sur mon gland, les autres doigts dessous et il me titilla ainsi le panet, ses doigts glissaient onctueusement en me pinçant le noeud et je compris, le salaud qu’il les avait enduits de salive. Je devais faire l’effort de ne faire rien transparaître du plaisir qui montait, tu sais comment je gueule quand je jouis.

« Ses doigts par moment descendaient le long de ma verge et frôlaient ma veine bleue gorgée de sang, à chaque caresse ma queue se dressait, jamais je crois elle n’avait été si grosse, si raide ; j’avais depuis longtemps cessé de résister, au contraire je quêtais les caresses de cette grosse patte si attentionnée. Les choses sérieuses commençaient, il avait pris maintenant ma queue à pleine main et il me branlait fermement, lentement d’abord puis de plus en plus vite en me serrant de plus en plus étroitement.

« J’allais jouir, déjà le sperme bouillonnait dans mes balustrines, j’allais éjaculer dans sa main, le vieux me fixait intensément il comprit qu’il me menait au plaisir suprême, le sperme monta d’un coup, mille étoiles brillaient dans mes yeux, m’aveuglant de plaisir, de jouissance, sensation mille fois plus grande que lors de mes branlettes, je m’abandonnais, giclant à chaque branlée, j’étais bien. Je sentis une chaleur sur mon ventre et je compris que j’éjaculais dans ma culotte, l’expérimenté pédéraste sentant le moment crucial m’avait remis le tout à l’intérieur sans me lâcher toutefois et en continuant de me purger le panet, si tu savais le plaisir des dernières gouttes.

« Je m’aperçus que nous arrivions au terminus, le train s’arrête, la descente des voyageurs commence, qu’allais je faire ? au début j’avais l’intention de lui foutre mon poing dans la gueule, mais maintenant ? il descendait à son tour, j’allais le suivre, le rattraper, je fis un pas et m’empêtrais dans mon pantalon, le salaud avait dégrafé l’attache qui le tenais à ma taille. J’étais là sur le quai furieux, tenant mon pantalon et je sentais le foutre, mon foutre me souiller les cuisses, en me réajustant je m’en mis plein les doigts et je crus m’étouffer de fureur, le vieux satyre s’était soulagé sur moi et avait déchargé sur mon futal. Inutile de te dire que j’ai fait un long stage aux chiottes pour être mieux et présentable.

Comme il se taisait enfin je le remerciais pour cette confidence si bien détaillée, je lui dis « Si je résume je conclus que cette expérience t’a fait jouir comme jamais auparavant, c’est bon donc de se faire branler par un autre.

« C’est bon oui et je me demande si de temps à autres je ne laisserais pas ce vieux saligot me tripoter, pourtant je crois que la vrai solution c’est de jouir avec une fille, les copains m’ont proposé d’aller aux putes avec eux, ils en connaissent une qui paraît il fait ça à l’œil aux puceaux à condition de les revoir par la suite au tarif, elle s’applique sans compter pour qu’ils reviennent, je crois que je vais y aller cette semaine.

« Tu me raconteras ?

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Le mardi suivant, je retournais chez Lu, un peu pour cette initiation à ma sexualité que je présentais malsaine et hors nature malgré les plaisirs que je découvrais, beaucoup aussi pour l’harmonica promise. Au fil de nos rencontres les cadeaux étaient de plus en plus désirables offerts sans doute pour aller plus avant dans nos attouchements. Lu était il comme ce vieux pédéraste qui lui aussi branlait les adolescents ? Lu lui ne faisait rien contre notre gré mais n’était ce pas plus vicieux encore que de nous acheter par des cadeaux qu’il savait que nous aimions. Je dis nous car il mettait en concurrence les caresses respectives qu’il prodiguait à d’autres ados, comme si cela était normal en laissant planer le mystère sur ce qu’ils faisaient pour nous rendre jaloux. Que disait-il aux autres en parlant de moi ?

C’est donc en pleine réflexion que j’arrivais chez lui. Comme il me l’avait dit il était seul. J’entrai dans son bureau à sa suite et je vis sur sa table l’étui de l’instrument convoité, je n’en cru pas mes yeux car je reconnu la boîte d’un harmonica chromatique celui dont je rêvais depuis longtemps. Lu paraissait tout drôle quand il me prit dans ses bras faisant mine de m’embrasser, mais je reculais ne tenant pas à ces effusions masculines que je réservais pour les filles quand elles voudraient de moi. Il ne marqua pas son mécontentement et me dit

« Alors mon petit Jean quoi de neuf depuis mardi dernier ? As tu joui ? non ! tu t’es branlé ? tu as rampé ?

oui !

« tu as rampé, alors ?

« J’ai rampé au lit sur le mannequin de ma mère, je l’avais enfourché, à plat ventre sur ses rondeurs, c’était très rond mais dur, après j’ai eu mal aux parties

« Et alors tu as jouis avec cette femme de bois et de carton ?

« Non rien, toujours des picotements, rien d’autre, quelques gouttes de sperme dans mon slip, pour l’instant toi seul me fait jouir

Merci ! Sais tu pourtant qu’on peut jouir en rampant, j’aimerai te le démontrer, tu ne le regretteras pas. C’est très jouissif, tu verras, Veux tu ?

Je pensais à l’harmonica, et surtout au plaisir qu’il était le seul à provoquer, à ces instants sublimes de l’éjaculation. Mais qu’allait-il inventer ?

« Si tu es d’accord il faut le faire de suite car ma femme doit rentrer dans deux heures ce qui nous laisse plus de temps qu’il n’en faut pour se faire jouir plusieurs fois de façon agréable et mystérieuse pour toi

Comme je ne disais rien il précisa
« Il faut aller dans la salle de bain, sous la douche, on va bien jouir tous les deux et après tu me joueras un air d’harmonica

Le salaud pensais-je. C’est un PD de la pire espèce. Mais jusqu’à présent il m’avait procuré du plaisir, mes premières jouissances, mes premières éjaculations que je ne savais pas trouver seul. Malgré mes réticences j’étais attiré vers ces nouvelles sensations qu’il me proposait, ce devait être encore plus fort m’avait il promit la dernière fois.

« Pourquoi se doucher, j’en viens

« Si tu veux jouir très fort, fais-moi confiance

« Bon d’accord allons y

A son air je devinais qu’il jubilait, il avait réussi à m’attirer de plein gré dans le stupre et je le pressentais la débauche, mais ma curiosité était immense comme mon besoin de jouir. La salle d’eau était spacieuse, claire et moderne, il y régnait une douce chaleur parfumée, le sol était recouvert d’une sorte de moquette à poils longs.

« Nous allons prendre une douche et bien nous savonner, tu pourras accrocher tes vêtements ici, je laisse la porte ouverte

Quand il baissa son pantalon je remarquais qu’il portait un slip bizarre fait de sangles autour de la taille et d’un sac suspendu cachant les testicules, il du voir mon étonnement car il me dit

« Je porte des suspensoirs, c’est spécial pour soutenir les grosses couilles sinon le soir elles me font mal, avec cette protection je suis toujours en pleine forme, si tu veux je te dirais où l’on peut s’en procurer, tu vas bientôt en avoir besoin, monté comme tu l’es.

Mais déjà il était à poil, il bandait mollement, son gros sexe n’avait pas la raideur que j’avais connu dans ma bouche, il pendait sur ses grosses couilles le gland caché dans son fourreau de peau. Le tout dans une toison domestiquée, manifestement il devait se faire ou se faire le maillot, les testicules étaient imberbes, rasées sans doute. Il me regarda me dévêtir et comme j’hésitais à me mettre complètement nu il me dit

« Allez quitte ta culotte, oui comme ça, à poil, tu es drôlement musclé, sais tu que j’admire ton corps, allez viens dit il savonnons-nous

J’entrais avec lui sous le jet d’eau tiède, nous étions serrés l’un contre l’autre, j’étais très gêné de le sentir contre moi, il ne faisait rien pour m’éviter et cherchait à se frotter sur moi, l’eau nous inondait ruisselant sur nos corps, Il arrêta l’eau et pris le savon liquide parfumé dans une fiole. C’est lui qui me savonna, il essayait d’être naturel mais je le sentais troublé, quand il me parlait sa voix chevrotait, ses doigts, ses mains savonneuses me frôlaient, glissaient sur tout mon corps, rapidement il en vint entre mes cuisses et mes fesses.

Il me prit par dessous avec sa main, quatre doigts sous mes couilles avec le pouce par dessus faisant pince à la base de ma verge, ce fut d’abord une caresse, ses doigts savonnés effleuraient mes parties une après l’autre en prenant leur temps, il les faisait rouler une après l’autre entre ses doigts, je dois avouer que j’étais bien, de temps à autre avec son pouce il me serrait la base de mon sexe déjà raidi.

Je n’étais pas seul à être bien, sans que je fasse quoi que se soit à part le laisser faire son sexe se mis à se bander, je vis le moment ou son énorme gland émergea en se décalottant, son membre pulsait plaqué sur son ventre, il s’abaissait horizontal pour mieux se redresser dans un serrement de ses fesses. Lu m’observait fixement il semblait dans un état second. Nous étions serrés l’un contre l’autre, face à face, mon sexe bandé vertical contre le sien, les deux cylindres roulant l’un sur l’autre au moindre de nos mouvement entre nos deux ventres serrés. Quand il me parla j’eus du mal à comprendre ses paroles tant il semblait ému

« Sais tu que tu as des roubignoles superbes.... elles sont grosses...... avec elles tu devrais jouir et éjaculer, tu sens mes doigts qui te prennent aux couilles, les caresser est très important pour bien jouir, le sperme vient de là, je te les serre, oui comme ça, je te les remonte, tu es bien ?

Lu haletait, il s’était replacé derrière moi et avec sa main gauche il me malaxait les couilles et ma verge. Avec le savon le contact était très doux pourtant il ne ménageait pas mes parties qu’il serrait en tirant dessus avant que ses doigts en corolle s’échappant pincent doucement ma queue de sa base jusqu’au gland qui se recouvrait de sa peau.

