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La nuit d'Emma - 5 partie

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 25/04/2023

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La nuit d’Emma.
5ième partie


C’est vrai que je savoure sa caresse, son sexe toujours dans ma main. Je regarde cet énorme champignon de chair et je comme à l’avaler doucement. D’un coup de rein il me pénètre sauvagement la bouche. Je manque de m’étouffer sous l’assaut brutal de sa queue mais le plus dur est fait. Je le suce comme tout à l’heure et son bassin ondule sous mes caresses.

Il écarte un peu plus les jambes afin de me laisser plus de place pour m’occuper de ses couilles, ce que je ne manque de faire assez férocement je dois le reconnaitre mais la façon dont il a pénétré ma bouche mérite une revanche. Je l’entends grogner, la bouche toujours collée à ma chatte, envoyant des vibrations sur mon clitoris qui ne tarde pas à réagir. Il s’en rend compte et le lèche plus fortement. C’est divin.

Placée comme je suis, je vois très distinctement le départ de sa raie et je repense à ce que j’aurais bien voulu lui faire alors qu’il récupérait la confiture sur mon corps. Beaucoup de salive coule des coins de mes lèvres sur ses testicules. J’en récupère avec mon doigt et je descends entre ses fesses. Je ne sais pas s’il se doute de ce que je vais lui faire mais il écarte encore plus les jambes et remonte très légèrement ses cuisses. Mon doigt continue sa progression jusqu’à son anus que je frôle doucement dans un premier temps puis plus fermement.

Il relève encore ses cuisses et je comprends que j’ai son accord pour aller plus loin et je ne m’en prive pas. Tout en suçant sa queue, je commence à faire pénétrer mon doigt d’un mouvement lent mais continu jusqu’à ce qu’il ait totalement disparu à l’intérieur de son corps. Je sens les vibrations de ses grognements sur mon sexe qu’il quitte pour passer sa langue dans ma raie et bien mouiller mon petit trou. J’adore cette caresse. Je pousse mon bassin en arrière pour le lui montrer.

Il me pénètre de sa langue. Ce que je ressens est tout à fait divin. Sa salive coule entre mes fesses. Pendant ce temps, je continue ma fellation et je commence ma masturbation anale, lentement au départ puis de plus en plus vite. Il m’aide d’un mouvement du bassin qui a pour effet de m’aider dans ma pipe. Appuyée sur les coudes, une main dans ses fesses, j’emploie l’autre pour le branler dans le même tempo que l’activité de mon doigt dans son anus. Sa queue grossit encore un peu signifiant la fin de sa résistance qui se traduit par un cri sourd et par des jets chauds au fond de ma gorge. Comme ils ont tous jouis de nombreuses fois, la production est bien moins importante que tout à l’heure et je peux tout avaler de façon normale sans que le trop plein ne s’enfuit par la commissure de mes lèvres et se mélange à ma salive tombée sur ses couilles.

Je le masturbe et l’encule tant que dure son plaisir. Son goût est totalement différent de celui de Benjamin. Cambré sous le plaisir violent qu’il vient de ressentir, ses jambes tremblent puis il se rallonge tout doucement. J’entends son souffle rauque et je le laisse retrouver sa respiration en nettoyant à petits coups de langue sa belle queue qui diminue lentement de taille et de volume puis je le quitte et m’allonge à ses côtés. Il me caresse les cheveux, m’attire à lui et m’embrasse.

- Bordel, quel pied ! Tu es une experte.

Des petites gouttes de sperme s’échappent encore. Je ne vais pas les laisser perdre et je lèche avec délectation son gland luisant. Je vois arriver Benjamin, sa queue droite comme un « I ». Il n’a rien perdu du spectacle et me demande de m’étendre sur le dos. Je vois tout de suite où il veut en venir et je lui souris. Il prend son sexe et commence à se branler rapidement. Je connais ce rythme. Quand il fait ça, c’est qu’il est à bout. Son sperme éclate sur ma chatte et mon ventre. J’adore le voir se caresser. La réciproque est vraie.

