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La laisse partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/09/2023

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LA LAISSE
partie 2
Notre relation a basculé sur un autre paradigme quelques semaines plus tard. Elle est arrivée, un matin, avec une robe en simili-cuir très court qui la faisait ultra-désirable comme d'habitude et avec une nouvelle paire de cuissardes en daim, mais ce qui a attiré mon attention a été tout à fait autre chose. Sur un de ses sacs,elle en avait toujours deux ou trois, il y avait quelque chose qui m'a intrigué...Elle est sortie plusieurs fois, et j'en ai profité pour jeter un coup d'oeil, sans toucher.
Il s'agissait d'une laisse, enroulée. Une longue lanière en cuir avec une accroche métallique, et une poignée. Sans doute assez longue.
Je ne voulais pas poser de question. D'ailleurs, ce n'était peut-être pas la peine d'en poser, et de s'en poser. Elle m'avait dit qu'elle adorait les animaux. Je me suis dit qu'elle avait adopté un chien.
Elle et moi on allait manger pas loin du cabinet, un petit resto-bar qui ne payait pas de mine, mais où on mangeait très bien. J'avais pris le plat du jour, une blanquette de veau, elle une salade Caesar, et je me suis décidé à lui demander :
--Tu as adopté un animal ?
--Pourquoi tu me demandes ça ?
--Ecoute il y a plein de choses que je ne connais pas...Mais il me semble bien que c'était une laisse qu'il y avait sur ton sac, non ?
--Ah, la laisse. Hé bien, c'est pour toi.
--Pour moi ? Mais je n'ai pas de chien.
--Tu vois, cette laisse, elle est assortie à un collier, c'est comme un couple, collier/ laisse et laisse/colllier...
--Je suis pas totalement débile, je lui ai répondu. Et alors ?
--Le collier je le mettrai autour du cou ce soir. Et je souhaiterais que tu viennes y accrocher la laisse.
--Pour quoi faire ?, je lui ai demandé, un rien interloqué.
--J'aimerais être ta chienne un moment. Je ferai ce que tu voudras.
--Pourquoi moi ? Tu côtoies des dizaines d'hommes, avec qui tu as des relations qui durent plus ou moins longtemps, certes, mais ils joueraient sans doute mieux ce rôle que moi...
--Non, justement, elle a tranché, sèche comme elle pouvait l'être quand ça n'allait pas dans le sens qu'elle voulait. Je veux que ça soit toi qui tienne la laisse, et personne d'autre.
--Bon, laisse-moi réfléchir un peu, je lui ai répondu. Et je te donne une réponse dans l'après-midi.
Aude n'aimait pas trop qu'on n'aille pas dans son sens. Elle a commencé à bouder nettement. Il y avait pas mal d'images qui se dessinaient dans ma tête, de possibilités. Je me posais surtout la question de savoir ce que cela signifierait dans notre relation. Qu'on basculerait sur autre chose ? Ou que ce serait simplement une expérience d'un soir ? Avec elle, difficile de savoir...Elle était plutôt fantasque et imprévisible...
Ca a été assez drôle d'ailleurs...On s'est remis au travail, et je voyais bien qu'elle boudait. C'était à la fois parce que j'en avais assez de la voir bouder mais aussi parce que il y avait des images qui s'écrivaient avec de plus en plus de précision dans ma tête que j'ai fini par lui dire :
--Je pense que ce soir, je te rejoindrai chez toi.
Et à ce moment-là je n'ai plus eu la tête.
Sans doute pour marquer que l'accord entre nous était scellé, elle s'est levée, a pris la laisse qui n'avait pas bougée, dans son sac, et elle l'a posée devant moi.
--Tiens, ce soir, tu devras l'accrocher à un collier. D'ailleurs...
Elle avait deux sacs avec elle, et je n'ai pas vraiment été surpris de la voir plonger dans le deuxième, et en tirer un collier pour chien noir, qu'elle a passé autour de son cou, a fermé.
--Le voilà...Mais l'accroche c'est pour ce soir...Mais...
Je sentais qu'elle avait envie...Elle n'a pas résisté. Elle a défait son pantalon, l'a enlevé vivement, faisant aussi descendre le string. Il fallait espérer que personne n'arrive. Elle s'est laissée glisser sur le sol, et, à quatre pattes, elle s'est approchée de moi. Elle a poussé une sorte d'aboiement. Dans cette position, je voyais sa croupe pleine, tendue vers moi, ouverte par sa position, mais aussi sa vulve toute gonflée entre ses cuisses. Elle a fait une imitation d'aboiement, a avancé un peu...Elle m'a tourné le dos, et elle a glissé deux doigts dans son sexe, pour l'ouvrir, et me faire voir son intérieur. Elle est finalement repartie à sa place pour se reculotter.