Avant de me reprendre aux couilles délicatement il me redécalottait le gland et la masturbation reprenait, entre ses doigts mon sexe se raidissait, c’était bon je comprenais que j’allais jouir, que j’allais juter, que le plaisir allait de nouveau me submerger, plaisir que seul jusqu’à présent il savait me procurer. Pourtant je restais maintenu à la frontière du bonheur par cette main diabolique, il aurait fallu peu de chose, un serrement plus doux, plus rapide, une station un peu plus longue sur mon gland pour que le sperme que je sentais bouillonner dans mes couilles n’explose en ramonant ma queue. Mais la main restait sage, patiente et me tenait en haleine et dépendant de son bon plaisir. J’étais dans un état second tendant mon ventre en cadence.

« Ecarte tes cuisses

Cet ordre impératif me sortit de mon cocon, écarter mes cuisses ? pourquoi ? pourquoi pas j’étais si bien, sans volonté si ce n’est celle de jouir, de juter enfin. La main à l’avant continuait son manège

Tu vas jouir plus que jamais, aller écarte toi !

Curieux, fébrile j’obéis en écartant légèrement mes jambes, jusqu’à présent Lu m’avait fait jouir de plus en plus intensément ; dans l’état où il m’avait amené je n’étais pas en mesure de refuser ; pourtant confusément je présentais qu’il faisait un pas de plus vers des plaisirs que la morale interdit. La suite me le confirma.

« Oui c’est bien, laisse moi faire, tu ne vas pas le regretter

Sa main continuait de m’allonger la verge en me serrant les parties mais maintenant il me caressait les fesses, l’une après l’autre elles étaient pétries par une paume enveloppante ; la main droite en action à l’arrière. Mais rapidement par dessous je sentis sa main s’enfoncer entre les lobes savonnées, les doigts relevés dans la raie de mon cul allaient et venaient en partant des couilles en passant sur l’anus, les deux mains coordonnées agissant de concert se retrouvant sur mes parties avant de travailler en s’éloignant. A l’arrière maintenant un seul doigt s’activait mais à chaque passage je le sentais qu’il me pressait, le savon favorisait son action et après s’être un peu attardé sur mon petit trou c’est à peine si je sentis qu’il essayait s’y introduire.

« Il est beau ton petit cul, tu te souviens mardi dernier quand je te faisais jouir en te suçant, je l’ai léché avec la pointe de ma langue, tu avais l’air bien quand je t’ai fait une petite enculette et que tu t’es ouvert sur mon doigt, on peut jouir par là, ce n’est pas un tabou pour ceux qui veulent la jouissance extrême, jouir l’anus rempli c’est le pied.

Tout en parlant et en me caressant par devant, , ses doigts savonneux massaient la zone de l’anus, une douce pression d’abord, une caresse tout autour de mon petit cul. C’était une sensation bizarre, le bout de ses doigts glissaient sur moi, tournaient autour du petit gouffre en appuyant dessus, de plus en plus fort. Sans me rendre compte du moment où cela s’était produit je compris qu’un doigt m’avait pénétré et s’agitait en moi, qu’il sortait pour mieux se renfoncer en douceur en tournant comme s’il cherchait à m’ouvrir plus grand.

« Il faut être propre de partout, aller détends toi, ouvre toi comme si tu voulais aller aux toilettes, oui c’est mieux, tu sens, je t’encule avec mon doigt, avec le savon cela glisse tout seul, c’est bon hein ! Si tu veux quand je te fourre , serre toi sur mon doigt pour l’expulser, allez serre.... bien... encore...parfait... ? quand ton petit cul est vide ouvres toi ! bien ! tu comprends vite, aller je fourre, tu serres, je fourre, tu serres, aller j’accélère

Je dois avouer que j’appréciais cette sensation nouvelle, les couilles pétries et remontées, mon sexe branlé par de savantes et onctueuses caresses avec par derrière ce doigt qui s’agitait comme un fou dans mon anus amadoué. Je me rendis compte que je l’avais laissé arriver à ses fins, il me branlait le sexe et le cul doucement puis de plus en plus vite, de plus en plus fort, je perdais tout contrôle oubliant toutes mes réticences.

Il le savait le salaud ; il me tenait et quand il le décidât après qu’il m’eut fait râler de plaisir, chaque branlette me tirant un cri, une plainte, après que j’ai roulé les fesses, avancé le ventre pour quémander ses caresses il m’expédiât dans l’orgasme le plus puissant jamais ressenti quand mon foutre jaillit de ma verge entourée de ses doigts, je m’ouvrais en même temps avant de me resserrer sur le doigt qui me forçait en cadence. La jouissance durât plus longtemps, la quantité de sperme plus grande, son jaillissement plus puissant inondait la cloison des douches. Malgré la gêne qui m’étreignait j’appréciais cet instant sublime où plus rien ne comptait à part mon plaisir.

D’un coup après avoir joui si fort je fus pris d’une grande fatigue, mes jambes me soutenant à grand peine, les deux mains toujours sur moi et en moi pour maintenir mon trouble. Lu se retourna vers moi, il n’avait pas l’air au mieux lui non plus, les traits tirés, le regard brûlant. C’est alors que je remarquais son sexe, il était bandé, énorme, décalotté, dressé

« Fais moi pareil, je t’en prie, prend moi le sexe, prend mon cul

L’instant d’avant quand j’étais sur le point de jouir, excité par ses caresses je n’aurais pas hésité, mais maintenant, un peu calmé cela me coûtait de prendre sa grosse queue dans ma main, encore plus de lui pistonner l’anus. Devant lui j’hésitais

« Tu as bien joui comme promis alors à toi de me donner du plaisir, tu me le dois, donnes ta main, oui... laisse moi te guider...

C’est ainsi que je lui pris les couilles, de grosses couilles bien séparées dans leur enveloppes imberbes, je les serrais et comme il m’avait fait je ramenais mes doigts sur sa verge dressée, quelle grosseur ! quelle longueur ! Moi aussi je recouvrais son gland avant de le décalotter, comme lui je tirais sur ses couilles avant d’enserrer son sexe avec mes doigts. Comme moi il perdit pied en gémissant et j’avoue que cela me fit un drôle d’effet, il était face à moi quêtant mes caresses en avançant son ventre et en ondulant de la croupe, au fur et à mesure de ma branlette ses mouvements devinrent convulsifs, désordonnés ; à un moment, se retournant il me présenta ses fesses et me dit criant presque

« Pistonne moi l’anus en me branlant, fais moi jouir comme j’ai fait avec ta bite avec ton petit cul

Et comme je continuais à seulement le branler en astiquant sa verge

« Encule moi avec tes doigts, j’en peux plus allez soit gentil !

« Non Lu je ne peux pas, je ne veux pas, ce n’est pas bien

« Pas bien, pas bien tu ne disais pas cela tout à l’heure, avoue que tu n’as jamais joui si fort....... non..... tu refuses.... attends..... et çà, tu voudras ?

C’est la première fois que je refusais de faire ce qu’il me disait comme si inconsciemment j’avais des limites que je refusais de franchir

En parlant, Lu tendant la main et ouvrant une petite pharmacie proche de la cabine de douche pris un objet et le mis dans ma main. Je mis un instant avant de réaliser qu’il s’agissait d’un morceau de savon mais d’un genre spécial, il se présentait comme un long et gros cylindre fortement renflé à un bout qu’il avait taillé comme une réplique d’un énorme sexe en fait la copie très réaliste du sien avec le gland décalotté et une belle paire de couilles sculptées dans la masse.

Je restais interdit l’objet à la main, puis peu à peu il me sembla comprendre ce qu’il en attendait, cela me parut hallucinant mais moins grave. Lu poussa un grognement de satisfaction quand après l’avoir mouillé d’eau tiède je présentais l’engin entre ses fesses, un feulement quand je m’en servis comme d’un pinceau dans la raie de son cul tout en continuant de le branler, un ouiiiiii.......satisfait quand je me centrais en pressant son anus, un cri de douleur vite étouffé quand j’enfonçais le gland. La suite ne peut se décrire quand prenant l’objet par les couilles je l’enculais à fond en cadence avec le branlage de sa queue.

J’eus beaucoup de mal à garder le contact tant il s’animait de mouvement grotesques. A ce moment là en y réfléchissant après je trouvais du plaisir à le faire jouir de la sorte d’autant qu’une main en arrière il m’avait saisi le sexe qui avait repris forme et recommençait à me branler .Quand il éjacula la queue serrée dans ma main il poussa un grand cri, je sentis le foutre gonfler sa queue et il aspergea la cloison une giclée à chaque fois que le sexe factice le pénétrait à fond, il sembla que cela ne finirait pas jusqu’à ce qu’il s’écroule épuisé.

« Ah ! merci, merci j’étais bien, mais toi tu pourras jouir encore plus !

« ? ? ? ? ? ?

« Tu verras si tu veux, tu sais que je ne t’ai jamais menti et que depuis le début tu as de plus en plus de plaisir

C’était vrai mais cela ne pouvait être plus fort que lorsqu’il m’avait fait jouir avec sa main devant et son doigt dans mon cul

« Crois moi je te le prouverais

Nous étions tous les deux enduits d’une tenace couche de savon odorant quand il sortit de la douche et tout en me priant de faire de même il s’allongea de tout son long sur le ventre sur le tapis.

« Allonge toi sur moi , enfourche moi et viens ramper sur moi comme tu le fais sur le mannequin de couture, tu vas voir la différence, mets bien ta queue entre mes fesses et lime

Hésitant je m’avançais et comme il me le demandait je m’allongeais sur lui, c’est la première fois où nos corps s’épousaient ainsi, j’éprouvais une certaine répugnance à ce contact charnel hors nature, j’écartais mes cuisses pour l’enfourcher et je commençais à ramper, naturellement mon sexe s’était encastré entre ses fesses, le savon rendait onctueuses les reptations de mon ventre, c’était chaud, c’était malléable, rien à voir avec le mannequin de couture de ma mère rigide et froid c’était vivant, chaud, douillet, c’était bon et je m’agitais sur lui d’avant en arrière.

