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La géante

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Lue : 20077 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/06/2011

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La géante. « Voulez vous danser mademoiselle ? »….
Surprise elle me dévisagea d’un air triste semblant ne pas comprendre, mais comme je répétais mon invitation en me penchant vers elle son visage s’éclaira un peu.

« Volontiers ! » me dit elle en se relevant du siège où elle était installée ; je compris alors pourquoi elle avait fait banquette, comme on dit, depuis le début de ce bal champêtre. Une fois dépliée je constatais sa grande taille, pratiquement elle m’égalait, moi qui sous la toise dépasse le mètre quatre vingt cinq. Quel copeau, trop grande pour tous les freluquets du coin qui aimaient mieux s’agiter avec toutes les petites donzelles, souples et légères dans leurs bras.


Ma géante était vêtue d’un épais manteau ce qui lui donnait une carrure impressionnante. Son visage pourtant était très féminin, maquillé avec soin encadré de cheveux mi-longs, châtains clairs; de grosses lunettes rondes n’arrangeaient pas l’aspect général, mais en regardant bien il se dégageait de ce visage une certaine beauté, une finesse que l’on ne pouvait voir que de près.


Sans me flatter je ne suis pas trop mal physiquement, je danse très bien et en général je n’ai aucun mal à me dégotter une poulette chaque semaine dans ce bal de province. Plus j’en change et plus elles s’affolent et papillonnent autours de moi. Le plus dur, c’est bien connu, c’est d’emballer les premières, après les autres veulent absolument leur part de gâteau et regardent envieuses l’élue du jour pour tenter de l’évincer et affûter leur séduction pour les semaines suivantes.


Ne me juger pas prétentieux car c’est ainsi que cela se passe et je ne suis pas le seul. Depuis le début de la soirée cela avait été un festival, servant l’une, bécotant l’autre je cherchais la partenaire avec qui en fin du bal, ou avant, le pourrais pousser plus avant mes aptitudes physiques. Ce choix est délicat car il faut évincer les allumeuses qui cherchent à se faire remarquer et qui la soirée passée se tirent incognito à la sauvette mais heureuses d’avoir montré à toutes ses copines qu’elles savaient plaire, sorte de placement pour l’avenir.


On trouve de tout dans un bal et il ne faut pas se tromper : à éviter les filles qui adorent danser, elles ne sont là que pour çà ; à éviter aussi les filles trop jeunes, les femmes plus âgées….encore que ! Question de technique, cela se repère assez vite et je me trompe rarement, les femmes qui comme moi recherchent l’aventure d’un soir je les repaire et elles me repèrent aussi, nos regards se croisent, on s’invite et dés les premiers entrechats, la première fois que ma cuisse s’insèrent, serrée entre les leurs, que leurs ventres se soudent au mien en ondulant il y a quelques chances de conclure.


Je préfère et de loin ces bals de province, ces danses d’un autre temps où les couples sont serrés amoureusement l’un contre l’autre contrairement aux boîtes de nuit où l’on s’agite en solo des heures entières en picolant.


Je n’ai guère de goût pour danser avec des femmes bonhommes mais je ne peux reculer, ce sera après tout ma bonne action de la soirée. Nous nous avançons sur la piste pour ce tango, je la prends dans mes bras et je l’entraîne parmi les autres danseurs. Comme je le présentais elle danse mal ; ou plutôt elle doit avoir l’habitude de danser seule ou avec une copine, elle ne s’occupe pas de moi, de mon rythme, les premiers pas sont hasardeux ; pourtant je le sens elle s’évertue à bien faire, à me plaire même. Sans la brusquer je la serre davantage contre moi, je lui murmure dans le cou :
« Laissez-vous aller ! ne pensez pas au rythme, aux pas à faire…. suivez moi simplement….. laissez vous guider……oui comme çà, c’est mieux…..nous sommes plus ensemble …..c’est bien »

‘Parle- lui dans le cou ! elle comprend tout’ comme le chantait Bécaud


Physiquement nous formons un couple harmonieux….la deuxième reprise est presque parfaite, je la sens se détendre et nous pouvons échanger quelques mots, je la sens heureuse et fière, elle voit que l’on nous regarde et capte quelques œillades jalouses. Je vois qu’elle mise beaucoup sur cette danse, inquiète malgré tout pour la suite elle se découvre un peu :
« Je suis bien avec vous……j’adore danser…..m’inviterez vous encore ce soir ?... oui !..c’est sûr ?…..merci !.... C’est mal ce que je vais dire mais ici avec mon physique les occasions sont rares, je suis trop grande….pas avec vous qui êtes grand aussi…. »


Je la guide de mieux en mieux, elle est souple dans mes bras, j’apprécie cette jeune femme à ma mesure. Elle est engoncée dans son lourd manteau qui masque ses formes et mon imagination se donne libre cours….elle est grande, oui mais est-ce le mastodonte qu’elle semble être sous son épaisse pelisse ? Ma curiosité est poussée à vif et j’échafaude des plans pour en savoir plus. Il faut que j’en ai le cœur net !


