La grande classe

Il y a de cela deux mois, je fus invité par un couple d'amis de mes parents à une soirée d'anniversaire. La fille de ce couple fêtait sa 35ième année dans la maison de ses parents : une belle et grande demeure située à la campagne à quelques minutes seulement de chez moi. Je consultai tout d'abord la liste des invités sur le mail d'invitation, puis comme je n'avais rien de prévu ce soir-là, j'acceptai l'invitation. Bien que je n'étais pas très emballé par l'ambiance collet monté de leurs soirées, nos hôtes n'en étaient pas moins de bons amis de mes parents, qui eux aussi seraient présents.

Quand arriva ce samedi, mon amie se défila, une fois de plus en prétextant la fatigue, ou je ne sais encore quelle excuse bidon, qu'elle a l'art de trouver lorsqu'elle ne veut pas se rendre à ce genre de soirées. Trop tard pour annuler, je m'y rendrais sans elle. Pour la faire rager, je passai une heure dans la salle de bains et m'habillai de ma plus belle toilette, me rasai, parfumai etc...J'en sortis tout beau tout neuf, je la saluai et lui promis qu'en son absence, je m'amuserai pour deux, puis me rendis à la fête avec une bonne heure de retard dû à mon travail.

Apparemment tout le monde ou presque était arrivé, le parking était plein. Les parents de Anne-Sophie avaient invité la moitié du village pour son anniversaire à ce qu'il paraissait ! Quand j'arrivai sur le perron, alors qu'il commençait à neiger, leur employée de maison vint m'accueillir et s'occupa de mon vestiaire. Au fond de la cour, j'arrivai dans une vaste pièce de laquelle sortaient de vieux classiques jazz plutôt dansants et l'ambiance, malgré les jolies toilettes de ces dames et messieurs était assez bon enfant. J'allai saluer nos hôtes et bien entendu Anne-Sophie, afin de lui souhaiter un bon anniversaire. Elle fut surprise de me trouver seul sans mon amie et après avoir échangé les banalités d'usage, me tendit un verre et nous prîmes momentanément congé l'un de l'autre. Après avoir salué mes connaissances, je m'approchai du bar pour me servir un deuxième verre. Une fois que j'avais rempli mon verre d'un excellent Porto, je restai un moment à regarder le groupe jouer, la foule s'amuser, bref, à contempler le spectacle de la soirée qui battait son plein, quand une femme s'approcha de moi :
-"Bonsoir Monsieur", me dit-elle.
-"Bonsoir madame", lui répondis-je," mais vous pouvez m'appeler Eric"
-"Et moi Nicole, pouvez-vous me servir un verre s'il vous plaît, il paraît que cela ne se fait pas de se servir soi-même".

Je lui servis un martini blanc avec des glaçons que je lui tendis. C'était un joli bout de femme d'environ 55 ans, elle portait une robe noire assez sexy puisque transparente, laissant à peine apercevoir ses sous-vêtements, blonde aux cheveux mi-longs et portait un fin collier de pierres brillantes. La grande classe. Elle m'arrivait à peine à la poitrine et avait un très joli sourire. Après m'avoir demandé si j'étais venu accompagné, elle prit congé de moi et rejoint les amies avec qui elle était venue pour danser, car décidément le groupe de jazz mettait le feu ! Je rejoins des amis que j'avais en commun avec Anne-Sophie et me mis à swinguer moi aussi pendant un long moment. Pendant que nous dansions, je vis Nicole et ses amies me jeter de petits regards furtifs de temps à autres. J'avais l'impression que Nicole leur avait parlé de notre petite rencontre de tout à l 'heure. La musique s'arrêta puis le papa d'Anne-Sophie vint faire un discours en l'honneur de sa fille, après quoi elle ouvrit devant l'assemblée ses cadeaux. Elle nous invita à nous amuser autant que possible sur la musique qui ne tarda pas à recommencer de faire swinguer la foule. J'avais un peu soif et quand je retournai vers le bar, j'y croisai de nouveau Nicole.
-"Les grands esprits se rencontrent on dirait", plaisantais-je. "Encore un martini blanc ?".
-"Volontiers, merci, et après vous viendrez danser avec moi ?"
-"Oui, avec plaisir".
-"Vous connaissez bien Anne-Sophie ?"
-"Oui, nous étions au lycée ensemble et bien que nous ayons pris des chemins différents, nous sommes restés en contact depuis, et vous Nicole ?"
-"Je suis sa marraine, comment se fait-il qu'elle n'ait pas jeté son dévolu sur un bel homme comme vous ?"
-"Eh bien il faut croire que je ne lui plais pas tant que ça", répondis-je un peu gêné.

