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La journée d'un pré-retraité partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 09/03/2024

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LA JOURNEE D'UN PRE-RETRAITE
PARTIE 2

Victoria était l'une des plus anciennes employées de la boite. On partageait beaucoup de choses, elle et moi, mais déjà d'être arrivés la même année, moi en tant que chauffeur, elle en tant que secrétaire-comptable.
Il avait fallu une dizaine d'années, alors qu'on se côtoyait quotidiennement , avant que notre relation bascule. On discutait pourtant ensemble quotidiennement, on se connaissait bien, et le courant passait entre nous. J'aurais sans doute parlé d'une relation d'amitié.
Difficile pourtant, pour l'homme que j'étais, de ne pas voir à quel point Victoria était belle et désirable. Elle aurait pu sans mal devenir mannequin ou même actrice, même si sans doute cette idée ne lui avait jamais traversé l'esprit. Elle se voyait à ce poste, qui, d'évidence lui plaisait. Elle était très grande, avec un visage et un corps harmonieux, une chevelure d'un blond étincelant, et elle portait des tenues près du corps qui ne laissaient personne indifférent, des regards le disaient clairement. Pantalons ultra-moulants, tailleurs qui la révélaient, robes collantes, jupes ultra-courtes, débardeurs flottant sur une poitrine pleine. Ce que j'appréciais particulièrement, c'était de voir ses jambes gainées de nylon. Collants ou bas, mais à l'époque, il n'y avait pas forcément de bas stay-up, et j'avais bien remarqué, selon ses positions, des bas tenus par un porte-jarretelle. Ce que j'aimais aussi, c'était sa passion pour les talons hauts qui la cambraient, redessinaient sa silhouette, qu'il s'agisse de talons d'escarpins, ou de ceux d'une collection impressionnante de bottes et de cuissardes...
On se connaissait depuis dix ans quand un jour, il y avait eu ce basculement auquel je ne m'attendais pas. J'étais arrivé à son bureau avec une série de factures. Et je l'avais trouvée en pleurs. Et pas qu'un peu. Le visage tout rouge, ruisselant de larmes qui ne semblaient pas devoir se tarir, un boule de mouchoirs en papier tentant d'éponger les dégâts.
Ca m'avait profondément ému, parce que Virginia était la gentillesse même.
Je m'étais posé face à elle. Sans imaginer ce qui allait suivre. La discussion et le reste...
--Qu'est-ce qui t'arrive ma pauvre Virginia, je m'étais enquis.
Elle avait d'abord été incapable de parler. Puis elle avait dit :
--Mon mari ne me rend pas heureuse !
J'avais failli lui dire :
--Ca ne me surprend pas vraiment...
mais j'avais préféré me taire.
J'avais déjà vu son mari à maintes reprises, généralement quand il venait la chercher le soir. Elle avait vingt-cinq ans, je lui donnais le double, il n'était pas très beau, avec un ventre énorme qui disait l'homme qui aimait boire et manger à l'excès, une trogne, un regard dans lequel ne se lisait guère d'intelligence, et toujours une clope au bec. Quand il débarquait dans l'entreprise, on l'entendait. Il ne parlait pas, il braillait. Avec un humour plus que douteux, il était difficile de ne pas le remarquer. Un an plus tôt, il y avait eu un clash avec le patron, parce qu'il avait failli se battre avec un des chauffeurs. Il était en effet, j'en avais été témoin, arrivé sur le parking à toute berzingue, et il avait failli heurter, ne maîtrisant pas vraiment son véhicule, un camionneur qui rentrait de livraison, qui avait du freiner à mort, le camion manquant de se renverser, sur le côté. Furieux le camionneur était sorti et avait été apostropher le mari. Le ton était aussitôt monté, et il avait été évident que les deux hommes allaient se battre. Le patron avait tout vu. Il était sorti. Il avait apostrophé le mari de Victoria qui avait failli lui sauter dessus. Lui et le chauffeur l'avaient immobilisé avec une clef de bras et mis au sol. Le patron lui avait interdit de pénétrer à nouveau dans l'enceinte de l'entreprise. Depuis il attendait sa femme à l'extérieur.
