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La journée d'un pré-retraité partie 3

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/03/2024

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LA JOURNEE D'UN PRE-RETRAITE
partie 3
Le métier qu'on exerce donne à chacun l'occasion de nouer des relations qui existent selon une infinité de nuances. On va côtoyer des personnes pendant des années en restant à distance...Dans d'autres cas ce sera des relations purement professionnelles. Souvent de la camaraderie...Et puis parfois et c'est difficile d'expliquer pourquoi, une réelle compatibilité, des similitudes mais aussi des différences, un ensemble qui fait que se développe une réelle amitié.
C'était et ca avait été le cas entre Toufik et moi.
Sans doute que ce qui nous avait réellement permis de nouer des liens forts, ç’avait été qu'on avait fait régulièrement, pendant deux ans, un trajet à deux vers le Nord de la France. On allait récupérer ensemble, deux fois par semaine, des véhicules qui arrivaient à Dunkerque, pour les concessionnaires du département. On avait eu le temps de discuter, aller et retour, de manger ensemble, et aussi d'avoir du sexe ensemble. Il avait dix ans de plus que moi, et il m'avait fait découvrir le côté caché du trajet de routier. Les filles, pas des professionnelles, qui offraient leur bouche ou leur chatte en échange d'une somme d'argent pas forcément conséquente. Du plaisir, sans rien d'autre. Deux filles qui nous rejoignaient dans une chambre d'hôtel à bon marché, dans notre camion, qui nous prenaient dans la bouche, qui nous laissaient rentrer dans leur chatte. Blondes, brunes, rousses, jeunes ou moins jeunes...Il m'avait expliqué, et je m'en étais senti moins fier qu'il s'agissait souvent de femmes qui avaient des fins de mois difficiles, et qui bouclaient celles-ci en se prostituant. Elles ramenaient de quoi payer une note d'épicerie, une facture d'électricité, disant à leur mari qu'une copine leur avait prêté de l'argent...
Il avait dix ans de plus que moi, mais il avait choisi de rester dans le métier sans bénéficier de mon régime. Il avait raccroché deux ans plus tôt.
Longtemps célibataire, il s'était marié à 55 ans, avec une fille qui avait 15 ans de moins que moi, et dont je soupçonnais qu'elle était une de ces catins dont il raffolait, dont il s'était épris er qui avait succombé à un charme bien réel.
La première fois où mon regard s'était posé sur elle j'avais pris un direct à l'estomac.
Elle était...Tout ce que les filles qu'on avait croisées pendant deux ans n'étaient pas.
Elle était très grande, encore grandie par les talons, minimum 8 centimètres, si j'avais bien calculé, qui constituaient son fonds de commerce, Blonde, une vraie blonde comme j'avais pu le constater par la suite, elle avait un très joli visage, triangulaire, et une chevelure blonde épaisse.
Le plus marquant, cependant, c'étaient ses charmes féminins. Elle avait un corps tout en rondeur. Des seins, des hanches, des cuisses, des fesses, et elle ne les masquait pas, bien au contraire. Même chez elle, elle portait des tenues qui la mettaient en valeur, et me mettaient dans tous mes états quand je me rendais chez lui.
Il ne s'était à vrai dire rien passé avant qu'il ne prenne sa retraite. Pour une raison évidente: avant, on se voyait essentiellement au travail, alors qu'après, je passais régulièrement chez lui.
Il y avait eu un tournant. C'était trois mois après qu'il ait pris sa retraite. Il avait reçu un coup de fil, et m'avait dit :
--Je file en urgence. Tu sais que je fais partie de la brigade de réserve de la commune. On doit agir, il y a une crue potentielle, il faut qu'on fasse évacuer les habitations le long de la rivière. L'ancien maire avait accordé des permis partout, on en paye les conséquences.