Ma verge coulissait entre ses fesses, mes couilles pressées dans leur commissure quand je remontais mon ventre avec mon gland qui se pointait entre les deux rotondités. Je n’eus pas besoin de laisser longuement ma queue aller et venir sur lui, en quelques branlées c’était fait je me sentis jouir et je déchargeais en gueulant de plaisir, en continuant de m’agiter je me purgeais de toute ma semence entre ses fesses, les giclées puissantes sortant de mon gland le souillèrent jusqu’au milieu de son dos. J’allais me relever, mais Lu me demanda de poursuivre

« Continu, tu vas jouir encore, aller va et viens, écarte bien mes fesses, plante bien ta queue entre mes cuisses, vas bien au fond de ma raie, tu rebandes sec, tu es bien hein ! je te l’avais promis, attends tu vas voir, je me relève un peu à genou, continu bien de t’exciter sur moi, tu sens ma main que j’ai passé entre mes cuisses, tu la sens qui te prend le sexe, attend je l’emmaillote, ne bouge pas voilà c’est fait, je te guide maintenant le gland dans ma raie, oui bouge, allez presse moi, oui

Lu en effet m’avait d’une main saisi les couilles et avec dextérité je sentis qu’il déroulait un petit anneau de latex autour de ma queue, cela me fit un drôle d’effet d’être ainsi encapuchonné du gland aux couilles, ma verge serrée dans ce fourreau diaphane, mais déjà me prenant la base de ma verge et se servant de ma queue comme d’un pinceau il passait mon gland dans sa raie du cul, c’était agréable et je bandais sec, le préservatif car j’avais compris qu’il m’en avait muni devait être lubrifié car ma verge glissait onctueusement dans son entre cuisses savonnés.

A un moment il laissa ma verge en place et commença à s’agiter en me pressant doucement, c’est lui qui venait à moi, sa croupe ondulait fesses écartelées, prisonnier de sa main je ne pouvais reculer, je sentis mon gland se centrer puis peu à peu, s’enliser dans une douce chaleur, je compris qu’il me proposait son anus et j’eus un mouvement de recul et d’effroi, comment pouvait on faire cette chose là, mais il me tenait fermement aux cuisses d’une main passée dans son dos,

« Non pas ça Lu, pas dans ton cul, Mais il ne m’entendait plus, il me força à rester en place en me tirant les roustons, il était à genou et moi derrière lui, mon gland emmanchée à l’entrée de son cul, Je crus mourir de honte quand par d’habiles reptations de sa croupe je compris qu’en reculant sur ma rigidité il s’enfonçait en moi, à un moment mon ventre plaqué sur ses fesses j’étais maintenant sûr que je l’enculais à fond.

Il fallait que je me retire, que je sorte de ce cercle vicieux qui insensiblement m’avait amené à faire l’irréparable, je baissais les yeux et ce que je vis m’épouvanta, mon sexe bandé entre ces fesses écartées, ce cul dilaté absorbant mon sexe, j’étais immobile et pourtant je voyais mon zob gonflé dans le préservatif lubrifié aller et venir, s’enfoncer jusqu’aux couilles dans ce puits sans fond, en fait je ne bougeais pas, c’est lui qui s’agitait en m’absorbant.

Quand j’étais à fond dans son cul je me sentais broyé par des muscles puissants puis la croupe m’échappait en ondulant tordant mon pieu qui ressortait. A un moment il sorti complètement du cloaque grand ouvert et quand il se renfonça un froufroutement d’air ponctua l’introduction de mon membre. Il fallait que je sorte, il le fallait mais j’étais hypnotisé par ce que je voyais, ce cul qui s’ouvrait sur moi et qui m’absorbait, me retenait, qui me serrait quand j’étais à fond.

j’étais sans volonté et malgré moi le plaisir monta puissant, impérieux j’avoue que la situation était très jouissive et bientôt je m’abandonnais, je renonçais à me priver d’une jouissance qui prenait forme au fond de mes entrailles je n’eus plus envie de me retenir, il avait gagné, c’était si bon et il continua à bouger d’avant en arrière dans une sarabande infernale, il s’ouvrait en s’emmanchant et quand il se retirait il me serrait dans sa tripe.

Je commençais moi aussi à m’agiter dans cet étroit fourreau, je l’avais pris aux hanches et je me déchaînais en me branlant en lui, mon ventre claquant ses fesses à chaque introspection, au diable tous les préjugés, les réticences, le respect humain, j’étais envoûté et c’était si bon ma queue dans ce trou de balle, Lu senti mon changement de comportement, il comprit qu’il n’avait plus besoin de me tenir, c’est à peine si je compris ce qu’il me disait

« Tu y prend goût hein, c’est bon de se branler dans un cul , de m’enculer en levrette, continue bien de me remplir, enfonce toi bien, oui comme çà bien à fond, je suis heureux que tu aimes la sodomie, qu’est ce que nous allons pouvoir jouir tous les deux, tu voulais jouir, je te promet de fameuse orgies Ahhhh c’est bon, je te sens bien, ta grosse queue dans mon cul, Ahhh elle est douce Ohhhh, prends moi par les hanches, enfonce toi bien Ahhhhh c’est bon, plus vite, ouiiii continue jusqu’a jouir, rempli moi mon cul de ton foutre. Mais prends ma grosse queue et mes couilles, branle moi en cadence, je veux jouir moi aussi le derrière plein de ton gros zob

Il bougeait sa croupe tordant ma queue dans son cul, il avait une énorme bitte savonnée, Sans me poser de questions, je la pris à pleine main et je le branlais comme il me le demandais, je lui pris les couilles aussi et je les malaxais en cadence, il était dans un état second et geignait de plaisir, moi aussi j’étais bien ma bitte dans son cul, c’est la première fois qu’elle pénétrait un cloaque et c’était bon, je la sortais presque avant de replonger dans ce puits sans fond .

D’un coup il me serra la queue en s’agitant, je sentis qu’il jouissait, j’accélérais pour le rejoindre et quand il éjacula en jets puissants je souillais son cul de mon foutre. Nous restèrent ainsi nous branlant l’un dans l’autre jusqu’au retour de notre calme.

Lu en se relevant était tout drôle sa queue décalottée, énorme, en drapeau, il voulu me serrer dans ses bras en tentant de m’embrasser sur la bouche, je m’écartais horrifié, alors usant de sa force il me maintint à genou en m’immobilisant et en s’installant derrière moi, tenant sa bitte à la main et écartant mes fesses il chercha mon cul avec sa grosse pine, déjà je sentais son gland presser mon anus entrouvert, je crois même qu’il pu présenter son gland, il hurlait comme fou.

« Laisse moi faire, oui laisse moi, je te désires, laisse moi te faire connaître le bonheur suprême, laisse moi baiser ton cul, te remplir de foutre, à mon tour de t’enculer tu vas voir comme c’est bon

En vociférant il essayait de parfaire sa position, le gland centré dans mon anus entrouvert, il m’avait pris par les hanches s’apprêtant sans doute à me sabrer

« Non , non pas ça hurlais je en le repoussant, mes forces décuplées par la colère « non. !

Cela dépassait les bornes maintenant, jamais je ne laisserais un phallus me violer le derrière, c’était donc cela qu’il voulait depuis le début, m’enculer, enculer un petit cul d’ado, il avait manœuvré habilement jusque là en me procurant plaisir et cadeaux, il allait arriver à ses fins en se passant cette fois de mon avis, il était derrière moi les yeux révulsés par le désir, il me tenait fermement, non, non et non, mon coude lancé en arrière à la pointe de son menton nous désaccoupla ,je me retournais en me relevant, Lu étais devant moi, défiguré, il avait la queue à la main en se masturbant frénétiquement, en quelques branlées il explosait expulsant des giclées de foutre nacré.

Nous restèrent un moment silencieux, d’un air sournois il me dit

« Alors tu me refuses ce que d’autres plus malins que toi m’ont laissé faire, tu ne sais pas ce que tu perds, jamais tu ne retrouveras une queue comme la mienne pour te remplir le cul, tu as vu comme c’est bon de sodomiser, l’être c’est encore meilleur.

C’était donc ça leur secret, il initiait des ados, leur faisant découvrir le plaisir, les couvrant de cadeaux, mais en réalité, ce qu’il voulait c’est de les enculer avec sa grosse queue, de leur en donner le goût , de les transformer en pédéraste comme lui pour son plaisir. Il devait avoir de gros besoins que sa femme n’arrivait pas à assouvir et il profitait de la candeur de jeunes garçons qui lui faisait confiance.

Pour moi le chapitre était terminé, j’avais voulu essayer attiré par l’espoir de commencer à jouir, de juter enfin comme il me le promettait et puis ses petit cadeaux qu’il offrait traîtreusement, dans mon for intérieur je le trouvais plus dégueulasse que le satyre à mon copain Robert.

Lu aussi comprenais que c’était fini, il lui faudrait ruser pour attirer d’autres ados chez lui.

Nous étions habillés quand il me tendit l’harmonica, je la refusais

« Garde là pour d’autres mon vieux Lu, merci de m’avoir fait jouir mais j’ai viré ma cuti, non je veux baiser, mais baiser une fille, baiser une femme, au fait tu la baises la tienne ? sait-elle tes penchants pédérastes ? elle doit s’en douter avec tous tes rendez vous dans ta piaule.

« Oui je baise ma femme, mais elle ne jouit pas, d’après elle je suis trop gros, je lui fais mal. D’ailleurs elle ne veut plus, pourquoi me demandes-tu ça ? Tu veux la baiser ? je serais d’accord si je peux assister à ton premier baisage, crois moi elle en vaut la peine.

« Je ne me le permettrais pas, comme mon copain je vais m’initier avec une pute, il en connaît une qui comme toi aime les puceaux, la première fois c’est gratuit, il me tarde de baiser maintenant que je sais pouvoir le faire.

« J’en connais moi aussi, pas des putes, mais des femmes qui ne demandent que ça, si tu le voulais je pourrais te présenter à une copine qui adore faire l’amour, j’ai l’impression que pour t’initier tu ne trouveras pas mieux.