--C'est un gros con!
Et elle s'est engagée dans une confession que je n'attendais pas vraiment, mais qui ne m'a pas surpris non plus. On sentait bien qu'elle était, ce soir, à bout. Qu'elle avait envie de se soulager de ce qui lui pesait.
--Je l'ai connu, j'avais quinze ans. Et lui...beaucoup plus...Je lui plaisais...Je suis issue d'un milieu très modeste. Je vivais seule avec ma mère, on était sept en la comptant. La misère la plus noire...Les plus âgés aidaient, certains avaient déjà du boulot. C'était malgré tout très difficile. Et il est arrivé comme le Chevalier Blanc...Il avait, il l'a toujours, une petite entreprise d'électricité, il gagnait bien sa vie, en arnaquant les clients et en surfacturant, et il m'a fait miroiter une vie différente de la mienne. Du confort, de l'argent. Je ne voyais pas à quel point il était laid moralement et physiquement.
Sa grande habileté ca a été de ne pas chercher à me toucher. A l'époque c'était le ballet des hommes autour de moi, jeunes ou plus vieux, qui cherchaient à obtenir mes faveurs. Ils ne s'en cachaient pas, avec des propositions crues, souvent avec de l'argent à la clef. Lui ne demandait rien. Je n'avais pas compris que ce devait être seulement quand on serait ensemble qu'il exigerait du sexe, beaucoup de sexe, selon des schémas auxquels je n'avais jamais pensé. Avant de cesser paradoxalement, et alors que je ne lui refusais rien, même si ça me dégoûtait, de me convoiter, et de m'ignorer totalement. J'étais naïve , et je devais découvrir plus tard qu'il se lassait très vite de ses partenaires, et qu'il était occupé avec des prostituées, qu'il voyait quasi quotidiennement, avec deux ou trois fidèles, et énormément de filles qui ne faisaient que passer, à qui il demandait ce qu'il m'avait demandé à moi. D'autres corps.
Je le vois maintenant tel qu'il est. Laid physiquement mais aussi moralement. Quelqu'un qui n'a jamais une pensée saine, et qui cherche toujours à duper les autres.
--Tu n'es pas obligée de rester avec lui.
--J'ai rendez-vous avec un avocat demain matin. Je vais demander le divorce.
--Tu as pris la bonne décision, je crois.
Je ne m'attendais pas à ce qui est advenu dans les secondes qui ont suivi. Elle semblait mieux après s'être confiée. Le visage sec. Il y a eu une intensité nouvelle dans son regard qui s'est accroché à moi. Mais je ne m'attendais vraiment pas à ce qu'elle me dise:
--J'ai envie qu'on fasse l'amour toi et moi.
Je l'avais regardée, très surpris. Je m'attendais à tout sauf à ça. Ca ne voulait pas dire que je n'avais jamais eu envie d'elle. Au contraire. La regarder, c'était éprouver du désir, et je la regardais comme un homme peut regarder une femme. D'autant qu'avec les tenues qu'elle portait, il aurait fallu être de marbre pour ne pas avoir envie d'elle. Alors oui, j'avais pensé à plein de choses. Je m'étais imaginé la déshabiller, la caresser, l'embrasser, mais aussi des actes plus intenses...Qu'elle puisse par exemple prendre mon sexe dans sa bouche, et aussi des positions avec mon sexe en elle...Mais pour moi ça restait de l'ordre du fantasme. Tous les jours, on regarde des femmes, on a des envies...Mais rien ne se passe...Et puis pour moi, c'était avant tout une amie.
Les choses ont radicalement changé quand elle s'est levée et qu'elle a attrapé l'ourlet de la robe, très serrée, qu'elle portait, pour la soulever. Dessous, elle avait un collant sans culotte et en haut un soutien-gorge qui enveloppait sa poitrine lourde. J'ai eu un premier aperçu d'un sexe que je connaissais maintenant par cœur, une toison de la même couleur que ses cheveux et l'ouverture de son sexe, dont dépassaient ses lèvres. Elle s'est retournée pour aussi me présenter sa partie pile. Elle a balancé la robe sur la table.
