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La liste - partie 2

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Lue : 1066 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/02/2017

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La semaine qui passe est plus calme; Je reste seule et désertée, mon propriétaire état en voyage. J'attends son retour pour retrouver un peu de vie. En attendant, je fais le gros dos sous le soleil écrasant.

Il revient juste à temps pour le rendez-vous. Mon sentiment est même qu'il s'est pressé pour être à temps au rendez-vous. Il a juste le temps d'ouvrir les fenêtres, aérer un peu les pièces et elle sonne déjà à la porte. Il réajuste sa tenue avant d'aller ouvrir.
Le premier contact semble un peu gêné, mais le travail débute sans rien laisser paraître. Les exercices se succèdent avec efficacité et le temps file. C'est avec intérêt que je note que la séance se termine. Elle range ses affaires pendant qu'il va chercher les rafraîchissements en cuisine.

Sans attendre son retour, elle se déshabille entièrement. Sa peau dorée et mate est habituée au soleil, et ce, de toute évidence, dans son intégralité. Elle déroule son élégance sur la terrasse, où elle fait quelques pas en attendant le retour de son amant. Il revient d'ailleurs avec un plateau bien chargé et marque un pas d'arrêt en la contemplant. Elle porte la jeunesse de ses vingt ans comme un étendard, ses seins généreux et fermes attirant le regard. Elle dégage une fraîcheur remarquable et le sourire avec lequel elle l'accueille est plutôt avenant. Sans la quitter des yeux, il dépose le plateau sur la table de la terrasse. Comme à l'accoutumée, la suite se fait sans un mot. Elle s'approche de lui lentement; Elle l'enlace et pose ses lèvres sur les siennes. Il referme ses bras dans son dos. Et le baiser se fait passionné. Elle commence à déboutonner la légère chemise de coton blanc qu'il porte. Sans cesser de s'embrasser, la chemise vole sur les dalles chaudes de la terrasse. Le pantalon subit le même sort et vient s'écraser sur ses chevilles. D'un pas, il l'envoie rejoindre la chemise. Elle a déjà glissé ses mains sur les fesses contractées de l'homme et commence à faire glisser le caleçon vers le bas. Ils sont maintenant nus, serrés l'un contre l'autre. Langoureusement, elle remonte une jambe contre celle de son partenaire. D'une main, il soutient la jambe en la prenant sous le creux poplité. Son érection est franche et le baiser ininterrompu se fait encore plus enflammé.

D'un geste ferme, il la transporte vers un matelas léger jeté à même le sol. Il la couche et s'allonge à ses côtés. Il prend la tête de la jeune dame entre ses mains et la couvre de baisers. Elle l'enlace à son tour et doucement, par de petites pressions, elle l'attire sur elle. Ses jambes s'écartent et il prend place. D'un coup de reins assez lent, il s'enfonce. Elle ne dit rien. Seule une petite grimace laisse transparaître une douleur fugace. Les mains de la belle se crispent dans le dos de son amant. Puis, avec beaucoup de douceur, il se met à aller et venir entre ses hanches.
Les mouvements sont longs, amples, lents. La déchirure initiale a fait place à un plaisir intense et chaque fois qu'il revient au plus profond d'elle, elle gémit de contentement. Sur le bord de la piscine, coincés l'un dans l'autre, ils fusionnent. Elle écarte ses jambes autant qu'elle le peut, ses mains appuient avec force sur le bas du dos, l'invitant à aller plus loin, plus vite. Ses hanches ondulent à la recherche du sexe qui la remplit. Les gémissements se sont mués en cris qu'elle ne cherche pas à assourdir. Les deux corps en feu se lovent l'un dans l'autre atteignant ensemble une jouissance puissante. Un dernier coup de reins, et il se plante en elle, se libérant de la pression grandissante. Elle reçoit le don comme un trésor, refermant ses jambes sur les siennes. Les langues se mélangent et à la violence des sens succède la plénitude apaisante. Après s'être ainsi vidé en elle, il se retire doucement avant de s'écrouler à ses côtés, la poitrine marquant son essoufflement. Sa main traîne gentiment sur les seins de la demoiselle. Elle est toujours couchée sur le dos, une jambe tendue, l'autre pliée et écartée, laissant aux oiseaux le spectacle érotique de son sexe ouvert, comblé, perlant de plaisirs mélangés.

