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Ma Femme, notre passé

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Lue : 3379 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/11/2012

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Nous sommes à une époque où l'Internet s’appelait minitel et que les téléphones portables ne tenaient pas dans la poche…

Pour ma part, j’ai 25 ans, je suis célibataire, timide et j'habite chez papa-maman, la vie est douce mais j’ai besoin d’autre chose, le téléphone rose me permet de prendre contact avec une demoiselle.

Premier coup de fil, on se parle, on décide de se rencontrer, rendez-vous est pris dans un petit resto à côté de chez elle. Elle habite à une vingtaine de kilomètre de chez mes parents et pas très loin de mon lieu de travail.

Mardi 19 juillet, 20h15, je suis à l’endroit indiqué, je viens de sortir du boulot et je suis en avance, Elle s’approche de moi. Grande, brune, la silhouette plutôt longiligne, Elle me sourit, un peu gênée, j’essaie de paraître à l’aise mais il n’en est rien. Nous marchons vers le resto, une pizzeria, pas très original mais bon, la nourriture n'est pas terrible mais cela m’importe peu, je trouve ma compagne belle, j’essaie de lui prendre la main.

Nous discutons de choses et d’autres, nous avons beaucoup de choses en commun, et nous avons le même âge. Le repas terminé nous sortons, avec l'envie de continuer à faire connaissance, Elle m’avoue qu’elle aussi habite chez ses parents. Nous marchons dans les rues, sans trop savoir quoi faire, où aller, je lui tiens la main, puis nos bouches se rapprochent. Un premier baiser, timide, puis un autre, plus passionné. Nous reprenons notre marche, nous faisons le tour du quartier pour nous retrouver à l’entrée d'un petit parc attenant à la pizzeria, je l’embrasse encore, mes mains cette fois sont plus hardies : elles sont autour de sa taille, se promènent sur ses hanches. Je lui embrasse le cou, lui caresse la joue et descend doucement à la rencontre de sa poitrine. Je glisse ma main sous son chemisier, la passe sous son petit sein au travers du soutien-gorge, très vite, je l’écarte pour venir pincer le téton, il est déjà tout dur. Je le fait rouler sous mon doigt. Elle finit par ôter le sous vêtement « il ne me sert à rien ». C’est vrai, sa poitrine est petite mais ses tétons sont très sensibles, je continue de jouer avec, pour son plus grand plaisir.

Je continue alors mon exploration, passe la main sur son jean au niveau de son sexe, je le sens chaud à travers l’épais tissus. Je défais son premier bouton et glisse ma main à l’intérieur, je la caresse à travers sa culotte, le passage est étroit dans le pantalon, je n’ai pas une grande marge de manœuvre. Je me faufile sous le délicat tissus, dernier rempart et passe la main sur sa toison pour enfin trouver le Graal, la fente douce, chaude et humide.

Nous sommes là, debout dans ce parc, enlacés à la tombée du jour, je l’embrasse goulûment tout en continuant de la doigter. J’ai du mal à œuvrer, Elle me laisse ouvrir sa braguette, et descendre son pantalon, il est maintenant en haut de ses cuisses. Ma mains continuent de flatter sa vulve, je la pénètre avec le doigt, ses jambes ont du mal à la soutenir, elle s’accroche à moi. Mon doigt quitte sa chatte humide pour se diriger vers son petit orifice, le contourne et y rentre avec difficulté. Je suis pressé, impatient. Je retourne à des caresses plus conventionnelles avant de l’entraîner vers le banc, et je l’invite à s’asseoir. Elle me regarde, confuse, je m’agenouille devant elle, place ma bouche à hauteur de son entrecuisses et l’embrasse délicatement. Elle gémit. Rapidement, je trouve son clitoris, gonflé, rougis par le plaisir, je le contourne avec ma langue, le suce, l’aspire, je glisse ma langue dans son intimité, me délecte de son jus alors que son corps et secoué par un violent orgasme.

