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La journée d'un pré-retraité partie 5

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/03/2024

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LA JOURNEE D'UN PRE-RETRAITE

PARTIE 5
Cela faisait quatre ans ou à peu près que je connaissais Tifaine, et qu'on était amants.
Aurais-je pu la rejoindre ainsi si je n'avais pas eu ce temps de liberté ? Sans doute pas.
Tout dépendait bien sûr de ses disponibilités, mais on arrivait toujours, au vu de son métier, à trouver des créneaux. Elle avait monté en effet une agence de secrétariat/comptabilité qui fonctionnait avec un seul patron et une seule employée. Et ça fonctionnait bien car les besoins étaient importants. Elle faisait de l'intérim, intervenant dans les entreprises, c'était comme ça que je l'avais connue, mais aussi chez elle.
Je n'oublierais sans doute aucun moment de notre relation, mais sans doute pas non plius le moment où elle était arrivée à l'entreprise. Notre comptable était parti aux sports d'hiver avec un résultat et un retour malencontreux. Deux bras et une jambe cassée...Il ne risquait pas de reprendre dans l'immédiat, il avait fallu trouver un ou une comptable.
C'était comme ça qu'elle avait débarqué chez nous.
Elle était arrivée tôt le matin, et je peux jurer qu'il y avait eu un long moment où toute l'activité de la boite s'était figée. Quarante hommes, dehors, dedans, dans les camions, sur le quai de chargement, dans les bureaux, étaient là, ils avaient interrompu leur activité et ils la regardaient en bavant. Elle s'était garée à l'extérieur, elle ne savait pas qu'on pouvait rentrer, et elle avait traversé la grande cour, pour arriver aux bureaux.
Tous les hommes avaient la queue dure. Certains s'étaient sans doute même éjaculé dessus.
Ca en valait d'ailleurs la peine. Il y avait des occasions où ca valait le coup de s'éjaculer dessus.
Je ne suis pas sûr que la décrire rendait totalement grâce à sa beauté. A son flamboiement, qui était celui de la sensualité et de la jeunesse. Je peux juste sans doute esquisser quelques traits. Parler d'une magnifique crinière blonde, épaisse et brillante, pleine de vie, d'une silhouette longiligne, mais cependant marquée par des formes typiquement féminines, et d'un beau visage, avec une bouche pulpeuse, d'immenses yeux bleus, et un regard porté sur la vie nettement teinté d'ironie. Elle avait une robe ultra-courte, rouge, qui collait à ses formes, dégageait des jambes magnifiques, gainées de nylon, prises en dessous du genou par des bottes noires luisantes, avec des talons aiguille de près de 10 centimètres qui allongeaient sa silhouette et la cambraient.
Je crois que tout le monde est tombé sous son charme. Même les femmes présentes.
Elle devait rester quatre mois. On a découvert une fille simple à vivre, chaleureuse, toujours de bonne humeur. Et puis, bien sûr, elle était incroyablement sexy et sensuelle. Il y avait ses sourires, sa voix, son parfum , ses tenues, qui la révélaient, même un simple jean, ses postures...Difficile de rester indifférent.
Pas mal d'hommes ont essayé et se sont cassés les dents.
Tifaine, c'est une forteresse imprenable, avait résumé un gars.
Je ne sais pas pourquoi c'est tombé sur moi. Ou plutôt si. Parce que j'avais été le seul à ne pas la dragouiller. Bien sûr, elle ne me laissait pas indifférent. Mais j'avais suffisamment de filles et de femmes autour de moi pour me combler, et je ne me voyais pas me planter sur une tentative vouée à l'échec.
C'est pour ça que j'ai été très surpris, quand, trois jours avant la fin de son contrat, je l'ai vue débarquer dans la petite salle de repos. Il était pas loin de 22 heures, j'étais seul, je rentrais du Nord et j'ai été surpris de la voir là.
--Tu n'es pas rentrée chez toi ?
--Je voulais tout finir avant de partir. Faire quelque chose de nickel.
Elle portait un petit pull jaune qui tenait en partie du crop top, avec un décolleté qui laissait émerger pour moitié deux seins aussi ronds que volumineux. A partir de la ceinture, un leggings ultra-moulant, avec des cuissardes jaunes elles aussi, assorties au pull.
--Je voulais passer un moment avec toi.
Je l'ai regardée, surpris. Je ne m'attendais pas à une telle remarque. Elle et moi on se voyait souvent, comme tout le monde dans l'entreprise, on s'entendait bien, mais je n'avais jamais senti qu'elle puisse avoir envie de 'passer un moment avec moi'.