« J’aime mieux voir une pute

« Tu as tort, ce serait facile, je te laisserais ma chambre, vous seriez tranquilles

« Comment elle est cette copine ?

Lu avait reprit de l’assurance, il semblait excité de jouer les entremetteurs, pourquoi ? Quel bénéfice ce malade comptait il en tirer ?

« C’est ta maîtresse ?

« Non, avec moi elle n’a jamais voulu, je crois qu’elle aime mieux les jeunes garçons ou les filles d’ailleurs. C’est une drôle de bandeuse. La seule chose c’est qu’elle veut jouir elle aussi. Si tu réussissais tu ne le regretterais pas.

« Comment est-elle ?

« Je vois que l’idée prend forme dans ton esprit, C’est une femme, pas une ingénue, mais elle est bien foutue, on peut bander rien qu’en la regardant

« Et pourquoi ferais tu cela pour moi qui vient de te refuser ce que tu cherches depuis notre première rencontre

« Je voudrais que tu gardes un bon souvenir de moi, de cette chambre où tu as joui pour la première fois, entre mes doigts, entre mes fesses, dans mon cul

« J’ai vraiment envie de baiser, j’ai envie d’essayer ta proposition. Je n’ai qu’un souci, arriverai je à lui donner du plaisir ?

« Ne t’inquiète pas, quand je lui dirais qu’avec toi c’est la première fois, elle va prendre soin de toi, elle va être attendrie et excitée comme une puce. Alors j’organise la rencontre pour mardi prochain ?

« D’accord, j’en frémis à l’avance, je vais y penser toute la semaine, merci !

« Tu auras tout ton temps, ma femme part voir sa mère pour plusieurs jours

Ce fut tout. Quand je me retrouvais dans la rue j’étais dans un état second, j’allais baiser, j’allais enfin baiser, comme mon pote avec sa pute. ......

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« Alors mon pauvre mari, quoi de neuf, il t’a bien sodomisé ? c’était bon ? sa jeune queue t’a bien rempli ?

« Oui je me suis régalé, à cet instant en jouissant sa queue entre mes fesses je pensais que j’allais l’enculer à mon tour

« Et alors ?

« Ce petit con n’a pas voulu, j’ai pris son coude à la pointe du menton et il m’a échappé, j’avais pourtant réussi à me centrer sur son petit cul et rentrer mon gland, j’allais m’enfoncer, quel salaud, quel ingrat !

« Si tu avais vu comme il était mignon quand il t’enculait, je voyais ses petites fesses s’agiter en cadence, quand il a joui son regard était perdu, donc comme les autres il t’a démasqué, tu ne le revois plus

« Si

« Comment ça ?

« Il veut baiser une fille, une femme

« Alors ?

« Je lui est proposé de baiser Martine

« Salaud, notre voisine, cette salope !Pourquoi tu ne m’as pas proposée

« Je l’ai fait, cela m’aurai fait jouir de vous voir forniquer, moi planqué derrière le miroir sans tain

« Et alors

« Il ne veut pas, il voulait une pute

« Avec Martine il sera servi, comme pute on ne fait pas mieux, mais acceptera t’elle ?

« J’en suis sur, je la connais

« Tu l’as baisée, salaud j’en étais sûre. Au fait ton petit mignon ne me trouve pas à son goût ?

« Je crois que si, mais il n’ose pas

« Au diable le respect que j’inspire, personne ne pense à me désirer, me baiser, m’enculer, pourtant j’en ferai jouir plus d’un, celui là en particulier, il me botte et sa queue est bien proportionnée pour moi, grosse, longue et raide sans être monstrueuse comme la tienne. N’importe comment, mardi je serai là moi aussi à les reluquer.

« Mais que fais tu, lâches moi salaud, nonnn laisse moi, tu me fais mal, salaud, pédé, ne sort pas ta grosse queue, j’en veux pas, nonnn, nomm, pas sur le lit, tu es fou, n’arrache pas mon froc, ne relève pas mes cuisses, si tu te voyais on dirait un fou furieux, ahhhhh j’ai mal ta grosse queue dans ma chatte toute sèche, tu crois me donner du plaisir, pauvre mec , ah non pas à fond, tu violes ta femme, je me plaindrais, je dirais partout que tu encules les jeunes garçons, pédé, enculé.

Mais que fais tu, nonnnn pas ça, pas dans mon cul, tu vas me défoncer, ahhhh nonnnnnnnnnnn, sors ta grosse queue de mes fesses, oui comme ça merci, mais que fais tu encore, non ne me retourne pas, non, je ne veux pas, je reste à plat ventre, non ne relève pas ma croupe, je te vois venir avec tes gros sabots de pédé, tu craches tu recraches entre mes fesses, salaud, ahhhhhhhhhhh je m’en doutais, tu les aimes mes fesses, tu le veux mon cul mouillé ouffff tu l’as, t’es content, tu limes comme un dingue, tu crois me faire jouir, tu t’en fous, tu ne penses qu’à toi empafé, sadique, tu me caresses la chatte ton autre main dans mes seins et ta grosse queue dans mon cul, ahhh salaud tu me fais jouir contre mon gré ahhh je jouis, c’est bon ahhhhhh ouiiiiiiiii, plus vite, plus fort ahhhhhhh, tu jouis aussi je suis toute trempée, lime bien continue, à fond à fonnnnnnnnd, tu te retires déjà

« Oui,chérie on a encore bien jouis, j’aime quand tu fais semblant de me détester, regarde dans quel état tu me mets ?

« Quelle queue, j’ai vraiment de la chance

« Agenouilles toi et viens me sucer

« J’arrive, euuuuu gloup gloup

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Quand je sonnais ce mardi là chez Lu, j’étais inquiet, n’allait il pas m’annoncer un contretemps ou plus grave le refus de sa copine. Etait ce un piège ? Toute la semaine j’avais dans ma tête fait le brouillon de mes baisers, de mes caresses. Dans mon lit je me tendais vers cette amante imaginaire en étreignant mes oreillers. Si tout allait bien j’allais vivre ce que l’on ne peut oublier sa vie durant, sa première étreinte avec une femme.

Entre me dit Lu, installe toi dans la chambre, non pas mon bureau, ma chambre, vous serez plus à l’aise et tranquille. J’attends Martine d’une minute à l’autre, elle te rejoindra. La seule chose que je peux te dire c’est qu’elle aussi est impatiente de te voir, elle a voulu tout savoir sur toi, elle attend de te voir.

Je me retrouvais dans la chambre, elle était spacieuse et intime tout à la fois. L’éclairage savamment tamisée, le lit immense, son image multipliée par de savants arrangements des glaces de la penderie et de l’armoire. Je n’eus guère le loisir de faire l’inventaire car j’entendis résonner la sonnerie de l’entrée puis le murmure d’une conversation, je commençais à trembler, était ce Martine ? et de nouveau l’inquiétude, le monologue se prolongeait, mon rêve allait il s’effondrer ? le ton semblait monter, c’était bien cela, j’allais devoir refouler cette envie qui me dévorait, c’était trop beau...

Un léger choc de doigts sur la porte, le battant qui s’ouvre sur une apparition, un parfum qui envahit la chambre, mes jambes qui se dérobent.

- Bonjour Jean !

- Bonjour..... Martine ?

- Oui, Martine pour toi, tu m’attends à ce qu’on m’a dit. Voyons voir si le tableau qu’on m’a prédit est juste. Tourne-toi, approche. Mais tu trembles comme une fille

- C’est que j’étais loin de m’attendre à tant de beauté, je n’en crois pas mes yeux, cela ne me semble pas possible que vous soyez là pour moi

Martine était magnifique, femme brune d’une trentaine d’année. Ce qui frappait en premier lieu c’est la beauté, la fraîcheur de son visage, l’intensité de son regard qui pour l’heure me jaugeait me jugeait. Ses lèvres charnues s’ouvrant sur une magnifique rangée de perles, et puis son parfum capiteux fruité qui semblait sortir de son décolleté, de la commissure de ses seins offerts dans l’échancrure de son corsage noir et soyeux et puis ses hanches rondes moulées dans une jupe sombre qui laissait deviner les contours de son slip serré sur des rondeurs parfaites, et puis... et puis.... tout, tout en elle respirait la fraîcheur .

« Vous êtes la beauté personnifiée

« Tu n’es pas mal non plus mon petit Jean, enfin je dis petit, tu es grand, quel âge as tu donc ?

« Dix sept ans, bientôt dix huit, Martine

« Si ton ramage ressemble à ton plumage nous allons nous amuser. Mais sais tu que je n’ai pas le droit de te détourner du droit chemin, je devrais partir, le veux tu ?

« Non Martine restez, je vous en prie

« Alors Jean tu n’as jamais fait l’amour, je serai la première ?

« Oui Martine la première, celle à qui l’on pense toute sa vie, vous êtes belle, j’ai envie de vous serrer dans mes bras de vous ...

« Chut ! approche, tu nous vois dans la glace, que penses tu de notre couple ?, mais je t’en prie tutoies moi.

« On dirait l’image d’un roman photo

« Ah bon tu lis ça toi

« C’est ma sœur qui les achète

« Ecoute Jean, nous allons faire l’amour, car tu me plais beaucoup mais ne crois pas que je le fais par pure bonté d’âme, ton inexpérience m’excite, tes maladresses vont m’amuser, mais surtout je compte bien jouir, crois tu que tu en seras capable ?

« Je compte sur toi pour me guider, pour m’apprendre, j’ai toujours été un élève appliqué

« Bon écoute avant de commencer quelques indications, il faut que tu saches qu’une femme ne jouit pas comme un homme, il lui faut du temps, des prévenances, des caresses, de l’amour. Sa jouissance n’est pas fulgurante comme la vôtre, vous les hommes, elle dure, dans ses moment là tout notre corps est en plaisir, on perd la notion du temps et de l’espace, c’est à l’amant de veiller à entretenir son orgasme, il ne doit pas s’écrouler après avoir jouit seul et trop tôt, il doit être patient pour préparer son amante, j’ai bien dit son amante car il doit l’aimer. Il faut que tu saches aussi qu’une femme peut jouir plusieurs fois si son amant sait y faire. Jean est ce que tu m’aimes un peu ? sauras tu me faire jouir ?

