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Un amour de tante...

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Lue : 3624 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 27/03/2020

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Cet épisode de ma vie de jeune adolescent a été marqué par une liaison avec ma tante qui a commencé alors que j’avais à peine 17 ans, jusqu’à nos jours, avec des relations ponctuelles mais intenses. J’avais toujours gardé en secret, mes écrits que j’étalais sur mon carnet intime, qui s’est étoffé au fur et à mesure de ces rencontres et que j’ai argumenté avec l’expérience d’un homme de plus de 60 ans, mais tous ces faits sont bien réels et se sont réellement passés.

Première expérience, première fois.
J’avais 17 ans, lycéen interne, mes parents en déplacement en Afrique une année durant, mon oncle, le frère de mon père et sa femme, m’accueillaient le weekend end chez eux, afin de meubler ma solitude familiale. Mon oncle, extrêmement jeune de caractère, sportif, se plaisait à me recevoir, nous passions du temps à jouer au foot ou baby foot. Sa femme, que j’appellerai L, pour ne pas dévoiler son vrai prénom, avait 15 ans de moins que mon oncle, elle avait succombé au charme joueur et à son plaisir de la vie. Son physique était à tomber…blonde aux cheveux longs, des yeux bleus profonds comme la mer, un corps de rêve avec une poitrine débordante et des fesses superbes…bref, elle m’avait attiré dès le début et m’attire toujours, cela depuis plus de 55 ans, son esprit et sa voix d’enfant, sa façon naïve d’approcher les gens, tout cela faisait un charme ravageur pour le jeune homme que j’étais. A plusieurs reprises, à cette époque, j’avais senti une approche de L vis-à-vis de moi, cela se traduisait par des contacts corporels, une main effleurante, un regard insistant, je me sentais heureux chez eux et privilégié. Un soir de weekend, après une soirée très agréable, nous nous préparions à aller nous coucher. Ma chambre était face à la salle de bain, j’étais dans mon lit, la tête prés de la porte légèrement ouverte. J’ai aperçu ma tante, vêtue d’une simple chemise de nuit légère, entrer dans la pièce d’eau, repousser la porte qui, mal ajustée, s’est entrouverte d’une bonne vingtaine de centimètre, se placer face au miroir et se regarder le visage. Mon regard s’est intensément porté sur son corps plié vers la glace, particulièrement heureux de profiter de cet instant intime…mais ce dont j’allais assister, allait dépasser mes espérances. Après avoir vérifié son visage, L a commencé à se déshabiller en se débarrassant de sa petite chemise de nuit. J’ai vu apparaître son dos blanc, ses fesses nues, mon cœur s’accélérait. C’était la première fois que je la découvrais ainsi. Puis, L est passée dans la baignoire au fond de la salle de bain et, après avoir ouvert le robinet d’eau, s’est retournée, me faisant face…mon sang bouillait ! Je l’apercevais, nue, des seins blancs aux larges aréoles roses terminées par un léger mamelon…mais mon regard se portait sur sa toison blonde qui se révélait pour la première fois. A l’époque, on ne portait pas spécialement une attention aussi particulière comme la gente féminine le fait de nos jours par des soins esthétiques comme l’épilation ou une taille qui varie en fonction de chacune. La sienne était intacte, d’origine, mais son système pileux n’étant pas spécialement fourni, l’aspect se révélait léger, soyeux et clairsemé…un écrin plus qu’attirant ! J’ai donc assisté à une toilette en règle, aussi légère qu’intime, passant par un nettoyage succinct des chaque sein jusqu’à son intimité qu’elle a nettoyée en profondeur. La toilette a duré quelques minutes durant lesquelles, mon regard a enregistré les moindres mouvements de ses mains sur son corps. L s’est essuyée lentement, devant la baignoire, elle n’était qu’à quelques mètres de moi…à portée de main. J’admirais son corps nu, la perfection de ses courbes, mon regard était aimanté à lui. L’émotion était tellement forte que l’érection qui aurait dû accompagner la scène, ne se manifestait pas ! L a repassé sa petite chemise de nuit transparente qui était tellement courte qu’elle cachait à peine son pubis. A cet instant, un sentiment de jalousie vis-à-vis de mon oncle montait en moi…il serait le seul à profiter de ce corps magnifique que j’avais aperçu. Juste avant de quitter la pièce, L s’est aperçu que la porte était restée entrouverte, elle a eu un instant d’hésitation, la main sur la poignée, elle s’est penchée en regardant dans ma direction, elle avait dû s’apercevoir que j’aurai bien pu l’épier en secret. Ce qui a suivi avait dépassé toutes mes espérances. En effet, au lieu de sortir, d’éteindre la lumière et d’aller rejoindre mon oncle dans son lit, L est sortie de la salle de bain en laissant la lumière allumée et en silence, est venue vers ma porte, l’a poussée et en chuchotant, m’a demandé si je dormais. Je pense qu’au début, elle ne me distinguait pas très bien dans l’obscurité, mais une fois habituée, L m’a aperçu, les yeux grands ouverts. Je ne disais mot, étant certain de me faire réprimander pour avoir surpris cet instant intime qui ne devait pas m’appartenir…mais au lieu de cela, ma tante, après avoir vérifié que mon oncle probablement, dormait, est entrée dans ma chambre pour venir prés de mon lit, en restant debout. J’ai tout de suite été attiré par son parfum qui m’a enivré et par l’effet vaporeux de sa nuisette légère qui volait sous mes yeux. Je me souviendrai toute ma vie des paroles et des gestes qui ont suivi.
-L « Tu m’as vue dans la salle de bain ? »
- Moi « Oui »
-L « C’était bien ? Ca t’a plu ? »
Je ne savais pas si la question allait déclencher ses foudres de guerre contre moi…au contraire, les questions qui ont suivi, ont été surprenantes...
-Moi «Oui »
-L « Tu as déjà vu ou touché une femme ? »
-Moi « Non »