Finalement, je ne regrettais pas d'avoir signé.
--Sympa, non ? Ca ouvre pas mal de perspectives...
On a travaillé jusqu'en fin d'après-midi, calmement, sans rien se dire ou pas grand chose. On avait l'un comme l'autre la tête dans la soirée.
On a fini sur le coup de six heures.
--Je t'attends dans une heure.
Je suis resté seul avec la laisse. Le collier était dans son sac.
Je suis passé chez moi, j'ai posé mes affaires avant de la rejoindre. Elle m'avait entraîné dans son délire, mais à présent, j'avais autant sinon plus envie qu'elle.
Je suis arrivé pile sur le coup de dix-neuf heures. Elle habitait dans une maison rénovée avec trois étages et deux appartements par étage. J'ai sonné, elle m'a débloqué la porte, Elle m'attendait devant chez elle, porte de l'appartement ouverte. Elle avait le collier autour du cou, et en dehors de ça, elle était intégralement nue.
Je connaissais déjà son anatomie, je l'avais vue sous toutes ses coutures, mais la voir à poil, sans rien dessus, c'était autre chose. Le vêtement, même s'il l'exhibait, servait surtout à la parer. Et là, sa nudité, c'était une offrande. Quelque chose qu'elle me jetait au visage, qui m'a frappé de plein fouet quand j'ai été à quelques centimètres d'elle. L'épaisseur de son corps, sa chaleur, m'ont pénétré et transpercé.
--Tu n'as pas peur que tes voisine te voient à poil ?, j'ai demandé.
--Oh, ils ont l'habitude, elle a soupiré, comme si c'était une fatalité à laquelle elle ne pouvait rien. .
Je me suis demandé à quels épisodes, que j'imaginais croustillants, elle faisait référence.
J'avais la laisse à la main, et je suis venu accrocher le mousqueton au collier. Mon initiative a paru la ravir.
--Maintenant c'est toi qui me dis quoi faire...
Je suis rentré dans le jeu immédiatement. J'étais le maître d'une petite chienne, le lien entre nous deux était symbolisé par cette laisse accrochée à ce collier. Je pouvais lui demander ce que je voulais, tout ce qui me passait par la tête, et c'était une perspective enivrante.
--On peut rentrer chez toi ?
On a refermé la porte derrière nous.
--J'ai envie que tu t'occupes de tes seins...Que tu les caresses...
C'était sans doute le moment unique, je n'étais pas sûr qu'il y en aurait un autre, de donner corps aux fantasmes que je pouvais avoir depuis qu'on se côtoyait. Et c'était vrai que, si j'avais eu la chance de pouvoir caresser ses seins avec le prétexte de la pommade, j'avais toujours rêvé de la voir elle les caresser. Elle les a pris dans ses mains, et elle s'est mise à les masser doucement, appuyant, au passage, du pouce sur le téton. Je tenais toujours la laisse, je me disais que la lâcher, ce serait briser le lien qui nous unissait.
Elle s'est finalement uniquement concentrée sur ses tétons. Les tripotant, puis les pinçant. Ils se sont mis à gonfler.
--Et maintenant que tu te tiennes totalement immobile.
Une autre de mes envies, c'était de voir ce corps, qu'elle m'offrait généreusement, de très près. Pouvoir prendre le temps de l'examiner, sous tous ses angles. Elle s'est figée, me laissant profiter de ce plaisir simple : pouvoir la regarder de très près, mais aussi faire glisser mes mains et ma bouche sur sa peau. J'ai effleuré ses tétons, elle a frémi, puis je les ai pris dans ma bouche, les frottant de la langue, Elle a gémi. Ma main a glissé sur son ventre, tournant en des cercles concentriques dessus.
Je me suis accroupi, et je suis venu examiner son sexe de près. Il était déjà très ouvert d'excitation, avec ces lèvres que je voyais toujours sorties d'elle, à des degrés divers, mais jamais sans doute aussi longues et épaisses, gonflées par le sang qui y avait afflué et qui y affluait encore. On voyait bien son intérieur, et son gland clitoridien pointait en haut de ses lèvres. L'ensemble était un work in progress, comme on dit quand on veut faire savant, et sous mes yeux, d'excitation, et peut-être paradoxalement parce que je ne le caressais pas, j'ai vu son sexe se dilater encore plus, et surtout les liquides jaillir avec plus d'intensité, éclabousser nos chairs.
Elle aurait sans doute eu envie que je la caresse, mais moi j'avais envie de la caresser plus tard. Et c'était moi qui avais la laisse.
J'ai continué mon exploration, glissant le long de ses jambes sans faute. Je les appréciais énormément car j'étais toujours très attentif aux jambes des femmes, et je trouvais que les vraiment belles jambes, élégantes et racées, il n'y en avait pas beaucoup.
Je suis parti sur sa partie pile. La descente lisse de son dos, la chute de ses reins qui sans doute donnait une grande partie de son charme à ses fesses, les cambrant, et les projetant en arrière...Comme pas mal d'hommes, j'étais absolument fasciné par les fesses des femmes, leur dessin, leur volume, la manière dont elles pouvaient se projeter, comme offertes aux yeux et aux mains des hommes, le sillon profond qui les coupait en deux, profond et mystérieux...J'ai caressé son derrière, je l'ai touché, j'ai ouvert sa raie, et si j'avais fait le choix de ne pas toucher à son sexe, de la pulpe du doigt, je suis descendu dans son sillon, la maintenant ouverte de l'autre main, découvrant à quel point cette zone était sensible, et évidemment encore plus quand on se rapprochait des plissements anaux. Fasciné par sa muqueuse anale, par la manière dont elle se dessinait, je suis venue la caresser, et les plissements se sont entrouverts comme l'objectif d'une caméra. Elle a gémi, tendant son cul vers moi.
--J'ai envie de te voir à quatre pattes.
Elle s'est laissée tomber sur le sol. J'ai immédiatement aimé cette position, sa croupe projetée et ouverte, la manière dont ses parties les plus intimes se tendaient, s'offraient.
--Viens, on va se balader.
J'avais la laisse à la main. Docile, elle m'a accompagné à travers le grand appartement. Elle remuait du cul comme un chien, et me regardait en aboyant. Je me suis dit que ce n'était sans doute pas la première fois qu'elle se livrait à de telles activités.
--On tente le couloir ?
Son aboiement était sans aucun doute un oui. C'était prendre un risque. Mais j'avais bien compris qu'elle aimait être sur le fil du rasoir.
On a ouvert la porte, et on est partis en déambulation, elle à côté de moi, à quatre pattes.
Et effectivement, ça a basculé.
Il y a un gars, j'ai bien compris que c'était le voisin d'à côté, qui est arrivé sur le palier, rapidement, et on ne l'avait pas entendu monter.
Pris en flag, et impossible de prétendre que la scène n'était pas ce qu'elle était.
Il m'a souri.
--Je vois que vous êtes un ami des animaux.
Aude lui a jeté le même regard qu'elle pouvait me donner. Difficile de ne pas comprendre qu'il y avait eu, et qu'il y avait quelque chose entre eux.
--Vous m'autorisez à lui donner un os ? Je suis un grand ami des animaux.
--Bien sûr, je l'ai encouragé.
J'étais curieux de savoir si le fameux os correspondait à ce que j'avais imaginé. Il s'est mis à nu, dévoilant une queue de belles dimensions, bien qu'elle ne soit sans doute pas totalement érigée, épaisse, mais aussi bien longue. Elle a tendu la bouche vers cette queue à laquelle, si je comprenais bien, elle avait déjà goûté, et a frotté sa bouche contre la chair, qui s'est encore étendue. Je regardais, voyeur et fasciné. Aude, c'était le genre de fille qu'on avait envie de regarder s'offrir à d'autres hommes, leur laisser penser qu'ils se servaient d'elle, alors qu'avec son expertise, c'était exactement l'inverse. Elle frottait la queue, elle est descendue sur les couilles de la langue...Le gars se retenait de ne pas gémir. Je me suis demandé s'il vivait seul ou s'il y avait dans l'appartement une femme et éventuellement des enfants qui l'attendaient. Il n'y pensait sans doute pas, vu le plaisir qu'il éprouvait. Elle a fini par le prendre dans sa bouche. C'était simple, classique, mais efficace, et sans aucun doute d'autant plus bon que c'était Aude qui était à la tâche. Il n'a pas tenu très longtemps. J'ai bien vu sa queue agitée de spasmes, et Aude qui fermait obstinément la bouche. Un long filet, blanc et crémeux, a coulé à la commissure de ses lèvres.
Il est parti sans demander son reste, laissant Aude la bouche pleine d'un sperme qu'elle a fait couler dans sa gorge, à en juger par un déglutissement visible.
On est revenus dans l'appartement.
--Je veux que tu te mettes sur le divan, les jambes en compas.
Elle s'est basculée en arrière. Je tenais toujours la laisse. Elle a posé une jambe sur l'accoudoir, l'autre restant sur une position plus classique. C'était en tout cas suffisant pour qu'elle m'offre ses muqueuses. Ca avait été mon envie, raisonnablement refrénée depuis le départ, que d'avoir accès à ces muqueuses, pas forcément pour mettre ma queue dedans, mais je les voyais tous les jours, et je voulais les regarder de près, et y mettre au moins ma langue. Ma langue est venue au contact de ses lèvres et l'a caressée. Elle a gémi. Son sexe avait considérablement évolué en quelques minutes, ses lèvres et son gland clitoridien avaient pris du volume. Ses liquides intimes coulaient dans ma gorge, sucrés et amers à la fois, abondants, riches comme son plaisir. J'ai enveloppé son gland clitoridien de ma bouche et j'ai doucement tiré dessus...Elle s'est mise à lâcher de petits cris, et elle a joui, son corps secoué de spasmes, éjaculant des jets de ce qui ressemblait à du sperme, en tout cas c'était blanc, Elle a tâché le canapé, arrosé nos chairs.
Quand elle a été épuisée d'orgasmes, j'ai laissé son clitoris pour descendre sur les plissements de sa muqueuse anale que j'ai redessinés de ma langue, comme je l'avais fait du bout des doigts. Son anus s'était refermé, il s'est rouvert sur une muqueuse rouge...Le plaisir était en tout cas aussi au rendez-vous de ce côté là. Elle gémissait, et elle a joui à nouveau.
Mais ce dont j'avais le plus envie c'était une position qui serait dans la droite ligne du jeu.
--Je voudrais que tu te mettes à quatre pattes sur le canapé.
Elle s'est redressée et elle a obéi. Elle m'a dit le lendemain matin, une sorte de debriefing que c'était ce qu'elle aimait, quand elle avait une laisse. Etre prise comme une chienne.
Et moi je l'ai pris comme un chien prend une chienne. Ma queue dilatée comme elle l'était rarement, je suis venu sur elle, et je l'ai couverte. Sa croupe offerte, entrouverte sur son anus dilaté, son sexe entre les cuisses ruisselant sur celles-ci...
J'avais amené des préservatifs, je me suis gainé rapidement d'une capote et je suis venu frotter mon gland contre ses lèvres...Elle a crié, puis poussé un long gémissement alors que je glissais lentement en elle, jusque que je vienne cogner contre son utérus. Je me suis mis à frotter ses muqueuses intimes, bougeant en elle à des rythmes différents, faisant des pauses...C'était bon d'être dans un sexe de femme, de le sentir autour de soi, un gant qui vous prenait et vous procurait des sensations fortes...
Je l'ai fouillée longtemps. On était très loin de nos tâches quotidiennes, mais si on ne s'était pas côtoyés tous les jours, il est fort probable qu'on ne se serait pas rapprochés, mais aussi que je n'aurais pas eu ce désir pour elle qui m'amenait aujourd'hui à la fouiller d'une queue roide de désir.
Elle ne devait rien dire, et donc, elle n'a rien dit, mais il y avait entre nous une certaine complicité, et qui serait sans doute accrue par ce long moment de plaisir, et je suis venu poser mon gland contre sa muqueuse anale. J'ai poussé, et, je suis rentré en elle. Une autre sensation, et un autre plaisir pour elle, je l'ai senti dans son corps, quelque chose de plus fort, de plus intense. J'avais toujours la laisse à la main, et à force d'excitation, j'ai compris que j'allais jouir. Elle l'a senti aussi sans aucun doute. Elle a amené ses doigts contre son gland clitoridien, que je ne voyais plus, mais que je devinais aussi dilaté que ma queue, que je ne voyais plus non plus...Elle a amorcé une série d'orgasmes, et au milieu de ceux-ci, j'ai commencé à jouir, crachant jet de sperme après jet de sperme contre ses parois intimes.
On s'est endormis l'un contre l'autre sur le canapé, et j'avais toujours la laisse dans la main. Quand je me suis réveillé, il était près de minuit. Je me suis éclipsé.
Le lendemain, elle est arrivée radieuse comme jamais.
--C'était bien hier soir...Je voudrais que tu viennes plus souvent...
--Avec ou sans laisse ?
--J'aime bien changer, alors le collier est au placard pour le moment.
--Tu sais, le collier, il est assez grand pour un cou masculin, je lui ai dit.
Son regard s'est illuminé, et j'ai compris qu'elle allait le ressortir du placard.


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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : La laisse partie 2

Le 08/09/2023 - 23:36 par OlgaT
Excitant!

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