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La fille dans la voiture partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/07/2025

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LA FILLE DANS LA VOITURE
partie 2
Quelques jours plus tard, je suis arrivé à sortir avec une petite serveuse que je convoitais depuis un moment. J'allais manger de temps à autres dans le restaurant où elle travaillait, une cuisine simple mais de qualité. Ça faisait un moment que je la regardais, elle avait vraiment du charme et de la sensualité. Brune, fine, avec un joli minois, une croupe bien tendue et des seins qui ne l'étaient pas moins. Elle portait toujours des tenues qui soulignaient ses charmes et tous les hommes avaient les yeux collés à elle.
Je ne pensais pas avoir mes chances, et puis j'étais sûr qu'elle était casée, mais il fallait croire que je lui plaisais. Elle venait de m'apporter le dessert, toute en noir, moulée dans un caleçon qui révélait son intimité de la manière la plus crue qui soit, et un corset en top, qui laissait les trois-quarts de ses seins à nu, on aurait dit qu'ils luttaient pour sortir, j'ai même vu le moment où il y en avait un qui allait se barrer. Elle avait l'addition, comme je lui avais demandé, mais j'ai remarqué une petite carte avec un numéro de portable, et un message: appelle-moi cet aprem...Je suis libre ce soir exceptionnellement, je voudrais passer la soirée avec toi.
Quand j'ai amené l'argent à la caisse, elle m'a fait un clin d' oeil. Il restait deux clients, deux vieux qui discutaient en face à face. En quelques secondes, ils n'ont rien vu, elle a descendu son caleçon et la simple culotte blanche qu'elle avait en dessous. J'ai aperçu une chatte brune, une toison bien fournie, je détestais les sexes imberbes, et deux bouts de lèvre repliés sur eux-même, épais, qui sortaient de son sexe. Pensant, à tort, qu'il en fallait peut-être un peu plus pour m'émoustiller, elle s'est retournée, me présentant le rebondi de fesses bien charnues.
Elle a jeté un coup d'oeil aux deux vieux, engagés dans une grande discussion.
— Tu peux mettre la main si tu veux. Ils ne voient rien.
Je me suis aventuré sur le léger rebondi de son ventre, avant de descendre sur la pente de son pubis, et d'arriver à l'ouverture de son sexe. J'ai senti le poids de ses lèvres, chair délicate au profil irrégulier, accidenté, et sa fente est passée de la sécheresse à l'humidité.
— On peut avoir l'addition, a gueulé le vieux.
Ça a cassé la magie. J'ai écarté ma main, elle a remonté son caleçon, en me disant:
— Plus tu es sourd, plus tu gueules fort.
Je l'ai appelée en début d'après-midi pour confirmer.
— Je fais un petit travail pour compléter mon salaire, je finis à 18 heures, je suis juste à coté de l'arrêt de bus de l'entrée nord. Tu me récupères là. On ira chez moi.
Elle était bien à l'arrêt de bus sur le coup de 18 heures. Elle avait trouvé le temps de se changer dans l'après-midi, et elle portait une robe rouge qui lui arrivait à mi-cuisses avec des bottes noires à talons aiguille qui lui montaient aux genoux, et des bas stay-up. Elle était irrésistible. Ce qui me plaisait le plus en elle, c'était sur son visage, ce mélange de distance et d'ironie.
J'ai ralenti, je me suis arrêté. L'image de la jolie blonde s'est interposée un instant, sans doute pour me faire culpabiliser, image que j'ai chassée. Je ne la reverrais plus. Il était temps de penser à d'autres femmes. Mais je la regrettais. Elle continuait de me hanter.
Elle a glissé sur le siège passager, mais en se posant face à moi. La robe est remontée, dévoilant ses bas stay up jusqu'à leur accroche, une belle et large bande de dentelle. Avec un large sourire, elle s'est soulevée, et elle a tiré la robe jusqu'à sa taille, avant d'amener sa jambe droite contre la portière pendant que je démarrais, pour m'offrir la vision de son sexe, que nul tissu n'enveloppait. Heureusement, je n'avais pas encore démarré...Elle a fiché ses deux index dedans, et elle s'est ouverte, me laissant voir sa muqueuse jusqu'à son utérus.
— J'ai envie que tu rentres dedans. Que tu y restes longtemps, et que tu me caresses bien à l'intérieur. Tu crois que c'est possible?
Elle m'a laissé bien profiter de la vue qu'elle m'offrait, avant de lâcher son sexe, et de venir poser sa main sur mon pantalon.
