ACCUEIL > En groupe > Récit : La guerre du sexe

La guerre du sexe

+16

Lue : 17562 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 14/04/2012

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Le rendez-vous était fixé pour 22h00, un horaire normal pour commencer une soirée étudiante qui devait permettre de se lâcher après le stress des exams. J'étais en cinquième année de fac de médecine et c'est d'ailleurs dans un amphithéâtre que j'avais rencontré ma copine actuelle : Aude. Etant plutôt beau mec j'étais sorti avec pas mal de fille, entre deux et trois par an depuis sept ou huit ans (oui je me lasse assez vite ! ) mais je battais mon record de fidélité avec Aude puisque nous étions ensemble depuis près d'un an. Il faut avouer que c'était une fille non seulement brillante et sacrément bandante (une bombe latine de 23 ans, bronzée, brune avec un sacré fessier ! ) mais qu'elle avait en plus un caractère assez sulfureux dans tous les sens du terme. Si les clashes étaient assez fréquents les retrouvailles sous la couette valaient sacrément le détour croyez-moi ! Elle aimait le sexe et ça se voyait. Elle avait un appétit très masculin en la matière et surtout un savoir-faire qui avait dû rendre des mecs très heureux.

C'était mon cas actuellement. Il y avait hélas une contrepartie assez désagréable, elle avait un pouvoir sur les hommes assez considérable, elle le savait et elle en jouait au point de me rendre sacrément jaloux. Il n'était pas rare par qu'en boîte de nuit elle se déhanche de manière plus que suggestive au milieu de plusieurs garçons qui laissaient traîner leurs mains avec appétit sans qu'elle ne leur dise d'arrêter, au contraire elle semblait y prendre plaisir et j'intervenais à chaque fois pour que cela n'aille pas trop loin. A ce moment elle me sortait toujours son sourire le plus carnassier, je n'avais plus de défense. Où commence la tromperie ? C'est un grand débat. Certains n'auraient jamais accepté le simple fait que sa copine se laisse toucher ainsi sans rien dire, moi j'acceptais tant qu'elle me garantissait qu'elle n'avait jamais été et n'irait jamais plus loin.

Bref. Nous sommes arrivés avec un léger retard devant la porte de chez Vincent, mon pote qui organisait la soirée. Je frappai à la porte et profitai de l'attente pour contempler Aude qui était terriblement séduisante avec son jean moulant et son chemisier blanc décolleté. Je m'apprêtais d'ailleurs à lui suggérer de fermer un bouton supplémentaire quand la porte s'ouvrit me coupant dans mon élan. C'était l'hôte de la soirée.

Tiens on attendait plus que vous ! Ah mec je savais qu'on pouvait compter sur toi !!

Je ne savais pas s'il disait ça pour le pack de bière ou pour la poitrine de ma copine qu'il scruta avec beaucoup d'intérêt. On entra. L'ambiance était déjà bien joyeuse, l'alcool coulait à flot et la musique dance électro donnait immédiatement envie de bouger. Je connaissais tous les gens présents, la plupart des mecs étaient des amis communs de fac à Aude et à moi sauf deux gars qui étaient des collègues avec qui je jouais au foot. Sur les quatre filles que je voyais, trois étaient aussi de nôtre promo et il y avait Nadège la meilleure amie d’Aude depuis leur plus tendre enfance. Sept gars et cinq filles avec Aude et moi, une distribution relativement équitable. On se fréquentait tous régulièrement, il y avait un véritable esprit de groupe même d'avantage puisqu'il y avait parmi nous deux couples (dont le mien) et qu'il était connu de tous que certains avaient eu des rapports plus qu'amicaux.

On dansa, on but, on rigola franchement jusqu'à ce que Vincent en bon organisateur nous propose un grand classique : action ou vérité ! Tout le monde, grisé par l'alcool applaudit à cette idée souvent génératrice d'inattendus. On enleva les meubles puis on se posa en cercle. On faisait tournée une bouteille vide une fois pour savoir qui posait la question et une autre fois pour savoir qui devrait répondre ou agir. Il n'est pas difficile d'imaginer, dans un groupe d'une douzaine de jeunes d'adultes, sur quoi dévia le thème des questions et des gages !

