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La milf et le cambrioleur

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Lue : 1303 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 01/03/2020

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Je reprends conscience d’un seul coup, passant sans transition du néant à la réalité. Un néant bien épais. J’ouvre les yeux et ce qui m’entoure s’impose à moi. Un instant, je ne sais plus qui je suis, et ce que je fais là. Et puis tout revient. Je me souviens que je suis une petite frappe sans guère d’avenir, qui vit depuis plusieurs années de combines pas très propres. Je n’ai jamais vraiment aimé le système. Il faut dire qu’il ne m’aime pas vraiment non plus.
C’est en passant une semaine plus tôt dans le quartier, je suis pour ainsi dire en repérage perpétuel, que je me suis rendu compte qu’il serait parfait pour une série de cambriolages en toute quiétude. De très beaux pavillons des années soixante, souvent occupés par des personnes âgées. Certains fermés par leurs propriétaires partis en maison de retraite.
Je me suis dit que ce serait du velours. Preuve qu’il ne faut jamais être trop arrogant.
J’avais prévu de passer une nuit, voir ce que je pourrais récupérer dans les maisons abandonnées. J’étais convaincu que le contenu de certaines était resté intact. Ce serait l’occasion de se servir.
Deux semaines plus tard, je suis arrivé sur le coup de minuit. J’ai attendu un moment avant d’attaquer. Il fallait toujours attendre que le premier sommeil des gens soit passé, qu’ils soient vraiment endormis.
La rue était totalement plongée dans l’obscurité. Une heure du matin. C’est le moment d’agir.
Avec le plan du quartier en tête, je me glisse dans la première maison. Celle-ci est intacte. Je fais main basse sur des bijoux, du matériel audiovisuel. Ca démarre plutôt bien. Je charge tout dans des sacs que j’amène à ma fourgonnette.
La deuxième maison a été vidée de son mobilier. Je glisse donc dans la maison suivante. Là, c’est le jackpot. Je trouve, cachée dans le cuisine, enfin cachée, c’était vite dit, une poche plastique contenant de l’argent liquide. Ca fait longtemps maintenant que je cambriole, et je connais toutes les cachettes soi-disant insoupçonnables, et où je vais immédiatement. La cuisine est l’un des lieux privilégiés.
Et il a cette maison. Celle de ma chute.
Je crois qu’il y a eu plusieurs facteurs qui ont fait que je me suis endormi. Le fait que la nuit généralement, on dort, même si je suis habitué à vivre la nuit. La fatigue de tout transporter. Le stress.
Je suis passé par le garage. Il y avait cette chaise, au fond. Je me suis dit ‘Je me pose deux minutes et je repars après.’ Le problème, ça a été que je ne voulais pas fermer les yeux, mais je les ai quand même fermés. Et quand je les rouvre, la donne a changé.
Je comprends que j’ai été trop sûr de moi. Le plan que j’ai dessiné dans ma tête était faux, et j’ai pénétré dans une maison habitée.
La femme qui se tient devant moi porte un peignoir ouvert sur une nuisette couleur marron glacé. Mais ce n’est sans doute pas le plus important. Non, le plus important, c’est l’automatique qu’elle a à la main et qui est braqué sur moi. Et la manière qu’elle a de le tenir dit clairement qu’elle sait s’en servir.
—Si jamais tu bouges, et que tu tentes de t’enfuir, je te fais sauter un genou. Tu penses peut-être que je ne sais pas m’en servir, mais tu te trompes. Je fais partie d’un club de tir, je m’entraine régulièrement, et j’ai gagné plusieurs médailles dans des compétitions. Tu me rétorqueras sans doute que tirer sur une cible et sur un homme, ce n’est pas la même chose. Je peux t’assurer que ça ne me fait ni chaud ni froid.
La manière dont elle tient son arme, mais aussi son regard déterminé me disent clairement qu’elle ne bluffe pas. Alors je préfère me tenir coi.
C’est elle qui pour l’instant a les cartes en main.
Il va falloir que je me sorte de là. Je me suis déjà tiré de situations difficiles, mais là j’ai le sentiment que ça n’est pas bien parti.
