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La journée d'un pré-retraité partie 4

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/03/2024

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LA JOURNEE D'UN PRE-RETRAITE
partie 4
Il était quatorze heures quand je me suis garé devant le bâtiment blanc sur lequel une grande pancarte verte indiquait TEINTURERIE. Le bâtiment était tout blanc, il ne présentait aucun signe de délabrement, neuf dans un quartier récent. Et il y avait effectivement une grande teinturerie en bas, qui pour l'heure était fermée.
Pour les initiés, il y avait un autre choix. Une porte, blanche elle aussi, toujours ouverte. Un vestibule, qui donnait sur un escalier qui amenait directement au premier étage. Là, il y avait une série de portes, closes, tout le long de l'étage. On arrivait au milieu de la surface, et on partait soit vers la gauche soit vers la droite. Selon ses choix, on pouvait s'engager sur les numéros pairs, ou impairs.
J'aimais les deux.
C'était une bonne copine qui m'y avait amené il y avait deux ans. Une copine de l'école primaire avec qui j'étais toujours resté en contact. On s'était éveillés à la sexualité ensemble. Dès que les hormones avaient commencé à la travailler, et à me travailler aussi, on s'était trouvés elle et moi comme de parfaits compagnons pour découvrir le sexe ensemble. Estelle était une très jolie fille, un visage rond avec d'immenses yeux bleus, une bouche bien charnue qui était venue entourer ma queue très rapidement, une silhouette étonnante, fine mais avec des seins et des fesses qui cassaient la ligne fine de cette silhouette, un mélange excitant.
On avait passé cinq ans à explorer le corps de l'autre et les joies du sexe.
Assez curieusement, alors que les amitiés de jeunesse se dissolvent très vite, on était restés en contact, parce qu'il y avait des liens très forts entre nous, d'amitié, d'affection, certainement une manière d'amour, mais aussi de sexe. On avait bien compris que ces années d'exploration nous permettaient de partager de moments de sexe comme on n'en connaîtrait pas avec d'autres, et aussi que ce qui était déjà acquis pouvait nous permettre d'aller plus loin. Et dans les années qui avaient suivi, on avait expérimenté du sexe que nous n'aurions pas pratiqué avec nos conjoints ou d'autres qu auraient été choqués. C'était elle qui par exemple, m'avait initié aux plaisirs du fist, me poussant à glisser ma main entière dans son vagin, après l'avoir enduite de lubrifiant, pour la caresser à l'intérieur. Une sensation tellement excitante que je m'étais joui dessus quasi immédiatement. Je l'avais caressée longtemps, une fois puis encore plein de fois. Elle se tordait au bout de ma main. Elle aussi qui m'avait poussé, alors même que je tremblais de lui faire mal, à glisser cette même main dans son anus pour la caresser à l'identique. Elle n'avait eu que du plaisir. C'était sans doute aussi parce que j'avais une confiance totale en elle que je l'avais laissée rentrer sa main entière dans mon anus, pour me procurer une caresse comme je n'avais pas imaginé qu'elle puisse exister, me faisant jouir un nombre incalculable de fois...Elle encore qui m'avait sodomisée avec un gode-ceinture,me procurant là encore une jouissance sans pareil. Je gardais aussi un excellent souvenir du moment où on avait partagé un double gode, une partie plantée dans nos anus...
Et puis il y avait eu ce jeudi où elle m'avait donné rendez-vous devant ce bâtiment.
De l'émotion à la retrouver. Ca faisait 45 ans qu'on se retrouvait, et, si on avait changé, on restait les mêmes à l'intérieur, et il y avait toujours la même complicité entre nous.
--Tu n'oublieras pas ce moment.
Je ne l'avais effectivement pas oublié. C'était bien la raison pour laquelle j'y revenais, deux fois par semaine.
On avait commencé par les cabines 1. Elle m'avait emmené dans un espace qu'on avait trouvé vide, bloquant la porte. On était en juin, elle portait une simple robe noire, qui collait à son corps. Après tout ce temps, elle m'inspirait toujours autant de désir, et je me serais contenté de faire simplement l'amour avec elle, même si je me doutais que, si elle m'avait amené ici, ce n'était pas pour qu'on fasse quelque chose ensemble. Il y avait quelque chose de spécial dans ces lieux, je le sentais bien.