On apprit ainsi que Tiffaine avait perdu sa virginité à 17 ans, que Nicolas avait déjà couché avec un mec et que je m'étais branlé dans le bureau de ma prof' de français. (Question du lieu le plus insolite !). Il fallut évidemment attendre que la bouteille tombe sur Aude pour qu'on ait le droit à nôtre premier « action ». Tout le monde s'y attendait et rigola franchement, moi c'était un rire jaune car je m'attendais au pire. Ce fut rapidement soulagé car elle dut simplement rouler une pelle à Emeline l'une de nos collègues de fac qui elle aussi était bien roulée. Les mecs sifflèrent allégrement alors que je me contentais d'un sourire de circonstance.

Cela devint de plus en plus chaud et les actions devinrent plus nombreuses que les vérités. On eut successivement le droit à la poitrine de Léna, au cul de Romain, à un baiser enflammé entre Vincent et Tiffaine qui mirent bien deux minutes à se décoller sous des applaudissements généraux.
La bouteille tomba une deuxième fois sur Aude. C'était à Nicolas de dire le gage. Il se tourna vers Aude.
« Taille une pipe à Marc ».

Il y eut un « ouh » général suivit d'un silence. Aude se leva avec un grand sourire prête à passer à l'action sans problème ce qui me laissa sur le cul.
Non non c'est mort … répondis-je accompagnant mes paroles d'un signe du doigt.
On est entre nous !!
« Aller un baiser sur le bout de la queue vite fait » précisa Nicolas comme si cela était plus acceptable.

J'allais déjà dire non que des mains se posèrent sur ma bouche et que tout le monde se mit à rigoler.
Marc ne bougea pas. Aude s'approcha de lui , commença à descendre sa braguette et plongea sa main dans le pantalon de mon pote comme une véritable experte. Elle sortit la bite de Marc en quelques secondes sous les acclamations. Son sexe, totalement au repos et circoncis était d'une taille impressionnante. Ma copine qui n'avait pas la même chose à la maison sembla apprécier l'objet puisqu'elle le prit en main avec assurance, commença à le branler avant de le plonger dans sa bouche et de le sucer pendant trente bonnes secondes. C'est d'ailleurs Vincent qui, après m'avoir jeté un coup d'oeil vint y mettre fin alors que Marc lui semblait au bord de l'extase. Aude regagna sa place sous les « houra ! », le sourire aux lèvres en m'envoyant un baiser avec sa main comme si tout cela était normal pour elle.

La ronde reprit et on tomba toujours plus dans la débauche et la luxure. Alexandre, un de mes collègue de foot dut se faire raser le pubis et les couilles ce qui fut accompli en un quart d'heure avec l'aide d'Emeline. Le tour suivant on banda les yeux de Gabrielle qui du lécher la poitrine de Tiffaine et reconnaître les différente substances que l'on y avait déposé à savoir, du miel, du chocolat et de la chantilly. Romain échoua dans son défi de se faire éjaculer en trois minutes avant que la bouteille ne me désigne enfin. A vrai dire on ne choisissait même plus action ou vérité on passait directement au gage. Lena ne sembla pas hésité une seconde.

«Un petit Cuni' à Nadège t'en dis quoi ? Tu tiens ta revanche ! »

J'avais en effet bien l'intention de me venger. J'étais maintenant bien libéré par l'alcool et je me dirigeais vers Emeline sûre de moi. Je fis sauter le bouton de son pantalon, baissa ce dernier jusqu'au talon montrant aux yeux de tous un magnifique string de dentelle rouge. Je ne pris même pas le soin d'enlever le bout de tissu, je l'écartais juste et commença à glisser ma langue sur son sexe comme si je léchais une glace. Sa chatte parfaitement lisse humide était vraiment appétissante. Je passais et repassais ma langue sur son sexe écartant ses lèvres pour pouvoir profiter et gouter le moindre recoin. Emeline se décontracta peu à peu, elle aussi bien aidé par les quelques verres de vodka qu'elle avait avalé. Elle passa sa main dans mes cheveux alors que je sentais les muscles de ses cuisses se contracter. J'embrassais maintenant son sexe comme si je voulais le dévorer avant de m'arrêter sur son bouton que je suçai comme un bonbon. C'est à ce moment que son jus m'éclaboussa le visage sous les yeux attentifs de la compagnie.