Je m'étais retrouvé seul avec son épouse. Elle portait ce jour-là une jupe en cuir extra-collante et ultra-courte, les jambes gainées de nylon noir, des cuissardes rouges, et un simple débardeur lui aussi rouge, sans soutien-gorge, qui laissait voir très nettement ses seins, nus, leur mouvement sous le tissu et ses tétons durcis, peut-être à cause de la fraîcheur de la maison ou du frottement contre l'étoffe.
Elle était venue se poser face à moi et sans transition, elle m'avait dit :
--J'ai envie que tu enfonces tes doigts dans ma chatte et que tu me baises avec.
Je m'étais dit :
--Non, pas possible que j'aie entendu ça.
Mais j'avais eu confirmation quand, toujours calée sur le divan face à moi, elle avait ouvert les jambes au maximum, pour offrir à mon regard son intimité.
Ce n'était pas la première fois que je l'apercevais. Elle aimait apparemment, et je le concevais, se balader sans slip, je voyais bien aussi que ce puisse être une demande de son époux, puissamment amoureux d'elle, ou parce qu'elle voulait lui faire plaisir, et quand elle était avec nous, je l'avais déjà vue se plier en deux pour récupérer quelque chose sur un meuble, une table basse, ou bien rejoindre la conversation aussi en mini voire micro-jupe...
J'avais une réelle amitié pour Toufik, et je n'aurais jamais imaginé le faire cocu.
Décision qui venait de prendre un sacré coup de mou.
Le nylon qui enveloppait ses cuisses était celui de bas stay-up et je voyais parfaitement sa chatte entre ses cuisses, qui disait clairement son excitation. Au premier regard sur elle, elle était déjà bien entrouverte, laissant voir son intérieur rose, et ses lèvres gonflaient, s'étalaient hors d'elle, déjà longues et charnues. Surtout, elle ruisselait, une coulée abondante de mouille. Elle a fait quelque chose qui ne m'a pas vraiment surpris, glissant ses deux index dans son sexe, et s'ouvrant autant qu'elle le pouvait, pour me laisser voir ses muqueuses roses, leurs parois, jusqu'à son utérus.
--Tu peux venir dedans. Aujourd'hui j'ai envie que tu me caresses avec ta main. Demain, après-demain peut-être, tu y mettras ta queue, et tu me fouilleras bien.
--C'est plutôt à Toufik de faire ça, non ?, j'ai demandé, par fidélité pour mon ami.
--La bite de Toufik, elle fonctionne plus trop bien en ce moment. Et puis ca fait longtemps que tu me plais, et j'ai envie de concrétiser. Et je ne pense pas qu'il faille rester avec une seule queue toute sa vie, même si je l'aime. La fidélité c'est pas pour moi. Regarde, je vais te montrer quelque chose que tu n'as jamais vu...
J'avais eu l'occasion de découvrir, au fil du temps, ses capacités physiques hors normes. Et été déjà bluffé avant ce jour-là. Elle a amené ses doigts à l'endroit où, je connaissais suffisamment l'anatomie féminine pour le savoir, se trouvait son clitoris. On ne voyait rien pour le moment que la peau qui le recouvrait, et qui saillait légèrement.
Elle s'est mise à exercer un mouvement circulaire à cet endroit, qui m'a troublé, excité, mais ne m'a absolument pas surpris.
C'était que ma femme avait l'habitude de se caresser devant moi. Dans un couple, des habitudes se calent, que ce soit pour la sexualité ou pour le reste. Je ne lui avais pas demandé, un jour elle m'avait dit : 'Regarde-moi !' et elle s'était masturbée un long moment devant moi, jusqu'au moment où elle m'avait dit : 'Viens, maintenant.' Après elle m'avait dit : 'Tu n'as jamais été aussi gros !' et on avait ce rituel, très souvent, elle se masturbait devant moi.
J'avais donc pensé qu'elle avait le même rituel. Et je n'avais toujours pas fourré un doigt ou plusieurs en elle, comme elle me l'avait demandé.
On fait toujours des découvertes question sexualité. Même à mon âge.