Sur ce, elle descendit la fin de son verre, me prit par la main et m'emmena sur la piste ou nous dansâmes un long moment. Elle était plutôt souple et dansait beaucoup mieux que moi. Il est vrai que sa robe courte permettait plus les mouvements de hanche que mon costume cravate ! Soudain, elle s'excusa et s'esquiva, pour se servir un verre pensais-je d'abord, mais je la vis glisser un mot à l'oreille d'une de ses amies, qui me regarda et sourit. De mon côté, j'avais pris chaud après de telles danses effrénées et me servit un grand verre d'eau bien fraîche, ce qui acheva de me faire récupérer. J'allai me servir à manger, puis déambulai çà et là, m'arrêtai discuter avec des connaissances, bref, m'amusai bien quand une des amies de Nicole me rejoint.
-"Dites moi monsieur, vous êtes bien le compagnon de danse de Nicole de tout à l'heure".
-"Oui, tout à fait".
-"Elle est allée se reposer un peu dans la maison du fond, je crois qu'elle a bu un peu trop vite", rigola-t-elle, "elle voudrait que vous la rejoigniez si vous voulez".

Je n'étais pas très étonné, mes observations étaient justes quant à son alcoolémie. J'imaginais qu'elle voulait me parler de sa filleule en tant qu'entremetteuse puisque celle-ci était encore célibataire. J'allai donc au bar, m'emparai d'une bouteille bien fraîche d'eau pétillante et d'une tasse de café bien chaud et me dirigeai vers le fond de la propriété. Une maisonnette était attenante au garage et c'est ici que Nicole s'était installée. Je toquai à la porte, Nicole m'invita à entrer. J'entrai alors par le hall, puis je pénétrai dans la chambre, bien que je ne la vis toujours pas.
-"Je vous ai apporté un peu de café, si vous en avez envie..."

Elle sortit alors de la salle de bains et je fus très étonné de voir que sous sa robe légèrement transparente, ses sous-vêtements avaient disparu...
-"Excusez-moi, j'ai pris une douche et je me suis habillée à la hâte quand je vous a entendu frapper à la porte."
-"Je vous en prie, j'ai vu des choses bien plus désagréables dans ma vie, croyez-moi!"

Elle rit en s'empara de son café puis s'assit sur le lit en croisant les jambes, ce qui fit légèrement remonter sa jupe tout en haut de ses cuisses. A partir de ce moment, je crus comprendre qu'elle n'allait pas me parler d'Anne-Sophie. Mes yeux étaient tombés dans le piège. En effet, Nicole avait de très belle cuisses bien fermes malgré son âge, et maintenant qu'elle s'était un peu cambrée , j'aperçus ses tétons au travers de sa robe. Un peu emmeché moi-même, je sentais ce spectacle gonfler mon pantalon au fur et à mesure.
-"Asseyez vous aussi, vous avez l'air d'avoir eu chaud vous aussi".
-"Oui, c'est juste, il faut dire que l'ambiance est très bonne là-bas"
-"C'est vrai et j'ai bu trop vite, mais finalement c'est bien que vous soyez venu me rejoindre..."et alors, tenant sa tasse de café de la main droite, elle baissa le haut de sa robe en la faisant glisser, dévoilant sa jolie petite poitrine à mon regard. je restai un petit moment interloqué.
-"Est-ce que je vous plais ?"
-"Oui, beaucoup, vous êtes très sexy vous savez ?" Ce que j'obtins en guise de réponse ? Elle posa sa tasse sur la table de chevet, s'allongea sur les coussins et remonta encore un peu sa robe, me dévoilant ainsi sa belle toison blonde tandis qu'elle ne me lâchait pas du regard.
-"Alors là, vous me plaisez encore plus".

