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La maison du bonheur

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Lue : 10891 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/03/2012

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Je sortais avec Léa depuis près de huit mois et cela faisait maintenant quelques semaines qu'elle m'avait présenté à sa petite famille. Son père, Alexis, était un homme vraiment sympa et charismatique, bien conservé, autant dire un homme auquel j'aimerai ressembler dans trente ans. Néanmoins ce n'était pas son père qui m'avait tapé à l'oeil mais sa sœur Lou et sa mère Julie, deux brins de femme qui restaient gravées dans votre esprit des heures après les avoir vu. Léa n'avait rien à leur envier, une belle plante de vingt ans ; la peau halée, avec ce qu'il faut là où il faut. Tout allait parfaitement entre nous, il n'y avait jamais un blanc quand nous étions ensemble et au niveau sexuel, la compatibilité était parfaite aussi. Elle avait compris une chose importante ; le sexe était indispensable pour qu'une relation dure et elle savait briser la monotonie que ce soit en voiture, dans les cabines d'essayage d'un grand magasin ou au dernier rang d'un cinéma. Apparemment, je devais la combler aussi vu les quelques allusions que ses copines me faisaient après quelques verres visiblement trop profonds pour elles. Il fallait dire que la nature m'avait bientôt bien doté et que je n'avais jamais été complexé dans les vestiaires des hommes.

Après quelques repas familiaux qui s'étaient parfaitement déroulés, j'eus enfin le droit de passer ma première nuit sous le toit familial. Une fois le dîner terminé, je montais avec ma douce dans sa chambre puis nous nous installâmes confortablement dans le lit après avoir ôter une première couche de vêtements afin d'être à l'aise. Un bon vieux film français passait à la télé mais Léa ne devait pas trouver ce dernier très intéressant puisqu'elle décida de disparaître sous les draps pour entamer une activité d'un tout autre genre. Je sentis ses baisers sur mon torse puis mon ventre jusqu'au moment où elle décida de caresser mon membre à travers le caleçon tout en massant mes bourses. Il n'en fallu pas d'avantage pour que la bête se dresse et ne se retrouve à l'étroit. Léa commença alors à me branler à travers le caleçon ce qui m'arracha un petit râle de plaisir. La sensation du gland contre le tissu était particulièrement agréable. Elle décida enfin d'attaquer les choses sérieuses en libérant mes vingt centimètres de chair et en les plongeant dans sa bouche humide. Elle glissa sa langue sur tout le long de mon chibre gorgé à bloc puis s'attarda sur mon gland rouge vif. Je lui attrapai l'arrière du crâne alors qu'elle avalait ma bite et la suivait dans son mouvement de va-et-vient au rythme de mes soupirs. Elle accéléra encore et je sentis la jouissance monter mais dans un ultime effort je relevai son visage et conservai ma semence bien au chaud. C'était à mon tour de jouer avec ma langue. Je me levai du lit et l'attrapa pour l'asseoir en face de moi. Sans perdre une seconde, j'écartais son string et commençai à lécher son sexe humide. Le cunni était l'une des pratique que j'adorais le plus, j'aimais sentir les muscles du bas ventre et des cuisses de ma copine se crisper, j'aimais l'odeur, j'aimais le contact. Je posais ma bouche entière sur son clitoris comme si je lui donnais un baiser fougueux puis suça son bourgeon avec force comme si j'essayais vraiment de dévorer son sexe. Elle sera ses cuisses autour de mon cou, agrippa mes cheveux pour me dire d'y aller encore plus fort tout en gémissant comme une chienne. Je ne pouvais presque plus respirer mais je continuais de lui aspirer son antre, le nez dans quelques poils parfaits à mon goût. L'excitation était à son comble et je ne pouvais plus me retenir. Je brisais l'étreinte, l'attrapai avec force pour la poser sur son bureau. J'empoignais mon sexe raidi au maximum, le frotta quelques secondes contre son pubis légèrement poilu puis plongea mon sexe dans son vagin sans plus attendre. Là, je n'avais plus envie de faire l'amour mais vraiment de baiser. Chaque coup de rein claquait contre ses cuisses alors qu'elle m'entourait la taille de ses jambes et que ses ongles s'enfonçaient dans mon dos. Les va-et-vient violents durèrent quelques minutes, je sentis le foutre monter mais je contractais mon sexe et ralentit le rythme.
"Je peux avoir tes fesses chérie ??"