--Avec moi ?
--Tu me plais énormément. En plus tu es le seul qui ne m'a pas dragué et ça me plait encore plus...A moins que je ne te plaise pas...
--Si, si, bien sûr, mais...Ecoute, tu es bien plus jeune que moi...
--Et alors ?
Elle s'est approchée, et elle est venue caresser ma queue à travers mon pantalon. Un pantalon de survêtement qui a vite reflété mon envie.
--Tu as une belle queue, montre-moi là.
Je n'ai pas eu besoin de lui montrer, c'est elle-même qui a descendu mon pantalon et mon caleçon. Pour trouver une queue érigée. Elle a plongé dessus de la bouche, venant me gainer de sa cavité buccale chaude et humide. J'ai gémi de plaisir. Je ne m'attendais pas à finir la soirée comme ça, et c'était très bon. Elle était toute jeune, mais clairement, elle avait déjà fait pas mal de fellations. Un savoir-faire que bien des femmes plus âgées auraient pu lui envier. J'ai pris du plaisir, conscient de ma chance. Non seulement de profiter d'une bonne fellation, mais aussi du fait qu'une fille qui avait autant de charme qu'elle puisse avoir envie de moi, alors même qu'il y avait dans l'entreprise des gars plus jeunes, plus virils que moi.
Il y a toujours des moments forts. C'en était un. Et ce d'autant plus qu'elle ne s'est pas arrêtée sur cette fellation, mais qu'elle l'a prolongée en descendant sa veste, puis les fines bretelles qui tenaient son débardeur au niveau de ses épaules. Ses seins tendaient le tissu, collant aux aréoles, et aux tétons, j'avais bien remarqué que ce jour-là, elle ne portait pas de soutien-gorge, ce qui n'était pas toujours le cas. Ses seins étaient impressionnants. Ils étaient très gros, très ronds, très fermes aussi, et c'était une évidence qu'ils devaient tout à la chirurgie esthétique. Ce qui n'était pas forcément un problème.
C'était hyper excitant de voir ces grosses doudounes qui défiaient la pesanteur. Et ça l'a été encore plus quand, d'un mouvement de bas en haut, elle est venue récupérer ma queue, et elle l'a fait disparaître dans le sillon profond. On n'a jamais tout vu et, si j'avais déjà vu des cravates de notaire dans ces pornos dont j'étais friand, je n'en avais jamais encore profité. Avec elle, et vu le volume de ses seins, ça valait vraiment la peine, parce que ses seins m'ont réellement enveloppé, ma queue a disparu de ma vue, J'ai eu une sensation de chaleur, et la caresse d'une peau douce...C'était vraiment très bon. Une sensation nouvelle, différente, de celle que je pouvais ressentir dans une chatte ou dans un anus. Il n'y a pas d'âge pour découvrir quelque chose, même si on a comme moi une sexualité riche.
Elle m'a caressé avec habileté. Elle avait sans doute déjà utilisé ses seins de la même manière. Elle a bougé son torse de manière à ce que sa caresse s'exerce de manière verticale, avant de tenter un autre frottement en prenant ses loches à pleines mains, et en les écartant légèrement, pour ensuite les ramener sur moi. La phase finale a été la meilleure sans doute...Elle a fait en sorte que ma queue dépasse dans son décolleté, et elle a amené sa langue dessus. J'étais tout congestionné, énorme, le gland tout violacé. J'ai tenu aussi longtemps que je pouvais, avant d'exploser. En riant, elle m'a laissé l'arroser de sperme. Le cou et le visage couverts d'une semence copieuse, qu'elle a entrepris de cueillir du bout des doigts pour la laper.
Elle devait encore rester ici trois jours, et on a pu profiter de plusieurs moments, en partie parce que j'ai eu des trous dans mon emploi du temps, ça arrivait, et j'en ai profité pour me mettre à jour, puisqu'on me demandait de faire des fiches de compte-rendu Elle a su où me trouver, je me calais toujours dans un des bureaux vides, d'ailleurs pas loin du sien. Si j'ai un bon souvenir, elle m'a masturbé une fois, une autre fois pris dans sa bouche, et une troisième retenté, et réussi une cravate de notaire. J'avais envie de la toucher, de la caresser, de glisser la main sous sa jupe un jour, sous sa robe le lendemain, mais elle a repoussé.