Souriante, parce qu'elle savait qu'elle avait quelque chose à me montrer, et quelque chose de sympa, elle a fait tourner ses doigts sur elle, dans un geste circulaire, classique, de masturbation.
Ce qui s'est produit m'a fait penser aux métamorphoses des super-héros dans les films...Il y a un rituel, un geste, un mouvement, et ils se transforment.
Ce qui s'est transformé là, ça a été son gland clitoridien. Elle a fait deux ou trois tours avant qu'il ne se dégage de sa gangue de chair.. Ce qui avait pour le moment l'aspect d'un gros bouton. Elle l'a frotté, et, en même temps, elle s'est mise à gémir, de plaisir.
J'ai été impressionné autant parce que ca s'est fait très rapidement que par le volume qu'a pris son gland. Non seulement il a grossi, de manière exponentielle, mais aussi, en même temps, il s'est allongé. Mais vraiment allongé, se prolongeant devant elle. Plus elle le frottait ert plus ça marchait. Au final, quand elle a cessé de le frotter, ca lui faisait une véritable bite. Et pas un micro-pénis. Une bite de sept/huit centimètres, assez consistante pour s'en servir comme d'une queue.
--Tu le caresseras après que tu aies mis tes doigts dans ma chatte...
Caresser un sexe de fille, ça, je savais faire. Elle était de toute façon tellement ouverte et tellement ruisselante que les choses ne pouvaient que se caler facilement. J'ai fait glisser un doigt, puis un autre en elle. C'était là aussi une pratique que j'aimais bien...A la maison, quand ma femme était occupée, j'allais souvent lui donner du plaisir de la sorte...Elle ne se privait pas de me le rendre, venant me masturber au moment où je m'y attendais le moins...
J'ai fait bouger mes doigts en elle, en prenant mes marques dans son sexe, qui se dilatait et s'offrait à ma caresse, une muqueuse, souple, délicieusement chaude et qui ruisselait coulant abondamment sur mes doigts, dans ma paume, le long de mon poignet, jusqu'à mon avant-bras.
J'étais troublé par ce qui se passait, avec la sensation de n'avoir jamais été aussi dur. La vision de ce clitoris qui, par un effet ricochet, s'allongeait encore, s'épaississait encore, la sensation de sa chatte...
Très vite, elle s'est mise à jouir. Secouée de spasmes, elle a éjaculé une quantité incroyable de liquide qui nous a trempés tous les deux.
Ce n'était pourtant que le début.
Elle s'est redressée pour me défaire. A semble ravie de trouver un membre bien dur.
--Ca faisait longtemps que je rêvais de ta queue...Je me disais qu'elle était belle...Hmmm. C'est bien le cas.
--Aussi belle que celle de Toufik ?, je n'ai pu m'empêcher de lui demander.
--Vous avez deux belles queues l'un et l'autre. Le drame c'est que la sienne ne peut plus
-servir, ou alors très rarement.
--Je n'ai pas ce problème, je lui ai assuré.
--C'est bien ce que je vois.
Elle est venue sur moi pour une fellation plus classique. Mais une fellation bien efficace, sa langue tournant sur moi, une fellation faite par une personne experte.
Et puis on a basculé.
Elle a éloigné sa bouche de mon membre congestionné pour y amener son ventre.
J'avais une belle queue, mais c'était impressionnant de voir le gland clitoridien à côté.
C'était, et ça m'a énormément troublé, comme s'il y avait eu deux queues côte à côte.
Et le traitement qu'elle a fait de ma queue, avec son gland clitoridien, était à la fois proche de celui qu'elle aurait eu avec une queue, mais aussi totalement différent.
Elle est venue me caresser avec. Une caresse inédite. Jamais aucune fille que je n'avais connue n'avait eu un gland clitoridien de telles dimensions. Elle l'a d'abord promené sur moi, tournant sur mon gland, le long de ma tige, sur mes couilles, un mélange de dureté, de douceur, qui me renvoyait, tout en étant différent, à mes expériences homosexuelles. Elle me frottait jusqu'au point de rupture, au moment où je sentais que j'allais jouir. Je n'avais jamais été aussi gros, et je n'avais jamais autant suinté de liquide séminal.