Il aime me voir me masturber devant lui car il peut ainsi me voir jouir Je souris en pensant que pour me regarder prendre mon pied, il est servi ce soir. Je le trouve encore plus beau. Pendant tout son plaisir nous ne nous sommes pas quittés du regard. Nous avons complètement fait abstraction des autres hommes présents. Il n’y avait que nous. Nous savons que cette soirée n’aura aucune répercussion sur la stabilité de notre couple. Nous nous aimions avant ce soir, nous nous aimerons autant demain sinon plus. Cette nuit n’est qu’un intermède dans notre vie sexuelle.

- À qui le tour ? je demande aux autres garçons.

Ils ont dû se concerter pendant que je m’occupais d’Antoine car Frédéric s’avance sans aucune hésitation.

- C’est à moi !

- Et ta position ?

- Reste allongée sur le dos.

Il se place dans le même sens au-dessus de moi, ses genoux de chaque côté de ma tête. J’ai une vue de dessous de ses couilles et de sa longue queue qu’il incline vers moi pour que je la suce. Il me dit que c’est lui qui dirige les opérations. Je n’ai rien contre. J’ouvre la bouche et il l’insère lentement mais sans s’arrêter jusqu’au moment où j’ai un haut le cœur. Il ne s’arrête pas pour autant et continue sa progression jusqu’au haut le cœur suivant. J’en ai les larmes aux yeux. À partir de ce moment-là, il me demande de serrer les lèvres et son bassin commence un lent mouvement d’avant en arrière lui permettant de se masturber Avec une de ses mains, il me caresse la poitrine et s’arrête sur un des tétons qu’il tire doucement vers le haut.

- Occupe-toi de mes couilles comme tout à l’heure. C’était parfait.

Comme je n’ai pas besoin de mes mains puisque c’est lui qui dirige, j’en prends une dans chaque main et je leur fais subir un sort analogue à la première fois. Il grogne de plaisir. Il accélère son mouvement de bassin. Ma langue a du mal à suivre son rythme. Je décide de freiner un peu son ardeur en mordillant sa verge. Mes dents râpent sur sa peau, sur son frein puis sur son gland.

- Oui, c’est bon ça. N’arrête pas !

Qu’il se rassure, je n’ai nullement l’intention d’arrêter. Au bout de quelques minutes de ce traitement il me prévient qu’il ne va pas pouvoir tenir beaucoup plus longtemps. Il accélère encore son mouvement. Mes mains torturent toujours ses testicules. Sa queue grossit encore un peu. Je l’aspire aussi fort que je peux et j’augmente la pression de ma langue pour lui apporter un meilleur ressenti. L’arrivée de son plaisir me surprend. Placée comme je suis, la gravité fait que je peux tranquillement avaler son sperme sans en perdre une seule goutte.

Une fois terminé, il continue doucement ses mouvements de bassins, je desserre mes dents et je continue d’aspirer son gland. Il se retire doucement et se recule toujours au-dessus de moi. Il serre sa queue avec une main pour en faire sortir les dernières gouttes qu’il essuie sur un téton puis baisse la tête et le suce doucement. Son gland est encore luisant de son plaisir. Il le rapproche de mes lèvres et me le fait lécher.

- C’était aussi bien que tout à l’heure. Tu suces d’une façon magistrale. Merci pour ce moment.

- Allez viens Matthieu, c’est à ton tour maintenant.

Il me fait m’allonger sur le dos en travers du lit avec les épaules au niveau d’un bord. Ma tête se trouve alors dans le vide. Il s’approche écarte les jambes et se penche au-dessus de moi en prenant appui sur le lit avec ses mains. Ma tête est pile entre ses jambes et son sexe se trouve au niveau de ma bouche. Je n’ai qu’à l’ouvrir et je l’avale en entier. L’avantage avec une queue de taille normale, c’est-à-dire qui rentre sans problème dans la bouche d’une fille, c’est qu’elle ôte à ladite fille la peur de lui vomir dessus. Donc son sexe est maintenant tout entier dans ma bouche et je commence doucement à m’en occuper selon ma manière, mes mains serrant ses cuisses.

