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La liste - partie 1

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Lue : 2190 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/02/2017

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Je suis une maison. Une bien belle maison. Perchée au sommet d’une falaise, je surplombe magnifiquement une anse où la mer Égée vient s’écraser. Un peu retirée du village, j’ai été construite pierre par pierre par mon propriétaire. Il y a mis le temps et l’énergie. Je suis son havre et sa retraite.

Âgé pourtant à peine de 45 ans, c’est un homme plutôt bien fait, relativement grand et soucieux de son apparence. Je ne sais toujours pas pourquoi il s’est réfugié dans ce coin un peu perdu des îles Ioniennes. Sans doute parce qu’on était loin d’être une île touristique, les côtes n’offrant que peu de possibilités pour y établir les hôtels et l’infrastructure nécessaire à l’accueil des hordes criantes de touristes. Et finalement, tout le monde s’en félicitait. Lui, est arrivé ici, sans rien dire. Il fuyait, mais je ne saurais dire quoi.
Il m’a donc construite. Il avait les connaissances pour le faire. Les connaissances, le temps et l’argent. Si bien qu’il a construit un petit palace. Grande, lumineuse, j’épouse assez bien le relief local et je me fonds dans l’ensemble. De la mer, on me voit à peine. Du centre de l’île, mes volumes n’heurtent pas et les inquiétudes du voisinage plutôt lointain ont vite été apaisées. Et puis, il a fait appel à beaucoup d’artisans locaux, ce qui fait que sa présence est maintenant acceptée. D’autant qu’il a pu faire valoir son expérience mathématique et dans le secteur de la construction en aidant à aménager plusieurs bâtiments du village. Son apport a été unanimement apprécié.

Je suis bien équipée avec piscine et un vaste terrain souvent desséché par le soleil méditerranéen. J’ai en outre une caractéristique étonnante : je suis parfaitement autonome énergétiquement. Éolienne, panneaux photovoltaïques, système de récupération d’eaux, traitement des eaux usées, etc. Mis à part pour l’eau, qui reste une denrée rare sur l’île, je ne dépends de personne.
Lui, il vit seul. Une espèce d’ermite un peu triste. Quelques heures par jour, il s’enferme dans son bureau pour y travailler sur l’ordinateur. J’ignore ce qu’il fait mais il en tire des revenus conséquents. Et sa vie est donc très confortable.

Ce jour-là, une jeune femme se présente à la porte. Les cheveux noirs comme l’ébène, élancée, assez grande pour un âge que j'estime autour de la vingtaine d'année, elle tient dans ses mains quelques livres. Plutôt jolie, elle semble déterminée et attend qu’on vienne lui ouvrir. Il le fait et l’accueille avec un sourire. Elle habite le bas du village voisin et lui présente sa requête. Elle souhaite des cours de mathématique pour rattraper un retard qu’elle a accumulé depuis quelques temps à l'université. Un peu ennuyé, il hésite à accepter cette tâche qui brise sa routine mais sous l’insistance de la demoiselle et sous l’emprise de son sourire éclatant, il accepte finalement et fixe un premier rendez-vous de travail.

Les rendez-vous se passent généralement en fin d’après-midi, à raison d’une fois par semaine. Les cours sont assidus et il maintient vis-à-vis d’elle une attitude digne et distante. Bien sûr, au fur et à mesure, les contacts se font plus cordiaux, voire plus amicaux. Mais la différence d'âge dresse pur l'instant une barrière. Et si son corps bien entretenu ne laisse pas cette impression, plus de vingt ans les séparent. S’il a une attirance pour son élève, en tout cas, il la cache bien.

Le cours d’aujourd’hui était pourtant un peu particulier. Car après la bonne heure de travail concentré, la discussion s’est poursuivie sur la terrasse. La demoiselle parait toujours sûre d’elle. Elle fait une demande très particulière, demande à laquelle il a du mal à répondre. Elle l'épie avec un regard mystérieux et un sourire doux à faire fondre un iceberg. Car en plus des cours de mathématique, c'est une autre initiation qu'elle désire, plus physique, plus sensuelle, plus érotique. Il la regarde mi- consterné, mi- interrogateur : Comment donc une fille aussi belle pouvait ne pas avoir encore connu la plénitude physique que donnait l'amour?
Je le vois bien ennuyé. Depuis que je le connais, aucune dame n’est entrée ici. Cela doit faire bien longtemps qu’il n’a plus serré un corps de femme entre ses bras. J'imagine les pensées qui doivent se bousculer dans sa tête. Mais elle n’en démord pas et attends une réponse. Elle veut un professeur discret et elle pense de toute évidence qu’il est l’homme de la situation.
Le voyant hésiter, elle plonge la main dans son sac. Et de sortir une liste. Une liste de ce qu’elle veut apprendre et découvrir.