Elle rigola mais j'avais compris ce que son rire voulait dire. Pas aujourd'hui encore. J'avalais ma frustration puis recommençai mon pilonnage. Cette fois-ci, je ne retins pas ma semence qui dégoulina le long de son sexe et termina sur la moquette. La porte bougea et nous restâmes comme paralysé avant d'éclater de rire. Je l'embrassais en mordillant ses lèvres puis après une étreinte chaleureuse nous retournions au lit, nus. Il était encore tôt mais ce petit exercice nous avait bien fatigués. Léa s'endormit rapidement alors que mes yeux se fermaient aussi doucement mais un son brutal de la télé me tira de ma torpeur. Je regardais le réveil ; 11 heures. Mon regard se porta sur le plafond puis sur Léa. Je regardais ses épaules dénudées et déjà le désir circulait dans mon sang jusqu'à mon sexe. J'embrassai son cou mais elle se retourna me laissant moi-même avec ma semi érection. Je pris conscience à ce moment que je sentais la transpiration et que j'avais encore du sperme sur le pubis, il n'en fallait pas plus pour que je décide de prendre une douche. Je pris une serviette dans l'armoire de Léa et me dirigeai vers la salle de bain. Je traversais le couloir plongé dans l'obscurité, me rendit dans la salle de bain puis me jetais rapidement sur la douche. Après m'être asperger de gel douche sur tout le corps, je lubrifiais mon pénis jusqu'à que ce dernier atteigne sa taille adulte. Je décalottai mon sexe doucement et commençai à me branler sous une douche d'eau chaude ce qui rajoutait à mon plaisir. Le souvenir de la petite partie de début de soirée me faisait de l'effet surtout que j'y rajoutais quelques images comme celle du fessier de Léa qui s'offrait enfin à moi. J'augmentais la cadence de mon poignet quand la porte s'ouvrit soudainement. Lou se tenait devant moi dans un peignoir. Elle resta un bon moment debout, le visage fermé sans que je puisse deviner ce qu'elle pensait. Je me rendis enfin compte qu'elle ne me regardait pas mais qu'elle fixait mon large sexe dressé fièrement et encore plus volumineux sous l'effet de l'eau chaude. On se regardait sans trop savoir quoi dire et c'est alors, sous l'effet de l'excitation, que les mots sortirent de ma bouche sans que je m'en rende compte.
"Si tu veux prendre une douche, ne te gêne pas... Il y a de la place pour deux …"

Je pris conscience de ce que je venais de dire et voulu revenir en arrière mais à mon grand étonnement, elle détacha son peignoir et se posa nu devant moi. Elle n'avait que 18 ans soit trois ans de moins que moi et sa sœur et son corps indiquait l'inexpérience, une fragilité des plus excitantes. Des petites fesses, des petits seins fermes et surtout une chatte totalement rasée qui m'envoutait. Elle passait pour être la fille sage de la maison, toujours bien habillée, sans problème à l'école mais elle cassa rapidement cette réputation avec moi. Elle entra sous la douche et sans plus attendre, elle s'agenouilla devant moi pour me tailler une pipe dont je me souviendrais encore longtemps. Je restais médusé et ne pouvais rien faire d'autre que de tenir sa tête pour suivre le mouvement en râlant.
«J'hallucine … c'est une vraie salope en fait ».

Elle arrêta la fellation puis se releva me laissant frustré. En face de moi, elle empoigna mon sexe et le branla alors que l'eau nous tombait dessus et que nous nous embrassions. Elle s'écarta un peu.
"Ca fait des mois que je décline des propositions de mecs de ma classe car je ne veux pas être comme toutes ces filles qui baisent à droite et à gauche mais quand j'ai vu ton sexe j'ai pas pu résister...j'en peux plus, prends moi."
"Tu veux dire que … tu ne l'as jamais fait ??"

Elle me sourit, le même sourire que sa sœur qui voulait dire non, pourtant quand je pensais à sa fellation, j'avais du mal à y croire. Cette révélation m'excita encore plus car je n'avais jamais dépucelé une fille, Léa ayant déjà pratiqué la chose avec de me connaître
"Ça risque de faire mal …"

Pas effrayée, elle prit mon sexe à pleine main et le présenta à l'entrée de sa chatte rasée. Le contact de la peau lisse et les tentatives pour faire rentrer ma queue faillirent me faire éjaculer mais je résistais tant bien que mal. On rigola, puis je décidais d'y aller en douceur. Je passai un doigt, puis deux, puis trois alors qu'elle commençait à se déhancher sur ma main prise par le plaisir. Après cinq minutes de massage, je pris le gel douche et frotta son sexe et le mien avec en les couvrant de mousse et les rendant parfaitement glissant. Je présentai enfin mon gland à la porte de son sexe puis poussa légèrement malgré la résistance. Ma queue entrée à moitié ce qui lui tira une grimace alors qu'un filet de sang coulait le long de mon chibre et de ses cuisses.
"Vas-y c'est bon … oui vas-y …"