Je balbutiais sans réfléchir, mes réponses étaient incohérentes, mais je me souviens encore de son regard devenu trouble, sa voix calme, presque inaudible. Ma tante prêtait, de temps en temps, une attention aux bruits de ronflement qu’émettait mon oncle dans leur chambre au fond du couloir. Soudain, sans prévenir, elle s’est approchée de moi en se pliant, les mains posées sur le matelas à côté de moi.
-L « Tu veux toucher mes seins ? Ils te plaisent ? »
-Moi « Oui, beaucoup »
-L « Viens les toucher, tu peux »

J’ai avancé ma main toute tremblante vers ses seins qui pendaient sous la frêle chemise de nuit, je l’ai posée sur le premier par dessus le tissu soyeux qui faisait écran.
-L « Attends… »

Et, tout étant penchée, d’une main, elle remonte le bas de la nuisette jusque sur son cou, découvrant ses fesses encore inaccessibles et ses seins majestueux. J’ai replacé ma main sur celui le plus proche…j’ai reçu comme une décharge électrique quand mes doigts ont touché sa peau. C’était si doux, si soyeux, et le bout devenait plus ferme dans le creux de ma main. Mon regard a croisé le sien…elle a fermé les yeux pendant cette première caresse. Ma main est passée sur l’autre sein, tout aussi doux, je les malaxais comme j’avais pu voir dans des films pornos que j’avais visionnés en cachette. L ne bougeait pas, concentrée, elle devait certainement se demander ce qu’elle faisait là, mais je ne l’avais forcée à venir vers moi. Ma main tâtait, peut être maladroitement, ses seins, mes doigts se concentraient surtout sur ses bouts qui devenaient durs et sensibles, au vu de la respiration saccadée que j’entendais. Dès cet instant privilégié, j’ai commencé à bander, mon short de nuit n’empêchait pas de rendre visible la bosse qui se dévoilait sous le drap…L s’en est aperçue.
-L « Dis donc, ça te fait de l’effet, ça ? »
Je n’ai pu lui répondre, trop submergé par l’émotion débordante qui me saisissait depuis son arrivée. Mes yeux, habitués à l’obscurité, apercevaient nettement la forme pleine de ses seins, son dos qu’elle courbait, ses fesses plus loin, sa tête qui était baissée, mais…pas sa main, qui s’est posée lentement sur la bosse du drap ! Elle n’a pas bougé, juste posée dessus, ma tante prenait la température de mon excitation et, celle ci était haute ! Après ces longues minutes de prise de contact avec sa poitrine, L s’est relevée, puis, elle était restée pensive quelques secondes. Elle a mis un genou qu’elle a replié sur mon lit et, tout en me fixant dans les yeux, elle a lentement soulevé vers le haut sa chemise de nuit. J’ai découvert, au fur et à mesure de cette ascension, ses magnifiques cuisses galbées, puis, après avoir un peu hésité, son fin triangle d’or est apparu sous mes yeux ébahis. Je me souviens encore de ces poils fins et lisses, tout le contraire de ceux aperçus dans des revues spécialisées, les siens étaient clairsemés, laissant apercevoir une peau blanche et, plus bas, un sillon foncé qui descendait entre ses cuisses. L a fait passer sa nuisette par-dessus sa tête pour l’ôter complètement, elle m’apparaissait toute nue…ma tante chérie nue…celle dont j’étais éperdument amoureux en secret, était là, devant moi, nue, il aurait fallu que je me pince pour réaliser que c’était réel.
-L « Ca te plaît ? Tu me trouves comment ? »
-Moi « Belle », seul mot que j’ai pu sortir de ma gorge !