La danse se termine, nous restons un instant immobiles, moment important pour nous, un début ou une fin ? Sa main tient toujours la mienne, elle hésite, elle sait qu’elle doit jouer son va tout, elle se serre sur moi, ses yeux clairs dans les miens, elle murmure :
« Alors à tout de suite pour le slow ! » et comme je ne dis rien elle se lâche « Tu sais…..je baise….. »


Sur cette révélation intime, comme honteuse, elle s’enfuie, regagne sa place me laissant tout pantois. Elle doit tenir bougrement à moi pour se dévoiler ainsi…..elle me dit baiser mais est- ce pour me retenir ? est ce pour elle un moyen ? Un fantasme à assouvir enfin avec un mâle de son gabarit. Je la détaille mieux, je jurerais que sous sa gangue rustique se cache un sacré corps, mon sang commence à fourmiller dans mes veines ; Je la vois s’asseoir à sa table, elle me regarde, elle est sérieuse, elle sait qu’elle a joué sa dernière carte, ostensiblement elle croise ses jambes et avant qu’elle ne les recouvre avec les pans de son manteau je vois ses jambes, ses cuisses parfaites, ultime message subliminal.


Des valses, du swing, danses qui ne m’intéressent pas nous donnent un moment de répit, mais une communication complexe s’établie entre nous par le travers de la salle enfumée, nos regards se croisent souvent. Si elle avait su mon état d’esprit envers elle son visage se serait éclairé. Il ne faut pas que je montre mon désir car c’est elle qui fait le forcing. Mais les premières mesures de la danse que nous attendons résonnent, un slow langoureux, propice aux effusions, nos regards s’invitent, nous nous levons et marchons l’un vers l’autre, traversant la piste déjà encombrée de couples collés intimement, la lumière s’éteint, seuls des globes rouges à facettes dégourdissent l’obscurité propice aux amoureux, aux caresses.


Une masse grouillante nous engloutit. J’ouvre mes bras pour la recevoir contre moi mais cette fois avant de l’enlacer je déboutonne les deux derniers boutons de son manteau qui s’ouvre sur moi. Nous savons tout les deux que tout à changé entre nous, je la serre contre moi, elle se laisse aller et je suis heureux de voir que mes spéculations sur son corps s’avèrent récompensées ; autant son écorce était rude autant ce qu’elle masquait est sublime, ses formes somptueuses ornées d’une soyeuse robe légère très courte, largement décolletée sur des seins superbes. Je détaillerais plus tard car je la serre contre moi en lui prenant la taille, main dans la main nous nous frayons un chemin pour nous noyer dans ce magma anonyme de danseurs.


Dans l’obscurité la danse tient plutôt de la masturbation verticale et collective, nous sommes bien, j’adore son ventre sur le mien, nos cuisses sont intimement mêlées, je peux remonter légèrement mon genou et je sens qu’elle s’excite dessus en ondulant. Nos visages sont proches je l’entends murmurer à mon oreille :

« Chéri !......je t’aime…. ! »
« Christian ! » dis je pour répondre à son interrogation masquée
« Moi c’est Julie ! »
« Tu m’as dis quelque chose tout à l’heure en me quittant….ai-je bien compris ? »
« Sans doute, je t’ai dit que je baisais …… je suce aussi….que si tu voulais nous pourrions….tous les deux …..tu vois….J’aime çà….j’en suis privée….avec toi, ce serait bien »
« Tu aimes-tu cela …ou le fais-tu simplement pour me retenir ? »
« Si cela te retenait à moi j’en serais heureuse et flattée mais oui j’aime faire l’amour mais pas avec n’importe qui, ne sens tu pas que nous sommes taillés du même métal tous les deux, cela pourrais donner quelque chose de fabuleux…..je me sens déjà toute mole »


Je le pense en effet, son corps je le sens contre moi est sensationnel ; je suis encastré en elle, le mouvement spasmodique de ses cuisses masse mon sexe qu’elle ne peut ignorer, ma hampe durcie se vautre sur son ventre, je sens que je pars. Cachée sous le manteau ma main émigre de sa taille vers sa croupe, elle est opulente et sous le fin tissu de sa robe je sens ses fesses libres, je jurerais qu’elles sont nues, sans parure si ce n’est la ficelle d’un string insérée dans sa raie.


C’est parti, je le sens la soirée va se terminer dans quelques fourrés et c’est presque dommage de faire l’amour à la sauvette avec cette plante aussi belle, aussi désirable, le cul dans les orties ! Bénie soit le clair obscur propice, bénie soit cette foule, béni soit ce manteau, ce paravent qui me permet sans vergognes des caresses de plus en plus hardies et permises; je fais plus ample connaissance de ses rotondités ouvertes comme je les aime, je flatte l’arrière de ses cuisses et ma main favorisée par l’ampleur de sa robe peut s’introduire par l’arrière entre elles.