—Tu vois, je suis plutôt insomniaque, et j’aime bien me mettre à la fenêtre. Je guette tous les détails de la nuit. C’est comme ça que je t’ai vu arriver il y a une heure et demi.
Il faut espérer qu’en parlant, son attention se relâche. Mais rien n’est moins sûr.
C’est à force de garder mon attention fixée sur elle que je réalise que c’est une vraiment belle femme, même si dans le stress, je n’ai pas remarqué ça au premier abord. Elle est très grande, je dirais un mètre quatre-vingt-huit, un visage plutôt allongé, bien équilibré, avec une bouche charnue et des pommettes hautes, ses cheveux d’un blond cendré venant encadrer son visage.
La nuisette, courte, décolletée et collante, laisse voir des pans de son corps, et deviner le reste. Elle a une poitrine généreuse, qui tend le tissu, une taille fine, un ventre plat, elle doit faire pas mal de sport pour s’entretenir. Ses jambes sont vraiment bien dessinées, dont on peut voir la quasi intégralité parce que la nuisette s’arrête haut. Je me demande si elle a une culotte dessous.
Comme si c’était le moment d’avoir des pensées pareilles…Ce n’est pas non plus le moment d’avoir une érection, pourtant je sens ma queue se durcir.
—Je t’ai vu rentrer dans une maison, ressortir avec ton butin, passer à une autre, puis à une troisième avant de venir ici. J’étais convaincu que tu allais venir ici et je t’attendais. En fait, ça a été cocasse. Je pensais que tu rentrerais par le garage. Et c’est bien ce qui s’est passé. Je me suis tapie dans l’ombre et tu ne m’as même pas vue. Tu t’es posé sur la chaise et tu t’es endormi. C’est trop bête, non ?
Je n’ai rien à répondre. Elle continue.
—Il y a quelque chose que tu ne sais pas encore… Je suis mariée. Et mon mari travaille de nuit cette semaine. Tu sais pourquoi ? Il est flic…
Je me sens totalement cerné.
—Je te propose une porte de sortie, elle dit, en brisant le silence qui s’installe.
Je la regarde, surpris. Je comprends bien que c’est une tactique. Elle me manipule depuis le début. En même temps, je n’ai pas vraiment le choix. Elle me tient.
—Tu es plutôt beau garçon, je m’en suis vite rendue compte. Je vais te mettre les points sur les I. Je suis en manque de sexe. J’ai envie de baiser, en d’autres termes. Mon mari ne me touche plus, malgré mes demandes. A peine une fois par mois, je ne sais pas si tu te rends compte de ce que ça peut signifier. J’ai l’impression d’être vieille avant l’âge.
Je pensais qu’il avait une maitresse, mais je l’ai suivi pendant une semaine. Rien. Il va au travail et il rentre. Ou alors c’est une collègue qu’il s’envoie dans les locaux de fonction, mais j’en doute.
J’ai tout le temps envie de baiser. Je ne fais que penser à ça. Et toi tu arrives… Comme un cadeau envoyé du Ciel. Tu as une belle petite gueule. Regarde-moi, et dis-moi si tu es intéressé.
Elle soulève sa nuisette après avoir posé son arme. On entre dans autre chose où l’arme et la menace n’ont plus aucun rôle. J’en prends plein les mirettes. Entre le suggéré et la nudité, il n’y a réellement pas de déperdition. Des hanches larges, certes, de femme qui a enfanté, mais ça me plait, un ventre plat, une taille fine. Plus haut des seins, qui, malgré son âge, ne tombent pas, charnus et fermes, avec de larges aréoles, dont la pointe tendue montre une certaine excitation. Excitation de la situation, de penser à ce qui pourrait se produire entre nous ?
Elle se retourne et me présente sa partie pile. Un dos plat et une croupe charnue, haute et ronde, coupée en deux par un sillon profond. Le désir me submerge.
—Viens, on monte à l’étage.
Elle prend le flingue, même s’il ne régit plus nos rapports. On débouche, après une volée de marches sur le plain-pied de la maison.
Elle m’entraine le long d’un couloir. J’aperçois un living-room cosy, une harmonie de ton dans les couleurs, un écran plat qui ferait bien mon affaire, on passe devant une cuisine, porte entrouverte, pour s’engager dans un escalier. Volontairement ou involontairement, elle me précède. Je peux l’admirer une fois encore, elle veut peut-être me convaincre, mais c’est déjà fait, de ses charmes. Je mate ses jambes, exempte de défauts. La nuisette, courte, me permet une contre-plongée sur le renflement de son sexe entre ses cuisses, et le bas de ses fesses. On débouche, à l’étage, dans un grand couloir, pour s’arrêter devant une chambre. C’est là qu’est installé le lit conjugal, dont l’état dit clairement qu’elle passe effectivement la nuit seule. Un seul bord du lit est marqué, matelas enfoncé, drap et couette repoussés quand elle s’est levée. Très curieusement, lui faire l’amour alors qu’elle est mariée ne me gêne absolument pas. Et puis, c’est une revanche sur les flics.
Elle se laisse tomber sur le lit, après avoir posé l’arme sur la table de chevet. Je pourrais plonger, l’attraper, même si je suis convaincu qu’elle a de bons réflexes, Mais je n’ai plus aucune envie de partir. C’est très curieux, parce qu’à force de la regarder, je suis de plus en plus attiré par elle. Il y a en elle une sensualité à fleur de peau qui est très troublante, et que n’ont pas les filles de mon âge, celle dans le ventre desquelles je me glisse fréquemment.
Je reste debout. Elle tend les mains vers mon pantalon, pour attraper ma queue. Elle me défait. Ses mains sont chaudes, douces et habiles… Elle me trouve en pleine érection. Il y a sur son visage une avidité qui dit clairement qu’elle a envie de sexe, qu’elle a envie d’une queue et qu’effectivement, son mari ne lui donne pas ce qu’elle attend. Elle semble éprouver une sorte de soulagement à voir ma queue, à pouvoir la toucher. Elle se penche dessus, et vient donner de petits coups de langue dessus, tournant sur la hampe, sur le gland, descendant jusqu’à mes couilles. Le mélange de frustration et d’expérience est radical, Je n’aurais pas imaginé que cette soirée m’amènerait à ça. Je me voyais repartir avec mon butin. Mon butin, je l’ai là sous les yeux. Elle dévore ma queue, la faisant glisser dans sa bouche, alors qu’ouvrant les cuisses, elle vient se caresser.
Elle fait aller et venir sa bouche sur moi, Il y avait en elle une avidité, une envie, qui ne l’ont pas quittée un seul instant. C’était bon d’avoir une partenaire comme elle.
Elle se dégage, laissant ma queue encore plus roide et couverte de salive. Elle revient tourner sur mon gland, attaquant mon méat de la pointe de sa langue.
—Il y a ton jus qui coule. C’est trop bon. J’ai envie de tout te boire. Quand tu éjaculeras, je veux que tu éjacules dans ma bouche, et ne pas en perdre une seule goutte.
Elle se bascule en arrière sur le lit, s’ouvrant et retroussant la nuisette, qui était déjà remontée dans son mouvement pour m’ouvrir son ventre.
—Viens sur moi avec ta langue. Lui ne veut plus.
Je ne me fais pas prier. Son sexe, entre le moment où je l’avais vu pour la première fois, et maintenant, s’est bien ouvert, ses lèvres gorgées de sang, En haut de ses lèvres, son clitoris pointe, de belles dimensions, en accord avec le volume du reste de son corps. Ses chairs sont luisantes du jus qui coule d’elle, dont l’odeur me monte aux narines. Elle a beau être, à mon sens, proche de la cinquantaine, son sexe fonctionne encore parfaitement.
Je plonge sur elle, avec le désir de lui rendre ce qu’elle vient de me donner. Ma langue parcourt ses chairs intimes. Je dois être efficace, parce qu’elle se met à gémir. Je glisse ma langue à l’intérieur d’elle. Sa muqueuse est chaude et ses liquides coulent dans ma gorge. Je remonte sur son clitoris. Sans surprise, cette partie de son corps est ultra-sensible et elle se tord sous l’effet de ma caresse buccale.