« Je ne t’aime pas un peu mais beaucoup ! dès ton entrée dans cette chambre j’ai été subjugué par ta beauté et maintenant j’apprécie tes conseils

« Chaque femme est différente des autres, moi j’ai les seins très sensibles, j’adore qu’on me les caresses, qu’on me les palpe, qu’on me les serre, tu le feras ?

« je ne rêve qu’à cela, si tu savais Martine quand je fantasme dans mon lit avec pour seule poitrine les cornes de mes oreillers comme je prends soins d’eux

« Ne t’offusque pas mais j’aime aussi qu’on n’oublie pas mon derrière, pense bien à tout ce qui pourrait lui faire plaisir, soit imaginatif mon petit Jean.
Ah j’oubliais le principal, je prends la pilule tu dois t’en douter mais j’aime mieux te le dire, tu pourras rester en moi quand nous serons bien tous les deux, tu comprends ?

Je comprenais que je pourrai jouir tout mon saoul jusqu’à la dernière goutte, pour le reste, de l’imagination, j’en avais à revendre mais serais je à la hauteur de mes aspirations, Martine était près de moi, en tremblant je la pris dans mes bras, nos visages étaient proches, son regard me brûlait, dans ses yeux je lisais un brin d’amusement mais aussi une envie pressante de se déchaîner, ses lèvres entrouvertes frémissaient d’impatience, j’y posais les miennes et ce fut un véritable cataclysme.

Martine bouche ouverte me prit ma langue en se collant à moi ; sur ma poitrine je sentais la fermeté de ses seins, son ventre encastré dans le mien ondulait au rythme de sa langue dans ma bouche. C’était mon premier vrai baiser, que c’était bon, elle aspirait ma langue dans la sienne et quand elle me lâcha, à mon tour je pris la sienne et en m’écartant légèrement d’une main je lui pris ses seins.

Elle ne portait pas de soutien gorge, au travers du fin tissu du corsage je palpais leurs formes deux vrais obus surgissant de sa poitrine, gros, fermes et souples à la fois. Elle ne m’avait pas menti en me parlant de leur sensibilité, je le sentis à la fureur de son baiser, à l’agitation de son ventre et quand une de mes mains passant dans l’échancrure de son corsage saisissant l’un deux, elle commença à gémir et à prononcer des phrases à peine audibles mais je la sentais envahie par le plaisir.

Pour un amant c’est flatteur de sentir sa partenaire défaillir sous ses caresses et cela me donna un peu d’assurance, ma bouche dans son cou j’éclatais son corsage plus que je ne le déboutonnais et ses seins surgirent dans toute leur splendeur, quels volumes, quelle harmonie, ni trop serrés, ni trop écartés , entres eux une vallée abrupte, profonde odorante, parfumée, ils se dressaient tous les deux et j’admirais la finesse du grain de peau velouté, leur couleur parfaitement uniforme fruit d’une exposition savante au soleil, je les pris par dessous dans mes mains, je les serrais, les écartais, les tordais et alors que je me modérais craignant de lui faire mal tant elle s’agitait elle me cria d’aller plus fort encore.

Je malaxais donc ses seins superbes, leurs pointes raidies, je les écrasais, les torturais pour son plus grand plaisir et quand l’inspiration me vint de les prendre dans ma bouche elle poussa un grand cri, je présentais tour à tour les tétons bistres à ma langue qui les lapait et tandis que bouche grande ouverte j’aspirais un des seins en tournant ma langue autour du tétin érecté, avec le bout de mes doigts je titillais l’autre pointe.

Ne laissant que ma bouche et une main s’occuper de ses seins, l’autre passant derrière descendit sur ses fesses. Quels volumes, je sentais cette croupe rouler, onduler, la main passant d’une fesse à l’autre ; là aussi elles étaient nues sous la jupe et c’est en m’insérant entre les deux rondeurs divines que je découvris la mince bande d’étoffe se reliant à son cache sexe.

Abandonnant ses seins à mes seules lèvres ma main libérée émigrât par devant dans l’entrecuisses, là enfin sous la jupe je sentis la douceur d’un mince slip protecteur, en pinçant entres mes doigts la bosse de son sexe, peu à peu j’en devinais les formes, une douce fourrure abondante d’abord garnissant deux grosses lèvres verticales et quand je m’enfonçais plus avant entre ses cuisses je retrouvais mon autre main dans la commissure de ses fesses, en me retirant pour reprendre sa chatte je m’attardais à mi parcours sur ce que je devinais être son anus que je pressais d’un doigt curieux ce geste ponctué d’un ouiiii complice et amusé de Martine qui me laissait à ma curiosité.

Je fis tomber sa jupe à terre en faisant glisser une petite fermeture éclair, d’un coup de pied Martine se débarrassa de cette entrave, si bien qu’à part son corsage grand ouvert et son petit cache sexe elle était nue dans mes bras. Elle avait des fesses magnifiques, bien rondes , pas une trace de cellulite, un léger duvet ornait sa peau douce et sans défauts. Je la serrais la caressant de partout, lui baisant la bouche et les seins, elle me laissait faire, elle se laissa guider en reculant vers le lit. Avant de s’étendre sur le dos en travers du lit dans un souffle elle me demanda de me dévêtir, elle me laissa faire ne perdant rien de mon effeuillage

« Tu es beau et fort chéri, mais garde ton slip

C’est la première fois que l’on m’appelait chéri, mais déjà Martine m’avait saisi par dessous sur mon slip et soupesa mes bourses et pris délicatement ma verge entre ses doigts. J’étais dans de bonnes dispositions et je lus l’étonnement dans ses yeux si bien qu’en un tour de main elle se débarrassa de ce mince rempart pour mieux se rendre compte

« Si je m’attendais ! me dit elle « tu as un sexe d’homme mon petit Jean, il en a les dimensions et la raideur mais quelle douceur, il est lisse comme mes seins, tu bandes ? je t’excite ? je vois ta queue dressée vers moi ! allez allonge toi sur moi

Et se disant elle s’allongea sur le dos en travers du lit les cuisses ouvertes.

Depuis un moment je rampais sur elle, mon sexe raidi roulant sur son ventre, nos bouches ouvertes, nos langues mêlées, je lui pelotais les seins et elle se tortillait sous moi, ouvrant et serrant ses cuisses sur ma virilité, nos souffles étaient un peu courts, ponctués de petits cris de plaisir. Ce fut pire quand me décalant j’embouchais ses seins, je les présentais tour à tour à ma bouche vorace, je me rendis compte qu’elle jouissait.

Ses seins étaient devenus durs et leurs pointes érectées, sans les lâcher je descendis encore, mon visage dans son entrecuisses masqué par son petit cache sexe, j’étais à genoux au bord du lit et tout en continuant de lui malaxer sa poitrine je remarquais une petite attache dans la raie de ses fesses et abandonnant une seconde un de ses tétons je la débarrassais de son slip découvrant sa chatte, c’est la première que je voyais.

Je l’observais malgré la forte houle qui l’animait, elle était très poilue mais d’une douce toison à poils ras, noirs et frisés qui tapissait deux grosses lèvres entrebâillées, ce n’était pas une forêt vierge hirsute et sauvage, on la sentait entretenue, coiffée, parfumée, entre les deux lisières une faille rose, violette et humide, des gouttes y perlaient inondant la raie séparant la naissance de ses fesses.

En remontant mon regard perçut des petites lèvres rougeoyantes entres lesquelles fleurissait un petit bouton encapuchonné, fructifiait serait plus juste. J’approchais mon visage et j’effleurais par de rapides mouvements du pointu de ma langue ce petit fruit. Jamais je n’aurais imaginé ce que cette caresse subtile déclencherait, Martine poussa un long cri, ouvrant les cuisses et les relevant en appui sur mes épaules elle m’offrit son ventre, sa chatte, son cul à ma langue, à mes lèvres, à ma bouche, à mon nez.

Elle ondulait de la croupe. Pour être plus à mon aise et pour mieux la sucer, la prenant sous les fesses je l’approchais davantage du bord de la couche, je variais mes caresses en fonction des réactions de mon amante, elles se manifestaient par les mouvements de son corps et par l’intensité de ses plaintes, de ses paroles, de ses grognements de plaisir, peu à peu je trouvais ce qui semblait augmenter sa jouissance, après avoir titillé ce petit fruit sensible, son clitoris comme je l’appris peu après.

J’étalais ma langue en m’enfonçant le plus possible dans sa vulve, c’est seulement en remontant à chaque lippée entre ses lèvres poilues que j’affolais son bouton qui grossissait en s’allongeant, je pus même le butiner et le serrer entre mes lèvres, ma langue tournant autour.

Ce fut une véritable tornade quand tout en continuant de lui peloter les seins d’une main, à lui affoler la chatte avec mon nez cette fois j’eus l’idée saugrenue de lui caresser l’anus avec ma langue, avec le pointu j’en faisais le tour dans tous les petits plis bordant le petit cratère, j’eus beaucoup de mal à garder le contact tant cette porte de l’enfer était animée de mouvements chaotiques ponctués de plaintes inaudibles et quand l’anus mignon fut bien mouillé de ma salive et du sirop qui au dessus perlait de la source avec les doigts de ma main libre je n’eus aucun mal à le presser puis à enfoncer le majeur dans ce trou sans fond, mon doigt prisonnier du suivre les circonvolutions de ses fesses en furie et ce fut pire quand mon pouce, sous ma bouche sabra sa chatte et s’agita en elle.

Dans cette scène que je viens de décrire je découvris les réactions d’une femme en plein orgasme, effrayé dans la tourmente et par ses cris, quand elle se cambrait raidie sur le lit en battant des bras, quand elle serrait ma tête entre ses cuisses, quand elle hurlait « encore ! ou « plus vite ! des « ouiiii ! d’encouragement, mais heureux de faire jouir pour la première fois une femme aussi belle, aussi passionnée, d’en être capable. Et puis insensiblement le calme revint, ses mouvements devinrent plus lents, plus amples aussi cherchant en s’enfonçant davantage en moi à éteindre les dernières vagues du plaisir qui quelques minutes auparavant la rendaient folle .