Je me redresse, la bouche maculée de sa cyprine, l’embrasse, et me poste debout face à elle. Elle déboutonne mon pantalon et sort mon sexe. Des gens discutent dans la rue sans nous prêter attention tandis qu’elle dépose un baiser maladroit sur mon gland, je gémis un peu « hoo oui », Elle le prend en bouche « mmmmmmm », tout en me branlant avec sa main, elle gobe ce qu’elle peut alors que je lui caresse les cheveux. Je ne tiens plus et je ne tarde pas à jouir au fond de sa gorge. Ne sachant quoi faire, elle avale ce qui vient.
À mon tour, je viens m’asseoir sur le banc. Elle se relève, m’enjambe mais son jean est trop serré, Elle ne parvient pas à se baisser assez pour venir s’asseoir sur moi. Elle ne tient pas à enlever ses chaussures et se retrouver complètement à poil dehors. Nous renonçons, nous ne ferons pas l’amour le premier soir …

Le lendemain soir, je la rappelle, mes parents sont absents ce week-end, j’ai beau avoir 25 ans, ils ont des principes… nous prenons rendez-vous le samedi soir. Elle me retrouve devant mon travail et je l’emmène chez moi.
Arrivés au domicile, visite rapide de la maison ; salon cuisine, et surtout, la chambre, je l’embrasse, la couche sur mon lit, la déshabille entièrement. Son corps est superbe même si sa poitrine est petite le reste est bien proportionné, son sexe est touffu mais rapidement, nous rattrapons le temps perdu, nos corps se rejoignent, ne font plus qu’un. Je la pénètre sans difficulté, mon sexe est bien au chaud dans ce fourreau humide, il glisse, coulisse, trouve sa place. Elle gémit, soupire, profite comme moi du moment, l’extase nous envahi, elle jouit, je jouis en elle, me répand en l’embrassant.
Retour au salon, je m’assoie dans un des fauteuils, elle s’approche de moi, et à califourchon vient s’asseoir sur mon sexe à nouveau tendu, Elle s’empale, commence un lent mouvement de bas en haut, augmente la cadence, je vois sur son visage le sourire du plaisir, ses yeux brillent.
Maintenant, elle saute littéralement sur mon ventre, fait claquer l’intérieur de ses cuisses sur les miennes, montant et descendant tout le long de ma hampe. Ce week-end-là, nous l’avons passé à nous découvrir, à explorer nos corps.
Elle aime que je la suce, je lui ai fait son premier cunnilingus mais les poils me dérangent, je lui dis. J’étais aussi le premier à entrer dans sa bouche.

Au cours des semaines, des mois qui ont suivis, nous nous voyions seulement le week-end, à chaque fois nous les passons à faire l’amour. Pour me faire plaisir, un jour elle est venue, c’était toujours elle qui venait chez mes parents, j’avais un lit à 2 places et notre histoire était suffisamment sérieuse pour bousculer les principes parentaux. Cette fois-là, elle semblait déjà excitée comme une puce, le regard pétillant et une fois sa culotte enlevée (moment tellement doux pour moi) je découvrais un pubis glabre « surprise ! » me dit-elle avec un large sourire. Je me délectais de la vue de ce sexe fraîchement rasé et y plongeait ma langue avec délice, goûtant la nouvelle douceur de la peau mise à nue, lapant goulûment le liquide sucré qui en coulait. Cette fois-là, Elle avait gardé un mince filet de poils qui a rapidement disparu par la suite.

Soirée ciné, en amoureux. À la fin de la séance nous regagnons la voiture. Elle n’est pas stationnée dans le parking souterrain du centre commercial, trop loin des salles de projection, mais dans une allée à la sortie de la gare routière. Il fait nuit, nous nous tenons la main. Quel film avions nous vu ? Je ne m’en souviens plus, mais il avait suffisamment échauffé nos sens, je l’embrasse, la pousse contre le mur. Il fait nuit, ma main se glisse sous son jean, rapidement je descends, défait sa braguette, fait glisser pantalon, puis sa petite culotte et me régale de ce sexe lisse. Elle reste debout, adossée au mur, je dois supporter son poids, ses jambes ont du mal à la soutenir alors que ma langue joue avec son clitoris dégagé, en libre accès avant de s’enfoncer loin dans son vagin, je bois son jus qui coule. Puis mes doigts remplacent ma langue dans son puits humide et accueillant, ma langue continu d’astiquer son petit bouton. Cette fois, ses jambes ne la supportent plus, elle est transpercée par un orgasme violent, j’arrête ma besogne, me redresse et viens l’embrasser. Du coin de l’œil, je distingue une ombre, quelqu’un passe. Était-il là depuis longtemps ? Je l’aide à remettre son pantalon et nous reprenons notre chemin.