Je finis par me redresser. Elle aussi. Elle se tend vers la table de nuit. Je pense qu’elle va attraper la flingue. Je l’imagine un instant me plombant parce qu’elle serait insatisfaite. Au lieu de cela, elle ouvre un tiroir. J’y repère plusieurs godes. Remèdes à son insatisfaction. Au fond, il y a une boite de préservatif. Elle en tire un. Elle sourit en le sortant de son emballage et en le prenant dans sa bouche, le posant contre ses dents. Elle vient se pencher sur moi et le fait descendre le long de ma queue, d’un seul mouvement.
—J’ai toujours été friande de sexe, et de sexe original. J’aime le cul, ce que je regrette surtout c’est ne pas avoir un partenaire à la hauteur.
Je suis assis sur le lit. Deux secondes plus tard, elle vient se percher sur moi, elle attrape ma queue, et elle la guide vers les lèvres de son sexe. Elle me fait entrer en elle avec facilité, et je la sens autour de moi, le ruissellement de ses liquides vaginaux, et sa muqueuse, qui frotte contre moi, me caressant, alors qu’elle monte et descend sur ma queue en poussant de petits gémissements. Quand elle s’en arrache, c’est pour glisser à quatre pattes sur le lit, qui, du carré net qu’il était quand nous sommes arrivés dans la chambre, devient un champ de bataille chaotique, marqué de creux, de bosses, draps froissés, couette arrachée…Mais on n’en a cure l’un comme l’autre. Je glisse derrière elle et je viens planter ma queue dans cette vulve que je vois, sous mes yeux, gonflée, ouverte, baveuse. Je la pénètre sous un angle différent, jouissant de ce plaisir que je ne pensais pas connaître à ce moment, et je vais et viens en elle.
—C’est bon, elle halète, j’ai l’impression que tu me remontes ta queue jusqu’à la gorge.
Quand elle glisse par accident hors de son vagin, elle l’attrape, et elle la fait remonter plus haut en me disant :
—J’aime par là. Mon mari ne veut pas. J’espère que ça ne te fait pas peur.
J’appuie mon gland contre sa muqueuse anale et je rentre avec une facilité qui me surprend. Je rentre en elle, je la sens autour de moi, me comprimant. Je vais et je viens en elle. Je constate qu’elle a glissé sa main entre ses cuisses pour se frotter le clitoris. Elle a un orgasme qui la secoue violemment, la fait trembler et crier, et son sexe crache des jets de sécrétions qui viennent souiller les draps. Je sens que je vais jouir moi aussi. Elle se détache de moi, et fidèle à sa promesse, elle vient me défaire du préservatif et gainer ma queue de sa bouche. Je suis moi aussi tout près de ma jouissance, et j’explose, me libérant dans sa bouche, son gosier accueillant mon sperme.
Je reste là, entre deux, près d’elle.
Elle me dit :
—C’était vraiment bien, tu ne trouves pas.
On se regarde. Notre rapport de l’un à l’autre a totalement évolué. Elle qui me jetait un œil hostile, il y a une heure m’enveloppe à présent d’un regard dans lequel il y a de la tendresse.
Le plus curieux sans doute, c’est que je me sens attiré par elle. Alors même qu’une heure plus tôt, j’étais menacé par elle.
—Il faut que tu partes, maintenant. Je ne t’ai pas vu.
Je me redresse. J’ai envie de la remercier, mais je n’en fais rien.
—Cette semaine, mon mari est là toute la journée, mais la semaine prochaine, il fait 8 heures /20 heures, et moi je rentre sur le coup de trois heures de l’après-midi. Gare toi plus loin et viens à pied.
On se regarde. Je sais que la semaine prochaine je serai là sur le coup de trois heures. J’ai trop envie de la revoir.
Un dernier regard pour sa silhouette, et je descends l’escalier pour me fondre dans la nuit.
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