Je ne sais pas pourquoi mais Matthieu, réputé gentil garçon, ne le reste pas longtemps. Il se redresse, enserre ma tête avec ses mains afin que je ne puisse pas la bouger et me baise littéralement la bouche à grands coups de rein comme si c’était mon vagin. Surprise au début, je le laisse faire tout en serrant mes lèvres au maximum afin que la sensation sur sa queue soit meilleure. Vu la rapidité de son va et vient, je ne peux pas avaler normalement ma salive et ça me fait tousser. Il comprend le problème et ralentit son mouvement en ma lâchant la tête. Je suis quand même plus à l’aise pour continuer ma fellation. Il se repenche sur moi, m’écarte franchement les jambes et je sens sa langue se promener doucement sur mon sexe. Il lèche délicatement mes grandes et petites lèvres puis mon vagin détrempé.

Sucer tous ces hommes et avaler leur semence m’a beaucoup plus excitée que je ne le pensais. Matthieu s’en est rendu compte et insiste sur les parties sensibles de mon sexe. La douce chaleur bien reconnaissable arrive à toute vitesse et inonde un peu plus mon vagin que Matthieu lèche avec entrain pendant que ses doigts s’occupent de mon clitoris qui ne tarde pas à m’envoyer des signaux bien reconnaissables.

« Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps »

Et en effet, les premiers spasmes de plaisir arrivent presque immédiatement. Le pincement du clitoris en est l’élément déclencheur. Matthieu continue de me torturer à cet endroit. Je me cambre aussi fort que je peux et si mes hurlements de plaisir sont étouffés par sa queue que je suce toujours, ce n’est pas le cas des vibrations qu’ils engendrent et qui déclenchent la jouissance de Matthieu qui se déverse dans ma bouche. J’avale tout ce qu’il me donne avec délectation puis il se relève, se retire doucement de ma bouche, m’aide à me relever et m’embrasse délicatement.
Assise sur le bord du lit, je cherche du regard Benjamin que je ne vois pas dans la chambre. J’aurais bien aimé qu’il jouisse sur moi comme tout à l’heure. Les muscles de mes mâchoires me font un peu mal. Avec le travail qu’ils ont eu à faire c’est normal.

Mon regard se porte sur les trois garçons assis sur les bords du lit et surtout sur leur entre-jambe. Ils bandent tous mou. Je me dois de louer leur endurance. Ils n’ont pas arrêté de me baiser et de jouir depuis hier soir. Certes, il y a eu de nombreux arrêts afin qu’ils reprennent des forces mais ils sont merveilleux et je me dis que je peux les aider à retrouver leur vigueur.

- Alors les garçons, un moment de faiblesse ? Que puis-je faire pour vous aider ?

- Allonge-toi sur le lit et fais-toi jouir. Crois-moi, à te regarder faire, nous serons vite redevenus opérationnels, me dit Frédéric.

Me masturber devant Benjamin ne m’a jamais posé de problème. Il aime me voir me caresser et j’aime le regarder se masturber. C’est un moment intime extrêmement érotique et sensuel que nous aimons tout particulièrement mais le faire devant ces trois hommes, même après tout ce qu’ils m’ont déjà fait n’est pas la même chose. Le contexte est différent. Nous ne sommes plus dans l’intimité du couple. Les regards qu’ils porteront sur moi ne seront pas remplis d’amour et de tendresse mais de lubricité.