Tout le monde frappa des pieds et des poings sur le sol pour récompenser cet exploit, tous sauf Aude qui ne semblait pas apprécier. Je ne sais pas si c'était le fait de me voir lécher une autre chatte que la sienne ou parce qu'il s'agissait de sa meilleure amie mais je tenais ma revanche , 1 partout balle au centre.

On avait tous donné de nôtre personne et on décida de passer à autre chose. On mangea et on dansa mais je perdis Aude de vue très rapidement. Je graillais un morceau de pizza dans la cuisine quand je vis Romain passer dans le couloir qui menait aux toilettes en remontant sa braguette. Jusque-là rien d'anormal à l'exception près que Aude sortit des toilettes vingt second après en s'essuyant le coin de la bouche. Elle me vit dans la cuisine et rentra avec un sourire narquois. Je fis semblant de ne pas avoir compris ce qu'il s'était passé, pour ne pas avoir à reconnaître l'affront qu'elle m'avait fait. Elle s'avança pour m'embrasser mais je me reculai pour éviter son baiser et pour ne pas avoir à partager la semence de Romain. J'étais piégé, elle avait maintenant la certitude que je ne n'avais rien loupé et que je savais et c'est avec un sourire de triomphe qu'elle quitta les lieux. Je ressentis une étrange sensation mêlée de colère et d'excitation.

On se retrouva tous dans le salon et on se laissa aller pendant une bonne demi-heure à danser et à boire. Je susurra quelque chose à l'oreille de Vincent qui bougea la tête pour me dire qu'il avait bien compris. Je profitais ensuite de l'obscurité et de la musique pour me rapprocher de Tiffaine. Elle avait montré des qualités pendant action et vérité et j'avais bien l'intention d'aller découvrir ça d'un peu plus près. Je me collai à elle et on commença à danser de manière très chaude. J'entrepris rapidement de parcourir son corps avec mes mains, passant ma main gauche sous son débardeur pour lui caresser la hanche alors que ma main droite lui massait les fesses avec envie. La jeune femme se laissait faire et elle se retourna même pour se mettre dos à moi. Elle attrapa mes mains pour les faire glisser de sa poitrine jusqu'à son entrejambe alors que sentais son cul se frotter contre ma bite qui se dressa rapidement. Je lui embrassa le cou alors qu'elle passa un bras pour me caresser les cheveux , il n'y avait plus que nos deux corps collés dans cette obscurité, on ne faisait plus gaffe à ce qu'il se passait autour. Je bandais maintenant au maximum quand elle me prit par la main et m'envoya à l'extérieur, derrière la maison. Je fis un clin d'oeil à Vincent puis suivit Tiffaine dehors.

Dès qu'il n'y eut plus personne on s'embrassa comme si cela ne nous étais plus arrivé depuis des siècles mais l'excitation était trop forte et on passa rapidement aux choses sérieuses. Je baissais son pantalon et son shorty alors que je me contentais de baisser mon jean juste de quoi libérer ma queue. J'enfilais un préservatif rapidement et commença à baiser Tiffaine contre le mur arrière de la maison. Je plongeais ma bite dans sa chatte trempée sans préliminaires, sans tendresse. J'y allais sans retenu donnant des coups de reins violent et rapides faisant claquer mon pubis sur celui de ma collègue de fac. Il n'y avait là rien de romantique c'était au contraire tout ce qu'il y avait de plus sauvage, on baisait debout, à moitié habillé, à l'extérieur sans aucune pudeur. J'y allais de plus en plus fort comme si j'étais en transe, j'étais complètement collé à Tiffaine que j'entendais soupirer et gémir à chacun de mes coups de queue qui lui transperçait l'intérieur. J'avais maintenant la tête plongé dans sa poitrine alors qu'elle me griffait le dos jusqu'au sang et qu'une de ses jambes libres entourait les miennes.