--Je ne te fais pas envie ?
--Si, mais...
Toutes mes objections ont été balayées quand je l'ai vue partir fermer la porte. Il n'y avait quasiment plus personne dans la maison, et c'était peut-être le bon moment.
Elle est revenue vers moi en disant :
--Ça faisait trois ans qu'il ne me baisait plus. Plus rien. Il baisait des filles qu'il payait. Mais je crois bien que je n'avais plus envie qu'il me touche. Même s'il avait une queue énorme qui me ravissait au début.
J'étais un peu gêné qu'elle me déballe sa vie privée, mais tout s'est dissipé quand elle est venue me défaire et qu'elle a dégagé ma queue, déjà bien érigée, de mon pantalon.
--Je vois que je ne te laisse pas indifférent.
--On est amis...Tu crois que c'est une bonne idée ?
--On peut être amis et s'envoyer en l'air.
Un argument imparable. On peut tordre la réalité dans le sens qu'on veut quand on le souhaite. Elle s'est penchée sur moi et elle m'a pris dans sa bouche. Une gaine chaude et douce, humide. Au début, je me suis demandé si elle donnait autant à son mari ou s'il s'agissait d'un phénomène de compensation lié à ce manque. En tout cas, j'ai pris infiniment de plaisir avec sa bouche autour de moi, qu'elle monte et descende sur moi puis qu'elle vienne me caresser de la langue. J'ai cru qu'elle voulait en rester là, mais elle s'est détachée de moi à un moment, elle a été récupérer son sac à main et elle en a sorti une boite de préservatifs. Elle en a récupéré un et elle est revenue vers moi. Tout ça me semblait totalement irréel. Pas pour elle, en tout cas. Elle a déballé le préservatif et elle l'a fait glisser le long de ma queue roide de désir. Satisfaite de sa réalisation, deux secondes plus tard, elle est venue se poser au dessus de moi. L'état de son sexe disait clairement qu'elle avait envie, une compensation pour ses manques. Il avait évolué en quelques minutes, il s'était ouvert, ses lèvres avaient gonflé, et elle ruisselait littéralement, ça avait trempé ses lèvres, le pourtour de son sexe, l'intérieur de ses cuisses...Alors qu'elle descendait sur moi, un jet de mouille est sorti d'elle et est venu frapper ma queue, qu'elle tenait de la pulpe de ses doigts. Nos chairs ont fait contact, et elle m'a fait rentrer en elle. Je me suis senti pris par la gaine de son sexe, quelque chose de fort, d'intense, et aussi arrosé par un torrent de mouille.
Elle se retenait de crier, mais elle était en plein trip. Parce qu'on était dans l'entreprise, elle ouvrait la bouche, et poussait un cri, un hurlement même, mais un hurlement silencieux. Yeux mi-clos, elle souriait, un sourire de plaisir, ce plaisir qu'elle ne connaissait plus depuis longtemps, et qui commençait à glisser sur moi. La surprise laissait place au plaisir, et on s'y est retrouvés, loin du lieu où nous nous trouvions...On a fini par jouir ensemble.
Ca a été pendant qu'on se rajustait qu'elle m'a dit :
--Je tiens énormément à toi et j'ai envie d'avoir du plaisir avec toi. Je ne me remarierai jamais et je sais que toi tu es marié, et que tu aimes ta femme, mais j'aimerais qu'on puisse encore se retrouver comme ça.