Elle empoigna mes fesses m'incitant à y aller plus fort. Je rentrais mon sexe d'avantage et commençais des va-et-vient assez lents, la position debout n'étant pas la plus aisée, surtout dans une cabine de douche. Lou gémissait et ce son me transforma en véritable bête. Après une première approche douce mais géniale, je la soulevai par les fesses puis la bloqua contre le mur avant de replonger mon sexe dans son vagin avec force et de la baiser, c'était le mot. Mon dard entrait et sortait à toute vitesse de ce tunnel étroit, jamais emprunté encore, ce qui rendait la sensation encore plus forte. La pression à l'intérieur de son vagin était tout simplement idéale. Cela ne dura que cinq minutes avant que je ne lâche ma semence sur son ventre et que celle-ci ne disparaisse emportée par l'eau. Elle poussa un long soupir puis lécha le contour de mon gland et de ma queue qui n'avait jamais été aussi vive. On s'embrassa comme si nous sortions ensemble puis après nous être lavés réciproquement tout en nous donnant des caresses, nous avons quitté la salle de bain à quelques minutes d'intervalles.

Je rentrai dans la chambre de Léa toujours endormie puis me plongeai dans le lit . Je la regardais dormir culpabilisant de ce que je venais de faire mais le souvenir de sa sœur dissipa tous les doutes. Je m'endormis vaguement mais la faim me tiraillait vraiment. Se taper les deux sœurs n'avait apparemment pas vidé que mes couilles. Je restais à somnoler pendant une heure ou deux ayant trop la flemme de me lever mais je n'arrivais pas à dormir non plus. Je regardais le réveil
« 3h30 du matin … génial »

Puis n'arrivant pas à dormir, je me levais finalement et me rendis à pas lent dans la cuisine, en caleçon. J'avalais rapidement quelques raisins et ouvrit la porte du frigo pour attraper un yaourt. Je fermai la porte du frigo puis me retourna pour tomber nez à nez avec Julie, la mère de Léa, en nuisette transparente. On se regarda, moi gênée avec la tête du voleur pris sur le fait accompli, elle souriante, avec l'expression de ceux qui ont des idées en tête.
"Désolé, je voulais pas vous réveillez."
"T'inquiète pas Jérome, je sais pas pourquoi je n'ai pas sommeil cette nuit …"
"La pleine lune …"
Elle rigola en exposant sa nuque. Une technique vieille comme le monde qui n'était pas sans effet. Elle avait un charme ténébreux, hypnotisant, des longs cheveux bruns bouclés, un regard perçant et surtout un charisme que n'avait pas ses filles. C'était une femme à poigne qui avait des responsabilités au boulot sans que cela gêne sa vie de famille. Une femme moderne, libérée sans être vulgaire, attirante. Mal à l'aise, cette fois-ci par le désir qui montait en moi, je tentais de m'échapper, mais Julie était une veuve noire qui ne laissait pas sa proie s'échapper.
"Tu es pressé ?? je croyais que tu avais faim ?"

Elle désigna ce que j'avais dans la main . "Tu sais, Alexis est un homme génial et je l'aime vraiment mais comme tu le vois ce soir, il travaille beaucoup et s'absente souvent et du coup moi aussi il me laisse affamée, mais affamée d'autre chose …"

Elle s'avança vers moi d'un pas ensorcelant tout en retirant sa nuisette. Nue, elle avait un corps de mannequin, une poitrine volumineuse, des hanches galbées. Je m'attardais sur sa moule poilue par contre mais étrangement ce côté sauvage m'excitait encore plus. Je reculais silencieux mais mon sexe tripla de volume en dix secondes. Elle me bloqua contre l'évier.
"Intéressant …"

Je pouvais sentir son parfum, envoutant, je ne pouvais plus reculer et surtout je n'en avais plus l'envie. Elle savait ce qu'elle voulait et prit la direction des opérations faisant de moi un simple jouet sexuel. Elle plongea sa main dans mon caleçon et commença à me branler tout en se collant à moi pour m'embrasser. Pour la troisième fois de la soirée, je me laissai aller à mes pulsions et lui rendit son baiser. Je sentais sa poitrine contre mon torse ce qui me donnait une terrible envie de la croquer. Je lui léchai le cou alors qu'elle me caressait la queue d'une main et les cheveux de l'autre, puis plongea ma tête entre ses seins. Ma langue parcourut sa poitrine, s'arrêta sur un téton, puis perdant l'esprit, je lui laissai un suçon un énorme suçon sur le sein droit. Elle rigola.
"Je sais pas comment je vais expliquer ça à mon mari !il faut que je rende l'appareil !"