Je balaie mes questionnements en me disant que je suis volontaire pour cette relation sexuelle à plusieurs et que je connaissais les règles du jeu dès le début. Benjamin les avait précisées avec clarté. Ils peuvent me faire et me demander de leur faire tout ce qu’ils désirent. Je peux bien entendu utiliser le mot de sécurité et tout arrêter immédiatement mais en ai-je vraiment envie ? Je connais trop la réponse. Je cherche le regard de mon mari qui vient de revenir dans la chambre Je plante mes yeux dans les siens et j’y vois tout l’amour qu’il me porte. Il me connait à fond et sait ce qui me taraude l’esprit. Il hoche très légèrement la tête en signe de consentement. Mes doutes s’envolent instantanément. Je lui souris. Il s’adresse à ses trois amis.

- Écoutez, je sais que ce que vous lui demandez n’est pas quelque chose de facile pour elle. Elle va le faire mais je me dois de l’aider. Alors, si vous le permettez, je vais rester à ses côtés jusqu’à ce qu’elle jouisse.

Les trois hommes sont d’accord mais Matthieu ne veut pas qu’il me touche. Lui et ses copains veulent me voir m’amener toute seule au plaisir car c’est justement ce qui les excite. Benjamin est d’accord. Je m’allonge plus confortablement sur le lit, un coussin sous mes fesses pour relever le bassin et un autre sous ma tête. Benjamin est debout juste à côté de moi. En tendant le bras je peux le toucher. Sa présence me rassure.

J’ai pour habitude lorsque je me caresse d’y aller crescendo. Je ne vais pas immédiatement me masturber ou caresser mon clito. Je m’excite par petites touches. Mes seins, mes tétons, mon ventre, l’intérieur de mes cuisses, je tourne tout autour de ma vulve, je passe mon ongle sur la raie formée par les grandes lèvres etc… Je fais petit à petit le vide dans ma tête. Je commence par me caresser suivant ce même processus. Je regarde les trois garçons qui me scrutent sans bouger. Je ne veux pas affronter leurs regards.

Je tourne la tête du côté de mon mari et je me noie dans ses magnifiques yeux couleur menthe à l’eau et ne les quitte plus. À partir de ce moment, plus rien n’existe autour de moi. Il n’y a plus que Benjamin et moi. Je continue de me caresser lentement. Il me sourit, prend son sexe à pleine main et commence à se masturber doucement. Son regard est rempli de tendresse. Je sais qu’il fait ça pour moi, pour m’aider et je lui en suis extrêmement reconnaissante.

En matière de sexe, Benjamin est un homme à part. Il possède une endurance qui dépasse l’entendement. Comme tous les adolescents, il a commencé à se masturber vers ses 11 ans. Ça lui faisait du bien mais il ne jouissait jamais. Bien entendu il n’en parla jamais à ses parents. Vers 14 ans, ces derniers, tous les deux médecins (son père est neurochirurgien et sa mère gynécologue) décidèrent de commencer à lui parler sérieusement de sexualité. Ce fut sa mère qui s’en chargea plus particulièrement à l‘aide des livres et des nombreuses maquettes en 3D disponibles dans son bureau et qu’elle utilise pour informer ses jeunes patientes. C’est comme ça qu’il découvrit tout ce qu’un garçon devait savoir sur le fonctionnement du sexe féminin et comment faire pour nous amener au plaisir.

Lorsque sa mère aborda les risques dans les relations sexuelles comme les IST et comment s’en préserver, elle lui parla également du sperme et de ses dangers. Elle lui demanda s’il se masturbait, ce qu’il avoua non sans peine mais elle le mit à l’aise en lui disant que cet acte était tout à fait normal et que tout le monde le faisait. C’est à cette occasion qu’il la mit au courant qu’il n’avait jamais éjaculé alors qu’il se masturbait parfois plus d’une demi-heure.

Ses parents l’envoyèrent consulter un collègue qui ne décela aucune pathologie pouvant expliquer le problème. Le temps passa. Ses parents lui demandaient souvent s’il avait enfin réussi mais la réponse était toujours négative. Un soir alors qu’il se branlait avec frénésie dans son lit, il hurla mentalement « je veux jouir maintenant, merde ! » et son souhait se réalisa dans les 10 secondes qui suivirent. Son sperme se répandit pour la première fois de sa vie sur son ventre et sur ses doigts. Le plaisir ressenti à ce moment fut si fort qu’il lui coupa le souffle.