« Tu ne vas pas me faire croire Jean que je suis la première ; ce n’est pas croyable, je suis venue pour te faire jouir et jamais je n’est tant jouis moi même. Tu t’en es rendu compte ? Réponds ?

« J’étais heureux que tu sois bien, par tes cris, par tes mouvements, tu m’as guidé, tu m’as fais comprendre ce que tu aimais et ce qu’il fallait que je fasse, si j’ai réussi je suis le plus heureux, mais je te jure que tu es bien la première femme que je tiens dans mes bras, et je suis comblé par tant de nouveautés.

« Et bien mon petit Jean je peux te dire que tu es doué, tu peux me croire et encore on n’a pas encore baisé chéri, à moi de te faire plaisir, si tu savais comme j’ai envie de toi, de te faire jouir à ton tour et de te rejoindre dans ce premier bonheur. Allonge toi Jean et laisse moi faire, tu vas baiser. Moi aussi je m’allonge sur toi, voilà ! embrassons nous ....

C’est moi maintenant qui était en dessous allongé sur le dos, cuisses écartées, c’est Martine qui prenait les initiatives, qui rampait sur moi, elle m’embrassa les seins, le ventre puis je sentis sa main me prendre le sexe, il était gros mais pas dur, j’avais trop pensé à ma partenaire en m’oubliant un peu , mais entre ses doigts fuselés je me sentis raidir et grossir aussi

« Je vais te sucer Jean, laisse toi bien aller, et reste bien dans ma bouche même si tu jouis, tu comprends ?

Je comprenais que mon plaisir ne serait pas gâché et que je pourrais jouir jusqu’à la dernière goutte sans descendre en marche. J’avais mis un gros oreiller sous ma tête pour regarder la bouche de Martine en action . Je ne fus pas déçu ni du spectacle, ni de l’effet qu’elle me fit.

Dans un premier temps à petits coups de sa langue rose elle lécha le gland décalotté , imperceptible, délicate cette caresse me fit me tendre, moi aussi j’ondulais quêtant ce frôlement jouissif, puis elle me lécha le membre par dessous; je me sentis grossir encore par ses allers et retours savants qui eurent vite fait d’enduire mon sexe de la liqueur translucide de sa salive.

Une main s’était jointe à sa langue et me caressait doucement, à chaque branlée mon gland se recouvrait dans son écrin de peau pour mieux se décalotter. C’est alors qu’elle me prit les couilles dans sa bouche, une après l’autre elle les suçait, je les sentais rouler enveloppées par une langue agile. Elle aussi me lécha l’anus bien dégagé dans la raie de mon cul et je compris pourquoi elle avait tant réagit quelques instants auparavant quand c’étais moi qui la léchait.

Sa langue abandonna la place pour un doigt inquisiteur qui sodomisa mon cul amadoué. Tout en me branlant la main franchement serrée sur ma verge je la vis me la prendre dans sa bouche les lèvres entrouvertes sur elle, ses mains me serraient le membre à sa base et par des mouvements de tête de plus en plus amples elle s’enfonça sur moi. Jamais je n’avais eu cette sensation de douceur, de chaleur, de plénitude, le spectacle aussi de cette bouche appliquée, besogneuse qui s ‘activait jusqu’à l’étouffement, ses mains palpaient mes valseuses, un doigt branlait mon cul, je me tordais de plaisir en tendant mon ventre vers la bouche vorace qui m’aspirait et le plaisir monta fulgurant

- Martine je vais jouir, ah c’est bon, ah merci, ouiiiiii

J’avais parlé avant de décharger mon foutre dans sa bouche, mais comme elle l’avais dit elle ne fit rien pour l’éviter au contraire, elle fit tout pour prolonger l’immense plaisir qui me saisit du plus profond de mon ventre à la pointe de mon sexe, la jouissance comme la lave d’un volcan qui remonte et éclate au sommet, chaque aller et retour de ses lèvres serrées sur mon sexe tirait une giclée de sperme qu’elle gardait dans sa bouche et c’est la dernière goutte qui me procura le plus grand plaisir.

Elle ne recracha rien de ma semence mais un filet de foutre perla à la commissure de ses lèvres. Durant toute ma jouissance Martine me regardait fixement, attentive à mes réactions, son regard triomphant souriait, et moi fasciné je m’abandonnais à l’immense plaisir que sa bouche me procurait.

Quand je refis surface Martine était sur moi elle m’avait enjambé, face à moi, un genoux de chaque côté de ma taille, en s’accroupissant son sexe frôlait le mien et dans sa fourrure je le sentis se redresser.

« Jean tu vas me baiser, laisse moi faire mon chéri, nous allons rejouir

Ce fut d’abord un frôlement, mon gland dans les poils de sa chatte, Martine par des mouvements de son bassin d’avant en arrière faisait parcourir à mon noeud dressé la commissure de ses lèvres entrouvertes, au recul je le sentais sur son clitoris gaillard où elle s’attardait, en s’avançant le bout de ma queue se frayait un passage entre les grosses lèvres poilues de son sexe tout humide avant de, passant sur le périnée, s’enfoncer entre ses fesses écartelées. A chaque aller et retour il y avait un petit arrêt centré sur l’anus et à l’entrée de sa vulve.

D’un coup je pris conscience que les glaces nous renvoyaient notre image, moi j’avais le spectacle vu par l’arrière, un cul magnifique sans défauts et mouvant au sommet du vé royal de ses cuisses, que c’est beau un cul de femme qui ondule ! le sien en tout cas, deux fesses bien rondes séparées par une raie profonde, une peau veloutée sans défauts avec au bas de son dos le vé royal et pâle de la marque de son string, un raccord parfait avec ses cuisses rondes entrouvertes sur sa chatte poilue.

Je me voyais allongé au milieu d’elles avec mon sexe rigide planté dans sa toison et mes couilles gonflées qui pendaient entre mes cuisses, quand elle s’avançait en se penchant sur moi je voyais ma verge coulisser entre ses fesses rondes qui la serraient et puis elle disparaissait entre ses cuisses avant de reparaître gland décalotté plus grosse et plus rigide encore.

Et puis ses contorsions devinrent moins amples, plus rapides, mon nœud centré sur sa seule vulve, Martine haletait, manifestement elle trouvait son plaisir à cette caresse superficielle de sa chatte, c’est le moment où je pris ses seins qui se dandinaient devant moi, la pesanteur les faisait pendre allongeant leurs pointes, magnifique poitrine pointée de bistre, en relevant un peu ma tête je présentais les mamelons à ma bouche, à mes lèvres, à ma langue en serrant les merveilleux volumes dans mes mains.

Et cela commença, restant centrée sur moi Martine se contenta de mouvements verticaux de faibles amplitudes, seul mon gland était investi dans le doux collier des lèvres de sa vulve et ce n’est qu’au bout d’un moment que j’en ressentis les effets, je savais reconnaître les préludes au plaisir, ce trouble qui commence au fond de nos entrailles et qui petit à petit vous submerge avant l’explosion finale. Martine aussi était bien et commençait à geindre, à grogner de plaisir, les mouvements devinrent vibrations, je sentais vibrer le bout de ma queue et ne pouvant plus tenir en levant brusquement mon bassin je sabrais sa chatte de toute la longueur de mon membre.

C’était fait, je baisais enfin. Ce fut alors un vrai corps à corps, c’est elle qui pris le relais en s’empalant à fond , la glace me renvoyait l’image de sa croupe en furie aller et venir sur moi, je voyais ma queue luisante entre ses cuisses entre chaque plongée de ses fesses, par moment elle restait en moi et elle tortillait de la croupe en serrant ma verge, moi aussi j’allais jouir mais je pouvais retarder mon éjaculation pour mieux servir ma partenaire et en effet elle se démenait de plus en plus, elle ne se contrôlait plus, elle s’était allongée sur moi la chatte pleine, les seins écrasés sur mon poitrail et elle bougeait en tout sens, ses bras, ses cuisses, son cul, elle jouissait en criant, les yeux dans le vague et cela dura une éternité.

J’étais presque effrayé de l’effet que je lui faisais, toute à son plaisir elle se laissa remettre à genoux sur moi et cette fois c’est moi qui lui pistonna la chatte, dans la glace je voyais mon membre se branler de toute sa longueur, entrer et sortir de ce fourreau si jouissif, je n’allais pas pouvoir résister encore longtemps, je lui pétrissais ses seins qui dodelinaient devant mon visage, à fond je sentais sa douce toison sur mes couilles et je m’y vautrais à plaisir.

Martine tendue n’était qu’un cri, sa chatte d’un coup s’était durcie, ouverte et à chaque coup de boutoir un bruit incongru froufroutait de ses lèvres distendues, nous y étions je me laissais aller et ce fut la remontée du foutre, un plaisir immense m’inonda et j’éjaculais en elle, je la remplissais de ma liqueur et ce fut le point d’orgue à son orgasme elle s’écroula sur moi en pleurant.

Nous restèrent ainsi, l’un dans l’autre reprenant nos esprits, seuls par moment des petits mouvements de nos ventres nous rappelaient que nous étions soudés et que je restais rigide en elle.

« Alors mon chéri, tu as aimé ?

« Tu as été merveilleuse, grâce à toi je suis un homme maintenant, jamais je n’avais tant joui

« Je vais te faire une confidence moi non plus mon amour, j’espère que nous nous reverrons

« J’y compte bien si tu veux encore de moi

« Si je veux, quelle question ?

C’est alors que la porte de la chambre s’ouvrit brusquement et estomaqués nous vîmes notre entremetteur Lu entrer, il était complètement nu et il était en érection, son énorme queue pointait noueuse et décalottée, elle luisait dans la pénombre, enduite qu’elle était d’une couche de vaseline, il n’avait pas l’air bien, les yeux exorbités et avant qu’on ait pu faire un geste il était sur nous ou plus précisément il s’était allongé sur Martine et il s’efforçait de forcer ses fesses.