Elle s'est approchée de moi. A pris ma bouche pour un baiser intense, nos langues se cherchant, se caressant en même temps qu'elle venait récupérer ma queue dans mon pantalon.
--Bon, je vois que je te fais toujours de l'effet, elle m'a dit. C'est positif.
J'étais en effet bien dur, et oui, elle me faisait toujours de l'effet. Estelle était restée désirable, et toutes ces années de sexe ensemble n'avaient pas usé notre relation, au contraire, il existait entre nous une complicité dans le plaisir, un plaisir intense et sans tabou qui faisait qu'on démarrait ensemble au quart de tour. J'ai glissé mes doigts sous la robe courte, trouvé son sexe, que j'ai caressé, ma paume se remplissant déjà de ses liquides intimes pendant qu'elle massait ma queue.
Elle est tombée à genoux, et elle a entrepris de balade sa langue sur ma queue, en même temps qu'elle remplaçait ma main par la sienne, frottant l'entrée de son sexe, dilatée d'excitation.
Qu'elle ait dégagé mon champ de vision, comme elle l'avait fait, me permettait de mieux voir la cloison, avec une interrogation. Il y avait une série de ronds découpés dans cette cloison, différentes tailles, différents niveaux, et clairement, ce n'étaient pas des termites qui étaient passés par là. Ca avait été fait à la scie circulaire.
Je me suis demandé à quoi ils pouvaient bien servir.
Je n'ai pas tardé à le savoir.
J'étais gorgé de sang quand elle m'a poussé vers l'un des trous, celui qui, elle avait eu le temps de le calculer, était à mon niveau et dans lequel je pouvais passer ma queue.
--Tu vas voir, tu ne seras pas déçu. Le jeu c'est de tenir aussi longtemps que possible.
Ca m'a fait tout drôle. L'impression d'avoir la queue dissociée du corps.
Elle m'a en tout cas accompagné, me surprenant. Elle a roulé sa robe à sa taille, et elle a plaqué son ventre contre un autre rond, pile au bon niveau. Elle a d'ailleurs été servie avant moi, se tendant en arc-de-cercle et criant. J'ai compris qu'une langue venait d'effleurer sa chatte. C'était troublant, et excitant, au final, de ne pas voir ce qui se passait, mais de voir la jouissance de la personne. La langue, les doigts ? D'où je me trouvais, je ne voyais rien, rien que le corps de mon amie qui se tordait.
Et puis, il y a eu le premier coup de langue sur ma queue, suivi par un autre, encore un autre. Ca a été très très fort, hyper excitant. Mais les conseils de mon amie étaient forcément bons. Une fellation prenait ici une autre dimension. C'était excitant de donner son sexe, sans savoir qui s'en occupait, de ne pas savoir à quoi s'attendre. Il fallait un minimum de confiance.
La personne qui se trouvait de l'autre côté de la cloison savait en tout cas caresser une queue avec ses lèvres et sa langue. J'ai eu énormément de plaisir. Autant sans doute que ma petite copine.
Il y a eu un temps de latence, puis c'est une main qui a pris la suite. Elle m'a masturbé doucement. Et, pour la première fois, j'ai entendu une voix. Une voix de fille.
--Ne le masturbe pas trop vite. Il faut qu'il tienne longtemps. Qu'on en profite.
--Je veux juste qu'il soit très gros pour qu'on ait un maximum de plaisir.
--Regarde comme il est déjà très dilaté.
Et c'est reparti. Une autre bouche sur moi, qui m'a gainé. Plus classiquement, mais le classique, c'est bon. Le bonheur, le plaisir d'être enveloppé par la cavité buccale d'une femme, chaude et humide. Elle a bougé sur moi, allant et venant. Un instant, j'ai cru que j'allais jouir, mais je me suis retenu.
Estelle était toujours devant son trou à elle. Elle a dit:
--Je sens ton gland...Viens...Viens dedans...Je pousse ma chatte vers toi. Ahhhhhh...
La queue venait de rentrer.
De l'autre côté de la cloison, il y avait des filles...Des garçons...Et sans doute que la bouche qui prenait une queue n'était pas forcément celle d'une fille...Mais ça ne me posait pas problème...