Pendant plusieurs jours, il recommença l’expérience et se rendit compte qu’il n’éjaculait que s’il donnait mentalement l’ordre à son corps de le faire sinon il gardait son érection mais n’avait aucune jouissance. Ses parents, une fois au courant, furent heureux de savoir que tout était rentré dans l’ordre. Ce n’est qu’à ses 16 ans, lors de son premier rapport sexuel, qu’il comprit la phrase que son père lui avait dite à ce moment-là « Tu vas faire beaucoup d’heureuses mon fils »

Tout ça pour vous dire que je peux prendre tout le temps que je veux pour me faire jouir, Benjamin tiendra aisément la distance. J’ouvre tout doucement mes jambes et je sens mon minou s’ouvrir lentement. Je caresse mes grandes lèvres puis je les tire devant moi très légèrement. J’aime beaucoup cette sensation. Mon autre main commence à triturer mes tétons de plus en plus vigoureusement. Mon ventre se creuse peu à peu. Je vois la main de Benjamin monter et descendre au rythme de sa masturbation. On se regarde toujours. Je lui souris.

Ma main caresse lentement mon sexe maintenant totalement ouvert. Je regarde furtivement les trois garçons. Ils ont leur queue en main et se branlent. Je reviens vers Benjamin. Mon clitoris commence à apprécier le traitement que je lui fais. Je le sens grossir sous mon doigt. Je le branle entre deux doigts. Il sort de son capuchon et la caresse devient plus vive. Je quitte mes tétons et me pénètre avec un doigt. Je commence à me branler. L’humidité de mon vagin me permet d’envisager d’y faire pénétrer un second doigt puis un troisième.

Je commence à ruisseler. La main de Benjamin accélère son mouvement. On se connait tellement qu’il s’est exactement où j’en suis dans l’atteinte de mon plaisir. Je me masturbe maintenant sérieusement. Ma respiration devient saccadée, mon ventre se creuse de plus en plus. Je pince mon clitoris de plus en plus fort. Il envoie des milliers d’aiguilles au plus profond de moi. C’est un régal. Je plaque trois doigts dessus et le frotte avec force. Je commence à gémir sérieusement. Je ne pense pas à regarder dans quel état se trouvent les garçons. Je remonte mes genoux, signe de l’arrivée imminente de mon plaisir. Benjamin le sait.

Au moment où l’orgasme m’emporte je sens la douce chaleur du sperme de mon mari sur mes seins durcis par mon plaisir. Je redescends lentement de ma jouissance et je regarde enfin les trois hommes devant moi. Ils bandent comme des taureaux. J’ai un peu honte de les avoir laissé tomber car c’est pour pouvoir encore me baiser qu’ils voulaient me voir me caresser mais bon…

La langue de Benjamin me nettoie doucement mes seins. Je lui prends la tête et dirige ses lèvres contre les mienne. Moi aussi je veux profiter de son plaisir. Je m’appuie contre la tête du lit et regarde les trois hommes, la queue au garde à vous. Je passe ma langue sur les lèvres d’un air gourmand.

- A priori, je vous ai fait l’effet désiré, on dirait !

- Nous n’avions aucun doute à ce sujet.

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Histoire de Emma.C

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Commentaires du récit : La nuit d'Emma - 5 partie

Le 27/04/2023 - 14:05 par DBHB24
Une dernière mise en bouche suivie d'une bonne masturbation, préludes surement à un futur, ultime, bouquet final dans cette inoubliable nuit de plaisir d'Emma...
Le 27/04/2023 - 13:16 par linsee
j'adore
Le 25/04/2023 - 21:51 par OlgaT
Ce fut une nuit inoubliable!

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