Pendant qu’il lit ce document avec une surprise non feinte, elle s’approche de lui. Sans hésitation, l’effrontée pose sa main sur son entrejambe. De mémoire de maison, je n'avais jamais vu pareille audace. Aussitôt et sans lever ses yeux, il fait un pas en arrière. Elle s’approche à nouveau et recommence son manège. Le deuxième recul est moins franc. A la troisième tentative, il n’y a pas de recul du tout. Elle le caresse ostensiblement et sans aucune retenue. Prenant la mesure du fait que la place intérieure du pantalon devient une denrée rare, elle déboutonne le vêtement, fait glisser la fermeture-éclair et glisse sa main sans autre façon au contact du sous-vêtement.
Elle rive ses yeux dans les siens, inquisiteurs. Il laisse retomber les bras tenant du bout des doigts le document. La main de la belle a fait glisser le boxer, laissant champ libre au sexe pour exprimer tout son volume et sa raideur. Sans attendre, elle caresse la hampe dressée avec énergie, faisant rouler son pouce sur le gland avant de redescendre tout le long du membre tendu. Ce traitement énergique obtient l’effet escompté. Il se raidit un peu plus, entrouvre les lèvres et ferme les yeux, enfin, profitant du service offert. Elle le regarde en souriant et poursuit son œuvre. Sa main virevolte autour du sexe tendu. Parfois, d’un regard, il l’invite, il la guide ; il lui explique. Les mots sont rares, les expressions sont retenues, les soupirs discrets. Un mouvement un peu trop brusque lui arrache soudain une grimace. Elle rectifie la position des mains, elle corrige un mouvement, adoucissant ses gestes, les rendant moins mécaniques, plus sensuels.

Son autre main glisse sous la première et s’en va se refermer sur les bourses. Le double massage produit rapidement son effet. Se laissant emporter par la double manipulation, la respiration du bénéficiaire de la manœuvre se raccourcit, se fait plus rapide. Elle n’accélère pourtant pas la cadence. Posément, étudiant avec attention le visage qui s’en va vers l’orgasme, positionnant avec soin ses doigts et ses paumes, ses mouvements se font amples, longs, complets. Du liquide pré séminal lubrifie le gland qui brille au soleil. Et lorsque qu’arrive le moment ultime, sentant la jouissance proche, elle fait alors un pas de côté. Tenant toujours dans sa main la verge, elle le regarde avec satisfaction se répandre dans un râle profond. De longs jets saccadés vont s’écraser sur le sol. Les dernières contractions expulsent la semence moins violemment. Elle coule maintenant le long du gland, couvrant les doigts de la demoiselle d’un liquide laiteux. Du bout du majeur, elle va cueillir la dernière goutte de sperme qui perle du méat.

Reprenant ses esprits, il remet prestement ses habits en place pendant que d’un geste presque précieux, elle se lave les mains dans l’eau de la piscine. Puis elle vient rechercher le papier qui, dans l’action, lui avait glissé des doigts pour se retrouver par terre. Elle se dirige vers la table du salon où elle prend un stylo et y barre la première ligne. Puis elle rassemble ses affaires, pose un baiser sur la joue de l’homme et s’en va en fermant la porte doucement, le plantant là un peu rêveur.

La semaine est passée lentement, sous une chaleur assez accablante. Je le regarde vaquer à ses occupations, mais comme les jours passaient et la date du prochain rendez-vous approchant, je constate tout de même une certaine nervosité apparaître. A plusieurs reprises, il a relu la liste, ne sachant pas trop comment se préparer. Si bien que, quand la jeune fille sonne à la porte, il fait presque un bond de surprise.
Étonnamment, la séance de travail se passe fort bien et de manière très concentrée. La matière est passée en revue efficacement. Malgré ses lacunes, elle est intelligente et elle apprend vite. Le temps du travail prenant fin, ils sont sortis sur la terrasse pour prendre le soleil de cette fin d’après-midi en même temps qu’un rafraichissement. Profitant du passage de la demoiselle aux toilettes, il se jette dans la piscine, cherchant à calmer sa nervosité et effectuant de longs passages sous l’eau. Quand il sort la tête à la fin de sa derrière longueur sous-marine, elle est assise sur le bord de la piscine, les jambes dans l’eau. Elle a laissé ses vêtements sur une chaise et est là assise en sous-vêtement noirs, bordés de dentelles. Elle est superbe. L'avais-je déjà dit?