Pour moi, le meilleur était encore à venir. La bouche m'a lâché. La main m'a repris. La même ? Elle m'a caressé, avant de faire glisser le long de ma tige, pas jusqu'en haut, mais c'était quand même suffisant, aux trois quarts, un préservatif, et puis j'ai eu la surprise de sentir un contact délicat et humide, celui d'une vulve dans laquelle j'ai glissé. J'ai aussi senti le poids d'un corps contre la cloison, la fille s'y appuyait et poussait sa vulve vers moi. Je comprenais parfaitement qu'Estelle ait pu trouver cette expérience excitante. J'aimais ces conditions de fortune, alliées à des sensations fortes, celle de glisser dans une chatte que je ne connaissais même pas...Je me sentais surtout prêt à me contrôler pour profiter de la situation aussi longtemps que possible.
Je suis sorti du sexe de la première fille, et c'est l'autre qui a pris sa place, après un temps de latence, me faisant rentrer en elle et bougeant, plus que sa copine, pour me caresser et se caresser.
Un coup d' œil en coin pour voir ce qui se passait pour Estelle. Une bonne chose, car ce moment m'a surpris. Je n'avais pas imaginé ça possible. Elle avait dégagé la queue de son partenaire de sa chatte, et elle l'avait collée à la verticale, entre la cloison et son ventre. Le gars avait une queue énorme, comme j'en avais rarement vu, et comme il devait déjà être au bout de sa jouissance, ça a été, et sa position justifiait la comparaison, comme un jaillissement de lave d'un volcan. A ceci près que la lave était blanche. C'était son sperme qui jaillissait à flots, projeté avec puissance, venant maculer le ventre, la robe d'Estelle, et la cloison. On aurait dit qu'il ne s'arrêterait jamais de jouir. Estelle riait, heureuse d'avoir joui et de voir la semence jaillir.
La fille m'a arraché de sa vulve, et on est parti sur un nouveau schéma. Le dernier, sans aucun doute. Je sentais bien que ma capacité à maîtriser ma jouissance se dissolvait, et ce que je venais de voir m'avait tellement troublé que j'avais encore glissé d'un degré vers l'orgasme. Et il n'en restait plus guère à franchir.
Et quand les deux filles ont réuni leurs petites mains sur ma queue pour me masturber de concert, j'ai su que les derniers degrés de retenue étaient largement dépassés.
J'ai été secoué par un spasme, en même temps que je sentais la jouissance m'envahir. J'ai senti aussi, alors que je crachais mon premier jet de sperme, qu'elle bouche, ouverte, venait se caler dans sa trajectoire, pour prendre le sperme dans sa gorge, mais aussi que s'établissait un rythme binaire, que la queue allait de bouche en bouche, les filles se partageant la semence que je crachais.
Elles ont bien lapé ma queue, après. Un orgasme vraiment intense, pas étonnant, au cœur d'une expérience aussi forte.
Les filles ont coupé le contact. Étaient-elles encore là? Je n'entendais plus leur voix. Je les imaginais bien s'embrassant, la bouche pleine de sperme, et le faisant glisser de l'une à l'autre.
Je me suis retourné vers Estelle qui s'était rapprochée de moi. Elle avait gardée sa robe roulée à sa taille, marquée par des tâches sombres, tissu souillé par le sperme. On s'est embrassés à pleine bouche. Elle est venue chercher de la main ma queue, qui malgré la jouissance, avait gardé sa dureté. Quand on partageait de tels moments, où on profitait du sexe séparément, avec d'autres, on aimait se retrouver à la fin, surexcités, pour finir ensemble, forts de ce lien qui existait entre nous et qui était unique. Elle s'est appuyée contre la cloison, et je suis venu derrière elle, glissant en elle, pour la fouiller. Ce qui avait précédé avait été très bon, mais ce qui était entre nous l'était encore plus. Je me suis mis à la fouiller, avec le plaisir de jouer sur une harmonie entre elle et moi. On connaissait nos corps par cœur, et c'était pour ça que le plaisir était encore plus fort. On a joui en hurlant.
Et au rendez-vous suivant, on s'était retrouvés dans une pièce paire. Des trous, mais de l'autre côté. Difficile de dire ce qui était le plus excitant. Elle m'attendait devant, enveloppée dans une robe longue, qui collait à ses formes, fendue haut sur le côté, laissant voir des jambes gainées de nylon. Nos bouches se sont caressées avant qu'on ne bascule sur une salle où nous verrions l'autre côté du miroir.
--Tu vas voir, c'est tr-s excitant aussi. Encore plus pour moi.
On venait juste d'arriver qu'une queue faisait son apparition. Une belle queue, bien gorgée de sang. Le regard brillant, elle a fait aller et venir sa bouche dessus, avant de s'écarter, et de me dire:
--A toi !
J'ai opté pour une technique différente d'elle, venant plutôt balader ma langue le long de la tige roide. Ca devait être bon, car le gars n'a pas pu résister à me caresse. Sa queue s'est tendue, et un premier jet de sperme est parti dans les airs. Elle a vite resserré la bouche sur la verge, pour que le sperme coule dans sa gorge.
Dans sa position, à genoux, cuisses écartées, c'était facile de la caresser. J'ai glissé la main entre les cuisses, et je suis venu effleurer son sexe nu, massant ses lèvres avant de venir chercher son gland clitoridien, que j'ai déjà trouvé durci d'excitation.
Elle a lâché le gars, qui a retiré sa queue. Elle s'est tournée vers moi. Elle avait gardé tout le sperme dans sa bouche. Je suis venu coller la mienne à la sienne, et elle y a fait glisser le sperme,qu'on a échangé un moment. On s'est retrouvés tous les deux la bouche pleine de semence.
Ca a été une succession de moments excitants, ces moments qui m'ont donné envie de revenir seul. Quand on se revoit d'ailleurs, Estelle et moi ,elle me dit toujours :
--Alors, tu profites toujours des glory holes ?
Et je lui raconte. Ca l'excite toujours.
Il avait fallu attendre un moment Elle m'avait défait et entrepris une fellation, me suçant comme elle seule savait le faire, venant me bouffer les couilles, ce que j'adorais, me faisant gémir de plaisir, ma queue battant contre sa joue, jusqu'à ce qu'une trique fasse son apparition dans un trou. Elle a tendu la main pour la caresser, en même temps qu'elle continuait de balader sa langue sur mes couilles. Prise par cette inspiration qui était sa marque de fabrique, elle m'a approché du trou de gloire, et elle a guidé ma queue, pour venir la faire frotter contre la verge congestionnée. Le gars a gémi de plaisir, et j'ai fait pareil...C'était...Très très bon....Nos queues se sont dilatées de plaisir, gonflées à exploser. Elle m'a dégagé et elle est venue frôler le gland du type, de la pointe de la langue, tout doucement. Elle a ouvert la bouche juste à temps quand le sperme a commencé à sortir, copieux.
Il y a eu un seuil où on s'est retrouvés avec un enchaînement de queues. L'harmonie et l'habileté qui nous appartenaient, on les avait mises au service de ces verges roides, mais aussi de notre plaisir. Une queue solo, une queue partagée, elle commençait, je finissais, ou vice-versa. On avait conclu avec du sperme partout.
Il y avait eu un moment où elle avait sorti une boite de préservatifs, et elle avait gainé une queue. J'avais pu ainsi voir ce qu'avaient fait les filles l'autre fois. Une position pas forcément évidente. Estelle a gainé une queue de latex, elle a bien roulé sa robe à sa taille, et elle s'est contorsionnée, se pliant pour amener son sexe au niveau de la queue. Elle a poussé son ventre vers la verge, et il y a eu un contact. Impossible dans cette position de faire rentrer tout le membre en elle, mais elle en a avalé une bonne partie...Elle a fait bouger son sexe dessus, d'un mouvement régulier.
Je suis venu me couler en dessous. Ma langue glissant entre leurs sexes, le long de la tige quand elle ressortait et sur ses lèvres. Le gars a poussé un cri rauque, et a joui, Estelle lâchant de petits gémissements alors que le sperme venait taper contre ses parois internes. J'ai massé son clitoris, décalotté, fin mais dur d'une érection précipitant une éjaculation qui l'avait faite se répandre autour de la queue, mouiller nos chairs.
De bons souvenirs...
Et je me retrouvais dans les cabines 2...
Une verge a fait son apparition. Belle, érigée.
Ce qui me plaisait, c'était que les choix, apparemment limités, étaient en fait multiples. Une queue apparaissait, une chatte aussi, mais c'était plus rare, et on avait pas mal d'options. Quand on était imaginatif comme Estelle ou moi.
J'ai dardé ma langie et je suis venu travailler le méat du gars. Il a semblé surpris. Il attendait sans doute quelque chose de plus classique. J'ai senti que, de plaisir et de surprise, il n'allait pas tenir longtemps. La jouissance arrivait. J'ai refermé la bouche sur lui et laissé le sperme, en jets copieux, taper contre les parois internes de ma bouche et glisser dans ma gorge.
J'aimais le goût du sperme, le sentir couler dans ma bouche. J'aimais les queues, autant que les chattes. Pour moi, il n'y avait pas d'interdit dans le plaisir. C'était ce qui avait rempli ma vie, et qui remplissait mes journées.
Le gars s'est retiré.

J'attendais une autre queue, et c'est une chatte qui est venue se caler devant moi. Une chatte qui m'a plu parce qu'elle était belle. Alors bien sûr, chacun a ses critères, mais pour moi, elle avait du charme. Déjà et sans doute parce que sa propriétaire avait choisi d'aller contre la mode, j'aimais la force de l'indépendance. Blonde, elle avait choisi de garder sa chatte, tout en la taillant. Ca faisait un tapis, idéal pour une montée, non pas des marches, mais vers le plaisir, rectangulaire, qui démarrait sous son nombril et arrivait à l'entrée de son sexe, de beaux poils blonds, épais, dans lesquels on avait envie de passer les doigts. Juste au dessus de l'ouverture d'un sexe qui, dilaté d'excitation, offrait un gland clitoridien décalotté, dardé vers moi, et des lèvres qui s'épanouissaient à vue d' oeil. De son sexe entrouvert, est sorti un jet de mouille qui a trempé sa lèvre gauche.
Je suis venu balader ma langue sur cette chatte offerte. La fille a gémi de plaisir. Je savais lécher une chatte, tout comme je savais sucer une queue. J'ai tourné sur elle, lapant le liquide qui coulait d'erlle, toujours plus abondant, parfumé, sucré, parcourant ses lèvres, venant agacer un clitoris, et tout autant, tenter de pousser ma langue en elle. Elle a gémi de plaisir, et que ses ruissellements soient toujours plus abondants était sans aucun doute le signe que oui, elle avait du plaisir.
La suite était logique. Ma verge sortie de mon pantalon, après m'être gainé de latex, je suis venu frotter mon gland dilaté de plaisir contre son sexe. Sans chercher à glisser en elle. Un plaisir très fort que de faire rentrer deux sexes en contact. Avoir toutes les sensations contre mon gland, dessiner et redessiner sa chatte avec, et la sentir évoluer. S'ouvrir, les lèvres et le clitoris gonfler...Derrière la cloison, elle gémissait. Moi je ne gémissais pas, mais je n'étais pas mieux.
Je me suis poussé en elle très lentement. Un plaisir et une torture que de sentir mon sexe en elle de seulement quelques centimètres, deux ou trois...Je ne me suis pas avancé plus, faisant bouger ma queue verticalement, la caressant, sentant sa muqueuse contre moi, et les liquides qui coulaient d'elle...
J'ai progressé comme cela. Encore quelques centimètres...Puis quelques autres...La cloison, la position nous limitaient. Mais c'était suffisant pour avoir du plaisir. J'allais bouger en elle, mais c'est elle qui a pris le contrôle...On a eu du plaisir, beaucoup de plaisir, tous les deux...Puis les orgasmes sont venus...Elle a crié en éjaculant autour de moi. Je voulais me retenir, mais j'ai eu un orgasme, moi aussi, balançant mon sperme dans le préservatif.
Les fins étaient toujours abruptes. Je me suis retiré d'elle...Il y avait toujours des bruits, on ne pouvait qu'imaginer ce qui se passait à côté, et quand la personne partait.
J'ai encore bouffé et masturbé quelques queues, avant de m'éclipser.
Quelqu'un m'attendait, qui avait pris une grande place dans ma vie.
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Histoire de JamesB

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