— Bon, je vois que tu as envie, c'est bien.
J'ai démarré. Avide de sexe, en manque peut-être, elle est restée dans la même position, et elle s'est caressée avec frénésie, commençant par faire se décalotter son gland clitoridien, et le masser. Ça a fait s'ouvrir son sexe, gonfler ses lèvres, et elle s'est mise à lâcher des ruissellements clairs de plus en plus abondants, qui ont mouillé le siège. Je pourrais les renifler en me branlant dans mes moments de solitude.
On est arrivés devant chez elle. Je me suis garé. Elle s'est penchée sur moi, indifférente à tout ce qui pouvait nous entourer, et à si on pouvait nous voir, et elle m'a mis à nu. J'avais très envie, une énorme érection. Elle s'est mise à lécher ma queue avec gourmandise, me lâchant:
— Ça fait trop longtemps que je n'ai pas vu de queue...
— Une belle fille comme toi...
— J'ai pas envie d'aller avec n'importe qui...
Elle m'a pris dans sa bouche, faisant aller et venir celle-ci sur ma queue, la lâchant pour me dire:
— Tu me plais depuis pas mal de temps...J'espérais que tu ferais un premier pas...Bon, je n'ai rien vu venir...Alors je me suis dit que...Les temps changent...
— Tu as bien fait...Je n'osais pas t'aborder....J'étais convaincue que tu étais plus que largement maquée...
Elle a repris ma queue dans sa bouche, allant et venant dessus avant de s'immobiliser et de la frotter de sa langue. Elle s'est interrompue pour me dire:
— Viens à l'intérieur, on sera tranquilles.
Elle habitait dans une petite maison coquette. En bas c'était une pièce unique.
On est rentrés tout de suite dans le vif du sujet. Et moi en elle. Elle a été chercher quelque chose dans un buffet, est revenue pour me tendre la boite de préservatifs qu'elle y avait péché, et elle est partie se caler sur le divan et s'y offrir à moi, en soulevant le tissu de sa robe, avant de basculer à quatre pattes et de me donner son intimité. Il y avait quelque chose de vraiment troublant dans cette position, à la fois, sans doute, le fait de pouvoir voir son intimité de manière absolue, sans zone d'ombre, quelque chose qui parlait à la partie animale de soi, mais aussi, ce qui mettait en valeur la position, souvent un regard tourné vers soi, qui disait: 'Viens, là, je m'offre vraiment, il faut que tu en profites!'
J'ai vite attrapé un préservatif, j'en ai déchiré l'emballage et je me suis approché d'elle. A cet instant, je n'étais plus qu'une seule envie, une seule pensée: venir en elle et connaître ce plaisir, si fort, qui est celui d'être enveloppé par le sexe d'une femme, une caresse sans nul pareil. Beaucoup d'hommes pensaient qu'ils prenaient une femme. Moi, ce que je pensais, c'était qu'à l'opposé, c'était la femme qui prenait l'homme, en l'enveloppant de cette muqueuse hyper souple, un gant chaud et délicat, et en le caressant avec. Une sorte de cadeau, et je l'avais toujours vécu comme ça.
J'ai posé mon gland tout dilaté et enveloppé de latex tout en haut, là où son sillon démarrait, et je suis descendu lentement dans l'ouverture que sa position ménageait. Une sensation très forte que de sentir, le latex n'empêchait rien, la délicatesse de ces chairs intimes, et le dessin de sa muqueuse anale, une multitude de plissements. La caresse devait être AUSSI bonne pour elle, car elle s'est mise à gémir de plaisir. J'ai fait des aller et retours dans son sillon, à des rythmes différents, m'appesantissant plusieurs fois sur sa muqueuse anale, sans pousser pour rentrer dedans, Je voulais lui donner du plaisir. Mais j'en ai aussi pris.
J'ai cassé le contact pour enfin venir sur sa vulve. L'excitation lui avait fait des lèvres toutes gonflées, que j'ai frottées, lèvres arrosées par ses jus intimes. Et puis, parce que j'avais vraiment très envie, j'étais au bout d'une phase, et elle aussi, j'ai poussé ma queue entre les lèvres. Tout doucement d'abord et de quelques millimètres. Mais j'avais déjà la sensation, et elle aussi. Sensation de chaleur, de douceur...
— Rentre, elle a dit, j'ai envie que tu me remplisses...Trop longtemps sans queue, je te l'ai déjà dit.
J'ai glissé en elle très lentement, plaisir et torture à la fois, jusqu'à ce que mon gland vienne cogner contre son utérus.
— Je voudrais garder ta queue dans mon ventre toute la journée. La sentir en moi, c'est déjà tellement fort.
Mais je pouvais en dire tout autant. La gaine de sa vulve m'enveloppant, c'était tellement bon. Un plaisir basique, mais que rien ne pouvait remplacer. Je me suis mis à bouger en elle, très lentement, puis rapidement, revenant à la lenteur. C'était un de ces moments, exquis, qui font que la vie vaut d'être vécue.
— Viens...J'ai envie qu'on change de position. Reste dans mon ventre.
De l'équilibre, ses muscles vaginaux bloquant ma queue en elle, je me suis retrouvé assis sur le canapé, mon sexe planté en elle, et elle bougeant sur moi après avoir enlevé sa robe, m'offrant la vision de son torse et de ses seins ronds et fermes, se caressant avec ma queue, mais me donnant, en retour, infiniment de plaisir. On était figés, elle comme moi, dans un moment de plaisir intense, que l'on s'efforçait de faire durer. Et puis les orgasmes sont arrivés, et on a compris que là, on était allés trop loin pour maîtriser encore. Elle a joui la première, plusieurs orgasmes, se tordant sur moi, ses jus intimes ruisselant autour de ma queue, m'arrosant. S'apaisant un instant, comme elle a senti que je n'avais pas encore joui, elle s'est soulevée pour sortir ma queue d'elle. La latex dégoulinait de ses sécrétions intimes, elle l'a roulé pour dégager ma verge tendue, dilatée à en être douloureuse. Tenant ma queue, la guidant, elle a positionné mon gland à quelques millimètres de sa toison pubienne et elle a fait un aller-retour de la main sur ma queue dilatée à l'extrême. Une fois, deux fois, et j'ai craché mon sperme, des jets copieux qui sont venus maculer son ventre et sa toison brune, qui a quasi totalement disparu sous le blanc de ma semence.
La vie est imprévisible.
Je n'aurais pas parié sur notre relation. Je pensais que ce serait le coup d'un soir.
Même si ce soir avait été hyper-agréable. On a fait une petite pause dîner, puis ensuite, à nouveau du sexe. Je me suis réveillé auprès d'elle le lendemain matin. Au moment où on allait se séparer, elle m'a tendu plusieurs pages:
— Si tu as envie qu'on se revoie, c'est mon emploi du temps du mois, avec tous mes créneaux libres. Tu m'appelles...
J'avais effectivement envie de la revoir. Elle aussi, apparemment. Le lendemain, la journée était pleine, mais le jour suivant, il y avait un après-midi libre, et moi aussi je l'étais, libre. Je l'ai appelée la veille au soir. On a passé l'après-midi chez elle, à faire l'amour.
On était très complices dans les moments de sexe. Ca peut sembler évident, mais à travers les partenaires que j'avais pu avoir, j'avais compris rapidement qu'il y avait énormément de blocages à ce sujet, et pas forcément une entente. Là on était sur la même longueur d'ondes.
Et puis, hors sexe, en discutant, on s'est rendus compte qu'on s'entendait bien. Elle était simple et chaleureuse. Pas de prise de tête.
Et on s'est vus de plus en plus.
Jusqu'au jour où...Ça faisait deux mois qu'on se voyait. Elle m'a dit:
— Ce soir, on a une invitée. C'est une grande amie à moi. Elle fait de l'intérim. Elle avait quitté la ville pendant deux mois, et elle revient. Ça ne te gêne pas qu'on soit trois?
Je n'ai rien vu venir.
Le soir, sur le coup de 18 heures, j'ai été chez ma belle brune.
Je me suis glissé à l'intérieur.
Elle était assise face à moi, et sa copine était de dos.
Une longue et épaisse chevelure blonde.
Un émotion forte, un vacillement.
Elle.
— Jim, je te présente Gwendo...On est copines depuis l'enfance.
Elle s'est levée. Aussi surprise que moi, même si elle l'a masqué, autant que j'ai pu le faire.
Je l'avais cherchée partout. Et pas oubliée. Je m'étais résigné.
J'ai lu dans son regard qu'elle n'avait pas oublié. Pas plus que moi. Et qu'elle serait bien partante pour que quelque chose se passe à nouveau.
Les mois qui allaient suivre seraient sans aucun doute difficiles.

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Histoire de JamesB

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