Le meilleur, c'était ce qui est venu juste après.
Dont je me suis demandé sur le moment, et après, si ça s'était bien passé. Avec l'habitude, ca a été différent, mais sur le moment, ça m'a laissé...Un rien sidéré...C'était le mot...Elle s'est positionnée de telle manière que son gland clitoridien soit face à mon gland que l'excitation avait dilaté à l'extrême et elle a entrepris une manœuvre qui m'a laissé pantois. Elle a frotté mon gland, une zone ultra-sensible. Ce n'était pas une caresse inoffensive, car mes suintements, jusque là hyper-abondants, l'ont été encore plus.
C'est à cause de cette lubrification qu'elle a pu rentrer en moi.
Je ne pensais pas cela possible. Je ne l'avais même jamais imaginé. Je n'imaginais pas qu'un méat puisse être quelque chose de souple, qu'on puisse le pénétrer, et qu'on puisse y glisser quelque chose d'aussi conséquent que ce clitoris hors normes. Il fallait croire que c'était bien le cas, car je n'ai même pas souffert. Au contraire, il y a eu un plaisir d'un genre nouveau, qui tenait à la caresse, mais aussi au fait de me trouver dans cette situation.
Après m'avoir lentement pénétré, elle s'est mise à bouger en moi.
--Il faut que tu tiennes aussi longtemps que possible. C'est comme ça que tu auras du plaisir...
Elle m'a fouillé, et effectivement, je m'efforçais de maîtriser au maximum ce qui montait en moi, à me faire exploser dans un orgasme.
Quand elle a senti que je ne parvenais plus à tenir, que c'était une question de secondes avant que je ne jouisse, elle a sorti son gland clitoridien de moi. Si ma verge s'était dilatée, sans doute plus grosse que je ne l'avais jamais vue, son gland clitoridien avait lui aussi pris du volume, plus épais, plus long...Elle s'est mise à le masturber d'un geste rapide, comme un homme aurait masturbé sa verge, le visage devant ma queue, attendant que je jouisse, bouche grande ouverte. Mon sperme est venu napper son palais. Elle a gardé la bouche ouverte, et recueilli tout le sperme qui est sorti d'autant plus copieux que j'étais excité, Elle a lapé le liquide qui a suinté après mes grosses éjaculations, avant de tout avaler.
Depuis...Hé bien il y avait les moments où Toufik était là, et ceux où il n'était pas là. Quand il n'était pas là, il y avait la complicité, les regards échangés, et puis cet extraordinaire jeu, au risque de se faire prendre, s'il disparaissait, cinq, dix minutes, pour du sexe rapide. Une bouche sur une chatte, une main autour d'une queue, une jouissance rapide. Quand il n'était pas là, il y avait cet éternel jeu de balancier entre du sexe classique et plus baroque à l'image de ce qui s'était produit la première fois.
Ce matin-là, elle m'avait fait un SMS. Viens sur le coup de dix heures. Il va dépanner un copain dont le camion est en panne. On aura bien le temps de baiser, il m'a dit qu'il revenait pour midi.
Il était dix heures quand je suis arrivé chez eux. Je m'attendais à un accueil à l'image de la personnalité de la jolie blonde, fantasque et hyper-secouée, je n'ai pas été déçu. Elle portait des cuissardes noires, en vinyle luisant, et c'était son seul vêtement. Entièrement nue, elle se masturbait en m'attendant, faisant aller et venir un gode long et fin dans sa muqueuse anale avec un plaisir qui se lisait clairement sur son visage. Je me posais beaucoup de questions sur ses relations avec Toufik. Une curiosité malsaine, j'aurais voulu en savoir plus. Mais elle n'en disait jamais un mot. Elle tenait énormément à moi, et à ce qui se passait entre nous, elle me l'avait clairement dit. Quand elle était avec Toufik, on voyait clairement un couple uni, mais je me demandais toujours si sur le plan sexe, ça s'était arrangé. Ou si ca avait évolué dans le mauvais sens. L'ardeur qu'elle mettait quand on était ensemble pouvait être un indicatif...Ou pas du tout...