--Pas tout de suite....J'aime bien attendre...Tu passeras me voir, et on ira plus loin chez moi.
Le jour de son pot de départ, elle a glissé jusqu'à moi et elle m'a soufflé en me tendant un petit bout de papier :
--Demain, je suis chez moi toute la journée.
J'avais très envie d'elle. Il y avait quelque chose en elle de fort, une profonde sensualité, une féminité...Elle était désirable...Et puis elle m'avait fait une démonstration plus que convaincante de ses capacités, et j'imaginais qu'il y avait encore beaucoup à découvrir.
Elle m'attirait énormément. Ce n'était pas la première à m'attirer bien sûr, et ce ne serait pas la dernière, mais je sentais dans cette attirance quelque chose de particulier. Que notre relation était spéciale, que mon mouvement vers elle était spécial. Je ne parvenais pas bien à m'expliquer pourquoi. Je n'ai pas tardé à avoir la réponse. Il y a toujours une part d'instinct en nous, qui définit les choses, qui nous avertit, quelque chose de reptilien qui est en nous depuis longtemps et qui à peu à voir avec la réflexion, la raison.
Le lendemain, elle était partie. Ca a fait un vide dans l'entreprise, parce que, d'évidence, tout le monde, même les filles avait un crush sur elle. Pas forcément amoureux ou sexuel d'ailleurs, mais il y avait en elle un mélange de sexualité, de dynamisme qui était tout à fait fascinant.
Ce jour-là, j'ai remplacé un collègue pour des livraisons sur le département. J'acceptais souvent de faire des remplacements, ça mettait du beurre dans les épinards, et puis ca rendait service. J'ai fini sur le coup d'une heure, et, de retour au siège, j'ai appelé Tifaine. Je me demandais depuis le matin si sa proposition qu'on se voie était du baratin ou si elle avait réellement envie que ce soit le cas. Je le saurais très vite. Elle a décroché très rapidement, on avait échangé nos numéros, elle savait que c'était moi, j'étais dans son registre, et elle m'a dit avant même que j'aie pu formuler ma demande :
--Viens, j'ai bouclé tout ce que j'avais à faire ce matin, cet après-midi, je suis libre. Je pensais bien que tu allais venir, je me suis arrangée pour tout caler dans la matinée.
J'ai pris la voiture, le cœur battant et la queue raide. Penser qu'on allait avoir l'après-midi ensemble me mettait dans tous mes états.
Elle habitait un petit pavillon dans la banlieue, une maison blanche, identique à celle de ses voisins, simple, mais agréable, avec un jardin. Elle m'a vu arriver, et elle est sortie sur le pas de la porte. Irrésistible, dans une robe noire très moulante, avec des bottes en cuir luisant qui lui arrivaient juste en dessous des genoux. Si jamais j'avais pu en douter, dans le laps de temps qui nous avait séparé, elle était toujours incroyablement attirante.
Et elle avait toujours aussi envie de moi. Elle m'a fait un immense sourire, chaleureux. Je me suis approché d'elle, pas besoin d'échanger un mot, nos bouches se sont accrochées, j'ai parcouru le tissu de la robe, pendant qu'elle venait frôler mon pantalon, me trouver dur d'envie, et sortait sans complexe ma queue de mon pantalon pour la masturber doucement. Notre positionnement nous permettait de ne pas être vus des voisins ou de la rue, mais je crois bien qu'on s'en foutait.
Entre baisers et masturbation, on est restés un moment devant, avant qu'elle ne me propose d'entrer.
Un grand living, meublé dans des tons de rouge. Ce n'était pas impersonnel, elle s'était approprié les lieux.
Elle m'a fait avancer jusqu'au centre de la pièce, avant de me dire:
--Autant te dire totalement les choses...Chaque fille est spéciale, et moi c'est mon cas...
--Chacun d'entre nous est spécial, je lui ai répondu.
Elle avait cessé de caresser ma queue, agitée de spasmes, et je sentais bien qu'elle avait quelque chose d'important, pour elle en tout cas, à me dire.
--Oui, mais je tiens à ce que tu le saches. Maintenant.
--Tu es bipolaire ?
--Ah non ça, je suis totalement équilibrée.
--Tu n'as pas de gland clitoridien ?
--Si, et un gros même.
Elle a soulevé sa robe. Dessous, elle avait un slip en dentelle. Il était transparent et on voyait donc à travers. Mais l'élément essentiel qui caractérisait sa féminité n'était pas dans le slip mais plutôt en dehors. Une belle queue, plus charnue et plus longue que la mienne, collée à son ventre, qui disait son désir pour moi.