Et ça durait depuis....Un bon paquet d'années. Elle ne s'était effectivement jamais remariée, élevant sa fille, qui avait deux ans à l'époque de sa séparation, seule. Elle avait eu des partenaires, hommes et femmes que j'avais parfois aperçus, croisés, mais rien qui ait duré. Elle ne tenait pas à ce que ça dure. Il y avait un lien très fort qui nous unissait. Mais rien sans doute qui soit suffisamment fort pour qu'on puisse se mettre ensemble. Ce qui existait nous suffisait, une intense, une immense complicité qui s'était renforcée au fil des ans, et qui passait par la sexualité, ce qui n'avait pas été le cas au début. On savait qu'on pouvait compter l'un sur l'autre quand on avait des soucis. Bien des fois, elle m'avait demandé un coup de main pour transporter un objet par exemple. Je lui avais moi demandé de me rédiger des papiers qui me posaient problème. Et puis, même si on avait l'habitude du sexe dans l'entreprise, quand on avait envie l'un de l'autre, on se donnait rendez-vous quelque part. On aimait bien parfois des lieux qui ne portaient pas notre marque, des chambres d'hôtel souvent. On avait un temps long. Quand je passais à l'entreprise, c'était un temps court.
Je revenais toujours avec plaisir. Je connaissais tout le monde. Il y avait quelques nouveaux, bien sûr. Mais surtout des gens que je connaissais et qui me saluaient.
--Tu reviens quand?
--Si je reviens, plus de retraite.
Il manquait parfois du monde, mais je ne pouvais pas faire le moindre remplacement, sinon on me sucrait ma retraite.
Victoria et moi on se voyait deux à trois fois par semaine. On s'était vus le lundi après-midi, elle ne travaillait pas. J'étais passé chez elle. Le sexe avec elle était toujours intense, et imaginatif.
On avait convenu que je passerais le vendredi. On aimait toujours se revoir dans l'entreprise. Parce que c'était là que tout avait commencé.
Je suis arrivé dans son bureau. On avait appris, depuis, à jongler avec la pièce attenante, à l'époque un autre bureau, annexé depuis pour servir d'archives. Elle y avait calé astucieusement quelques éléments qui pouvaient nous servir pour nos ébats. On ne s’embêtait plus à bloquer la porte car dans l'entreprise, tout le monde avait compris ce qui se passait entre nous, et faisait en sorte de ne pas nous déranger.
Elle a fait un immense sourire quand je suis rentré dans la pièce. Heureuse de me voir. Mais je pouvais en dire tout autant. Le lien qui s'était crée entre nous était particulier, mais il était aussi fort.
--Je t'attendais.
Toutes ces années...Et pourtant le même désir, persistant, comme au premier jour...Mais elle n'avait pas vraiment changé. Bien sûr, comme tout être humain, elle avait été imprégnée chaque décade, une beauté encore marquée par l'adolescence quand je l'avais connue, quelque chose de moins juvénile et moins marqué dans la trentaine, et puis le basculement dans la maturité passé la quarantaine. Il me semblait, mais c'était purement subjectif, que, plus elle avait avancé das l'âge, plus elle avait eu du charme, un charme qui faisait qu'aujourd'hui ; elle avait tous les partenaires qu'elle voulait, dans toutes les tranches d'âge...
Et il y avait notre relation. Quelque chose qui resterait toujours, solide comme un roc, quoi qu'il arrive, malgré les bouleversements de notre existence.
Elle s'est levée de son siège. Il n'y avait pas un jour, où elle n'était pas féminine et sexy. Et ce jour ne faisait pas une exception à;la règle. Elle aimait s'habiller, être belle, et elle avait une garde-robe conséquente. La seule question que je me posais c'était si elle était consciente qu'elle était extraordinairement sexy, ou si pour elle, ses tenues étaient uniquement audacieuses.
Aujourd'hui, elle avait des bottes noires, luisantes, avec un cercle d'or tout en haut de la botte, les jambes gainées de nylon noir, bas, collants...et cette robe en vinyle qui la collait tout en gardant un rien de flou et laissait voir qu'elle avait un corps impeccable. Je savais qu'elle faisait énormément de sport, course à pied, gym, ça lui réussissait bien. La robe était fermée par une:longue fermeture-éclair qui démarrait au cou et finissait à la lisière de la robe tout en bas. D'ailleurs, peut-être comme une proposition, la fermeture-éclair n'était pas totalement tirée, il restait deux trois millimètres à couvrir pour qu'elle soit verrouillée.