C'est à ce moment que Aude sortit à l'extérieur pour aller chercher une bouteille de whisky dans le cabanon au fond du jardin, sur la demande de Vincent. La synchronisation était parfaite. Je croisai le regard de ma copine puis continua à pilonner Tiffaine qui elle n'avait rien vu, jusqu'à ce que je me décharge dans une explosion de plaisir qui me retira un râle profond. On s'embrassa puis je me retirais de ma partenaire alors que ma queue s'affaissait à vue d'oeil. Tiffaine se recoiffa et se rhabilla alors que j'enlevais le préservatif rempli de foutre. Il n'y avait plus trace d’Aude, cinq minutes de baises torrides et une revanche bien méritée, j'étais aux anges. Je rentrais à l'intérieur, il était maintenant cinq heures du mat et l'alcool avait fait son effet, ce n'était plus l'euphorie mais plutôt la défaite. Les gens étais assis et parlaient plus calmement, je voyais même Nadège dormir sur le fauteuil. Je me rendis compte cependant qu'il manquait pas mal de monde, on était douze au total et là on était plus que huit. J'avais un mauvais pressentiment. Je m'approchais d'Alexandre qui était dans un état léthargique.

« Tu sais où sont les autres »

« Je crois qu'ils sont montés à l'étage chercher j'sais pas quoi... ».

Je montais à l'étage sans plus attendre. Je n'étais pas encore arrivé en haut de l'escalier que j'entendais déjà de petits cris plaintifs. Ma gorge s'assécha d'un seul coup, j'avais compris mais je ne pouvais m'empêcher d'aller voir. Les bruits venaient d'une chambre qui était fermée.

« T'es vraiment une vraie chienne !! »

« Je confirme , vas y prend ça »

Le doute n'était plus permis... et en plus ils étaient plusieurs. J'ouvris la porte et le spectacle que je vis me donna un véritable coup de poing dans le ventre. Aude se faisait véritablement défoncer par trois de mes potes. Marc étais allongé sur le dos alors qu'Aude s'empalait sur son énorme bite de vingt-cinq centimètres dressée comme un drapeau en terrain conquis. Vincent lui s'était calé derrière et explorait le cul de ma copine sans aucun remords alors que Nicolas avait sa queue bien niché dans sa bouche. Les trois y allaient de bons cœurs et chacun de leur coup de queues bousculait Aude dans tous les sens. Cette dernière semblait prendre son pied comme jamais, ses cheveux étaient complètement ébouriffés et son mascara avait légèrement coulé sous l'effet de la transpiration des corps. Cette personne que je voyais, c'était le sexe incarné à l'état brut. Je compris alors qu'elle n'avait aucune limite et qu'elle avait déjà dû me tromper à de multiples reprises. Les quatre avaient vu ma présence mais ce qu'ils vivaient là étaient si violent, si intense que toutes autres considérations avaient disparus et qu'ils continuaient leur orgie.

« Je vais l'enculer ».

Ils changèrent de position. Aude s'allongea sur le ventre alors que Marc se posait derrière ma copine et que les deux autres se branlaient sur son visage. Mac plongea son énorme queue dans le cul de ma copine qui l'accueilli chaleureusement après deux essais seulement. Elle poussa un véritable cri de plaisir alors que ce dernier la défonçait sans ménagement. Cela dura cinq minutes. Vincent et Nicolas se déchargèrent sur le visage d'Aude alors que Marc se vida sur ses fesses et le bas de son dos où se trouvait ce tatouage que j'avais toujours adoré regardé quand je la prenais par derrière. Je quittais les lieux le cerveau saturé par ces images. J'étais battu, la capacité d'avilissement des femmes était bien supérieur à la nôtre, elles pouvaient se faire souiller, se faire prendre par trois trous alors que je n'avais qu'une seule queue.

On se quitta suite à cette soirée qui me permit d'effectuer un peu de ménage dans mon cercle d'amis. Le jour où je suis passé chez elle pour prendre mes dernières affaires elle essaya de me dire que ce n'était que des histoires de cul sans importance.

« Sans importance ?? »

J'ai déposé un cd gravé sur sa table et je suis parti sans plus jamais lui parler. Je n'ai jamais su si elle avait apprécié le spectacle de sa mère et de son ex' à l'œuvre et donc qui avait gagné cette guerre du sexe.
16 vote(s)


Histoire de Garame

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : La guerre du sexe

Le 02/07/2012 - 12:14 par jeanmimel
Julie a raison, plus on est de fous.... je suis sur qu'elle n'attendait que ça !
Le 01/05/2012 - 15:38 par Julie592
Decue,c'est trop court.Tu aurai du les rejoindre et la remplir de foutre

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :