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La stagiaire salope trompe son amant

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Lue : 5235 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/11/2012

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La stagiaire trompe son amant et son mari

Le lundi soir Sabine me reproche un retour tardif. Si elle savait que … Le prétendu surcroît de travail cache un repas au restaurant avec Judith. Je lui ai montré les preuves de mon infortune, elle a confirmé ses propres constatations. Il s’établit une sorte de solidarité des époux trompés.

Les jeunes femmes qui cherchent les faveurs de son époux se bousculent au portillon. Le pauvre DRH n’a que l’embarras du choix. Malheureusement il ne peut pas distribuer les mêmes avantages à toutes, les bons postes ne sont pas légion. Des mécontentes, sans vergogne, viennent se plaindre à l’épouse et finissent par lui donner les preuves de l’infidélité du mari, mais prennent garde de mentionner ce qu’elles attendaient de sa fonction. Elle a un dossier en béton et son avocat va agir. Si je veux divorcer, elle témoignera en ma faveur, puisque Sabine a profité des bontés de ce DRH. Je suis très fatigué ce soir et j’abandonne mon épouse à ses fantasmes.

Le mardi je prends les dispositions pratiques qui s’imposent à la banque et j’annonce à la tricheuse que ses prochaines augmentations justifient la séparation de nos comptes; elle en tire une légitime fierté. J’ai résilié le bail de location du pavillon : elle le constatera à la fin du délai légal de trois mois. J’ai pris une option sur un F2 pour me reloger. Fin septembre après la première semaine de stage, Sabine revient sexuellement affamée, dit-elle. Le rapport de René m’a pourtant permis de savoir qu’elle l’a mis sur les genoux à force d’exigences pendant toute la semaine. Matin et soir il a dû lui faire l‘amour. En mon absence elle s’est lâchée, a tout osé et le jeune père a laissé ses forces dans les jeux imposés par cette maîtresse insatiable. Au lit j’assure le minimum syndical, après un coït bâclé je tombe de sommeil. Sabine déçue par ma piètre performance, exige que je passe prochainement une visite médicale et que je demande à ma hiérarchie un allègement de charge de travail. Au retour de la gare, le dimanche soir, Julie fait grise mine.
- Comment Sabine supporte-t-elle le stage ? René semble fatigué. Il a passé son week-end à dormir pour récupérer. Pourra-t-il tenir à ce rythme de travail ?
-N’oubliez pas que je me tiens à votre disposition, si vous avez besoin d’aide pour faire des courses ou pour des petits travaux chez vous.

Le jeune mari ne s’est pas vanté de ses exploits sexuels avec ma femme. Si je réduis Sabine à la portion congrue à domicile le week-end, elle va pendant la semaine se montrer plus chaude et user les ressources du jeune amant encore plus vite. Ce n’est que justice, il sera puni par où il a péché. Il a mis sa queue dans une fente, la fente va l‘avaler, lui bouffer son énergie… Je vais l’inciter à prendre des photos souvenirs de ces heures de folie: Sabine dans des poses lascives dans l’appartement mis à leur disposition. Qu’il se serve jusqu’à plus soif. Sans mon accord, ils m’auraient trompé. Je lui impose de continuer sans défaillance, j’en ai fait une obligation pour René; de quoi gâcher le plaisir! Toujours du plaisir n’est plus du plaisir!

Plus Sabine me trompe avec son jeunot pendant le stage, plus elle me sollicite le samedi. Cette fois elle m’a imposé une position étonnante sur le canapé. En débarquant à la maison, elle lance ses vêtements à tous les vents et arrive nue de la salle de bain. Toujours splendide, seins fermes, cuisses fuselées, toison folle, fesses rebondies: c’est vraiment une belle femme. Mais, mari cocu se soucie peu des formes ou des intentions de sa femme.
- Chéri frotte-moi le dos. Que penses-tu de mes seins ? Ils ne sont pas un peu petits ?
- Que cherches-tu là ? Ils sont parfaits. Quand ton enfant y plaquera sa bouche il sera heureux. D’ailleurs, m’en suis-je plaint ?
- J’ai hâte de rattraper le temps perdu, viens m‘aimer. Je ne te plairais pas plus si je me faisais opérer ? Tu ne penses pas ?
- Ai-je épousé une paire de gros seins ? Quelqu’un te conseille l’opération: Qui? Les aurais-tu montrés à d’autres hommes? Ne sont-ils pas à la mesure de mes mains: la pointe est fière, le galbe parfait. Ce sont des seins magnifiques. Je les adore, j’adore les caresser et les embrasser. Si j’y dépose ma chose, tiens-moi au chaud. C’est fou !