--Je te propose de remonter la fermeture-éclair jusqu'en haut. On verra ce qu'on fait après.
Je n'étais jamais blasé, mais, c'était une certitude, je l'étais encore moins avec elle. Entre nous, il y avait toujours de l'émotion, de l'envie, la fraîcheur de la découverte, alors même que cela faisait trente ans qu'on était amants, et c'est sans doute avec des mains fébriles que j'ai commencé par caresser la fille qui se tenait debout devant moi, moi calé sur un fauteuil, venant effleurer le cuir lisse et froid des bottes avant de glisser plus haut, d'avoir au bout de mes doigts le nylon...J'aimais toujours cette sensation, le nylon qui me donnait de l'électricité dans les doigts et dessous la chaleur intense de son corps. De simples caresses la mettaient en transe. Mais je n'étais pas mieux. Ca me mettait aussi en transe de la sentir au bout de mes doigts, peau douce et chaude...
J'ai eu en tout cas rapidement une réponse à la question que je me posais. Je suis arrivé sur la bande de dentelle élastiquée qui maintenait le bas à sa cuisse et au-delà il y avait la chair nue. Le collant, ce n'était pas pour cette fois. Je suis remonté plus haut encore, venant prendre ses fesses dans mes mains. Ses fesses étaient pleines, rebondies, loin en arrière, elles tendaient n'importe quel tissu, et même la tenue la plus soft prenait une autre dimension.
Je suis venu sur le divan, effleurant de la pulpe de mes doigts l'ouverture de son sexe, souple, et humide, déjà excitée.
--Aucun autre homme ne me fait l'effet que tu me fais.
J'aurais aimé le croire. Même s'il existait entre nous, je le savais très bien, une immense complicité. Elle multipliait les amants, et elle avait du plaisir avec pas mal d'entre eux, j'en avais été le témoin involontaire.
J'avais des souvenirs très précis de moments intenses pour elle. Une fois, j'étais passé chez elle, je la croyais seule. Elle était à quatre pattes sur le divan, il y avait un jeune type qui était sur elle et la chevauchait. Elle hurlait de plaisir. Le gars avait fini par arracher sa queue d'elle et balancer un sperme copieux sur ses fesses. Une autre fois, tôt le matin, elle était arrivée avec deux jeunes types, avec qui elle avait passé sans doute la nuit. Ils la raccompagnaient. Des images s'étaient écrites en moi, en plus de ce que j'avais vu.
Elle s'était calée à genoux devant les deux gars, une manière de leur dire au revoir, et elle avait sorti leurs queues de leurs pantalons pour leur prodiguer une fellation...J'avais été hypnotisé par le spectacle, même si elle m'en avait fait pas mal en plus de trente ans. Sa bouche qui allait d'une queue à l'autre, habile, souple, aussi souple que sa main qui remplaçait la bouche le temps qu'elle revienne...Bouche ouverte, elle avait fini par les masturber pour accueillir leur sperme dans sa cavité buccale. Je l'avais croisée cinq minutes après et j'avais failli lui dire qu'elle avait un trait de sperme à la commissure des lèvres.
J'ai remonté lentement la fermeture-éclair et j'ai pris sa nudité de plein fouet. L'ouverture de son sexe, dont dépassaient ses lèvres qui s'étiraient sous mes yeux, sa chair commençant à se mouiller, cette toison qu'elle avait toujours tenu à garder épaisse, ce qui me plaisait énormément, même si elle en modelait le dessin avec je ne savais quel instrument, J'aimais passer mes doigts, ma langue, ma queue dans cette toison...Un plaisir que les jeunes générations ne connaissaient pas, eux qui n'aimaient que les chattes rasées...
Elle n'avait pas de slip, mais je savais qu'elle en avait plusieurs dans son sac. Sans avoir jamais pu déterminer si elle se baladait sans culotte, ou si elle en mettait selon les circonstances. Par exemple, elle n'en aurait pas mis parce que j'arrivais pour en passer un après.