Clairement, elle aimait le sexe, elle l'aimait dans ses extrêmes, tout ce qu'il pouvait avoir de borderline, et elle pouvait très bien l'apprécier avec plusieurs personnes.
Je me suis approché. Ses seins étaient tout gonflés, ses tétons déjà bien durs et bien longs, à l'image de son gland clitoridien qui était lui aussi en pleine érection. Son corps présentait plein d'atouts dont il fallait savoir profiter.
--Tu me manquais, elle a dit. On ne s'est pas vus depuis une semaine. Viens.
Quel que soit le contexte, il y avait une certitude : j'avais envie d'elle. Elle me plaisait. J'aimais son corps, ses manières d'être, son goût pour un sexe différent. A force, je ne me préoccupais plus trop de ce qui pouvait se passer entre elle et Toufik. Il y avait ce qui pouvait se passer entre nous. Point à la ligne.
J'ai dégagé ma queue, et je suis venu frotter celle-ci contre son gland clitoridien, cette sorte de pénis qu'elle avait, qui aurait pu la faire passer pour un hermaphrodite. Le contact, dur, chaud, me faisait toujours énormément d'effet. Mais c'était vrai aussi que ça lui en faisait, de l'effet, cette zone étant l'une des plus innervées chez la femme. Elle s'est mise à gémir, prise entre le plaisir que lui donnait sa zone anale, et celui que lui procurait son gland. Je me suis dégagé et j'ai glissé dans son sexe, chaud et dégoulinant. Je me suis mis à bouger en elle. C'était troublant parce que je sentais, par la fine paroi qui séparait son vagin de son anus, le mouvement du gode. C'était comme s'il l'avait caressé elle, mais moi aussi, et ca me troublait énormément. On a continué un moment comme ça, avant qu'elle ne le retire d'elle, ne le pose sur une table basse, et me dise :
--Tu vas remplacer le gode...Regarde, je suis bien ouverte.
Elle s'était contorsionnée, massive mais souple, me présentant sa muqueuse anale qui était béante. On voyait bien les plissements, écartés, et la muqueuse rougeâtre, une vision qui se prolongeait loin...Un appel à la pénétration. Elle m'avait expliqué, au début de cette relation construite dans la duperie et l'absence, souvent dans l'urgence, qu'elle préférait cent fois se faire prendre par le cul que par la chatte et qu'elle en retirait un plaisir immense, me donnant une des clefs de son plaisir, même si au fil du temps je m'étais demandé si c'était vraiment le cas, car tout, au final, semblait lui procurait du plaisir, et il ne semblait pas qu'il y ait une hiérarchie.
En aplomb au dessus d'elle, mais on allait changer de position, et c'était ça qui me plaisait, j'ai glissé dans son rectum. Pour moi aussi, c'était une sensation forte. L'étroitesse d'une muqueuse anale, cette caresse serrée autour de soi...Difficile de ne pas y succomber...Je me suis mis à bouger en elle. Elle avait les yeux mi-clos, et elle gémissait de plaisir, alors que je bougeais en elle...Dans ma ligne de mire, il y avait son sexe, qui crachait des jets de mouille, son clitoris, qu'elle tenait et qu'elle masturbait fébrilement, qui gonflait encore, impressionnant. Elle allait d'orgasme en orgasme, et je sentais bien que le dernier serait le plus puissant. Elle a poussé un hurlement, et elle a éjaculé, un jet qui nous a trempés tous les deux.
