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La journée d'un pré-retraité conclusion

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/03/2024

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LA JOURNEE D'UN PRE-RETRAITE


CONCLUSION
Je suis rentré à la maison sur le coup de 18 heures. Une journée bien remplie, comme l'avaient été pas mal d'orifices durant ces moments de plaisir. Je savais d'ores et déjà que les lendemains seraient semblables mais différents. D'autres partenaires, mais toujours le sexe en point de mire et en fil rouge.
Installée sur le divan, elle se masturbait. Elle avait quitté ses vêtements de la journée pour passer une tenue qui n'avait absolument rien à voir, des bas stay-up, des cuissardes et absolument rien d'autre. Une nudité offerte qui m'a frappé de plein fouet. J'avais pas mal de partenaires, mais le lien le plus fort, c'était celui qui m'unissait à ma femme. On se connaissait depuis longtemps et il y avait entre nous une complicité parfaite que le temps n'avait pas émoussé, une complicité globale dans laquelle la sexualité avait une grande partie.
Elle se masturbait, le sexe bien dilaté, très mouillé, tirant sur ses lèvres en gémissant.
Elle avait les yeux mi-clos, elle les a ouverts quand elle m'a entendu arriver.
--J'avais envie de me faire baiser.
--Par moi ?
--Oui, par toi.
Je me suis laissé glisser sur le sol. On avait nos positions à nous, comme chaque couple, comme dans chaque relation...Un de nos plaisirs, mais ils étaient nombreux tant notre complicité était grande, c'était que je m'allonge, et qu'elle vienne au dessus de moi...Elle se mettait dans une position que j'adorais...Accroupie au dessus de moi, jambes bien écartées, pour s'offrir au maximum...Et elle coulissait le long de mon corps.
Elle a caressé ma queue, bien raide.
--Alors, bonne baise aujourd'hui ?
--Je te raconterai, bien sûr. Et toi ?
--Moi aussi. Dans les toilettes du resto où j'ai mangé à midi, j'ai passé un super moment...Il y a eu un moment magique...J'ai sucé plein de queues...Un repas d'affaires...J'ai pris la queue d'un gars dans la bouche...Il a appelé ses copains...Ils m'ont rempli le gosier de sperme...
Elle aimait le sexe autant que moi, c'était d'ailleurs ce qui nous avait rapproché, et on était très vite parti sur des expériences multiples qu'on évoquait, et qui donnaient paradoxalement plus de force à notre couple...On se nourrissait de ces moments, on s'en inspirait.
Elle est venue se positionner à quelques centimètres de mon regard. La position ouvrait bien son sexe, qui, il était vrai, avait été déjà bien dilaté par son excitation et ses caresses...Je distinguais parfaitement les plissements de son anus, et en laissant remonter mon regard, la béance de son sexe, avec son intérieur tout rose, le dessin de son urètre, l'évidence de son gland clitoridien décalotté, la manière dont ses chairs luisaient.
--Regarde bien. Comme à chaque fois. Imprègne-toi de la vision de ma chatte. Je veux que tu y penses chaque fois que tu te branles. Et chaque fois aussi que tu vois et que tu baises une autre chatte. La plus belle, c'est la mienne.
Et pour m'en donner une vision encore plus éclatante, elle a fiché ses deux index dedans, et elle s'est faite encore plus béante. Les parois internes de son sexe, le liquide qui ruisselait le long, la vision de son utérus, tout au fond...Elle m'a laissé le temps de bien regarder, avant d'enlever ses doigts, mais au final, elle est restée quasiment ouverte à l'identique, dilatée d'excitation.
Elle était à portée de bouche. Mon premier coup de langue, le long de ses lèvres, lui a fait pousser un long gémissement et se cambrer. Je l'ai caressée de la langue, comme je savais le faire, et comme elle aimait que je le fasse...Tournant sur ses chairs, laissant ses jus intimes couler dans ma gorge comme le plus délicieux des nectars, venant prendre son gland clitoridien dans ma bouche, le laissant gonfler, se développer, jusqu'à ce qu'il finisse par la remplir.
Elle s'est dégagée pour glisser en arrière. Elle a attrapé ma queue pour pour la guider vers sa vulve, et elle s'est laissée descendre dessus, l'avalant jusqu'à être assise dessus. Je l'ai sentie autour de moi, gaine précieuse, chaude et lubrifiée. Les yeux clos, le souffle court, elle a pris son plaisir en se faisant aller et venir, monter et descendre sur ma verge que je voyais disparaître et réapparaître, dilatée.
Il y a eu un bruit de succion quand elle s'est arrachée à moi. Sa caresse m'avait fait énorme, et trempé de ses jus intimes. Je n'étais jamais aussi gros qu'avec elle.
Elle est revenue chercher ma bouche. J'ai glissé ma langue cette fois en elle, venant caresser, aussi loin que je le pouvais, la face interne de ses muqueuses. Béante à force d'avoir été caressée par ma queue, elle s'offrait à mes caresses, et j'ai baladé ma langue contre la chair délicate, faisant aller et venir la pulpe de mon majeur et de mon index le long de son gland clitoridien gonflé et affûté comme une bite. Elle était en plein trip. Elle s'est détachée de l'emprise de ma caresse pour venir de nouveau faire glisser ma queue dans son ventre. On était dans la partie la plus élevée de notre jouissance, sachant qu'on allait jouir, mais profitant de ce moment, de ce plateau, juste avant que l'orgasme explose. Elle s'est faite monter et descendre sur ma queue, en gémissant, dans son plaisir, et moi je me retenais pour ne pas exploser. Et puis on a eu notre plaisir, on a crié sans retenue, et mon sperme est venu remplir, jet après jet, sa cavité vaginale.