Elle se lève ensuite et va chercher sur la table deux verres de limonade. Elle se tient debout devant lui, souriante, repue. De la semence s'écoule sur l'intérieur de sa cuisse mais cela ne la dérange pas. Elle dépose les verres sur une dalle puis plonge dans la piscine. Deux minutes plus tard, il la rejoint et ils nagent ainsi de concert durant de longs instants.
Puis, elle sort de l'eau, s'essuie avec patience, et remet ses habits. Elle coiffe ses cheveux humides grossièrement et prend ses affaires. Avant de partir, elle prend la liste et en barre une ligne complémentaire. Elle étudie les points restant à découvrir, lui sourit et lui fait un petit geste d'au revoir. Elle s'en va, sans un mot, le laissant un peu hagard dans la piscine, accoudé sur le bord. Seule une tache rougeâtre sur le futon trahit encore les ébats qui viennent de se terminer et l'initiation qui en a découlé.

J'observe avec attention le déroulement des journées qui ont suivi. Son activité semble normale. Le temps est toujours au soleil bien que certains nuages noirs semblent annoncer quelques pluies qui ne seraient pas de trop pour arroser quelque peu un paysage assez aride. Je sais quand arrive le jour du rendez-vous. Ce jour-là, la liste réapparaît sur la table. Trois lignes sont déjà supprimées. J'ai par contre un peu de mal à voir ce qui demeure annoté.

Quand elle arrive, elle surprend son hôte. Habillée d'une petite robe très légère, pourvu d'un décolleté plongeant qui met en exergue ses seins superbes, elle est très souriante et avant d'entamer le travail, elle embrasse fougueusement son professeur.

Attablée à la grande table en verre dans la salle à manger, elle se concentre sur ses exercices. Pourtant, son attitude me paraît étrange. Bien penchée en avant sur la table, elle laisse au professeur une vue plongeante sur le décolleté qui doit mettre à mal son attention. Pourtant, il résiste. Je vois son regard tendre à plonger entre ses seins mais qui s'en retire aussitôt. Il tourne sur ses talons pour éviter l'attrait magnétique que semble exercer sur lui la demoiselle. Elle s'en rend compte et joue avec lui en souriant. Elle n'arrête pas de l'appeler, de l'inviter à venir corriger un problème et chaque arrivée dans son dos, quand le visage du professeur passe par-dessus son épaule pour lire les réponses, devient moment à faire monter la température. Quand il se réfugie en face d'elle, elle n'est guère plus sage. En écartant volontairement les jambes, il ne peut que voir l'éclatante culotte blanche qu'elle porte. Pendant une heure, jouant ainsi au chat et à la souris, elle s'applique à exciter le professeur. Profitant d'un passage de la demoiselle par les toilettes, il pense bénéficier d'un répit mais il n'en est rien. Quand elle revient s'attabler devant ses cours, une vue directe sur son entrejambe lui fait constater qu'elle a enlevé sa culotte. Sa robe remontée en haut de ses cuisses ne cache plus sa toison noire ni les contours de son sexe. La tension sexuelle monte d'un cran quand elle termine les dernières lignes de calcul. Il fait alors lentement l tour de la table sous le regard amusé de la jeune femme. A son approche, elle se lève de la chaise. Il se plante devant elle, l'attire à elle en plaquant ses mains sur ses fesses rebondies. Le geste un peu brusque est suivi d'un baiser enflammé. Pendant que les deux langues se cherchent avec ardeur, les mains du professeur se sont glissées sous la robe et elles malaxent avec énergie le postérieur de la demoiselle. Sentant l'érection contre son ventre, elle dégage avec célérité le pantalon puis le caleçon, libérant le sexe du professeur de sa prison de tissu. Elle commence alors à le caresser. Toujours un peu sèchement, il a retourne et la force à se pencher sur la table. Il relève la robe sur le dos et devant le cul ainsi présenté, il approche son sexe. Après avoir fait glisser son gland le long de la vulve offerte, il s'enfonce en elle d'un coup sec. De surprise, elle lâche un cri.