Samedi soir, elle a enfilé une petite robe noire très sexy, des bas et une petite culotte, ce soir c’est restaurant avec ses grands-parents pour faire leurs connaissance. Durant tout le repas, je l’admire dans sa tenue, j'imagine ses longues jambes gainées dans le nylon, le haut de ses cuisses à l’air. Je n’ai qu’une envie, m’insérer sous la robe, attraper le sous vêtement et le faire glisser au sol.
Dessert, café, addition, nous raccompagnons les aïeuls dans leur appartement. Une fois seuls dans le couloir, je l’embrasse à pleine bouche, tente de passer ma main sous sa robe. Elle m’en empêche « arrêtes ! Ils attendent pour nous faire coucou par la fenêtre ». Nous sortons, montons en voiture en répondant à leurs saluts.
« Enlèves ta culotte, j’en ai fantasmé pendant tout le repas ! »

Elle se cambre un peu sur le fauteuil et ôte le tissu tant convoité, le glisse dans la boite à gant.
« Et maintenant ? »

Je démarre, direction la capitale toute proche.. Ma main passe du volant au levier de vitesse et a ses cuisses, je remonte le pan de tissus, mets la chair à nu, caresse la fente humide. Arrivés sur les Champs-Élysées, nous nous garons, je marche sur la plus belle avenue du monde, à mon bras, la plus belle femme du monde nue sous sa robe. Nous entrons dans un grand magasin de disque, je la laisse s’éloigner, vais de mon côté, me rapproche discrètement et viens poser ma main sur la rondeur de sa fesse, Elle sursaute, pas à l’aise sans sa culotte, se rassure en me voyant « ne me laisse pas s’il te plait me dit elle- »ok, viens » nous sortons et remontons l’avenue. Elle fatigue un peu, je l’aide à s’asseoir sur le parapet en granit du passage souterrain face à un grand cabaret, ou est la bouche de métro ? Je l'embrasse en posant ma main sur sa cuisse, ses jambes son légèrement ouvertes, je glisse sous le tissus de sa jupe, atteint ma cible, mes doigts trouvent son intimité, Elle est trempée, j’en entre un doigt puis deux. Une voix derrière « ho, téma ». Je ressors, goûte son jus sur mes doigts, lui fait partager puis nous repartons.
Nous regagnons la voiture et nous rentrons.
« ça va ?
Oui, et toi ?
Caresses-toi ! »

Je conduis sur les voies sur berges, à mes côtés elle fait glisser ses doigts sur son clitoris, en fait entrer un, ma main vient l’accompagner de temps à autre. J’entre sur l’autoroute, Elle s’approche de moi, défait ma braguette puis elle prend mon sexe dans sa bouche. Elle me suce, me lèche, m’aspire mais ne me laisse pas jouir, plus dans sa bouche. J’ai été trop impatient la première fois, trop maladroit, tant pis pour moi !

Soir de semaine ses parents absents. Elle m’invite à dîner chez elle, je finis tard au boulot (toujours 20h00), j’ai changé de lieu de travail, je suis plus loin de chez elle à présent.
Petit repas, nous ne sommes pas seuls, son frère, 3 ans plus jeune, est là, il va se coucher tôt, il travaille le lendemain et comme il se lève aux aurores, il nous laisse seuls.