Sa chatte n’était qu’à quelques centimètres de mon bras, il n’était pas dit qu’elle aurait accepté que je la touche si elle ne me l’avait pas demandé…car elle me l’a demandé !
-L « Tu peux toucher, vas y, profites en ! »
Mes yeux ne quittaient plus ce corps dénudé, ses superbes seins blancs qui se tenaient parfaitement avec des bouts qui remontaient vers le plafond, son ventre plat orné de cette magnifique toison blonde qui habillait l’espace entre ses cuisses, j’étais aux anges.
-L « Vas y, caresse moi, tu peux »

J’ai amené ma main tremblante jusqu’au contact de ses poils que j’ai caressés lentement, je jouais avec, ne sachant pas quoi faire exactement. Ma tante, toute tremblante, a compris ma gêne, a soulevé sa jambe repliée sur le lit, pour placer son pied à la place, mais en écartant ses cuisses, me laissant apercevoir la zone tant désirée. Ma main s’est à nouveau placée dessus, mais, cette fois, mes doigts ont suivi le contour de ce sexe de femme qui n’aurait jamais dû m’être destiné. Je découvrais la forme de son pubis, de ses lèvres peu ourlées, mais ce dont j’ai été le plus surpris, c’était la présence d’une forte humidité qui stagnait quelque part et qui s’est écoulée sur mes doigts quand je suis passé à l’endroit que je ne connaissais pas encore, mais que je découvrais…l’entrée de son vagin. Ma chère tante avait le visage relevé vers le plafond, son corps vibrait, autant par la position inconfortable qu’elle maintenait que par l’excitation qui avait gagné son intérieur. Ses jambes tremblaient, elles peinaient à supporter ce corps qu’elle m’offrait. Mes doigts n’ont pas cherché longtemps l’orifice tant décrié qui, pour avoir visionné des tas de films, était le principal centre d’intérêt des hommes qui cherchaient à s’y ruer, s’y épancher ou cette « issue » qui donne la vie à nous tous sur cette terre. Mes phalanges se sont immiscées davantage entre ses lèvres, au milieu de cette « rivière », je devinais un accès qui se dévoilait de lui-même et dans lequel j’ai de suite été happé. La pénétration digitale s’est faite naturellement, comme si le chemin était tracé d’avance…J’ai senti L se raidir à cet instant, son bassin s’est un peu relevé, mais, sitôt passé le premier passage, il s’est avancé au devant de ma main. Mon majeur, plus long, a remplacé mon index, qui s’est introduit lentement dans son intimité, ce vagin que j’inaugurais pour la première fois, un vagin, celui d’une femme, une femme plus âgée que moi, celui de ma tante chérie. Ce couloir que j’empruntais était en feu, se resserrait autour de mon doigt, c’était comme dans une orange vivante, j’étais complètement introduit en elle et, visiblement, cela lui faisait un effet terrible. J’ai entendu un gémissement étouffé, sa bouche ouverte qui laissait entendre une respiration instable, sa langue qui passait sur ses lèvres sèches, je ne devinais pas l’excitation intense que cela lui provoquait. Puis, il y a eu ce geste de sa part aussi, une de ses mains qui est venue sur son pubis, ses deux doigts qui ont tiré ses lèvres vers le haut, son autre main qui se joignait à la première, un index qui a gratté la partie charnue supérieure…j’ai aperçu un renflement noueux, je découvrais le clitoris. Son sexe était ouvert en grand, j’apprenais l’anatomie féminine. J’avais devant moi une femme superbe qui se caressait devant moi tout en lui fourrant mon doigt dans son intimité…un tableau qui me marquera toute ma vie. Sa tête oscillait de haut en bas, ses yeux me fixaient, elle haletait comme si un fil électrique lui délivrait un flux de courant intense, j’ignorais ce qui se passait. J’ai vraiment pensé, au début de l’attouchement, que c’était moi qui lui faisais mal, quand j’ai voulu retirer mon doigt elle disait :
-L « Non…reste…continue… »
Mon doigt tournoyait en elle, je ne savais pas que j’aurai pu lui prodiguer un acte comme avec un vrai sexe, mais j’ai su, bien après cet épisode, que c’est elle qui avait pris les commandes. J’observais ses doigts qui s’agitaient sur son clitoris, ses soubresauts se sont amplifiés, il y a eu en même temps une longue plainte qui émanait de sa gorge, plusieurs affaissements sur ses jambes et j’ai reçu un liquide chaud sur ma main glissée entre ses cuisses…j’ai su bien plus tard, ce qu’est une femme fontaine et L en était une. Tout ce dont j’étais persuadé et cela, je le savais, c’est qu’elle venait de jouir devant moi. Ma tante s’est reprise quelques instants après, elle m’a dit :
-L « Tu ne diras rien à personne, d’accord ? Tu me promets ? »
-Moi « Promis »
-L « Tu es un petit coquin, toi. Je m’en été aperçue depuis longtemps »
Tout en me parlant, elle s’était assise prés de moi, sa main est venue se poser sur la bosse que faisait mon sexe en dessous :
-L « C’est dur là-dessous…tu me montres un peu ? »
J’avais envie de déguerpir, de me cacher, de disparaître, depuis mon enfance, je faisais un complexe d’infériorité en comparant la taille de mon sexe par rapport à celui de mes copains. Il n’y a pas eu de réponse de ma part, c’est allé plus vite ! Le drap qui me protégeait a été tiré, dévoilant mon short pyjama déformé. Son regard se portait sur ma queue bandée, L a baissé le haut du short pour la libérer, en émettant un petit sifflement :
-L « Eh bien dis donc, c’est bien joli tout ça ! »
Ses mots m’avaient réconforté.
-Moi « Ah bon ? Tu trouves ? »
-L « C’est mieux que ton oncle, en tout cas »
J’apprenais une nouvelle…mon oncle préféré, l’idole de ma famille, celui que je portais haut dans mon cœur, celui que j’aimais revoir…n’était pas à la hauteur avec ma tante ? J’ai appris, dix ans plus tard, qu’elle le trompait avec un collègue de travail, parce qu’il était devenu impuissant et qu’elle en a divorcé. Mais cela, je ne le savais pas. Ce soir là, elle avait envie de plaisir et c’est avec moi qu’elle en prenait. Sa main s’est posée délicatement sur ma verge droite comme un piquet, j’étais depuis longtemps à la limite de l’éjaculation, L s’en est aperçu :
-L « Chhhuuut…calme toi, laisse moi faire »
Je voyais sa main serrer la colonne dressée, elle montait lentement jusqu’à recouvrir le gland, puis redescendait aussi lentement, son regard était fixé dessus…je n’en revenais pas ! Ma tante chérie, prés de moi, toute nue, en train de me branler, c’était du délire ! J’essayais de résister pour ne pas me laisser aller, mais c’était trop fort ! Il y a eu un premier jet qui a surgi et qui s’est étalé sur ses doigts, le suivant…a disparu…dans sa bouche ! L s’était penchée immédiatement et avait englouti ma verge qui crachait un flot de sperme juvénile, trop longtemps contenu cette soirée là. J’assistais à ma première fellation. Ma tante a continué à me pomper même après avoir fini d’éjaculer, elle prenait beaucoup de plaisir à me sucer malgré l’échauffement provoqué par la jouissance. Elle prenait toutes les précautions pour ne pas m’irriter et je me souviens encore, ça marchait. Quand elle s’est redressée, son visage était différent, son regard était flou, sa bouche encore humide, elle avait tout avalé…
-L « C’est bon »
Je ne regardais plus ma tante comme avant, depuis, elle était devenue mon intime ce jour là, mon mentor, celle qui m’a ouvert les yeux sur la femme et ses pouvoirs magiques.
-L « Dors bien mon petit chéri » a t’elle dit en me caressant le visage et en se levant. Elle attrapé sa nuisette au sol, l’a repassée sur elle et s’est éclipsée silencieusement. J’ai entendu le froissement d’un corps quand il rentre entre les draps…mon cœur s’était serré à cet instant…j’aurai tant désiré être à la place de mon oncle. Je suis resté plusieurs heures à ressasser ce qui s’était passé, j’avais cru que c’était un rêve, pourtant, sentir ma verge échauffée mais décongestionnée, cela prouvait qu’il s’était bien passé quelque chose !
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Histoire de alma

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Commentaires du récit : Un amour de tante...

Le 28/08/2022 - 09:23 par Rackham
Un dépucelage que tout jeune homme aurai aimé vivre. Je m'en vais rapidement lire vos texte suivants.

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