Avec chaque fille, chaque femme, il y avait toujours des règles non écrites. L'une d'entre elles, entre elle et moi, c'était que je me retienne de jouir aussi longtemps que possible.
Ma queue, au contact de sa muqueuse anale, avait pris un tiers de volume et de longueur en plus, et elle pouvait encore grossir. Mais ce n'était pas le moment de jouir.
Je savais qu'on allait basculer sur quelque chose d'autre.
A se démarche, de me faire repousser la jouissance aussi longtemps que possible, il y avait plusieurs raisons. La volonté de me donner des orgasmes très forts, ils n'étaient sans doute jamais aussi puissants qu'avec elle, mais aussi de s'imposer en maîtresse du jeu, de me faire jouir au moment ou elle l'avait décidé, et d'y aligner un orgasme à elle.
--Je reviens...J'ai une surprise pour toi...
--Comme toujours, j'ai répondu.
Je l'ai regardée disparaître dans la pièce d'à côté...Ses hanches ondulant, sa croupe énorme agitée par son mouvement, le sillon profond, sa chatte dilatée entre ses cuisses, et dont coulait encore de la mouille qui inondait ses cuisses. Quand elle commençait à mouiller, même sans être caressée, le processus ne s'interrompait pas, ce qui changeait, c'était la quantité de mouille qui coulait d'elle.
Elle est revenue avec un appareil que je connaissais. Je regardais énormément de porno, et j'avais vu des filles se masturber avec. Il s'agissait d'un vibromasseur énorme, dont le corps était en forme de cône, mais qu'on pouvait bien tenir, et avec une tête énorme, une grosse boule qui tournait, et que l'on pouvait activer avec un bouton ON, pour ensuite basculer sur différentes vitesses, du plus lent au plus rapide. Les filles des vidéos jouissaient et éjaculaient.
--Regarde, c'est un de mes jouets favoris. Mais il peut servir aussi pour des hommes.
Et elle a voulu me montrer son utilisation potentielle, se basculant en arrière, et venant appuyer la grosse tête en partie contre son gros paquet de lèvres et en partie contre son gland clitoridien. Elle a mis en marche, partant sur le premier niveau. L'appareil s'est mis à ronronner. Et elle aussi...Alors, c'est sûr, elle était ultra sensible et ultra réactive, donc ça ne prouvait peut-être rien, mais elle a très vite été en plein trip et le passage à une vitesse 2, pourtant intermédiaire, a signifié le plein trip pour elle...Elle s'est mis à crier et à éjaculer des litres de liquide...Je ne l'avais jamais vue aussi dilatée...Elle a hurlé sur la vitesse 3.
--Je vais l'essayer sur ta queue.
Elle m'a fait basculer sur le divan. Ma queue était collée contre mon ventre, roide de désir. Epaisse, et longue, comme sans doute elle ne l'était qu'avec elle.
Je savais que j'allais prendre cher. Du plaisir, mais aussi de la douleur. La tension, celle de tenir, alors qu'on a envie de se laisser aller à la jouissance, mais aussi une promesse qui lui avait été faite. De tenir, tenir, jusqu'à ce qu'elle me dise de jouir, et que nos jouissances soient synchronisées. C'était pour moi, un cadeau que je lui faisais, et une manière de nous rapprocher.
Pourtant, lorsqu'elle a appuyé le vibromasseur, conçu au départ pour détendre les muscles, à usage thérapeutique, contre ma queue, j'ai cru que j'allais jouir sur le champ, et j'ai du faire un énorme effort sur moi-même, plus qu'à l'accoutumée, pour ne pas jouir. Elle l'a d'ailleurs bien senti, retirant le vibro avant de le ramener. Et on n'était qu'à la vitesse un.