Nous ne tardons pas à nous retrouver nus, allongés sur le tapis du salon. Il est rêche.. Me râpe le genou, son dos, je la relève et l’allonge sur la table à manger, je suis debout, Elle écarte les cuisses, m’offrant son intimité que je ne tarde pas à pénétrer. Je lui fais l’amour debout dans la salle à manger. D’où je suis, je domine la scène, je la vois allongée, ses petits seins qui tressautent au rythme de mes allées-venues en elle, son bas ventre imberbe me laisse dégager la vision de son vagin pénétré par mon sexe tendu, le tout sur le napperon de la table. Aller comprendre pourquoi il m’arrive encore d’avoir des érections lorsque nous sommes invités dans ma belle-famille….
Puis après avoir joui en Elle, je l’aide à se relever, l’entraîne vers la cuisine et la pose devant la fenêtre. Il s’agit d’une porte fenêtre qui donne sur l’avenue, une nationale à quatre voies qui traverse la ville, nous sommes en proche banlieue parisienne et il y a un peu de circulation. Elle est là, debout, je me tiens derrière elle et lui caresse tout le corps, passe une main sur ses seins, l’autre vient se poser sur son pubis, s’insinue entre ses lèvres intimes tout en lui embrassant le cou. « Si un voisin rentre ! » nous sommes au premier étage, au-dessus de l’entrée de l’immeuble « il ne sera pas déçu, si il lève les yeux… », je la sens un peu troublée quand même, nous mettons fin à notre petit jeu.

Pour nos premières vacances, nous partons en moto au camping Une première (et dernière) fois pour elle. Je choisis le sud, le Verdon, mais pas de chance, un orage tous les soirs… . Après-midi au lac (Ste Croix), repos, les nuits sont courtes à cause de la pluie. Nous sommes allongés côte à côte, je me rapproche, il y a peu de monde sur la plage, nous ne sommes pas (ou plus ?) en période de grande saison, je l’embrasse, la caresse, m’allonge sur Elle, écarte son slip de bain et doucement j'enfonce mon sexe dans le sien. Les quelques personnes autour de nous continuent leur bain de soleil, leur jeu de plage alors que doucement, je fais onduler mon corps, Elle se cambre pour faciliter la pénétration, je vais au plus profond, Elle m’embrasse pour contenir ses gémissements alors que je jouis en elle.
Autre voyage, en automne à St Malo, visite nocturne des remparts après une bonne crêperie. Une porte cochère dans un endroit peu fréquenté, Elle m’entraîne vers l’alcôve, glisse sa main sur ma braguette, défait mes boutons, me branle doucement en pleine rue, se penche et me prend dans sa bouche, m’embrasse le gland, me lécher, me suce, reprend le travail manuel, je jouis dans sa main.
Tous les week-ends sont aussi voluptueux, nous décidons de vivre ensemble, de nous marier…Dommage…
Mes parents aménagent une dépendance de la maison pour nous faire un petit nid d’amour. Problème: c’est loin de son travail, Elle rentre fatiguée et mes parents ne nous laissent pas toute la liberté que l’on voudrait.......
Les poils repoussent.....

Le jour du mariage, la fête est gâchée pour des broutilles puis fâcherie familiale, déménagement…
Voyage de noce en Guadeloupe, on recolle les morceaux, sexe dans la mer des caraïbes… Le temps passe, le sexe se fait de plus en plus rare.
Puis on veut un enfant, nous faisons l'amour pour procréer plus par envie.
L’enfant naît, c’est le plus beau ! Ma fierté ! Il grandit bien, l’amour est toujours présent à la maison, mais pas le sexe, c’est quand elle en a envie, et c’est de plus en plus rare…je me connecte souvent sur le net, trouve un refuge compensatoire sur les vidéos, les textes…

La vie continue avec son train-train quotidien …
Nos rapports sont de plus en plus éloignés, je ne suis plus aussi performant, je, jouis en trois aller-retour.
Mes caresses sur son corps ne lui font aucun effet, ma langue arrive toujours à lui faire du bien, elle ne prend plus la pilule : on sort pour éjaculer ! Elle ne veut plus la lumière allumée car elle a honte de son corps.
« arrêtes, il est très bien ton corps, je t’aime comme tu es ! »

Mais je lui dis, toujours maladroitement, que le sexe me manque...
« Ho toi, c’est tout le temps ! »
« Et toi, c’est jamais ! »