Elle était en train de m'allumer et j'étais maintenant comme un bâton de dynamite, alors n'en pouvant plus je m'approchai d'elle et l'embrassa en lui caressant les seins. Elle était très excitée et apparemment n'attendait que ça puisqu'elle se lâcha tout de suite, me faisant embrasser ses seins, écartant ses cuisses m'invitant ainsi à m'occuper de son sexe. Ce dont je ne me fis pas prier, je plongeai ma langue entre ses lèvres et constata qu'elle était déjà bien mouillée. Moi qui m'attendais à avoir une discussion autour de sa filleule...Nicole me regardait lécher sa jolie chatte blonde et cette vision l'excitait beaucoup.
-"Viens ici que je te déshabille" Je me relevai puis elle me déboutonna lentement la chemise, me dégrafa ma ceinture puis mon pantalon, et bientôt je me retrouvai la queue au garde à vous devant cette belle femme de 20 ans mon aînée. Elle commença à me branler doucement en me souriant.
-"C'est la première fois que je me retrouve au lit avec un jeune", dit-elle.
-"Si ça peut vous rassurer, c'est la première fois pour moi aussi, et je sens que je vais beaucoup aimer".
-"Je vais tout faire pour", me répondit-elle en engouffrant mon sexe dans sa bouche tandis qu'elle continuait de me branler.

Dès les premières secondes, je sentis que j'allais prendre beaucoup de plaisir avec elle. Apparemment elle adorait sucer puisqu'elle avait une technique telle qu'elle aurait pu me faire jouir très vite si je ne m'étais pas retenu. Sans rien dire, je me retournai et me mis à lui lécher sa chatte et son anus tandis qu'elle me suçait encore. Puis elle la retira de sa bouche.
-"Quel bel homme ! et quelle belle queue !, Viens, je veux te sentir en moi !" Je mourrais d'envie de la prendre et de lui donner du plaisir, alors je ne me fis pas prier, je retirai cette fois complètement sa robe, puis la prit par les jambes afin de les lui écarter. Puis après l'avoir de nouveau léchée, je fis aller et venir mon gland bien dur sur son clitoris. Elle était très excitée et réagissait immédiatement à chacun de mes gestes. Alors, je présentai mon gland face à son sexe et je m'enfonçai doucement au plus profond de son intimité en ne la lâchant pas du regard. Elle ferma les yeux en basculant sa tête en arrière en haletant de plus en plus au fur et à mesure que j'accélérai ma cadence.
-"Oui, continue, n'arrête pas ! ta queue est si dure".
-"Je n'ai pas l'intention d'arrêter ma chère, tu es si belle..."et j'accélérai de plus belle en lui donnant de grands coups de butoir, au bout de quelques minutes, elle eut un orgasme. Elle cria si fort que je doute que, s'il n'y avait eu de musique, son cri ait échappé aux invités de la soirée. Je ralentis un peu, histoire de la laisser un peu souffler, puis je me retirai et lui fit sucer ma queue alors je lui caressai le sexe de ma main gauche;
-"Ta queue est si bonne... je veux que tu me prennes encore, prends moi en levrette, tu veux bien ?".
-"Avec plaisir", elle s'installa alors à quatre pattes puis je la pénétrai de nouveau.

Tout en la prenant par la taille, je baisais sans retenue sa belle chatte bien glissante, je décidai de ne ralentir qu'une fois qu'elle aurait de nouveau un orgasme. Alors, je passai ma main par dessous son ventre et lui caressai le clitoris tout en continuant de pilonner son sexe. Cela l'excitait complètement.
-"Oui ! salaud ! n'arrête pas, tu vas me faire jouir!" Elle cramponnait l'oreiller de toutes ses forces et soudain y plongea sa tête et se mit à crier. C'était son deuxième orgasme en moins de dix minutes.
-"Dis donc, ça fait combien de temps que tu t'es pas faite baiser toi ?" Elle avait du mal à reprendre ses esprits, après un moment elle me répondit.
-"Ca fait 1 mois, mais aussi bien baisée, ça fait des années !"
-"Merci pour le compliment ma chère !" tout en restant dans elle, elle se cambra, m'embrassa puis me dit tout bas.
-"je veux que tu me baises comme une trainée tu veux bien ? Moi, ça me rend folle, baise moi, prends moi s'il te plaît !"