« Restez emmanchés j’arrive, à moi de profiter un peu. Cela fait une heure que je vous vois forniquer, j’ai mal à la queue à force de me branler, Martine je vais t’enculer, la double pénétration ça te dit ?

Tout en parlant il mettait son plan en œuvre et avait réussi à centrer son gland dans l’anus convoité. A l’intérieur du ventre je sentis son énorme membre qui cherchait à entrer, c’est alors que Martine déchirée poussa un grand cri de douleur

- Jean ! défends moi ! empêche ce malade de me défoncer le cul, sors de là salaud

Mais Lu insistait je sentais son zob presser le mien dans le ventre aimé. Sans réfléchir je tentais de le repousser sans résultat alors je le frappais au visage, à grands coups de poings, il ne put résister longtemps, le nez et les yeux en compote, il dut fuir et la porte se referma sur lui, sur ses fesses piteuses.

Martine me couvrit de baisers

« Merci mon homme, sans toi j’allais me faire défoncer par ce malade, tu as vu sa queue, c’est une véritable infirmité

« Veux- tu dire que s’il avait une bitte de taille normale tu l’aurais laissé faire ?

« Non car je te l’ai dit on ne peut me baiser que si l’on m’aime et si moi aussi j’aime

« Tu aimes te faire pénétrer par là ?

« Par mon cul ? oui c’est bon, et si tu n’avais pas jouis plusieurs fois tu pourrais..

« Je pourrais, mais il doit falloir être très raide pour forcer ce petit trou

« Ne t’inquiète pas, ce petit trou peut devenir grand

« J’aimerais ... j’aimerais !

« Tu aimerais quoi, soit franc, dit le

« J’aimerai t’..., t’en..

« Parle !

« T’enculer, c’est bien comme ça que l’on dit ?

« A la bonne heure, tu l’as dit, on dit aussi sodomiser, attends que je te redonne un peu de forme

Et Martine entreprit de me caresser, ma verge était encore très grosse mais flasque, molle, entre ses doigts je la sentis se tendre et se dresser à nouveau, impatiente pour ce nouveau challenge.

« Tu es un drôle de bon coup mon petit Jean, tu rebandes encore, attends que je me place, allonge toi, non sur le dos comme tout à l’heure, oui, je t’enfourche, tu comprends ?

Je comprenais, Martine était en sens inverse de tout à l’heure, elle me présentait ses fesses écartelées à hauteur de mon visage. Jamais je n’aurais imaginé avoir un tel spectacle sous les yeux , cet anus imberbe à l’orée de la toison ouverte de sa chatte avec mon sexe dressé attiré vers ce petit gouffre.

« Suce moi d’abord, suce mon petit cul ! Me dit Martine dans un souffle

Son cul était encore dilatée et vaseliné par l’introspection pourtant avortée du gros membre de Lu, avec un coin du drap je l’essuyais soigneusement pour la lécher à mon aise. Elle avait fléchit ses cuisses et se frottait la raie sur ma bouche. Je sortais ma langue et quand la douce muqueuse effleura l’anus elle poussa un petit cri et resta centrée sur elle.

Je m’appliquais à lui faire plaisir, manifestement elle aimait cette caresse car sa croupe s’animait de mouvements grotesques manifestement incontrôlés, par moment elle s’écrasait la bague sur mon visage serré entre ses fesses ou bien elle le fuyait et je devais en me relevant le poursuivre pour l’agacer en lui lapant l’anus. Je pus même forcer l’œillet entrouvert et je crus qu’elle devenait folle quand je m’agitais en elle, la pointe de ma langue enfoncée à l’entrée de son puits.

Durant ce temps ses mains par de savantes caresses entretenaient ma rigidité retrouvée, je l’entendis crachoter et m’enduire ma verge de salive.

Martine m’échappa présentant sa croupe au dessus de mon bas ventre, les genoux écartés de part et d’autre de mes cuisses et de nouveau je pus reluquer la vallée de ses fesses, de sa chatte poilue au petit gouffre bistre qui s’offrait, il était vivant, s’ouvrant et se refermant spasmodiquement, cloaque semblant dire à ma queue viens, enfonces toi que je te mange .

« Aller vas y c’est le moment

Martine se ployait en s’approchant de moi, de mon sexe, de mon gland, avec une précision diabolique elle se centra sur la pointe de mon nœud et d’une petite pression s’enlisa de quelques centimètres. Placés comme nous étions j’avais sous les yeux le spectacle hallucinant de son cul arrondi sur le cylindre de ma verge. Et la danse commença, la croupe mouvante avec mon sexe prisonnier qui suivait, en sortant il retroussait l’anus avant de l’enfoncer.

Puis je me sentis saisi aux couilles par sa main passée entre ses cuisses, en réponse je lui pris la chatte la main par devant et la pénétrais de mes doigts. Nous avions perdu le contrôle de la situation et d’un coup ma verge toute entière s’emmancha bien serrée dans le puits sans fond, avec mes mains placées sous ses fesses je soutenais sa croupe qui montait et retombait sur moi, doucement puis de plus en plus vite par des mouvements de plus en plus amples, de plus en plus heurtés, ma verge raidie coulissait à l’aise maintenant.

C’est alors que je pris l’initiative de changer de position, en plusieurs étapes mais en continuant de lui pistonner le cul, je la forçais à se coucher sur le côté, puis à se soulever à genou au bord du lit avec moi, derrière, toujours en elle dans son cul, la prenant à la taille, la glace nous renvoyait notre image, Martine en pleine orgasme dodelinant de la tête au rythme de mon sexe planté haut en elle, avec ses fesses qui vibraient quand mon ventre les frappait, Martine jouissait en geignant alors que je ne ressentais qu’un énorme picotement au bout de ma queue tarie semble t’il mais énorme et raide.

« Aller Jean, plus vite, plus fort, aller viens, viens, tu me prends en levrette, c’est la meilleure position, Ouiiii tu t’y prend bien, encule moi bien à fond, prend moi par les hanches, ahhhh elle est bonne ta queue bien raide dans mon cul, ouiiii bouge, bouge bien mon chéri, fais bien jouir ta petite Martine

Alors d’un coup cette incitation verbale me galvanisa, je découvrais cette position et le terme de levrette, Martine penchée, à genoux, cuisses écartées au bord de la couche, ses merveilleuses fesses mises en valeur par la position. Je me retirais pour l’admirer, l’anus dilaté , grand ouvert à quelques centimètres de sa chatte, de ses grosses lèvres jointes.

« Jean écarte bien mes fesses et lèche moi, mets toi à genoux entres mes jambes, oui c’est bien, hemmmm, tu m’affoles, ce n’est pas possible je jouis encore.

J’avais comme elle me le demandait écarté les divins volumes, ses fesses plastiques à souhait s’ouvraient sans se déformer sur la raie de son cul, Je m’agenouillais entre ses jambes hypnotisé par le spectacle de son anus ouvert où l’on devinait encore l’empreinte de mon sexe. Sans réfléchir j’avançais mon visage, bouche grande ouverte et je n’eus aucun mal à introduire profondément ma langue dans ce calice et à l’agiter comme une folle

« Hoooouuuiiii, c’est ta langue qui s’agite Jean, ooohhhhaaaa ouiiii continue, elle est douce, c’est bon une bonne langue dans son cul

Je continuais à l’affoler mais déjà l’orifice reprenait sa forme normale et je ne pus y laisser ma langue. J’éloignais mon visage pour jouir du spectacle et au lieu de ma bouche je la forçais avec mes doigts dans les deux orifices voisins, sa chatte toute humide en pris facilement deux et l’anus un seul mais le plus long. Durant un long moment je la branlais pour son plus grand plaisir, ses plaintes, ses râles, les mouvements de sa croupe me guidaient .

« Aller, reprends moi, encule moi encore mon petit Jean, donne moi ta grosse queue, glisse la dans mon cul, Ahhhh ouiiiii ah que c’est bon, agite bien ton gland sans l’enfoncer, ouiii c’est bien boutonne moi le cul, bien maintenant tu t’enfonce à fond, ton ventre sur mes fesses, fait le claquer, ahhh je jouis comme une salope aller recommence au bord et tu te réenfonces, tu vas me faire mourir de plaisir, je jouis, je jouis ahhhhhhhhouiiiiiiicéboonnn !

Qu’avais je fait pour la faire jouir ainsi, comment avais je pu moi le puceau m’y prendre aussi bien. Je m’étais mis debout, jamais mon sexe n’avait été si gros, si raide, dressé droit sur mon ventre il était à bonne hauteur légèrement plus haut que son derrière. Mes mains écartaient toujours les lobes de ses fesses révélant le fond du ravin. L’anus en premier plan ouvert au milieu d’un léger duvet et puis un maquis de poils de plus en plus fourni jusqu’aux lèvres du fruit éclaté de sa chatte.

Je n’avais eu qu’à m’avancer pour la prendre, juste à m’ajuster en hauteur pour présenter mon gland dans la petite dépression , espèce d’entonnoir au fond duquel s’ouvrait l’orifice bistre, la porte de l’enfer. Rien n’empêchait mon regard de tout voir entre ses fesses écartelées et je vis tout, mon gland s’approcher et se centrer avant de s’enliser .

Je la pénétrais lentement mais d’un coup, à fond, mes couilles , mon ventre en butée sur ses fesses, jamais mon sexe n’avait connu cette sensation de douceur, de chaleur ; serré dans l’étroit conduit je ressentais les réactions de ce cloaque vivant qui me facilitait mon entrée et qui maintenant me serrait en lui, m’absorbait, me mangeait.

Ivre de plaisir moi aussi j’étais sidéré par ses réactions par ses paroles, ses conseils qui me guidaient. Quand je restais bien à fond je bougeais tordant mon pieu dans cet œil arrondi autour de moi, mon sexe légèrement arqué vers le bas Pour aller bien à fond je me baissais légèrement et me relevais en sortant pour compenser l’écart de hauteur qui séparait son cul de ma verge, si bien que je pouvais voir mon sexe se tordre vers le bas pour la pénétrer. Jamais je n’aurai imaginé avoir ce spectacle sous les yeux et ses plaintes qui me transcendaient.