Elle abandonne le sujet. Elle me fait asseoir sur le canapé, genoux assemblés, passe une jambe de chaque côté, avance, se pose à hauteur de mon pénis, s’accroupit et me dirige vers sa vulve.
- Non plus sur le canapé. Allons dans notre chambre, nous serons mieux au lit.

Je ne tiens pas à lui faire revivre ses galipettes avec René sur ce meuble.
Je m’assieds au bord du lit.
-Enfin, je n’en peux plus, entre, pénètre-moi. Ouihh, rhon mon amour, je t’aime.

Bien emmanchée, elle se laisse couler en arrière à l’horizontale, rejette ses bras sur le sol.
- Accroche-toi à mes hanches, ne me laisse pas tomber. Qu’en dis-tu?

Sous mes yeux s’étale la plage du ventre plat et ses deux seins, magnifiques, il faut le dire, dressent leurs mamelons en pointes devant sa face convulsée. Le ventre s’anime, traversé de vagues successives qui aboutissent à la jonction de nos sexes. Je veux résister à la tension très forte. La diablesse a trouvé mon point faible, redouble la fréquence et la force de ses ondulations. Et nous arrivons ensemble à l’éclatement de la pression, je jaillis en spasmes violents, Sabine ne retient pas sa jouissance. Nous sommes capables de nous rejoindre dans la volupté. Quel gâchis ! Nous formions un si beau couple, nos corps s’entendent encore à merveille. D’une main je la tire en position assise. Ses yeux luisent :
- Quel bonheur, mon amour. Tu vois, comme annoncé, nous nous aimons toujours plus fort.

J’ai déjà entendu parler de cette position particulière « promotion canapé ».Je pense aux promotions de ma femme, le lien s’impose à mon esprit.
- Dans deux mois, à la fin du stage, nous verrons si nous voulons un enfant.

Etrange qu’elle aborde ce sujet. Son instinct la met-il en garde ? Sent-elle que je m’éloigne d’elle, parce que je n’apporte plus la même ardeur, le même empressement pour lui faire connaître le plaisir ? Si c’est le cas, elle devrait chercher pourquoi. Elle trouverait la réponse si elle n’était pas aveuglée par sa passion pour René et par son besoin de progresser professionnellement en payant en nature ses promotions. Elle est belle, elle le sait, elle en use et en abuse, mais elle a eu le tort d‘être surprise par Judith et par moi dans des moments d’intimité extraconjugale. Son projet d’enfant lui servirait d’assurance tous risques : c’est un peu tard.

Nous avons invité nos voisins pour le repas du dimanche midi. René paraît effectivement mal en point. Il fait grise mine, ses paupières tombent. Julie s’étonne du teint rayonnant de Sabine qui glisse vers moi un regard chargé d’amour. Mais la jeune femme renouvelle ses craintes pour la santé fragile de son époux. Sabine s’engage solennellement à l’obliger à dormir plus, elle veillera à limiter son travail le soir.
- René est un perfectionniste, il se donne trop. Je vais le faire ralentir pour qu’il atteigne la fin du stage en bonne santé. J’y ai tout intérêt. Je vais le couver comme si j’étais sa mère.

En aparté, je demande à René d’inciter ma femme à se faire retoucher la poitrine en prenant pour modèle celle de Julie. Il doit insinuer que cela me plairait peut-être et préciser que lui-même aimerait un peu plus de volume. Pour tenir sa promesse ma femme passe le dimanche après-midi à faire des provisions d’affection et de sperme. Ce viatique devrait ralentir ses activités nocturnes et diminuer la fringale sexuelle dont l’amant s’est plaint à moi. Le jeune homme me l’a confié, ma femme est une tornade. Je le hais mais je le plains. J’attends des photos avant d’intervenir en sa faveur.

J’ai repris contact avec Judith. Je ne sais pas ce que cette petite fée vaut dans un lit. Mais elle m’impressionne. Je pense que je ne lui suis pas indifférent. Elle m’a mis en rapport avec son avocat. Nous avons pris deux repas au restaurant. Elle a quitté le foyer conjugal, son mari a demandé sa mutation. La prudence retarde l’aveu de l’attirance réciproque, mais je lis dans ses yeux la promesse de jours heureux. Il est des choses qu’on sent; il faut savoir attendre le bon moment.

Jeudi : René me téléphone. Sabine a découché la nuit précédente. Elle était invitée à un pot avec les formateurs. Elle avait recommandé à René de se reposer. Il était éveillé quand vers six heures du matin elle est rentrée sur la pointe des pieds. Elle a bâillé du matin au soir. Il ne regrette pas d’avoir pu récupérer, mais il nous suppose trahis, lui par sa maîtresse, moi par mon épouse. L’emploi du mot trahison par ce traître est cocasse. Il tient à respecter son engagement à me rapporter les faits marquants de la vie de Sabine. Je tranche:
- C’est tout simple. Tu fais un scandale, tu lui rappelles sa promesse écrite d’exclusivité, tu boucles tes valises et tu rentres ce soir. Tu expliqueras à Julie qu’on t’a accordé un jour de repos supplémentaire en raison de ta fatigue. Samedi ma femme te suppliera de reprendre, te fera les plus folles promesses. Surtout refuse ses explications car tu n’es pas dupe de ses mensonges, tu sais comment elle me trompe, tu ne permettras pas d’être traité comme moi. Sors le grand jeu.
- Pourquoi n’as-tu pas agi comme tu veux que je le fasse? Après tout, c’est ta femme.
- Oui, mais tu as eu le tort de te faire prendre en photos, il ne fallait pas. A propos de photos, la semaine prochaine, tu seras en position de force pour exiger de remplir ton album de souvenirs. Je compte sur toi. Nous nous verrons vendredi après18 heures, chez moi.

René est rentré par le tain de nuit. Pour une fois Julie aura droit à des attentions plus consistantes. Sabine a tout essayé pour le retenir. Du mensonge du pot qui se prolonge en discussions jusqu’au milieu de la nuit, à la version du responsable de stage qui lui a fait en vain une cour éhontée, elle a fini par admettre quelques baisers innocents.
- Mais pas plus, je le jure.

Elle a juré aussi de ne plus recommencer, a supplié de ne pas me parler de cette réunion tardive. Héroïquement il a repoussé ses avances, il a refusé de se mouiller l’escargot dans la bave du responsable de stage. Il lui a reproché son infidélité. Et il est parti.

Vingt-quatre heures plus tard, Sabine se présente en pleine nuit. Elle est sur ses gardes, ne parle pas du retour anticipé de son adjoint. Peut-être n’ai-je rien remarqué. La douche froide a calmé ses sens. La crainte d’avoir été dénoncée dicte chacune de ses paroles. Nos échanges sont limités. Le samedi matin je dois la laisser seule exceptionnellement pour participer à l’opération portes ouvertes dans ma concession. Depuis huit jours j’ai été promu directeur administratif de l’établissement. J’ai jugé inutile d’en informer ma future ex-femme. J’ai accepté avec plaisir les félicitations de Judith. La recherche d’une voiture fournit à Judith l’occasion de me voir. Elle hésite, reviendra. Elle revient, reporte l’achat. Je lui ai fait essayer personnellement quatre modèles. Aujourd’hui je fais du zèle en assurant une présence continue : je laisse le champ libre au fameux binôme. René va la mettre au pas.
Fraîche et de bonne humeur, en fin d’après-midi, Sabine veut assister à l’opération « portes ouvertes ». Quelques curieux s’attardent.
- Je voudrais dire deux mots à ton directeur, pour que dans les prochaines semaines il t’accorde le week-end avec moi.
- C’est qu’il s’est absenté. C’est mon affaire, je gère ma carrière comme tu as la maîtrise de la tienne. Ai-je protesté contre ton stage ?

Elle arpente l’exposition. Un des vendeurs finit par lui révéler que le directeur, c’est ce monsieur qu’il désigne de son doigt tendu dans ma direction. Elle rayonne :
- Je te l’avais bien dit, tes mérites ont été récompensés. Que je suis fière de toi.

Les éloges pleuvent, je suis son héros. Ce soir j’aurai droit à la récompense suprême. Elle me glisse à l’oreille le menu complet de la nuit d’amour qu’elle va organiser. Je la contrarie en lui annonçant qu’après le repas au restaurant, j’ai prévu d’assister en sa compagnie à une opérette. Mais va, à mon bras elle est prête à se montrer.
- Tu es grand, beau, tu as de la prestance: je ne t’ai pas épousé par hasard. Nous formons vraiment le couple idéal.
- Un couple sans enfant.
- Ah! Tu y penses toujours. Je t’ai déjà dit que dès la fin du stage, ou après ma prochaine promotion, nous en reparlerons.

Nous sommes rentrés tard. J’ai dû sacrifier à Eros. Sabine est une partenaire formidable. A ses qualités physiques indéniables, à son imagination débordante, elle ajoute l’avantage de savoir exciter par la parole, par les soupirs et l’expression gutturale les sens de son mari. Toute la rancœur accumulée depuis des semaines s’oublie quand elle me serre sur elle, quand elle tend vers moi ce sexe si longtemps adoré. Elle m’enfourche puis m’enfourne dans le conduit inondé de désir. J’ai encore des faiblesses pour la traîtresse et je finis toujours par lui dispenser le plaisir qu’elle recherche. J’oublie alors que d’autres en usent de même manière.
Sur le quai de gare Julie rayonne de bonheur. René a un air résolu. Sabine se montre discrète.

Encore un week-end. Le samedi Sabine va déposer un compte-rendu chez son supérieur. René s’arrache aux bras de Julie pour rendre des comptes. Sabine s’est prêtée au jeu des photos souvenirs.
-Je n’aurais jamais osé lui demander de prendre ces poses, debout, couchée, à genoux, jambes écartées, sexe exposé par devant, par derrière, par-dessous, vue de derrière mais le visage tourné vers l’objectif. Si elle a refusé en premier, elle s’est lâchée par la suite.

René connaît tout d’elle. Son départ précipité, les efforts qu’elle a dû déployer pour le convaincre de continuer à suivre le stage lui ont donné l’audace d’exiger. La photo la plus expressive est celle du baiser prise à bout de bras. René me livre une information dont il ne voit pas l’importance :
- Mercredi prochain, l’enquête en grande surface, avec observations commentaires et propositions se fera individuellement et non par binôme, pour gagner du temps.

Je m’empare du trousseau de clés du bâtiment et de l’appartement strasbourgeois de Sabine et vais immédiatement faire des doubles. Elle ne peut pas s’en apercevoir. Elle a d’autres préoccupations:
- Tu es vraiment certain que mes seins ne te plairaient pas plus s’ils ressemblaient à ceux de Julie?
- Examinons la question de plus près. Penche-toi. Ils sont sensibles. Ne crains-tu pas que l’opération les rende moins réactifs. Tu te tords sous la caresse actuellement. Mais après ? Ne pourrais-tu pas attendre d’avoir allaité pour te comparer à la voisine? Si tu y tiens, après ton accouchement je ne ferai pas d’objection.

Je constate que René n’a pas oublié le sujet. Judith, comme moi est persuadée que mon mariage est condamné. La série de photos l’a scandalisée. Elles sont dignes d’un site pornographique, mais indignes d’une épouse, compte tenu du lieu et du photographe. Elle a longuement gardé ma main dans les siennes, m’a souhaité bon courage. Elle est à mes côtés, je peux m’adresser à elle en toute confiance. Nous nous sommes enlacés un bon moment. L’accolade a été tendre. Elle prend rendez-vous chez son avocat pour mon divorce.

Le mercredi je me déplace à Strasbourg. Je visite le fameux appartement. La chambre de René est impeccable. Dans l’autre chambre à voir le lit, il est évident que Sabine n’a pas couché seule. Le mobilier est celui des photos obscènes. Cuisine, w.c. salle de bain, une salle ne contient que deux chaises et une table poussiéreuse. Je m’y installe. C’est jour d’enquête individuelle : j’ai flairé la ruse. La fenêtre donne sur la rue. A 13h45 René sort d’un bâtiment à gauche. Il arrive, j’entends ses pas: il quitte sa chambre et s’en va. Sabine quitte le même bâtiment, s’arrête près d’une berline, fait un signe et vient vers ici. Un chauve rondouillard s’extrait de la voiture et lui emboîte le pas. Bruits de clés, pas rapides, portes qui s’ouvrent et se ferment.
- Monsieur, vous pouvez entrer, il est parti.
- Mon petit, appelle-moi Albert quand nous sommes seuls. Mais vous êtes bien installés. Ça va, vous vous entendez bien. Le petit jeune ne t’importune pas? Il n’essaie pas de…hum?
- Prenez place, je fais un tour dans la salle de bain. En attendant, mettez-vous à l’aise.

A pas rapides elle rejoint Albert
-Oh! Que tu es merveilleuse, ma petite Sabine. Viens vite.

J’entends des bribes de déclaration enflammée. Des silences. Sabine a droit au célèbre couplet du mari qui ne s’entend plus avec sa femme. Avec précaution, je sors de ma cachette et m’approche de la chambre occupée par le couple.
- Albert est paresseux ? Albert est fatigué ? Oh le mignon petit Albert.

D’un coup d’œil je vois « Albert », petite chose encore inerte entre les jambes de l’homme. Sabine le masturbe avec complaisance. Celui-là ne lui fera pas mal, elle peut le choyer. Elle y passera, elle sait ce qu’elle veut, comme je l’ai deviné.
- Albert est ému. C’est la première fois que je suis infidèle; ça me trouble, mais ça va passer. Tu m’inspires.
- Albert est dans de bonnes mains. Il prend forme tout doucement. Il aime mes caresses. Albert aime ma langue ? Qu’Albert se rassure, moi aussi c’est la première fois que je trompe mon mari. Mais Albert est un homme formidable, irrésistible. Comment ne pas l’aimer ? Laaaaaaaaaaaaa, humm

C’est cucul, bêtifiant : la liaison commence, les partenaires communiquent plus difficilement en paroles qu’en actes.
- C’est fantastique, chère enfant. Tu me redonnes vigueur. Allonge-toi sur moi. Pendant que tu encourages mon membre, je vais faire connaissance avec toi...Le merveilleux fruits, la douce toison. Moi aussi je veux te sucer. O, belle jeunesse. Le bel ourlet des lèvres, l’enivrante odeur de femme. Hum

Je jette encore un œil. Le lit est sur la gauche. La chevelure de Sabine pend entre les cuisses de l’homme, animée d’un mouvement de bas en haut. Plus loin ses fesses cachent le visage d‘Albert, caressées par la main gauche. Le coude droit relevé indique qu’un doigt fore son chemin entre les lèvres: un murmure roule sous la chevelure, elle apprécie l’intrusion et le fait savoir. Albert redouble d’efforts. Son crâne chauve brille au-dessus de la croupe; il vient de mettre sa langue à la place du doigt et s’agrippe des deux mains aux hanches pour lécher et sucer. Le murmure de Sabine enfle, ses jambes sursautent. Albert est très habile de la bouche. Mais à l’autre extrémité ma femme peine à l’amener à l’état souhaité. Ses mains relaient sa bouche, masturbent, décalottent, rendent la pine paresseuse à la bouche acharnée. Le bonhomme a les yeux plus grands que la verge. Sabine n’en fera pas une matraque!

A côté de la porte, sur une chaise, le prénommé Albert a déposé son pantalon. Je me baisse et le tire à moi. Pendant que tous deux continuent chatouilles, gratouilles, fellation et cunnilingus avec concert de gémissements et cris de souris, soupirs inspirations et expirations bruyantes, saccadées, un peu en retrait, je fais les poches. Le portefeuille m’intéresse : un permis, une carte grise, une carte d’identité et deux cents euros. Ce monsieur me vole ma femme, je peux me permettre d’opérer un prélèvement. J’empoche : c‘est le prix de ma douleur. Je remarque le trousseau de clés de Sabine sur la serrure et la veste d’Albert sur le porte manteau de l’entrée. J’y pêche un trousseau de clés dont une clé de voiture: il rejoint le portefeuille
- Ma chère, j’ai malheureusement un rendez-vous dans une heure. Les hors d’œuvre m’ont comblé. Je voudrais te faire l’amour.

Il est solennel le boursoufflé.
- Je brûle d’envie, Albert. Veux-tu une position particulière.

Elle est servile, elle ne peut pas être amoureuse. Enfin, tous les goûts sont dans la nature.
- En levrette, c’est-ce que je préfère.

Sitôt dit, sitôt fait. Tête tournée vers le chevet, Sabine pose ses deux mains, s’appuie sur les coudes, creuse le dos et étale sa croupe majestueuse sous les yeux exorbités du bonhomme agenouillé derrière elle. Il est de dos, mais vraiment n’est plus jeune. La taille 62 du pantalon prouve que ce n’est pas par méchanceté de mari jaloux que je le vois bedonnant. Ce gros tas de graisse couche avec ma femme, il glisse difficilement ses genoux sur le drap, s’introduit entre les jambes fines, envoie, en se penchant, sa main droite vers son engin et le dirige vers la cible. Sabine de la gauche ramenée écarte une fesse. Albert remue les siennes, pousse, ne trouve pas.
- Attends, je t’aide.

Elle appuie sa tête et ses épaules sur le coussin et sa main droite, sous son ventre vient se saisir de la verge pour la mettre en place, la guider et la faire pénétrer : un vrai travail
- Ah! J’y suis. Que c’est bon.

Quel clown. Ce gros bonhomme ferait pitié. Il reste planté, bidon gras collé au fessier généreux. La prise n’est pas assurée, il faut qu’il avance cuisses et genoux pour ne pas perdre le contact. Sabine compatissante présente de son mieux la vulve convoitée. Enfin Albert se met en branle. Il souffle comme une locomotive.
- Merci, Sabine, tu es bonne. Merci.

Il n’y a qu’une explication à cet accouplement hideux : Sabine assure ses résultats de stage. Le lit grince, j’en profite pour faire deux ou trois photos. L’autre vient de déraper. Sabine propose un changement de position à l’amant poussif. Albert est sur le dos, son ventre proéminent est impressionnant. Avant de l’enfourcher Sabine agite le pénis, le masturbe pour lui redonner la raideur indispensable. Elle est penchée, Albert malaxe les deux seins. Les jolies fesses s’abaissent :
- Voilà, nous y sommes.

Elle lance un trot hésitant, se rassure sur la qualité de l’érection, accélère, fait souffler le phoque sous ses ruades. Je reconnais ses élans, sa fougue habituelle. J’admire ce dos qui se creuse puis s’arrondit régulièrement, ce mouvement rasant d’arrière en avant, la savante recherche du contact du clitoris avec la base du sceptre, le clin d’œil du petit trou. Ca ne dure pas, un gros doigt vient tirailler les plis de l’œillet, une phalange franchit l’anneau du sphincter, déclenche une ruade et un cri de satisfaction. Décidément Albert connaît ses insuffisances et compense avec ses mains. Généreusement Sabine s’aplatit sur son ventre pour donner le sein au correcteur.

J’en ai assez vu pour aujourd’hui. Doucement j’ouvre la porte, vole les clés de l’épouse trop occupée pour m’entendre. Pantalon d’Albert sur le bras, je referme la porte à double tour. Le pantalon atterrit dans une poubelle. Quand seront finies les galipettes, ils vont se retrouver prisonniers, lui sans pantalon et sans papiers, sans clés de voiture, dans l’impossibilité d’honorer son rendez-vous. Ils seront obligés d’attendre le retour de René. Devant le responsable de stage en tenue légère, René pourra monnayer son silence. S’il sait négocier le gros porc devra lui décerner des lauriers à la fin du stage. Qu’ils se dém…..Ma femme me trompe, bien, je le sais et je réussis à m’amuser de la farce que j’ai jouée. Mon amour est mort.

J’aurais pu me montrer, chasser le sans culotte, le poursuivre en criant au satyre, ameuter les passants, le faire contrôler par la police, avec une voiture fermée mais sans papiers. L’idée m’a effleuré. Je préfère être discret, la mise en place du divorce exige cette discrétion temporaire. Pas de vagues. Puisqu’il n’a pas hésité à dévoyer une collègue mariée qui prétend en être à sa première faute, j’enverrai à sa femme une lettre circonstanciée sur la façon dont je l’ai dépouillé. Je suis pour la paix des ménages.

Le coup de téléphone du lendemain vient d’un René furieux. Le gros honteux et confus s’est associé à Sabine pour le supplier de rester. Mais dans un premier temps le stagiaire avait été accusé d’avoir fait le sale coup. Enfin ils ont soupçonné un cambrioleur de s’être introduit. Cependant ils ont préféré étouffer l’affaire. Albert fera changer la serrure. A la nuit, drapé dans une serviette Albert a rejoint sa voiture, mais a dû appeler un taxi. Qui lui a fait un coquard, bien visible ce matin selon René; un coin de table malveillant comme il le raconte ou madame ?

Sabine a redoublé d’ardeur avec René. Elle regrette, mais elle lui fait comprendre l’avantage que tous deux vont tirer de l’incident. Elle a ri de la piètre prestation du puissant directeur. Pour la première fois de sa vie elle a simulé le plaisir. Elle a tenu à recevoir de René le plaisir manqué. Aussi quand elle a joui, plus expressive… René se souvient qu’il parle au mari, s’interrompt:
- Excusez-moi, je ne devrais pas m’étendre sur le sujet

Il s’étend bien sur ma femme l’imbécile heureux. Il faut croire qu’il est devenu jaloux.

à suivre
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Histoire de Veilleur

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