Il tente de continuer la conversation comme si de rien n’était, mais ses yeux reviennent en permanence sur ses deux jambes élancées qui tournent dans l’eau à côté de lui. Elle ne perd rien de la situation et semble parfaitement consciente de l’effet qu’elle lui fait. Pour échapper à la tentation, il refait quelques brasses mais quand il revient, sa tête effleure la jambe en mouvement. N’y tenant plus, il se redresse et commence à caresser lentement la cuisse de la belle. Et elle le regarde faire sans rien dire. Afin d’améliorer ses approches, il se glisse entre les deux jambes. Ses mains caressent les cuisses écartées pendant que, faisant fi de toute retenue, ses lèvres embrassent les seins, toujours cachés par le soutien-gorge. La fille n’en prend pas ombrage et dégrafe elle-même l'obstacle, laissant ses seins dorés à la merci de la bouche gourmande de son amant. Sans presque s’en rendre compte, une de ses mains était remontée pour saisir le sein droit. Pendant que sa langue excite longuement le mamelon gauche, qui gonfle sous le traitement, la main gauche se glisse sous le tissu de la culotte, à la recherche de l’antre de la belle. Il le trouve, chaud, humide, avenant. Prenant soin d’éviter toute pénétration qui pourrait déflorer la belle (chaque chose en son temps), il se contente de la caresser du bout des doigts insistant nonchalamment sur le bouton rosé qui domine de plus en plus gonflé la situation.

Elle se cabre doucement, jetant sa tête en arrière. Ses soupirs de plaisir prennent de l’ampleur pendant que sa main s’appuie sur la tête de l’homme qui ne lâche pas la pression sur sa poitrine. Il libère alors sa main droite qui redescend à la taille de la donzelle pour y saisir le côté de la culotte. La seconde main, occupée sous le tissu, quitte son travail pour aller chercher la seconde bride et d’un geste aussi délicat que possible, il fait glisser le vêtement le long des jambes de la belle. Il la prend alors par le bas du dos et l’invite à venir tout au bord des margelles de la piscine. Sa tête descend petit à petit, embrassant chaque centimètre de son ventre, avant de se glisser dans la toison noire. Et d’un coup de langue , il trouve la fente qui s’ouvre comme une fleur. Il s’applique, faisant passer sa langue de droite à gauche, couvrant légèrement toute la hauteur de la vulve, avant de s’arrêter et d’insister sur le clitoris qui réagit aussitôt à la sollicitation.
Les deux mains de la demoiselle se referment sur la tête. Sa poitrine se lève et redescend en cadence. Lui n'arrête pas son travail, au creux d'elle. Les effluves musqués l'excitent et il se concentre. Les vagues de plaisirs se succèdent avec régularité annonçant une jouissance violente qu'elle libère dans un cri qu'elle ne retient pas.

Lentement, il procède au nettoyage du sexe, pourchassant chaque goutte du liquide intime qui s'était échappé en abondance lors de l'orgasme. Il la boit ainsi durant quelques instants, pendant que le calme revient petit à petit aux abords de la piscine. Une fois son œuvre achevée, il s'extrait de l'eau et s'allonge à côté de la jeune fille qui reprend doucement ses esprits. Celle-ci se tourne vers lui et laisse sa main se balader sur le torse mouillé, jouant avec les gouttes d'eau et traçant des rivières imaginaires. Elle descend pourtant rapidement plus bas et se referme sur le sexe à travers le tissu du boxer. Elle le sort de sa prison en coton et le laisse retomber sur le ventre. Sa bouche se rapproche lentement. A quelques centimètres, elle semble un peu hésiter, mais sa langue passe entre ses lèvres et s'en va à l'exploration du membre en érection. Bientôt, ces mêmes lèvres enfournent le bout du sexe avant de glisser le long du corps tendu. Délicatement, elle poursuit ses investigations, découvrant et étudiant les réactions, les caresses qui plaisent, les gestes qui décuplent le plaisir. Elle salive abondamment, lubrifiant l'engin plus qu'il ne faut.

Il ne s'en formalise pas et apprécie le moment. Une main dans les longs cheveux noirs, l'autre sur les fesses de la fille, un doigt dans la raie, le bout de ce dernier caressant la rondelle de la belle, sans se montrer invasif. Elle prend de l'assurance au fil des minutes, pendant qu'il prend parfois le temps de préciser un mouvement, un geste, un endroit sensible. Lui, il sent la sève monter. Elle le sent se tendre. Elle imagine le scénario final et doit prendre une décision. Mais comment juger quelque chose qu'on ne connait pas? Quand le sperme chaud se déverse dans sa bouche, elle ne se retire pas. Prenant soin de refermer les lèvres le long du membre explosant, elle retient tout dans sa bouche, avant d'avaler consciencieusement. Quand il ouvre à nouveau les yeux, elle n'a pas bougé. Elle reste active, recherchant et avalant tout le liquide qui suinte. Et lui, de se rende compte que dans l'orgasme, le doigt qu'il avait placé entre ses fesses et qui caressait sa rosace s'était enfoncé de moitié dans son trou, sans qu'elle émette la moindre objection.

Après quelques minutes de repos, la tête sur le torse de l'homme, elle se lève, récupère ses vêtements, s'habille prestement et boit un verre de limonade. Elle prend ensuite la liste, en barre une nouvelle ligne, vient lui embrasser la joue et s'en va sans un mot.
A suivre.
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Histoire de Keskidi

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