Nous sommes toujours encastrés l’un dans l’autre et je me branle franchement sur elle par d’imperceptibles mouvements de ma verge au creux de son ventre, mes couilles congestionnées calées entre le bombé de ses cuisses et pressant son sexe. Je la sens satisfaite et par des mouvements antagonismes aux miens elle parfait notre union, je parierais qu’elle commence à jouir, à mouiller, elle aussi me caresse les fesses mais plus discrètement à cause de l’entourage. Où ailleurs que dans ce bal, dans l’anonymat de la foule, dans l’obscurité qui règne lors de ce slow langoureux pourrions nous prendre tant de plaisir ? Autour de nous les couples font comme nous, l’orchestre doit le savoir car le morceau dure une éternité ce qui permet bien des fantaisies.


Ma main abandonne un instant les fesses de Julie et remontent dans son dos cherchant sous sa robe les attaches du soutien gorge que je ne trouve pas ; manifestement ses seins qui s’écrasent sur mon torse sont nus, sa poitrine n’a-t-elle pas besoin de soutien ? Je m’en assure discrètement d’une caresse, ils sont gros, fermes et souples, dressés et quand je pince un téton entre mes doigts Julie pousse un petit cri de surprise :

« Comment les trouves-tu ? » me dit-elle dans un souffle
« Comme tes fesses ma Julie, bien ronds et fermes… »
« J’aime quand tu me caresses Chris, tu es doux, tu sais y faire, je vois, je sens que je te fais bander, elle est grosse, il me tarde de la voir de te caresser à mon tour, de…… »
« Tu m’as dit que tu suçais, tu aimes donner ce plaisir ? »

« j’adore et j’y trouve le mien, surtout avec toi qui me plait beaucoup….sentir ton émoi…..gober ton gland en branlant ta verge…..te laisser te branler dans ma bouche au plus profond de ma gorge…. entendre tes gémissement quand j’aspirerai en faisant le vide dans ma bouche…..en la faisant se tendre au maximum, j’imaginerai le moment où ta belle queue va me défoncer la chatte….ah oui j’aime ce moment fort….et toi ? »

« Cette question ! j’adore …..d’autant que tu as l’air experte et que tu sembles aimer faire ce geste d’amour…. ; tu n’auras pas affaire à un ingrat car moi aussi je vais prendre du plaisir à te sucer…… »
« Tu me lècherais ?..... la chatte ?......oui !.....tu le feras ?......oui ! Ahhhh Chris je m’inonde en y pensant…..enfonce bien ton genou sur mon minou…..reprends moi les fesses……ah ouiiiiii…. C’est bon……quelle chance j’ai eu ce soir de te plaire malgré ma stature.. ; cela ne t’a pas découragé…..tu ne le regretteras pas…..j’ai une telle soif de jouir….. c’est drôle j’ai toujours rêvé d’une telle rencontre….. tu es tel que dans mes fantasmes les plus fous…..je savais qu’un jour cela arriverait »


« Ne t’inquiète pas pour ta stature… au contraire j’ai toujours rêvé moi aussi d’avoir une vraie femme dans mes bras, de la faire jouir à la mesure de nos corps et tu es là…. sous ton manteau j’ai découvert les trésors que tu caches, si tu aimes faire l’amour comme moi nous allons nous faire plaisir ma belle…. »

« Partirons-nous rapidement maintenant que nous sommes sur la même longueur d’onde ou restons nous encore un peu ? »
« Qu’en penses-tu Julie ? je ferais ce que tu souhaites »

« Je vais être franche alors, Christ, j’aimerais rester encore un peu, quelques danses pour faire voir à tous que je peux plaire moi aussi au plus beau garçon de la soirée….ce serait ma revanche…..et puis maintenant que nous savons notre connivence, faisons encore quelques danse pour faire monter notre désir….pour…. »

« D’accord chérie mais rassure toi, mon désir est là, tu as du le sentir ! »
« Si le l’ai senti ! Sur mon ventre, entre mes cuisses, bien sur et j’étais heureuse, tu m’as fait mouiller…..je sens que je vais être folle de ta grosse queue ! »


En parlant nous nous étions avancés vers la table de Julie et nous nous y installèrent…..le tango revint assez vite et nous furent des premiers à nous mettre en piste. Je lui avais demandé de quitter son manteau et quand elle s’élança à mon bras l’assistance médusée assista à la métamorphose de cette chrysalide devenue papillon, certains durent avoir des regrets. Julie transformée, très à l’aise maintenant me suivait collée à moi dans les …vite, vite….lents argentins des bandonéons ; ce dernier temps où ma cuisse s’insérait entre les siennes et pressait sa chatte était parfaitement jouissif, elles m’emprisonnaient me libérant à regret en un doux frôlement.


A nouveau nous dansions dans la cohue et nos caresses purent reprendre, je l’encastrais sur moi, je lui caressais les seins furtivement, palpais ses fesses épanouies ; à un moment nos bouches se rapprochèrent pour un premier baiser. Julie rayonnait, elle tenait sa revanche. Ce fut rapide, furtif, risqué mais elle mit sa main sur moi, me pinçant à hauteur de mon sexe, histoire sans doute de vérifier sa raideur, son sourire montra qu’elle n’était pas déçue.