Ce qui m'a vraiment plu, et a donné du rythme à ce moment de plaisir, ca a été la sorte de jeu auquel elle s'est adonnée, allant de l'un à l'autre, me permettant de souffler, frottant ses lèvres, son gland clitoridien, ses seins, ses tétons. De la sorte, on est passés au niveau 2, puis au niveau 3...Il y a eu un moment où on s'est regardés, et on a su qu'on allait exploser. Un moment d'intense complicité, parce qu'on a voulu, comme toujours, que ce soit ensemble. Elle a appuyé la tête du vibro, niveau 3 contre mon gland, en même temps qu'elle venait frotter à toute allure son gland clitoridien énorme, et on a hurlé en jouissant.
Une demi-heure plus tard, Toufik était là. Il m'a fait un immense sourire.
J'avais toujours de la culpabilité, même si elle s'était dissoute au fil du temps. En même temps, je me demandais parfois si Toufik ne savait pas ce qui se passait. Si elle ne partageait pas ses récits avec lui, dans une complicité qui aurait reboosté leur sexualité...Et puis...
Mélanie s'était changée et habillée. Elle était encore plus excitante habillée que nue. Elle avait passé un simple caleçon noir très moulant, qui soulignait ce que ses charmes pouvaient avoir de développé, mais aussi qu'elle n'avait pas de slip en dessous, la manière dont les lèvres de son sexe étaient sorties, plaquées contre le tissu, mais aussi dont il s'enfonçait dans sa raie. En haut, elle avait un crop top, sans soutien-gorge, contre lequel ses seins s'épanouissaient pareillement, aréoles et tétons bien visibles.
Il était pas loin de midi, et j'étais évidemment resté pour le déjeuner, comme prévu. Une bonne entente, des souvenirs, des plaisanteries, et la plante du pied de Mélanie qui était venue masser ma queue à travers mon pantalon.
Le portable de Toufik avait sonné. Il avait décroché, avait écouté.
--Julie, la voisine. Elle a un problème pour changer sa bouteille de gaz. J'y vais, j'en ai pas pour longtemps.
Quelques minutes pour du sexe rapide.
Il n'était pas sorti de la pièce que Mélanie était déjà à côté de moi. Elle sortait ma queue de mon pantalon, en même temps que je tirais le caleçon bas, pour avoir accès à son intimité...Je suis venu effleurer son sexe, déjà ouvert, lèvres gonflées, ou peut-être plus simplement partagé, entre n'avoir pas fermé après notre moment de plaisir et s'être rouvert quand elle m'avait caressé. Moi, j'étais bien dur parce que sa caresse m'avait procuré de l'effet.
--On a cinq minutes...Le changement de bouteille de gaz ça va vite, mais la voisine en profite pour le draguer...
--Tu ne penses pas qu'il
--Si ça lui fait du bien...Elle est très sexy...Au contraire...Je ne suis absolument pas jalouse.
On s'est masturbés mutuellement. Elle faisant aller et venir sa main sur ma queue, dans une caresse très classique, mais qui me procurait énormément de plaisir, parfois, le simple c'est le mieux, tandis que je frottais ses lèvres, sans aller ailleurs. J'aimais bien casser l'envie de base qui me ramenait toujours vers son clitoris ultra-dilaté. C'était que ses lèvres étaient aussi intéressantes, en tout cas, j'aimais les sentir au creux de la main, longues et épaisses, s'allongeant encore, s'épaississant encore et surtout arrosées de ses sécrétions qui finissaient dans ma paume et au-delà. Et ça lui procurait de toute façon un plaisir très fort. En tout cas, j'ai senti son corps frémir, et elle a été secouée par plusieurs orgasmes, éjaculant dans ma main et le long de ses jambes. Je n'ai pas tenu plus longtemps, crachant des jets de sperme au creux de sa main, qu'elle a lapés en remontant son caleçon. Elle est partie chercher le café en masquant sa croupe énorme qui me fascinait. Toufik est arrivé une minute plus tard, et nous a trouvés, discutant tranquillement avec chacun une tasse de café devant nous.
--Je ne t'ai pas servi mon chéri, pour éviter que tu le trouves froid.
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Histoire de JamesB

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