Sans perdre de temps, avec brusquerie, il libère sa frustration accumulée durant une heure. Il la pistonne rapidement. Ses hanches claquent contre les fesses de la demoiselle. Il grogne de manière sonore. Malgré la prise à la hussarde, la tête collée à la vitre de la table, elle sourit en l'entendant s'exciter en elle. Elle y prend même un plaisir certain, l'encourageant de paroles crues qui décuplent son ardeur. A ce rythme, il ne peut pas se retenir bien longtemps. Ses derniers coups de rein sont plus rapides puis, dans un râle, il décharge bruyamment dans la chatte détrempée. Après un bref moment de retour à la réalité, il se retire du fourreau. Un filet de sperme s'écoule entre les lèvres encore gonflées et rouges, avant d'aller maculer le carrelage. Pendant qu'il s'en va sans un mot sur la terrasse, elle reste encore de longues minutes dans cette position, calmant sa respiration et fouillant son intimité de deux doigts inquisiteurs, les noyant dans un fluide poisseux. Cela ne diminue pas son excitation non encore assouvie.

Elle le retrouve, couché sur la terrasse. Sans attendre, elle se place à califourchon sur lui, son sexe à hauteur de la poitrine de l'homme. Sous ses yeux avides, l'antre de la demoiselle se découvre, encore béante, libérant liquide et effluves puissantes. Avec de petits mouvements du bassin, elle frotte son entrejambe sur le torse velu de l'homme qui la regarde faire. Elle répand méticuleusement dans les poils du ventre masculin les résidus du premier assaut en reculant petit à petit. Ce faisant, elle s'excite violement, les poils du torse ayant un effet abrasif sur le clitoris qui n'en demande pas tant. Quand elle sent le sexe de son partenaire contre ses fesses et après avoir constaté que ce dernier avait retrouvé tout son volume, elle soulève son bassin, saisit le sexe turgescent entre ses jambes, le présente à la porte de son vagin et s'empale sur lui avec une visible délectation. Elle se laisse aller en arrière et ses deux mains s'appuient sur les cuisses de l'homme. Sa poitrine se trouve ainsi offerte et tendue et dans cette position, elle entame des mouvements du bassin qui se font très rapidement fort véloces.

Surexcitée, remplie, elle jouit vite, sans attendre, bruyamment et intensément. Il la regarde grimacer de plaisir, toujours planté en elle, sentant le vagin se contracter en vagues puissantes. A peine sortie de son orgasme, elle se bascule sur le côté et se place à 4 pattes, lui présentant sa croupe accueillante. Sans trop d'hésitation il se relève et se place derrière elle. Il se met un peu plus haut et présente son sexe encore recouvert des liquides intimes de la belle à la porte de derrière. Et sans avertissement, il commence à la sodomiser.
Centimètre par centimètre, le gland progresse dans le fondement. Le chemin est étroit et le corps ne se laisse pas faire. Il insiste. L'orifice s'élargit chaque fois un peu plus et la verge lubrifiée poursuit son avancement jusqu'à ce qu'enfin, elle soit entièrement entrée. Le cul de la belle n'est plus territoire vierge et la sensation semble divine pour lui. La sodomie est plus douloureuse pour elle mais elle l'enjoint de poursuivre. Et il commence donc ses va et vient, retournant chaque fois au plus profond d'elle. Elle se laisse tomber sur ses avant-bras puis en ayant jaugé son équilibre, elle envoie un de ses mains à la rencontre de son bouton rose. Avec deux doigts experts, elle le stimule pendant que son amant poursuit ses allers-retours. Les halètements, les gémissements et les cris se succèdent, laissant présager la jouissance imminente. Ainsi pénétrée, calée par deux mains crispées à ses hanches, elle le sent jouir au fond d'elle à grands jets saccadés.

Quand il se retire, apaisé, il s'allonge à ses côtés. Elle se laisse aussi tomber, une main toujours entre les jambes. Avec ses doigts, elle remonte entre ses fesses pour aller y chercher le sperme qui s'écoule. Puis elle poursuit sa masturbation intense durant quelques instants avant de se laisser emporter par un nouvel orgasme. Alors, satisfaits, ils s'endorment.
Quand il ouvre les yeux, elle n'est plus à ses côtés. Ses vêtements ont disparu. Sur la table, la liste est toujours là. Mais les deux dernières lignes ont été barrées. Le temps des découvertes semble terminé et il en est déçu.

Les rendez-vous se sont arrêtés. Il a reçu par la poste copie d'un bulletin, où l'examen de mathématique apparaît comme réussi. Avec un petit mot écrit sous la page : merci.

Un jour, quelqu'un se présente à la porte. Une dame d'une trentaine d'année, plutôt bien faite, demande s'il est possible d'avoir des cours d'informatique. De son sac, ensuite, elle sort un papier qu'elle lui tend. C'était une liste. Dans son caleçon, il sent un début d'érection.
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Histoire de Keskidi

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