« Branle toi, prenons du plaisir, encule bien ta petite Martine, n’ai pas peur de lui faire mal, je suis bien, fais moi bien jouir du cul, profite, allez, allez, ouiiiiiiiiii

Quel spectacle, mon sexe c’était mis en branle entre ses fesses ouvertes, ce n’était pas possible, c’était mon sexe que je voyais si gros si raide aller et venir dans l’œillet cerné de bistre, quel changement en quelques semaines, il y a peu j’étais un gosse et maintenant j’allais jouir en sodomisant la plus belle des maîtresses, la plus sexy, la plus ardente , cette femme qui m’initiait au plaisir.

Je pouvais donner du bonheur, de la jouissance à cette femme expérimentée, j’étais fasciné par le spectacle de ma verge qui entrait et sortait de ce charmant étui, si lors d’un recul un peu trop brusque je sortais, d’une avancée de mon ventre je retrouvais facilement le chemin de son derrière dilaté, de nouveau mes introspections étaient ponctuées de froufroutement d’air s’échappant sous mes coups de piston .

Oui j’étais comme une machine bien huilée, une sorte d’envoûtement m’avait saisi , hypnotisé par le va et viens de mon sexe, par cette croupe si belle qui s’offrait je perdis peu à peu conscience, mécaniquement je continuais de branler mon sexe dans ce sphincter puissant, ma queue comme électrisée par ce doux frottement, le cerveau bercé par les plaintes de Martine qui ondulais sur ma virilité, je sentais que je pouvais jouir quand je le voudrais en sortant de cette sorte de léthargie qui me prenait mais je retardais ce moment nous étions si bien tous les deux dans ce concert rythmé par les claquements de mon ventre durci sur ses fesses .

C’est alors que je me senti saisi par les couilles, cela me ramena à la réalité, c’est une main de Martine passée entre ses cuisses qui m’avait pris les génitoires et se caressait la chatte avec elles. Si parfois elles sont emprisonnées , cachées dans une bourse bien ronde, bien ferme, elles peuvent aussi par moment pendre indépendantes dans leur sac de peau fripée, c’était le cas et je les sentais rouler une à une dans les doigts experts de mon amante qui se massait la chatte avec elles ; une après l’autre elles pénétraient sa vulve au fond de ses grosses lèvres écartelées.

Je perdis alors conscience, ma vue se troubla des étoiles plein les yeux, mes jambes ne me portèrent plus, je n’étais qu’une plainte et le plaisir cette fois monta impérieux, Martine déchaînée s’agitait en tout sens et réclamait

« Va y encule moi à fond, remue, bouge, ouiiiii ohhhhh ahhhh c’est bon, oui elle est bonne, elle est douce ta queue ahhhhouiiiii ahhhhhh

Cette fois j’étais revenu dans la réalité tout en lui pistonnant le cul j’avais lâché ses fesses et me penchant sur elles passant mes mains par devant je lui pris les seins et les pétrissais durement, nous étions comme fous tous les deux et d’un coup je la rejoignis dans le plaisir, dans le bonheur de deux êtres en pleine communion de pensée, je sentis le flot puissant de mon foutre inonder son derrière en furie nous étions comme deux pantins désarticulés emmêlés et dans un dernier spasme nous nous écroulèrent sur le lit lovés l’un sur l’autre.

Nous restèrent ainsi, je crois même que nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre dans la douce chaleur de nos deux corps nus, que c’est bon de dormir ainsi avec celle qu’on aime et qui vient de tout vous donner.
Au bout d’un temps indéfinissable nous refîmes surface, toujours soudés l’un contre l’autre.

« Et bien si je m’attendais, tu m’as fait jouir comme jamais auparavant, tu es doué mon petit Jean. Je devrais dire merci à Lu de nous avoir présenté, je ne sais comment il va prendre notre réception mais il a vraiment une queue trop grosse, je plains sa femme. Habillons nous si tu veux, tu me diras comment on peut se revoir, enfin si tu as aimé ?

« - Si j’ai aimé ma chérie, comment peux tu en douter, il y a une heure j’étais puceau et j’ai joui au moins trois fois, dans ta bouche, dans ta chatte et dans ton cul, je ne te remercierais jamais assez bien pour cela

« Si tu peux, en me refaisant l’amour le plus souvent possible

En parlant nous nous étions habillés et de nouveau elle m’apparut comme lors de son arrivée, femme, une vraie femme désirable des seins à sa croupe, de ses yeux à ses jambes, comme elle s’approchait de moi pour partir je la pris dans mes bras et nos bouches s’unirent, je ne pus résister et je lui pelotais les seins et les fesses.

« C’est pas possible, tu me fais encore jouir

Alors tout alla très vite, en retroussant sa jupe je lui empaumais les fesses nues à deux mains ; debout face à elle, mon sexe à l’air sortant de mon pantalon, je la soulevais et sans enlever son slip en écartant simplement la mince bande d’étoffe d’un doigt je l’empalais sur mon infatigable pieu. Martine éberluée et complice m’enserrait la taille de ses cuisses. Mon sexe dressé n’eut aucun mal à trouver son chemin dans la chatte écartelée et lubrifiée, j’entrepris alors de la faire danser sur mon nœud en remontant sa croupe et en la laissant retomber brutalement de plus en plus fort.

A chaque fois le cri de Martine se mêlait au claquement de ses fesses sur mon ventre. Mon sexe s’enfonçait de plus en plus profondément dans sa vulve, mes couilles s’écrasaient sur son cul. Nous étions comme fous, nos regards rivés l’un sur l’autre, d’un coup je vis qu’elle chavirait dans la jouissance, son regard devint vague, sa tête dodelinait en tous sens, la bouche tordue laissant échapper des cris, des plaintes ou des mots inaudibles où l’on distinguait parfois des :

« ah oui c’est bon, des baises moi bien, oui à fond, des plus fort Jean, ah tu es bon, tu es gros, tu me remplis la chatte, ah c’est bon, je jouis, ouiiiii .

Je me sentais le maître de mon plaisir, je devinais que je pourrais la rejoindre dans son orgasme quand je le voudrais, pour l’heure je m’appliquais à lui sabrer la vulve en la regardant , je pus même lui glisser un doigt dans son derrière. Je n’avais plus besoin de la soulever, c’est maintenant Martine qui en s’agitant se poignardait la chatte sur mon sexe et son petit cul sur mon doigt.

Elle m’ouvrit son corsage et je lui pris les seins, un dans chaque main, en les pétrissant je les présentais tour à tour à ma bouche, ce fut alors la jouissance au paroxysme ponctuée de hurlements de plaisir, alors je ne puis plus me retenir et je me laissais aller, je laissais monter le flot de sperme trop longtemps contenu et je l’inondais, elle reçu ma semence comme une récompense, ma bitte aspirait le précieux liquide et le refoulait au plus profond de son être et durant ce temps elle se recroquevilla sur moi pénétrée de mon plaisir. Quand nous refîmes surface, debout face à face, elle ne sut que dire

« Si je m’attendais mon chéri, jamais je n’est été aussi bien, aussi longtemps, aussi profond, j’espère que toi aussi tu te souviendras de ces instants merveilleux que nous venons de vivre

« Non jamais je n’oublierais ce plaisir que je te dois, merci chérie, j’espère te revoir bientôt

« Viendras- tu jeudi chez moi ?

- Plutôt deux fois qu’une, allez partons

Le vestibule était désert, pas de Lu à l’horizon, Martine lui laissa un bref message

Pardon Lu, mais tu es trop gros, en tout les cas merci pour ton cadeau, Jean était à croquer

Pour ma part, je ne revis jamais Lu chez lui, ailleurs nous nous ignorions, il eu tôt fait de trouver d’autres ados à initier. Une fois seulement je retournais chez lui pour livrer un vêtement confectionné par maman et ce fut sa femme qui me reçu. Elle me fit entrer et m’offrit un verre.

« Je suis seule me dit elle . J’eus tôt fait de la percer à jour et dés qu’elle eut fermé sa porte je l’enlaçais et sans plus de façon je la baisais debout toute habillée dans le vestibule, elle jouissait en silence, mon sexe à l’aise dans un con dilaté mais qui sut me serrer au moment de l’orgasme. Elle m’entraîna dans la chambre et une heure durant je la fis jouir de toutes les façons possibles, elle était ardente et je trouvais plusieurs fois mon plaisir. Quand elle s’écroula ivre de fatigue elle m’avoua

« Je n’ai pas honte de ce plaisir que j’ai pris avec toi, en fait Lu est un fieffé pédéraste, il amène sous mon toit une foule de jeunes, se ruinant en cadeaux, et en plus quand il est excité il veux me baiser, m’enculer avec sa trop grosse queue, avec toi j’ai éprouvé un plaisir extrême avec ton sexe bien lisse d’ados, j’ai adoré te sucer et quand tu m’as sodomisé avec patience jamais je n’ai eu cette sensation de plénitude, merci Jean, à bientôt peut être.

Je la baisais de temps à autres plus pour lui faire plaisir et la venger de son mari vicieux que pour me soulager car par la suite je ne fus pas privé de nanas et quand j’en manquais Martine étais là pour me consoler en profitant de moi.
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : La femme du pédéraste

Le 03/01/2015 - 04:14 par ordrup
Bravo Jean, tu as su agir au bon moment de dire stop à Lu. j'ai aime ta relation avec Martine, surtout Quand tu l'as lèche par l'anus avec ta langue...et la sodomiser. C'était excitant.
Le 20/12/2013 - 15:45 par lovabaize
Ton histoire m'a fait mouiller et réveillé en mon mari ses envies d pédé ! il sort chercher des amis pour nous baiser comme des fous
Le 16/12/2013 - 15:58 par colombo69
histoire bien écrite on en redemande c'est bandant à souhait

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