Est-ce qu'elle s'attendait à être rejetée ou au contraire, elle pensait que ça passerait parfaitement ? Difficile de savoir.
Ce qu'elle ne savait pas sans doute c'est que j'étais passionné de sexe, mais aussi de porno. Les deux allaient immanquablement ensemble, et j'aimais voir des moments de sexe très divers sur un écran d'ordi, du porno pro avec tout ce qu'il y avait de fabriqué, mais aussi amateur, plus sincère, et comment le sexe pouvait être excitant, avec des moments que je pouvais vivre, que j'avais déjà vécu, ou que je ne vivrais jamais.
Sur mon site favori, une immense bibliothèque, j'allais sur toutes les catégories, hétéro, homo et trans. La dernière depuis peu, victime d'un cliché qui me faisait voir les trans comme des travelos mal rasés en robe.
Et j'avais découvert un autre monde. Des filles qui étaient de vraies filles, de corps et de visage. Si elles n'avaient pas, à un moment, dévoilé une quéquette gonflée de désir, il est fort probable qu'on aurait pu penser qu'elles avaient une chatte entre les cuisses et pas une queue.
Ce qui me troublait, c'était que ces vidéos posaient clairement l'existence d'un troisième sexe comme s'il avait réellement existé et n'avait pas été le résultat d'une métamorphose et marquait comme normal et acquis que des filles, magnifiques, puissent avoir une queue.
Elles me faisaient fantasmer. Je rêvais toujours, pour ce qui concernait le sexe, de nouveauté, et j'avais envie de reproduire ce que je voyais dans ces vidéos.
Il y a les films, où les rencontres sont quasi miraculeuses, et puis la réalité. Je n'avais pas de mal à aborder des femmes, souvent c'était d'ailleurs elles qui m'abordaient, mais si je voulais trouver un trans...D'abord ce n'était pas évident que le trans soit un trans, difficile de distinguer la femme qui avait une chatte entre les cuisses de celle qui avait une belle queue...Une question de chance, peut-être simplement? Je n'étais tombé sur aucune encore...Je n'imaginais pas que ça puisse arriver un jour...Et pourtant deux ans après mes envies, j'avais face à moi une superbe trans...Et sur le moment, j'avais pensé aux boites de nuit...Et puis je n'avais pas creusé...C'était un peu passé au second plan...Et voilà qu'au moment où je m'y attendais le moins...
Le désir a explosé en moi. Elle ne s'attendait sans doute pas à ce que je me penche sur elle et que je vienne prendre sa queue bien érigée et suintante dans ma bouche...Avec autant de désir et d'envie...En même temps que j'ai mis ma queue à nu, queue raide de désir, et que je me suis masturbé, le feu au ventre, avec l'envie de me soulager...J'ai fait aller et venir ma bouche sur sa verge qui s'est encore dilatée sous ma caresse...Elle a gémi...
C'était la première fois, il y avait l'excitation extrême, la découverte...On n'a pas tenu très longtemps...Ce serait mieux par la suite pour le contrôle...Deux minutes peut-être avant que les spasmes ne commencent à l'agiter, qu'elle crie, et que le sperme ne jaillisse, en rasades copieuses dans ma cavité buccale, dont je me suis abreuvé. C'était trop fort pour moi, et je n'ai pas pu tenir plus longtemps. Avoir enfin une trans comme partenaire, sa queue dans ma bouche, la sentir jouir...Ma queue a été agitée de spasmes et mon sperme est parti dans les airs, et sur son corps, maculant sa chair, révélée jusqu'aux seins, d'un sperme aussi blanc que copieux. Une de mes nombreuses amantes m'avait un jour baptisé 'le geyser' parce que quand j'éjaculais, je crachais du sperme sans limites, et même après plusieurs rapports, comme si j'avais des réserves inépuisables de sperme dans mes couilles, pourtant de taille normale.
Elle a fait passer sa robe par dessus ses épaules, se retrouvant totalement nue, sauf pour son soutien-gorge, un soutien-gorge de dentelle rouge, qu'elle a finalement dégrafé. Ses seins sont apparus à l'air libre, nus, parfaitement ronds, et parfaitement faux, exactement comme je les aimais, entre lesquels j'avais joui déjà plusieurs fois. Elle savait que ça me plaisait particulièrement, Elle a d'ailleurs simplement ouvert sa poitrine, sans doute la preuve qu'il y avait une complicité entre nous, puisque rien n'a été dit, et je suis venu loger ma queue entre ses deux seins comme dans un lieu familier, dans une routine familière en tout cas. Nul doute en tout cas qu'il y avait une dimension essentielle qui avait bougé dans notre relation: jusqu'à ce moment, je pensais qu'elle avait une chatte entre les cuisses, pas ce membre épais que j'avais lâché, et qui n'avait pas perdu, malgré l'orgasme, de sa prestance. Au contraire, je le voyais se dilater encore plus.
Elle m'a caressé entre ses seins comme elle savait si bien le faire, me donnant infiniment de plaisir, me faisant grossir et durcir, avant de me dire:
--J'ai envie que tu me pénètres...Depuis la première seconde...Que tu me prennes et que tu jouisses en moi...Que tu me remplisses de sperme et que je le sente gicler, saccade après saccade...
--Pourquoi tu ne me l'as pas proposé plus tôt ?
--Parce que je pensais que tu n'aimais pas les filles qui avaient une queue.
--Comme quoi...On peut se tromper, j'ai dit en me dégageant d'entre ses seins, et en venant appuyer mon gland contre sa muqueuse anale. Je n'ai pas été surpris de la sentir aussi souple contre mon gland, ni de pouvoir glisser en elle aussi facilement. Je me suis senti l'envahir, la remplir...D'excitation, elle a craché un jet de sperme, unique, qui est venu sur ses seins.
Ca a été un moment très fort. On aurait pu penser que c'était parce que c'était le premier, mais les fois suivantes ça a été aussi fort. Et pas seulement parce que je satisfaisais un rêve, parce que ce que j'avais cru impossible devenait réalité.
Ma main gauche est venue encercler son membre, et, sans que nos mouvements soient réellement coordonnés, je l'ai masturbée en même temps que je fouillais son rectum. C'était du plaisir pur pour l'un comme pour l'autre, un plaisir pur, qui promettait que nous nous reverrions.
Là-aussi, je n'ai pas tenu très longtemps, et sans doute pas autant que ça a pu être le cas par la suite. Mais j'ai quand même bien eu le temps de la fouiller, de sentir ses muqueuses autour de moi, avant de cracher un torrent de semence dans ses chairs les plus intimes, et de la faire hurler de plaisir, puis jouir à nouveau.
Dans la vie on a parfois le sentiment d'avoir tiré le gros lot, d'être favorisé par le Destin, et c'est bien ce que j'ai ressenti à ce moment.
Il y avait quelque chose qui passait entre nous, c'était une évidence. Une attirance extrême. Avait-elle trouvé chez moi le partenaire qu'elle attendait ? Pour moi, c'était le cas. J'avais enfin trouvé une partenaire pour mettre en pratique mes envies de trans, et la retrouver, simplement la voir, c'était déjà une sorte de plaisir et d'excitation immenses. Elle était belle et attirante avant même que je connaisse sa nature, et l'idée qu'elle soit une fille avec une bite me rendait à moitié fou. Quand on se retrouvait, c'était du sexe, simplement du sexe.
Rien n'avait effiloché, au fil des semaines, notre relation. Elle savait que j'allais avec d'autres filles, tout comme je savais, et pour cause qu'elle avait d'autres partenaires. Mais ce qui comptait, c'était ce qui se passait entre nous.
Ces derniers temps, il y avait en tout cas une variation qui n'avait rien à voir avec le hasard.
Quand j'arrivais, je ne la trouvais pas seule.
Avec des partenaires divers. Certains auraient été jaloux. Pour moi au contraire, c'était un cadeau qu'elle me faisait. La possibilité de démultiplier ce qui se passait entre nous. Ca démultipliait le plaisir, mais aussi les possibilités.
La porte était ouverte. Je me suis glissé à l'intérieur. Clairement, à ce moment précis, elle n'était pas à ses tâches de secrétariat. Sur le canapé du living, une fille était basculée en arrière, appuyée contre le dossier, et les cuisses largement écartées. Je voyais bien son visage. Une petite blonde, toute jeune, qui ne devait pas avoir dépassé les vingt ans, cheveux coupés très courts. Ses yeux disaient clairement qu'elle était ailleurs. Un ailleurs dont l'origine tenait à ce qui se passait entre ses cuisses et que je ne voyais pas. C'était d'ailleurs sans doute plus excitant que si j'avais vu Tifaine lui faire un cunni avec l'ardeur et le savoir-faire qui la caractérisaient. Imaginer simplement. Je voyais juste le dos de ma maîtresse. Elle était à moitié nué, et ça aussi c'était excitant. Elle avait une robe noire, qui dans sa position, elle était pliée en deux, avait glissé sur ses hanches et son dos, révélant une paire de cuissardes noires, des bas stay-up, et une absence de slip qui me donnait accès à ses parties intimes. Je me suis décalé. Ses fesses étaient pleines, et sa position les ouvrait sur son anus, dont la marque dans sa chair et ses plissements étaient bien visibles. Ce qui l'était aussi c'était une paire de couilles bien gonflées, et, en changeant d'angle, sa verge, collée à son ventre, en pleine érection. Une queue comme d'habitude longue et bien charnue, dont je ne me lassais pas, pas plus d'ailleurs que du reste de son anatomie. Une queue que j'aimais caresser et prendre dans ma bouche. La dernière fois où on s'était vus, deux jours plus tôt, j'étais arrivé au moment où elle partait pour les bureaux d'UPS amener des colis qu'elle gérait pour ses clients. Elle m'avait fait un immense sourire, plein de chaleur. Rien que pour ça, elle me faisait totalement fondre. Elle m'avait dit : 'Je sentais que tu allais arriver! Je pensais à toi!' Et elle m'en avait administré la preuve la plus flagrante en remontant le zip qui courait le long de sa jupe en cuir jusqu'à l'ouvrir totalement et exhibant un slip de dentelle dont dépassait sa verge en pleine érection, collée contre son ventre. Emporté par un élan irrésistible, comme toujours avec elle, j'étais venu prendre sa queue dans ma bouche. J'avais fait, exercé de nombreuses caresses buccales sur elle...Cette fois, je l'avais simplement prise dans ma bouche, et j'avais fait aller et venir celle-ci dessus...Elle avait gémi...Et n'avait pas tenu trop longtemps, toute excitée. Un premier jet de sperme avait rempli ma bouche, me ravissant, que j'avais laissé couler dans ma gorge, comme ceux qui avaient suivi. Elle m'avait laissé, avec le goût de son sperme dans la bouche, me proposant de l'attendre. Une demi-heure plus tard, elle revenait, faisait glisser sa jupe et son slip au sol pour venir s'empaler sur ma queue en pleine érection. Au contraire d'elle, j'avais tenu longtemps. Elle avait bien pu profiter de la caresse de ma verge contre ses muqueuses intimes, tout comme moi je me suis enivré de celle de ses muqueuses intimes autour de moi...Je me sentais grossir dans son rectum...Et je voyais sa queue gonfler, se dilater...Je l'ai attrapée et masturbée doucement. J'avais explosé en elle, crachant du sperme à n'en plus finir, un orgasme très fort, avant qu'elle ne plante en moi son sexe dilaté et qu'elle ne me fouille comme je l'avais fouillée. J'avais pris un plaisir fou à la sentir me caresser à l'intérieur jusqu'à ce qu'elle crache son sperme en moi. Trop excité, j'avais joui à nouveau d'une queue qui n'avait même pas débandé.
J'ai appuyé mes mains sur ses globes fessiers pour les ouvrir plus, et ainsi avoir un meilleur accès à sa muqueuse anale. Je l'ai caressée dans cet alignement parfait. Elle sur la vulve de sa petite copine, moi sur son anus. J'ai glissé ma main plus bas, tout en continuant ma caresse buccale. Serrant puis desserrant ma main autour de ses couilles gonflées de désir et de sperme, puis venant envelopper sa queue et la masturbant doucement.
De là, plein de scenarii étaient possibles. On pouvait au moins en écrire quelques uns.
Je suis parti sur le divan, sur la gauche de la fille. On a échangé un baiser profond, nos langues se caressant mutuellement, j'ai fait glisser son petit pull par dessus ses épaules. Dessous elle avait une paire de seins nus sans soutien-gorge, des seins aussi lourds que ceux de Tif à ceci près qu'ils étaient vrais. Je suis venu prendre ses tétons, les léchant et les faisant durcir plus qu'ils ne l'étaient. J'ai mis ma queue à nu, dilatée d'excitation. Elle l'a attrapée et l'a masturbée, apaisant une tension qui menaçait de devenir intolérable. Elle ne s'est pas opposée à ce que je vienne frotter mon gland contre ses lèvres, ni que je force doucement le barrage de ses lèvres pour avancer de quelques centimètres dans sa bouche. C'est moi qui ai imprimé le mouvement dans la cavité chaude, et sans chercher à aller plus loin. Du coin de l'oeil, je voyais Tifaine s'acharner sur le sexe de la fille...Mais je sentais bien, il existait une profonde communion entre nous, que, d'ici quelques secondes, on allait passer sur autre chose.
Ca n'a pas tardé. Elle s'est redressée, et a fait passer sa robe par dessus ses épaules. Intégralement nue, sa queue gorgée de sang, ses seins bien ronds et bien artificiels en avant, elle s'est laissée glisser sur le divan, et elle a attrapé la jolie blonde par la taille pour la caler sur elle. Un face à face que j'ai contourné, venant me caler debout, derrière. J'ai profité de la vision d'une croupe bien charnue comme je les aimais, entrouverte, mais aussi de celle de son sexe, lèvres dilatées par la caresse buccale contre lesquelles Tif a posé son gland dilaté. J'ai vu, avec fascination évidemment, la queue de Tif lentement disparaître dans la vulve de la fille, jusqu'à ce qu'elle soit assise sur les deux testicules frémissants et qu'elle ait le sexe totalement planté en elle.
Ce que j'allais faire était une évidence. Je suis venu poser mon gland dilaté contre la muqueuse anale de la jolie blonde. Je partais du principe, peut-être à tort, que ce n'était pas la première fois qu'elle avait une relation avec Tif et que celle-ci était déjà passée par là. Voire d'autres partenaires. Et puis je n'aimais rien de plus que de partager une fille d'une manière intime avec Tif.
Ce que j'entendais de manière intime, c'est exactement ce qui s'est passé lorsque j'ai appuyé et que, facilement, mon gland est rentré en elle, puis toute ma queue. J'ai glissé dans la muqueuse de la jolie blonde, la remplissant entièrement, Elle a poussé un petit gémissement de plaisir. Ce qui m'a apporte à moi le plus de plaisir ca n'a pas été tant de rentrer en elle, et de trouver une muqueuse chaude et accueillante, mais de retrouver la queue bien dure de ma maîtresse, à travers la fine paroi de chair qui séparait anus et vagin. On se trouvait dans le ventre d'une fille...Mais on pouvait aussi se retrouver dans une bouche, queues côte à côte, dans une paume...
On a pris une sorte de rythme commun, un lent mouvement de va-et-vient qui nous a bien convenu. La fille gémissait, disant clairement son plaisir, mais nous aussi nous étions en plein nirvana.
Comme on le faisait souvent dans de tels moments, pour que ça dure plus longtemps, pour rebondir, pour avoir plus de plaisir, et un plaisir différent, on a cassé la position, pour basculer sur quelque chose d'autre. On est sorti des muqueuses béantes, nos queues dilatées.
Je n'avais pas remarqué l'objet posé sur la table basse. La blonde, je l'ai compris à ce moment-là, n'était pas une oie blanche.
J'avais une pratique intensive de la sexualité suffisante pour ne pas être perdu. Elle a attrapé l'appareil et avait enfoncé le gode proprement dit dans sa cavité buccale. Un gode rouge vif, d'un plastique luisant, qui contrairement à pas mal de queues artificielles, ne cherchait pas à imiter une bite, totalement rudimentaire. Une tige de plastique rouge, brillante, longue et épaisse, mais bien suffisante pour glisser dans un orifice et donner du plaisir.
Autrefois, il y avait pas très longtemps d'ailleurs, il y avait eu des godes ceinture quand une fille voulait s'équiper pour donner du plaisir à une femme ou un homme. Aujourd'hui, ce n'était plus nécessaire. Le gode était en effet prolongé, miracle de la recherche, de la science, de la technologie, de tout ce qu'on voulait, par une boule de forme imprécise. Il s'agissait d'un socle qui venait se figer dans le vagin, s'adaptait à l'anatomie féminine, et permettait de tenir le gode, pour l'utiliser, avec, m'avait confié une fille, la sensation extraordinaire d'avoir réellement une queue, plus qu'avec le harnachement. La bite de plastique était réellement maîtrisée, plus que quand elle tenait avec le gode ceinture. Avec ce système plus ancien, mais qui valait lui aussi le coup, le base du gode frottait contre la vulve et le gland clitoridien, donnait infiniment de plaisir, là, c'était toute la vulve, qui subissait, en contre-coup, du moindre mouvement, si infime soit-il, le plaisir, jusqu'à perdre pied. Une jouissance dans toute son intensité et sa force. C'était bien que le plaisir ne soit pas vécu que dans un seul sens, qu'il n'y en ait pas un qui se sacrifie.