Elle baissa mon caleçon et avala ma queue d'un seul coup l'envoyant jusqu'au plus profond de sa gorge et répéta l'opération plusieurs fois. Puis elle passa sa langue sur mon manche avant de s'arrêter au milieu et de m'y laisser une marque violacée.
"un partout …."

Elle se releva puis se posa sur la table, les jambes écartées, me faisant voir sa chatte si attrayante. Julie attrapa le yaourt que j'avais posé et commença à le vider sur ses cuisse et remonta avec jusqu'à son pubis puis me regarda en souriant. J'avais compris ce qu'il me restait à faire …. Je m'approchai le sexe toujours dressé et commença à embrasser ses cuisses et léchant le yaourt qui dégoulinait. Je sentais un frisson parcourir son corps alors que je m'approchais de plus en plus de son sexe. J'arrivais finalement jusqu'au clitoris que j'embrassais avec envie avalant tout ce qui se présentait. Je lui suçais le con tout en glissant mon index dans son vagin. Elle poussa un gémissement qui me fit encore bander d'avantage. Je continuais de jouer avec son clito quand elle m'arrosa littéralement le visage de jus. Je m'arrêtais quelques secondes surpris par ce mélange peu commun.
"Je t'avais pas prévenu ??"

Elle rigola ce qui ne me donna que plus envie de la prendre, surtout que l'odeur m'excitait.

Je l’attrapai avec force et plongea mon sexe dans sa chatte trempée. J'y allais comme une brute et mes cuisses claquaient contre son corps faisant un bruit étonnant surtout dans une maison silencieuse en plein milieu de la nuit. Cela dura cinq minutes mais, à vrai dire, ça glissait tellement que le frottement était presque inexistant et que le plaisir était moins intense. Elle devait le ressentir car elle attrapa ma queue et la sortit de son antre.
"On va résoudre ça …tu diras à Léa de mettre une clé dans la serrure car même si la porte est fermée, on peut tout voir."

Je ne compris ce qu'elle dit que lorsqu'elle se tourna et qu'elle me présenta ses fesses. J'étais au bord de l'éjaculation rien qu'à l'idée d'enculer ma belle-mère, mais l'occasion était trop belle pour tergiverser. Je présentai mon gland au bord de son anus et commença à forcer le passage en m'aidant de la main. Le passage était bien serré, j'utilisais alors le reste du yaourt comme lubrifiant tout en passant un puis deux et trois doigts dans son cul. Elle soupirait déjà mais cela n'était rien comparé au moment où je réussis enfin à passer mon gland puis le reste de mon sexe. Le mélange du chaud et du froid, le canal bien étroit me procurait déjà un plaisir fou sans que j'ai à faire le moindre mouvement mais je ne pouvais plus attendre plus longtemps et commença à donner des coups de reins de plus en plus violents et rapides. J'alternais accélération et ralentissement tenant fermement son cul entre mes mains. Je retirai ma queue puis me posa sur la chaise, mon sexe dressé comme jamais, le gland violacé. Elle s'assit sur moi, son postérieur absorbant ma queue facilement. Alors qu'elle commençait ces mouvements de haut en bas, je pouvais contempler son corps parfait, ses hanches, ces seins que je caressais maintenant. Cela parut durer une éternité tellement la sensation était bonne.
Au bout de quelques minutes, je sentis le plaisir monter et poussa un râle plus proche de l'animal que de l'homme. Julie se retira rapidement et me suça jusqu'à recevoir plusieurs giclées énormes de foutre sur le visage et au fond de la bouche. Elle avala en esquissant un sourire diabolique et vint m'embrasser me faisant gouter mon propre sperme. On resta se caresser, elle assise sur moi pendant cinq bonnes minutes jusqu'à que mon sexe reprenne son état initial.
"T'es une vraie bombe … on remet ça quand tu veux."
"Tu sors pas avec ma fille toi ?"

Elle rigola, remit sa nuisette et me laissa à bout de souffle et vidé sur ma chaise, le pubis encore couvert de yaourt.
Il va falloir repasser sous la douche …

Je souris à cette idée mais il ne se passa plus rien après cette soirée de folie où je me suis tapé toutes les femmes de la maison. Je ne sors plus avec Léa aujourd'hui mais elle fait toujours partie de mes plans cul sans savoir que sa sœur et sa mère aussi.
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Histoire de Garame

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