J'ai continué de remonter la fermeture-éclair. Elle avait vraiment un corps de rêve, Elle ne faisait pas de l'exercice pour rien. Son ventre plat, ses hanches bien marquées, ses seins qu'elle gardait toujours enveloppés dans un soutien-gorge, alors même qu'elle se passait de slip sans problème. Elle avait une peur obsessionnelle de voir ses seins tomber parce qu'ils étaient lourds, alors que, non seulement ils ne tombaient pas, mais ils étaient magnifiques, lourds et fermes malgré son âge. Ce que j'aimais particulièrement c'étaient à la fois ses aréoles, très larges, toutes roses, mais aussi ses tétons, qui avaient une capacité érectile impressionnante. On pouvait d'ailleurs se demander si ses tétons étaient jamais au repos. Ils semblaient toujours durs...En tout cas, et j'en avais bien fait l'expérience, sous les caresses, ils prenaient facilement des proportions impressionnantes. Je n'avais jamais vu des tétons aussi érectiles, longs, durs...
J'ai tiré la fermeture jusqu'en haut. La robe totalement ouverte sur sa chair. Je n'ai pas descendu le tissu. J'aimais qu'elle garde ses atours, et puis, on pouvait risquer d'être découverts et de devoir se rhabiller rapidement.
Elle s'est penchée sur moi, toujours assis, et elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon. Elle m'a défait, et m'a trouvé sans surprise, en pleine érection. Elle me faisait un effet fou, et elle le savait bien.
--Elle est belle ta queue...Elle est longue et épaisse. Regarde, elle suinte de désir.
Et c'était vrai, ma queue dégoulinait de liquide pré-sécrétif. Elle a baladé sa langue sur mon gland dilaté pour le laper. S’arrêtant quand elle a senti que j'allais jouir.
Elle m'a attrapé par la main, et elle m'a fait me lever.
--J'ai envie de te faire une branlette brésilienne.
C'était quelque chose que j'adorais. Elle me prenait entre ses seins, entre ses fesses...Une caresse rare et forte...
Elle s'est a fait glisser sa robe d'une épaule pour que j'aie accès à ses fesses et a trouvé une position adéquate, se penchant légèrement en avant pour s'ouvrir, puis posant ses mains à plat dessus pour s'entrouvrir suffisamment.
--Viens entre...
Je me suis rapproché, j'ai posé mon gland en bas de son sillon et je suis remonté. Elle a lâché et je me suis senti enveloppé par ses fesses, bien fermes, logé dans ce canal étroit, une sensation tellement intense, mais aussi rare. Aucune autre fille ne me faisait des cravates de notaire, ou des branlettes brésiliennes. Et en plus, elle, elle les faisait très bien...On s'est calés chacun dans un rôle, dans un jeu, Elle reprenant ses fesses dans ses mains et me massant doucement avec, pendant que je faisais aller et venir ma queue dans l'étroit sillon...
--C'est trop bon, elle a dit, je te sens grossir...Tu es énorme...Ne jouis pas tout de suite...
Et pourtant j'aimais jouir dans sa raie, la remplir de sperme, pour qu'elle le sente couler ensuite le long de son sillon, qu'il glisse jusqu'à son sexe. Mais sans doute qu'on allait partir sur autre chose...
Cet autre chose qui est venu quand elle a récupéré ma queue, et qu'elle l'a calée plus à la verticale, mais à l'horizontale...Elle m'avait gardé dans le sillon, mais cette fois, dans cette position, c'était juste le tiers supérieur de ma queue qui s'y trouvait. Elle l'a frotté contre sa muqueuse anale et ca a été tellement fort de sentir ses plissements anaux contre ma chair à vif que j'ai cru un instant que j'allais jouir. J'ai vu mon sperme sortir. Dégouliner dans sa raie.