Nicole n'était pas seulement experte mais aussi vicieuse. De mon côté, j'étais ravi qu'elle me le demande. J'avais eu, vers mes 25 ans, une copine un peu vicieuse qui adorait que je lui parle crûment quand je lui faisais l'amour et j'en tirais beaucoup d'excitation. Malheureusement, bien que j'étais heureux avec elle, mon amie n'aimait pas ça. Avec Nicole, qui m'excitait déjà énormément, j'allais pouvoir ressentir l'effet électrisant que cela procure.
-"Mais tu es une sacrée coquine dis donc ! attends un peu petite salope, tu vas voir ce que tu vas prendre !"
-"Ah oui , dis moi un peu ce que je vais prendre salaud!" Elle me cherchait et allait être servie.
-"Tu vas te prendre des grands coups de bite dans ta chatte grosse salope que tu es ! et après, si tu es gentille tu auras droit à une bonne dose de sperme!" Elle était aux anges, je la pris alors par les cheveux et de l'autre main la fessa, elle gémissait à chaque coup de bassin que je lui donnais.
-"Encore, baise moi encore, j'adore ta queue petit con !"
-"Tiens prends ça salope, tu aimes te faire défoncer hein ? Elle a du en voir des queues, ta chatte ! Tiens prends celle-là grosse salope".
-"Oh oui je suis une salope, défonce moi, n'arrête pas!" Je me retirai juste à ce moment.
-"Retourne toi, je veux voir ton visage et tes nichons!". elle obéit sans dire un mot, puis je la pris de nouveau. Mais cette fois, je pouvais lécher ses seins, l'embrasser.
-"Regarde ça salaud ! tu es en train de me défoncer la chatte!". J'allais et venais à toute vitesse dans son sexe et elle n'en perdait pas une miette.
-"Ca te plaît de voir ma queue s'enfoncer dans ta chatte hein , ma belle salope ?"

J'étais en sueur tellement je la baisais comme un fou, c'était la première fois que je couchais avec une femme mûre et je voulais que Nicole s'en souvienne. Je sentais que je n'allais pas tarder à jouir.
-"je vais bientôt jouir moi aussi, tu vas te prendre une bonne giclée ma salope !"
-"Ah oui ? Tu vas m'envoyer ton foutre ? Viens alors, remplis ma chatte!"
-"Avec plaisir sale garce", alors j'accélérai une dernière fois tandis que Nicole ne me quittait pas des yeux, elle attendait de me sentir gicler dans elle.
-"Allez viens ! envoie moi tout ton sperme ! et ainsi mon gland cracha de longues giclées pendant que je la baisais encore, je prenais un plaisir immense à baiser cette furie et elle était maintenant pleine de mon foutre.
Bien qu'elle s'attendait à ce que je me retire, je repris un peu mon souffle et recommençai à la baiser.
-"Oooh! mais tu vas jamais t'arrêter mon salaud !"
-"Pas tout de suite en tous cas, tu es vraiment très bonne à baiser tu sais ?"
-"Ah oui, mais j'en peux plus moi, attends un peu..." Elle me repoussa, me fit m'allonger. Je pensai alors qu'elle allait éponger le sperme qui coulait de son sexe, mais elle s'assit sur moi et s'enfonça mon pieu dans sa chatte. la sensation de pénétrer ce sexe sur-lubrifié m'électrisa.
-"C'est boooon, ça rentre comme dans du beurre ! "dit-elle. Puis elle commença à aller et venir tout doucement sur ma queue tout en me souriant.
-"Vas-y, amuse toi avec ma queue, fais toi du bien!"

Elle commença à la faire tourner au fond de son sexe tout en me faisant lécher ses doigts. Elle se passa alors la main à son sexe et en sortit deux doigts mouillés de mon sperme qui continuait de couler, puis les lécha. J'adorai contempler ce joli corps de 55 ans aller et venir sur ma queue, mais je n'allais pas rester sans rien faire pour autant. J'allai à mon tour lui caresser le sexe, puis une fois mon majeur mouillé, je commençai à lui titiller l'anus. Tout en continuant de faire tourner son bassin sur ma queue, elle se pencha et me dit d'un air coquin :
-"Je n'aime pas la sodomie et ta queue est bien trop grosse, mais je n'ai rien contre un doigt fouilleur !" Elle eut à peine fini sa phrase que je le lui enfonçai, elle gémit en se cambrant pour me faciliter la tache. Soudain, elle se retira, m'embrassa en prenant mon sexe dans sa main et commença à me branler.
-"Ca fait un moment qu'on est partis de la fête tous les deux, les autres vont se poser des questions tu ne crois pas ?".
-"Ils peuvent se poser toutes les questions qu'il veulent, moi, je suis trop bien ici" Sans s'en rendre compte, cela faisait bien 45 minutes que j'avais rejoint Nicole, le temps passe bien vite dans ces moments-là! Elle continuait de me branler en serrant bien sa main sur ma queue tout en m'embrassant.
-"J'ai envie de te sucer jusqu'à ce que tu jouisses, tu veux bien ?"
-"Tu m'as l'air douée pour ça en tous cas, j'ai pu m'en rendre compte tout à l'heure !"
-"C'est parce que j'adore ça, tu sais ? Ce que je préfère, c'est quand la queue gicle dans ma bouche."
-"Ah oui ? Tu as dû en sucer des queues pour avoir une si bonne technique !"
-"Oh oui ! et la tienne est tellement bonne que je ne vais pas laisser passer une occasion pareille ! Je n'ai jamais baisé avec un jeune, mais j'en ai beaucoup sucés !"