La danse terminée il n’était plus question de rester, la tension était devenue trop grande, le désir impérieux, nous nous retrouvèrent dehors dans la fraîcheur de la nuit.
« Ma Julie je ne peux m’imaginer te baiser à la sauvette au fond du parking, nous méritons mieux, qu’en penses tu ? »
« Ce serait déjà bon…. mais tu as raison…. où aller ? Chez moi je ne peux, je vis chez ma tante…. A l’hôtel ? Tu en connais toi ? »
« Je crois que le mieux c’est que tu viennes chez moi, c’est douillet, grand nous y serons tranquilles »
« Arrête tu me fais jouir, tu m’affoles rien que d’y penser : être tranquilles, pouvoir baiser comme on veut ! Avec toi, c’est mon fantasme !
« Et moi donc, tu m’excites, mes couilles me font mal, elles pèsent des tonnes ! »
« D’accord pour chez toi, c’est loin ? tu as ta voiture ? »
« Oui, viens suis moi ma Julie ! »


Je retrouvais mon coupé suédois rouge vif au fond du parking, je m’apprêtais à ouvrir la portière du passager quand Julie se colla sur moi, son manteau ouvert

« Tu peux attendre toi ?.......que penses tu d’un petit acompte….oui….là sur le capot de ta voiture de sport…..j’en ai toujours rêvé…..glisse enfin ta main sous ma robe…..ouiiii…..tu vois comme je suis mouillée…..écarte mon string……je n’en peux plus…..caresse moi la chatte…..allonge moi, le dos sur le capot……remonte ma robe…….sort ta queue…..écarte mes cuisses…..remonte les……approche….. aller baise moi, je suis prête…..enfonce toi d’un coup ……oui bien à fond….. ouiiiiiii…..ahhhhouiiii ….que c’est bon…… quelle queue tu as Chéri…. Oui ramone moi bien la chatte……caresse moi les seins aussi….penche toi sur moi…..embrasse moi……oui met la langue……ahhhhhhh…..je jouis…..je sens tes couilles sur mon cul……plus vite chéri…..ouiiii……sors ta queue et replonge… si tu savais comme c’est bon quand tu entres ton gland dans ma chatte…..reste au bord entre mes lèvres…..sur mon clito, oui………oui…...oui…ouiiiiii.. plus vite..à fond maintenant…..ahhouiiiicébon …… »


Je continuais de la servir, de lui obéir, et cela ne me déplaisait pas, sa chatte humide était chaude comme de la braise, elle avait les commandes en cet instant, elle me guidait, comme si j’en avais besoin, pour la faire se tordre sous moi, pour la faire jouir…..je la fis se tendre plusieurs fois , c’est impressionnant une femme comme Julie quand elle jouit, ses cuisses qui s’agitaient sur mes épaules me pesaient, j’avais ouvert sa robe et fait éclater ses seins énormes, durs comme des obus qui réclamaient les soins de ma bouche et du bout de mes doigts sur ses tétons érectés ; Je me permis alors de prendre l’affaire à mon compte


« Redresse-toi chérie…Retourne-toi…. penche toi sur le capot…. reste debout…..écarte tes cuisses….attends je retrousse ta robe…...tu n’as pas froid aux fesses…..non……tu es bien…..tu m’attends…..tiens donc….tu sens mon gland entre tes fesses…..tu le sens sur ta chatte……ohhhhhh…..je m’enfonce, c’est bon comme çà aussi…..mon ventre claque tes fesses……Je reprends tes seins par-dessous…..je suis bien moi aussi…..tu as un beau cul ma belle »

« Tu peux le prendre si tu veux, j’aime jouir par le cul…..tu veux ?...on essaie !....doucement au début….attends je glisse une main sous moi pour enduire ton gland de ma salive….quel morceau ! tu vas me défoncer comme j’aime…oui…..doucement…oufffff…ouuuuiiiiii…..tu entres….elle est grosse….enfonce toi doucement……oui….çà va aller mieux maintenant attends je te flatte ta paire de couilles….tu peux y aller maintenant…..branle toi dans mon petit cul…..ouiiiii…..ohhhhhh…..plus vite…..plus vite…..tu as l’air de perdre les pédales toi aussi…..tu es bien ?…..aller jouis avec moi…..arrose moi……caresse moi la chatte par devant…..masse moi le clito…..tu sens comme je bande comme toi…. que fais tu ? tu sors…. Tu reviens dans ma chatte, c’est là que tu veux jouir ?….. tu jouis je le sens…..tu gicles…tu m’inondes….ahhh que c’est bon….tu baises bien sais tu……pour un acompte c’était bien mon chéri, çà va mieux, j’ai bien jouis…..alors on va chez toi quand même ….. »