Mais ca ne s'est pas passé comme ça, au final. Elle m'a tiré fermement pour que je rentre en elle. J'ai appuyé et j'ai senti que sa muqueuse s'ouvrait pour me laisser glisser dans le conduit étroit. Je suis rentré aussi loin que je le pouvais. J'ai senti son corps se tendre de plaisir, et elle m'a dit :
--Ahhh...Enfonce-la aussi loin que possible...Je jouis jamais aussi fort que par le cul...
Je me suis mis à aller et venir en elle...Une main glissée entre ses cuisses m'a permis de constater que, d'excitation, elle arrosait ses cuisses de ses liquides intimes, mais aussi de trouver sa main, qui caressait avec ardeur son gland clitoridien. Le plaisir était au rendez-vous pour elle comme pour moi...Je sentais son corps frémir, et elle haletait. Mais je ne valais pas vraiment mieux. Le plaisir de sentir ses chairs contre moi.
Cela faisait longtemps que nous n'utilisions plus de préservatif. Ce qui était d'ailleurs une erreur vu qu'elle avait d'autres partenaires...Et moi aussi...Je sentais la jouissance monter à vitesse grand V. L'orgasme est parti d'un point dans mon ventre et s'est élargi. Je me suis senti rempli de chaleur et de lumière, et j'ai du me retenir, comme toujours dans l'entreprise, pour ne pas crier, tellement cet orgasme, comme tous ceux que j'avais avec elle, était fort. Ce n'était pas toujours le cas avec mes partenaires, même s'il y avait du plaisir, quand même. Mon sperme est parti, jet après jet, pour taper contre ses muqueuses. C'était assez curieux, mais je ne crachais jamais autant de sperme que lorsque j'étais en elle. Ca n'en finissait pas. J'avais vraiment l'impression de la remplir. C'était comme si mon corps ou mon esprit avaient été conditionnés, et c'était peut-être le cas, par cette phrase qu'elle avait prononcé un jour : 'Je préfère que tu jouisses dans mon cul que dans ma chatte.Quand tu jouis dans ma chatte, le sperme ressort, alors que quand tu jouis dans mon cul, mon anus se referme, et il est bloqué. Il sort petit à petit, et ça peut durer très longtemps. Ca me rend folle parce que j'ai l'impression de retrouver la sensation de ta queue me fouillant, et de ton sperme jaillissant. Et c'est tellement bon.'
Depuis je l'imaginais, posée à sa table, travaillant, et en même temps le sperme sortant d'elle, très lentement, la projetant dans une dimension où souvenir et plaisir se mêlaient, et maiintenant son ventre dans un état d'excitation.
Si je prenais mon plaisir, je pensais aussi au sien. Je savais par exemple, elle me l'avait dit, qu'elle aimait que je reste en elle, même après avoir joui. J'étais encore dur, et elle aimait sentir ma présence. Elle m'avait même dit une fois qu'elle aurait aimé avoir ma queue en permanernce à disposition, pour l'avoir dans sa bouche, son anus, son vagin, ou contre sa peau...
Je me suis finalement retiré, encore roide. Mon gland est sorti d'elle, accompagné par un filet de sperme qui a maculé une partie de sa muqueuse anale, alors qu'elle se refermait, avant de couler sur la partie de chair lisse juste en dessous, et de venir se perdre dans le dessin accidenté de ses lèvres...
Elle s'est redressée, et elle a poussé un long soupir. Elle s'est retournée vers moi et sa bouche est venue chercher la mienne pour un très long baiser. J'ai rattrapé le pan de la robe qui pendouillait, elle y a fait passer son bras. Et j'ai redescendu la fermeture-éclair. Je ne la rhabillais pas toujours, mais là il y avait une opportunité. Je me suis éloigné, le regard collé à elle. Ayant une réponse partielle à la question que je me posais à chaque fois. Elle a remonté la fermeture sur son ventre, s'est penchée pour fouiller dans son sac, dont elle a tiré une petite culotte blanche basique qu'elle a fait remonter le long de ses jambes, et qui recueillerait mon sperme. La fermeture-éclair tirée à son maximum, je n'avais plus qu'à partir.
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Histoire de JamesB

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