Le gode était couvert de salive quand elle fait rentrer le socle en elle. Elle s'est ouverte du majeur et de l'index d'une main, nous laissant voir un intérieur rouge vif, avant d'insérer la socle, et justement de masquer cet intérieur. Ca pouvait paraître bancal, mais une fois le bloc en elle, le gode s'ajustait parfaitement, et était facile à manier. C'était, et c'était bien là troublant, comme si elle avait vraiment eu une queue qui lui serait réellement poussée, ce qui se passait dans certains mangas, où une fille se retrouvait pourvue d'une bite.
Elle s'est laissée glisser pour venir appuyer sa queue de plastique contre celle de Tif. La collant contre. Je me suis penché pour entourer les deux queues, celles de chair, et celle de plastique. Quand on était dans le fantasme, c'était simplement deux queues, même si l'une ne juterait pas.
Je savais bien masturber. Alterner les rythmes. Lentement, plus rapidement. Tif et la fille blonde étaient en plein trip, gémissant, criant. Ma main enserrait bien leurs queues. Une sorte d'harmonie. Je travaillais juste avec la main, montant, descendant, venant frotter les glands...La queue de Tif se dilatait de plaisir, s'épaississant, s'allongeant, et surtout un liquide sirupeux coulait du méat comme d'une fontaine arrosant sa chair et le plastique. Pour la blonde, c'était différent. Ca se jouait au niveau de sa vulve dont la béance s'accentuait, et aux jaillissements de cyprine, qui coulaient à l'intérieur de ses cuisses, ou venaient gicler sur ma main, les queues...
Tif a crié :
--Je crois que...
La fin de phrase a été écrite en traits de sperme qui nous ont maculés. Sans que Tif débande. Je pensais que la blonde jouirait aussi. Dans ce qui était sans doute un désir de symétrie, je me suis juste consacré à la queue de plastique, la masturbant avec intensité. Elle a hurlé et éjaculé autour du bloc fiché en elle.
Le temps de reprendre nos esprits et on se calait pour le tableau suivant. Il suffisait que l'un d'entre nous prenne l'initiative, et les deux autres suivaient. Dans de tels moments, et chaque fois que j'étais avec Tif, c'était la même chose. Du sexe dans une multitude de tableaux, jusqu'à l'épuisement. Mais on n'était qu'au début, et nous étions encore affamés. Raison pour laquelle je me suis laissé glisser, la queue congestionnée à exploser, excité comme si c'était chaque fois la première fois, accueilli par une muqueuse souple et un conduit rectal qui me gainait et me caressait...Couché sur elle, je suis venu chercher sa bouche, en même temps que je sentais sa bite bien dure se caler contre mon ventre et me frotter.
Ma position était une offrande, et je n'ai pas été surpris de sentir la queue de plastique appuyer contre ma muqueuse anale, puis glisser en moi avec la même facilité que j'avais pénétré Tif... J'avais découvert, il y avait longtemps déjà, à quel point le plaisir anal pouvait être fort pour un homme, sans doute plus fort que celui qu'il pouvait avoir par la queue, et si j'avais du choisir, j'aurais pris cette option sans hésiter. Cette option qui, à ce moment même, me donnait un plaisir intense, alors que la queue de plastique bien épaisse m'écartelait et me caressait en même temps.
On a pris notre temps et notre plaisir, dans des rythmes différents. La fille me fouillait vraiment bien, ce n'était pas la première fois qu'elle faisait ça, Et moi je fouillais, me retenant de jouir pour que ca dure longtemps, le fondement de Tif, ma queue dilatée comme jamais, et se dilatant encore, comme c'était le cas quand je me faisais sodomiser. Tif prenait aussi du plaisir à se faire prendre par le cul. Elle était en plein trip, et sa queue collée contre mon ventre, était aussi énorme que la mienne.
La jouissance, dans de telles situations, c'est souvent une réaction en chaîne, mais aussi un détail qui la déclenche. Là, ça a été le long gémissement, de Tif puis son cri, alors que je sentais contre mon ventre les spasmes de sa queue et son sperme chaud venir inonder mes chairs. Ca, tout autant que d'être fouillé par la queue de plastique depuis un bon moment, ça a déclenché mon plaisir. Ma semence a jailli, jet après jet, pour venir remplir le préservatif, mais aussi taper contre sa chair, prolongeant sa jouissance, mais aussi la décuplant.
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Histoire de JamesB

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