Le meilleur est pourtant venu après. Elle est revenue à ma bouche. La semence n'avait pas encore commencé à sortir. Elle m'a redonné son sexe, et mon propre sperme a coulé dans ma bouche. Je suis venu frotter ses parois internes.
Je savais que quelque chose d'autre arrivait. Je me suis positionné différemment. Il y a eu une tension dans son ventre, et un premier jet de pipi, sucré, a coulé dans ma bouche.
Ca faisait deux ans maintenant, qu'on jouait à des jeux de pipi, ça avait renouvelé nos relations, c'était quelque chose d'intime, de très personnel, que je n'aurais pu partager qu'avec quelqu'un dont j'étais très proche. Elle.
Ca avait commencé de manière très banale. /Elle était calée sur moi dans une position très proche de celle-ci. Elle était calée sur mon ventre, et elle avait calé ma queue dans sa raie, pour la malaxer avec ses fesses, qu'elle tenait à deux mains.
Et puis...je ne sais pas très bien ce qui s'était passé. Quelque chose qui ressemblait à un accident, qui avait ressemblé à un accident, mais dont j'étais convaincu aujourd'hui que ce n'était pas le cas. Un jet de pipi, chaud, qui avait coulé sur mon ventre, et qui avait coulé sur les bords, pour finir sur les draps, on était sur le lit.
Elle s'était cambrée, avait amené sa main contre son sexe, dit :
--Je me suis retenue de faire pipi toute la journée, je n'ai pas eu le temps...J'ai complètement oublié que j'avais la vessie pleine...Et là, je ne retiens plus rien...C'est trop tard pour que je bouge, je vais en mettre partout.
Elle m'avait fait pipi dessus. Vraiment longuement. Elle avait effectivement la vessie pleine. S'était-elle retenue toute la journée ? En tout cas, ca avait duré longtemps.
J'y avais pris un plaisir infini. Et elle aussi, son visage le disait clairement. Son sexe était entrouvert par la miction, et son urètre projeté en avant, dont coulait le pipi. Un flux continu, chaud, comme une caresse sur ma peau, et également très excitante sur le plan de la simple vision. Elle avait fini par se tarir, ne lâchant plus que quelques courts jaillissements. J'étais trempé, moins cependant que les draps qui nous entouraient. Si j'avais pu douter de l'excitation que ça lui procurait de faire pipi et de m'arroser, la manière dont sont gland clitoridien s'était décalotté et mis à bander disait clairement son plaisir. Sans pudeur, elle avait disparu depuis longtemps entre nous, elle était venue le frotter, jouissant, un chapelet d'orgasme, se tordant, et criant. Et moi, la queue calée entre ses fesses, tellement excité par ce moment, j'avais joui, maculant le charnu de ses fesses, et sa raie.
Ca nous avait énormément plu, alors les jeux de pipi étaient devenus partie intégrants de nos ébats. Elle avait sans doute une grosse vessie, une vessie qu'elle maîtrisait en tout cas, ce qui lui permettait de se remplir d'eau pendant une journée, et de la garder en elle, pour des moments qui pouvaient durer très longtemps.
Elle maîtrisait surtout mieux qu'au début sa miction, secrétant un jaillissement court quand elle voulait qu'il soit court, et long quand elle voulait qu'il soit long. Là, elle me remplissait la bouche, courte rasade après courte rasade, me laissant le temps de faire glisser son nectar le plus intime dans la gorge.
--J'avais soif de toi, je lui ai dit.
--Et toi, tu as quelque chose à me donner à boire ?
Je savais qu'elle avait encore des réserves, mais elle a rompu le contact,
--Moi aussi j'ai soif ? Tu as quelque chose à me donner à boire ?
Pas évident, et pour une raison simple, ce moment me donnait une érection énorme, même si j'avais joui peu de temps auparavant, et ça bloquait, évidemment. Je me suis concentré pour débander, perdant quelques centimètres, et de l'épaisseur. Elle évitait de me toucher pour que je ne rebande pas de plus belle. Elle avait par contre la bouche ouverte. Un bon jet de pipi, long, est parti dans sa bouche. Elle l'a avalé, attendant la suite. J'étais sur un autre rythme qu'elle, lâchant des jets de pipi copieux...
On allait toujours d'épisode en épisode. Elle s'est calée au dessus de ma queue, en surplomb, et elle a lâché des jets de pipi sur ma queue tumescente. Je me suis remis à bander et je n'ai pas tardé à jouir, mon sperme venant souiller son ventre.
--Je vois que ça t'excite toujours autant !
--J'adore les jeux de pipi.
--Moi, aussi, je ne m'en lasse pas.
Quelques épisodes plus loin, on a été prendre une douche ensemble. Je suis revenu passer la serpillière.
On a dîné ensemble, en nous racontant les meilleurs moments des plaisirs de la journée. Elle avait aussi eu du plaisir avec une de ses copines, et elles avaient fini avec l'amant de celui-ci, pour la première fois. Deux filles, un gars. Ils avaient multiplié les positions. Evidemment excités par nos confessions, on s'était mis au lit pour faire l'amour dans un cadre très classique, avec cette ardeur qui n'appartenait qu'à nous, multipliant les positions et les orgasmes.
On s'est endormis dans les bras l'un de l'autre, au bout de notre jouissance.
Demain était un autre jour.





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Histoire de JamesB

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