« Attends !.....lève ta jambe »
« Laquelle ? »
« Peut importe….oui lève la droite….cale ton genou sur le capot…..ouvre toi bien……penche toi…..tu sens mes mains sur ta taille qui t’attirent vers moi?……tu sens mon gland entre tes fesses ?......je reviens sur ta chatte……elle est bien ouverte……je m’enfonce……ahhhh que c’est bon……bouge ton cul….empale toi sur ma queue……ouiiii…..bien à fond….. »
« Pelote moi les seins…..d’une main……passe l’autre entre mes cuisses…..pince moi le clito….tire dessus….baise moi bien…..baise moi fort….je jouis…..soutiens moi….je m’écroule…..ahhh je suis bien…..continue……va doucement maintenant….je sens bien ta queue….elle est douce….elle est bien longue…. Tu as l’air bien toi aussi……quand tu vas jouir….éclate bien au fond de moi…..j’adore les jets puissants de foutre……tu jouis, je le sens au fond d ma grotte…j’adore….. ta liqueur remonte……ta queue glisse bien…..c’est comme une caresse dans mon vagin….. ouiiiiii……merci……ahhhhouiiiiicébooonnn… »



Ah oui c’est bon de prendre son pied ensemble, j’avais explosé une fois encore et ma semence souillait ses fesses et ses cuisses, je restais un moment en elle sans bouger, le souffle court, je laissais à Julie le temps de récupérer, je la soutenais mon ventre sous ses fesses accrochées, suspendues à ma queue, mes mains sur ses seins. C’est elle qui se dégagea, elle se retourna vers moi, radieuse, se colla sur moi en me tendant ses lèvres et jamais baiser ne fut plus passionné, plus ardent.


Quelque minutes plus tard je l’installais dans le siège baquet passager et en route pour la maison, pour chez moi. Nous étions très émoustillés quand la voiture franchit mon portail de garage automatique. Le chemin avait pourtant été court, juste le temps de se caresser, ma main entre ses cuisses. Elle je ne sais comment avait réussi à sortir ma verge et se penchant sur elle faisait mine de la prendre dans sa bouche mais les embardées de la voiture la firent renoncer réservant cette caresse promise pour plus tard et plus tard c’était maintenant, maintenant dans ma chambre où je l’avait entraînée.


Elle voulu me mettre nu et je fis de même avec elle, ce fut l’occasion de mille caresses de mille baisers mais en fin de compte quand elle fut nue devant moi ce fut comme un éblouissement, cette femme, Julie, ce soit disant mastodonte engoncée dans son pardessus, était devant moi, nue, offerte, une merveille de femme, tout était admirablement proportionné à sa grandeur. Son visage de femme heureuse rayonnait, ses seins hors normes, bien placés sur sa poitrine, écartés sur une vallée étroite et odorante, ceints de petits tétons bien formés auréolés de bistre ; un ventre plat avec l’antre secrète de son adorable ombilic, sur son bas ventre près des cuisses une toison rase bien entretenue laissant voir je le devinais les grosses lèvres de sa chatte sans le moindre poil et puis la merveille de ses hanches, de ses cuisses, de ses fesses : ces formes merveilleusement raccordées entres elles par des courbes gracieuses. J’ai toujours adoré les belles fesses, celles de ma Julie étaient bien rondes, fermes, épanouies, ouvertes. Quand je fantasme c’est elles que j’imagine forcer, c’est dans la vallée profonde qui les sépare que j’imagine venir me noyer, d’insérer ma verge avant des pénétrations savantes par les deux chemins possibles.


Ma verge ! Parlons en, Julie louchait sur elle, elle était énorme, le gland décalotté, elle s’était dressée devant celle si belle si désirable qu’elle allait s’efforcer de faire jouir. Julie me fit asseoir sur le lit, légèrement de profil face au grand miroir de l’armoire et s’agenouilla devant moi entre mes cuisses. Un léger sourire aux lèvres, son regard rivé au mien quand elle prit délicatement ma verge dans sa main. Je pouvais détailler son visage, elle était plus belle que je n’aurais cru, l’amour, le plaisir, l’envie la transformait. Je sentais sa main aller et venir doucement, délicatement sur ma hampe, elle s’y prenait bien, j’avais deux visions de ses caresses, directement devant moi et aussi en reflet du miroir. Je voyais mon gland se décalotter avant que sa main ne l’encapuchonne à nouveau; que c’était doux ce moment où elle me dépucelait, le gland émergeait, sa main allait et venait sur moi en continuant de me branler.


Je crus défaillir quand Julie se pencha sur moi et que sa bouche rejoignit sa main. Ma queue fut rapidement enduite de sa salive qu’elle étalait avec sa langue. Dans le miroir je voyais sa bouche grande ouverte plonger vers mon phallus, mon gland au plus profond de sa gorge et là elle se serrait sur moi, je voyais ses joues se creuser, elle m’aspirait en se retirant, ses lèvres charnues serrées sur moi, je sentais le sang bouillonner attiré dans ma verge qui prenait une ampleur jamais atteinte, c’était presque effrayant. La ronde reprenait, je baisais sa bouche. Julie ne m’avait pas menti quand elle m’avait dit « Je suce » jamais je crois je n’avais été aussi bien dans une bouche et j’aurais joui sans sa science de me maintenir au bord de l’abîme où l’on plonge quand on bascule dans le plaisir.


Je crus pourtant plonger quand elle me caressa les parties avant de les gober une après l’autre dans sa bouche grande ouverte, jamais encore on ne m’avait fait cette gâterie ; durant cet épisode jouissif sa main continuait ses caresses sur ma hampe. Julie s’arrêta à temps, elle me regardait en souriant, manifestement son plaisir égalait le mien ; Alors elle releva son buste et en s’aidant de ses mains elle plaça ma verge érectée entre ses seins qu’elle resserra sur elle, ma verge lubrifiée allait et venait dans ce doux écrin, un des plus doux, mais quand Julie cracha sur mon gland au passage en le lapant d’un coup de sa langue jamais baisage ne fut plus doux, plus onctueux.


« Alors chéri que penses tu de ta grande Julie ? »
« Je ne pensais pas avoir tant de plaisir quand je t’ai invitée à danser ce soir, tu avais l’air abandonnée. Tu me fais vivre un conte de fée, tu sais le Prince qui embrasse une vieille personne et qui se retrouve avec une jeune et belle Princesse dans ces bras »
« Ah bon ! Je savais être un crapaud pour les autres mais pour toi je suis ta Princesse…toi seul a deviné cela……mais tu as dit dans les bras du Prince…..alors prends moi…. »


Julie s’était levée et se lova sur moi écrasant ses seins au creux de ma poitrine, nous étions nus et nous laissèrent aller nos mains sur nous. Jamais je n’avais eu ce bonheur de serrer une telle femme contre moi, une femme de ma taille avec toutes ses rondeurs en proportion. Je lui caressais les seins, le dos, les fesses dont je suis friand, vous le savez. Julie me caressait la verge. Nous nous embrassèrent sur la bouche nos mains dans notre chevelure, dans le cou avec la tendresse de deux amoureux.


A moi maintenant de tenir ma promesse ; je lui serrais la taille par l’arrière la forçant à se renverser, je la soutenais pour l’allonger sur le dos au bord du lit sa tête légèrement relevée calée sur des coussins et je m’agenouillais à mon tour entre ses cuisses ouvertes. Avant d’avancer mon visage je restais médusé devant la beauté de sa chatte, tout y était parfait, bien en harmonie avec elle. Je pris le temps, le plaisir de l’admirer comme devant un site ou un beau tableau. Julie avait une chatte fruit, bien charnue avec des grosses lèvres bien dessinées légèrement entre ouvertes laissant voir l’intimité de lèvres plus petites bien ourlées comme de jolis pétales qui se rejoignaient formant le petit capuchon d’un clitoris bien développé.


Avec mes doigts j’écartais les grosses lèvres pour mieux glisser la pointe de ma langue dans l’attirant canyon rose. Je laissais l’entrée de la vulve pour en remontant m’occuper des petites lèvres si sensibles surtout à l’endroit où elles se rejoignent pour cacher avec peine la pointe du clitoris. Manifestement c’était une première pour Julie et je fis tout pour ne pas la décevoir. Elle ne disait rien mais elle commença à s’animer, à geindre, son ventre ondulait, elle écartait bien ses cuisses, ses bras écartés, ses mains labourant nerveusement le dessus de lit en satin. Mes mains, mes doigts, ma bouche, mes lèvres, ma langue s’acharnant sur le capuchon de son clitoris. Je léchais, je mordillais, j’aspirais, je mâchonnais longuement ce centre du plaisir. Je sentais sous lui le clitoris bandé et dur qui roulait comme un nerf sous ma bouche, sous mes doigts.


Julie se laissait aller vers le plaisir, son souffle devenant plus court, les mouvements de son corps plus heurtés, elle gémissait poussant des petits cris quand mes caresses étaient mieux faites ou plus intimes, mais quand tout en continuant de la sucer je glissais ma main sous ma bouche, paume en l’air, un doigt puis deux dans sa vulve se fut un véritable cataclysme à la mesure de son être. Julie jouissait en un fouettement de ses cuisses qu’elle resserrait sur moi pour emprisonner mon visage, elle se caressait les seins en les remontant, en titillant ses tétons, elle criait des phrases inaudibles.



Il était temps de la satisfaire pleinement, je me redressais brusquement; mon sexe était à bonne hauteur, je la soulevais en la prenant sous les fesses et sans préambule je glissais d’un coup ma verge bien à fond dans sa chatte qui était prête à me recevoir. Allongée sur elle, face à elle je la baisais comme un forcené sans ménagement guidant mon rythme et la profondeur de mes pénétrations sur ses cris, sur les soubresauts de son corps, sur le serrement de ses bras qui m’étreignaient. Je scrutais son visage qui dodelinait en tout sens, ses yeux dans les étoiles, sa bouche déformée par le plaisir. Dans son orgasme elle était magnifique et j’étais transporté de bonheur de faire jouir ce corps magnifique qui se tordait sous moi.


A un moment de lucidité elle plongea son regard dans le mien, me serra davantage dans ses bras et comme une prière me demanda de venir la rejoindre dans son orgasme. Alors plus rien ne pouvait me retenir j’étais prêt, j’avais résisté jusqu’à ce moment pour faire durer son plaisir, j’explosais littéralement, chaque giclée de sperme me tirant un cri de fauve en rut et pour Julie des brusques avancées de son ventre pour m’enfouir davantage en elle. Sa jouissance dura plus longtemps que la mienne, mais je restais dans sa chatte ruisselante mon sexe y était bien, je le faisais aller et venir doucement mais de toute sa longueur dans ce calice lubrifié.


Tout en la baisant mes mains pétrissaient ses fesses et j’eus l’idée de glisser un doigt dans sa raie bien au fond et de le glisser dans son anus. Ce n’était que le petit doigt de ma main droite mais ce geste provoqua un cataclysme à la mesure de ce plaisir nouveau, si délicat mais si surprenant. Je n’avais qu’à l’enfoncer doucement, c’est Julie qui l’expulsait de son cul en contractant je ne sais quel muscle, je n’avais plus qu’à le replonger dans son petit cul serré quand ma queue par devant se retirait de sa chatte, il était attendu, réclamé, encouragé par des oui…oui rauques. En me penchant sur elle je lui pris ses seins dans ma bouche, avec ma main gauche libérée de ses fesses je les pelotais presque durement comme elle semblait aimer, je présentais leurs tétons érectés à la pointe de ma langue, j’aspirais bouche grande ouverte ces merveilleux volumes au grain si fin, si doux et si parfois ma bouche les abandonnait c’est pour aller la bécoter dans le creux de son cou.


Julie sous ses attaques multiples et concertées n’en finissait pas de jouir, de s’agiter en tout sens sous moi, de gémir. Par moment son plaisir devenait plus fort, elle n’était alors qu’un cri qu’un spasme, j’avais du mal à suivre son corps en folie, elle aussi me serrait dans ses bras pour s’unir davantage encore, elle semblait m’encourager par des phrases incompréhensibles dont je retenais certains mots :

« Ahhh oui c’est bon….c’est booonnnn…...baise moi bien……ouiiii…..ouiiiiiiii….. ;;ahhhhh je jouis encore…tu baises bien chéri…..mon petit cul.. oui ….bouffe moi bien les seins …. embrasse moi…..caresse moi……prends moi autrement…..fais moi tout……retourne moi comme sur l’auto… c’était bon….c’était profond ……en levrette…..j’aimerais……ahhhh merci…..vite reprends moi…..oufffff…..je suis pleine à nouveau…. enfonce toi bien…..si tu veux mon petit cul tu sais que j’aime…. »


Vous l’avez compris Julie était maintenant à quatre pattes sur le lit et moi debout derrière elle dans la travée, ma queue à bonne hauteur entre ses fesses ouvertes. Je la tenais par les hanches pour l’attirer vers moi. Jamais spectacle ne fut plus érotique pour moi : Cette croupe mise en valeur par la position, ses larges hanches graciles, sa taille creusée, ce dos, cette peau couleur de lait complètement lisse, luisante, sans défauts, ses seins qui dodelinaient allongés par la pesanteur et cette raie des fesses ouverte, offerte. Je voyais au premier plan son petit anus bistre resserré, plissé, attirant comme un œil et puis sa chatte, ses grosses lèvres encore ouvertes par les derniers assauts. J’avançais mon gland dans cette déchirure rose, au dessus des petites lèvres sombres, à l’entrée de cette vulve si douce et d’un coup comme Julie m’hurlais de le faire je lui sabrais la chatte d’un coup mon gland au plus profond de son ventre.


J’étais bien moi aussi, chaque pore de ma verge profitant de la douceur de ce vagin profond, je pouvais pour une fois m’empaler entièrement dans une chatte, mes couilles fouettant le cul de Julie pour son plus grand plaisir, ses fesses percutées par mon ventre dur faisait osciller son grand corps. Julie s’était penchée sur le lit de telle sorte que la pointe de ses seins qui dodelinaient sous mes assauts frôlent le satin du couvre lit et cela sembla ajouter au plaisir que lui donnait ma verge et mes mains, et mon pouce forçant l’œillet de son anus.


Julie jouissait sans fin et moi j’étais bien, maître de mon éjaculation pour garder l’énormité de mon sexe. J’aurais pu jouir moi aussi devant ce spectacle hallucinant de ma queue qui œuvrait en besognant sa vulve. L’avantage d’être long et d’avoir un ventre plat c’est de pouvoir profiter du spectacle, de voir comme dans un film porno cette chatte qui s’enfonce et se retrousse sous les va et viens de ce pieux si bien proportionné pour faire du bien ; de maîtriser l’ampleur des pénétrations, de se retirer le gland sorti juste au bord des lèvres intimes pour mieux les forcer, les ouvrir, pour ce plaisir qui remonte du gland ravage le sexe et se précipite dans le cerveau et qui l’encourage à d’autres folies.


En la baisant, fasciné par le spectacle de ma verge et de sa chatte, son petit anus voisin déformé malgré tout par l’ampleur des pénétrations me rappela le goût prononcé de ma Julie pour la sodomie. Transmission de pensée elle me dit dans un souffle :

« Tu avais pris ma rondelle tout à l’heure sur le capot de ta voiture, c’était un petit avant goût de ce que j’adore, on recommence chéri , en levrette c’est idéal !? »
« Justement j’y pensais, je le vois bien, il est mignon moi aussi j’aime … attends laisse moi le préparer…. »
« Merci Chris….prends ton temps… »


Alors tout en continuant de fourrer sa chatte, avec un doigt mouillé puis deux je commençais à amadouer l’entrée de ce puits sans fond, du bout d’abord en tournant, en l’enduisant de salive. Julie roulait des hanches elle gémissait déjà en s’ouvrant. Rapidement j’agitais mes doigts en elle, il était temps. Je sortis ma verge de sa vulve, et avec une main je présentais mon gland à la porte de l’enfer, il était centré à moitié enfoncé dans l’anneau musculeux, le plus dur restait à faire, l’empaler sur mon cierge.


Finalement avec l’aide de Julie ce fut très facile, c’est elle, dans un cri, qui s’embrocha sur moi, l’anneau musculeux était plus souple que je le pensais et il permit le passage en douceur de mon sexe qui s’enfonça en elle jusqu’à la garde, mon ventre, mes couilles sur ses fesses épanouies. Julie avait demandé de prendre notre temps pour jouir ainsi, je le pris, les mains sur ses hanches pour l’attirer vers moi et la repousser en d’énormes va et viens à la longueur de ma verge. Bien centré entre ses fesses somptueuses je pouvais laisser Julie prendre son plaisir et régler elle-même le rythme et la profondeur des pénétrations.

Avec mes mains libres je caressais son corps, sa taille creusée, ses hanches, ses fesses, je les passais sous elle pour soupeser ses seins pour remonter entre ses cuisses en caressant sa chatte délaissée. Julie était dans un autre monde, manifestement elle aimait çà, avec une de ses mains elle voulait elle aussi participer, en me saisissant mes valseuses par-dessous.


Maître de moi je la fis jouir comme elle aimait, moi aussi j’étais bien mais je me réservais, la nuit était longue encore. Sans savoir trop comment je retrouvais Julie allongée sur le dos sur la moquette, les fesses et les jambes en l’air le dos calé sur le bord du lit, vous voyez, et moi à genoux sur le lit face à elle dans l’écartèlement de ses cuisses relevées que je maintenais à grand peine chacune de mes mains serrée sur ses chevilles. J’étais penché sur elle mon visage entre ses cuisses en train de la lécher.
« Baise-moi comme çà me dit Julie »


Alors je me relevais, assis sur le bord du lit, jambes écartées de part et d’autres des cuisses de Julie, mon sexe au dessus de sa chatte. Position étrange mais idéale pour baiser, je n’eus qu’à plier ma verge pour présenter mon gland entre ses lèvres, la suite alla de soi nous nous entendîmes à merveille pour nous faire du bien. Je pouvais voir Julie se tordre les bras sur la moquette, elle criait son plaisir en s’agitant en tous sens en ondulant pour tordre la verge dans sa chatte. Par moment je restais immobile au fond d’elle ; mes couilles écrasant ses grosses lèvres et ce n’était pas moins jouissif si je me base sur les contorsions de ma Julie en plein coaltar .


Une idée comme une autre, je me relevais et toujours en l’enfourchant je me retournais lui tournant le dos, en abaissant mon sexe avec ma main je la repris comme çà, une sorte de levrette à l’envers, l’effet alla au delà de l’entendement Julie criait, elle devait voir mes fesses qui s’agitaient au rythme du baisage, avec une main elle me les claquait avec l’autre elle se masturbait ou se pétrissait les seins. Cela dura jusqu’au moment où Julie me demanda :

« Viens maintenant, viens jouir entre mes lèvres, je veux lire ton plaisir dans tes yeux, je veux voir éclater ton gland entre mes lèvres, ton foutre m’inonder la bouche, ma langue, mes seins, je veux te voir heureux avec moi…..viens »


Alors se fut fulgurant elle se releva et m’offrit sa bouche, je me laissais aller et comme elle le voulait je l’inondais en faisant attention à ses yeux.


De pose en pose, un peu fatigués nous nous retrouvèrent allongés, enlacés côte à côte sur le lit comme un vieux couple, nos visages proches nous nous regardions tendrement. Finalement nous étions bien ainsi, je la caressais, elle me caressait, je l’embrassais dans le cou, elle roucoulait, je palpais ses seins souples et chauds, elle s’amusait sa menotte sur ma verge en émoi. Nos bouches s’unirent et pour mieux saisir sa langue je m’allongeais sur elle . Ses yeux me disaient son désir, elle devait sentir ma verge qui pulsait entre ses cuisses , elle s’ouvrit sur elle en me murmurant de la prendre dans cette position confortable.


Alors je la pris sous les fesses que je soulevais délicatement, c’est elle qui me prit la verge et qui me guida en elle. J’avançais mon ventre contre le sien et la pénétrait doucement, la violence faisant place à la douceur. Je restais au fond d’elle en animant mes hanches de mouvements de faibles amplitudes. Nous étions bien tous les deux et je sentis qu’elle aussi ondulait sous moi, Son plaisir naquit avant le mien, elle se serrait lovée dans mes bras haletante. Son visage rayonnait de bonheur et moi j’étais heureux.
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Histoire de Pierre le Grand

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