Sur ce, elle s'engouffra ma queue tout en me fixant de ses beaux yeux bleus. Je sentais sa langue tournoyer autour de mon frein, sa main me branler à la base de ma queue et son autre main me caresser les bourses. Avec une telle technique, elle ne tarderait pas à obtenir ce qu'elle voulait.
-"Tu m'as tellement bien baisée mon salaud... tu vas voir comme tu vas jouir", me dit elle avant de recommencer de plus belle.
"-Eh bien continue comme ça et tu vas en avoir plein, salope !" J'eus à peine fini ma phrase que je sentis ma queue se gonfler, elle le sentit aussi car elle commençait à gémir, impatiente de me voir gicler.
-"N'arrête pas, suce moi ! vas y! prends ça!"

Et je lui envoyai de grosses giclées de mon jus dans sa bouche, elle en gémissait de plaisir cette fois, presque autant que moi. J'eus un long orgasme, et pendant plusieurs secondes, j'eus des fourmis dans les membres, comme si un léger courant me traversait le corps. Elle continua de me sucer un moment, puis s'arrêta en continuant de me branler délicatement, me regarda en souriant puis avala mon sperme.
-"Je me suis régalé...en fait c'est bien plus que ça, je ne pensais prendre un tel pied un jour !"
-"Et moi j'ai adoré te sucer, tu m'en as mis plein la bouche salaud !" Et elle se la rinça avec le café qui lui restait. Viens prendre ta douche avec moi et retournons y ! J'étais encore engourdi et je n'avais guère envie de me lever. J'eus tout de même le courage de la rejoindre dans la salle de bains.
"-Tu crois qu'on pourrait se revoir ? me dit-elle.
-"Si c'est raisonnable, pourquoi pas ?" Elle me mit ses bras autour du cou, m'embrassa et me dit :
-"Et coucher avec une femme de 55 ans quand on en a 20 de moins, c'est raisonnable ?"
-"En l'occurrence, oui", plaisantais-je.
-"Donne moi ton numéro de téléphone alors, car j'en aurai sûrement besoin, et mes copines peut être aussi..."
-"Comment ça ?" Elle sortit de la douche, se sécha.
-"Suis-moi..."me dit-elle de son air mutin. Elle m'emmena dans la chambre et me montra son appareil photo pointé dans la direction du lit. Elle appuya sur Stop, puis sur Play, et je compris ce qu'elle voulait dire en me revoyant entrer dans la chambre avec ma bouteille d'eau et mon café.
-"Rassure toi, ce n'est pas pour te piéger, mais mes copines étaient sûres qu'un si bel homme refuserait mes avances, alors j'ai filmé pour le leur prouver ! Si tu veux, je l'efface tout de suite, sinon je pourrais leur montrer cette vidéo sexe, à elles et à elles seules, juré !"

Je pensais que j'avais à faire là à une sacrée vicieuse, mais en même temps je trouvais excitant qu'elles et ses copines regardent notre "prestation".
-"Et si elles voient ça, elles auront envie de t'appeler, tu peux être sûr !"
-"C'est d'accord, à une seule condition..."
-"Laquelle ?"
-"Qu'on remette ça très bientôt, mais en privé cette fois..." Elle me reprit dans ses bras et me dit :
-"Ca, tu peux en être certain."

Puis nous nous sommes rhabillés, elle prit grand soin de renouer ma cravate, de mon côté je lui rappelai de ne pas oublier ses sous-vêtements cette fois-ci. Nous nous sommes embrassés encore une fois puis elle est partie 5 minutes avant moi rejoindre la fête histoire que notre retour ne paraisse pas trop louche.