Elle en prend conscience.
Moi, je m’étais laisser -aller, j'ai pris pas mal de kilos.
Allez, courage : natation, gym, on change l’alimentation, au final, -15kg.
Ensuite une année difficile : Son père est atteint du crabe, ses grands-parents décèdent à quelques mois d’intervalle (101 ans et 96 ans)
Vacances : Jour 1 je fais un pari : « je suis sûr qu’on ne fera pas l’amour une seule fois ! », il y en avait 15.
Jour 2 : « j’ai mes règles ! »
« ben tiens, déjà gagné ? »

Le soir, Elle se rapproche : » va laver zizou ! » (Elle ne suce pas un sexe sale) je me lave reviens en laissant la lumière allumée et la regarde me prendre dans sa bouche. Elle ferme les yeux mais s’applique, sa langue tourne autour de mon gland, s’attarde sur le méat, puis elle l’aspire, je suis épais, sa bouche est étroite, elle a toujours eu du mal à me prendre entièrement. Elle lèche la hampe, les couilles un peu, je finis par jouir de sa main.

La suite des vacances se passe comme je l'avais prévu : 1ere semaine abstinence pour menstruation, 2e semaine : fatigue, j’ai chaud ….
Retour à la maison, je reprends le boulot, Elle a deux jours de congés de plus. Cette fois, dans le lit conjugal, Elle se rapproche, se fait chatte, Elle reprend le travail demain. Ma main court sur son corps, glisse sous son pyjama, j’attrape un téton, le pince, elle se déshabille, je fais de même et en profite pour allumer la lumière, elle ne dit rien, je regarde son corps, la caresse « j’aime voir ton corps ! Tu es si belle » je suce ses seins, lèche son ventre, son sexe. Je me redresse, lui présente ma verge qu’elle avale sans hésitation, je la regarde me sucer d’au-dessus, puis je vais m’asseoir dans le lit, l’attire avec moi, Elle est à genoux et reprend mon sexe en bouche. Je lui caresse ses longs cheveux, les mets du même côté pour pouvoir la regarder me sucer dans le miroir de l’armoire. Ses doigts se promènent sur mes fesses, glissent dans ma raie puis elle tourne autour de ma rosette, elle sait que j’apprécie. Un jour, elle a enfoncé son doigt pour mon plus grand plaisir, mais il en était ressorti maculé de merde, et cela l’avait dégouté.
« hummmmmmm
-tu aimes ça, qu’est-ce qu’on pourrait enfoncer ? »

L’allusion n’était pas tombée dans l‘oreille d‘un sourd.
Je la rallongeai sur le dos puis, lentement, vint m’insérer en Elle, je glissais ma verge tendue dans son vagin trempé, y trouvait ma place, au chaud, dans un écrin de velours puis commença mon va et vient. Elle se contracta, son visage prenait le masque du plaisir, de l’orgasme qui monte. J’adore la regarder dans ces moments-là. J’augmente la cadence, la diminue, sort d’elle pour changer de position, à son tour de me chevaucher. Enfin, elle se met à quatre pattes, réclamant une levrette. Ma langue lèche une dernière fois ses lèvres intimes béantes et je prends place derrière Elle. Nos regards se croisent dans le miroir alors que je la pénètre à nouveau. Elle gémit du flux et reflux de ma verge en Elle. L’armoire nous renvoie fidèlement la scène. Mes yeux alternent entre ce tableau de nous, de cette femme magnifique, accroupie sur le lit, me regardant par l’entremise du réflecteur, avec allant et venant dans son intimité une colonne de chair, dure, raide, et son petit trou inexploré, interdit, qui me fait de l’œil au milieu de ses deux globes que je ne prive pas de caresser, cajoler. Je finis par jouir dans ma main, allongé sur mon dos.

En ce dimanche de septembre le soleil est encore de la partie. Après le déjeuner, Elle s’installe dans le jardin pour arranger son bronzage. Nous avons beau habiter la banlieue (le « 9-3 »), nous possédons quand même un petit jardin sans vis à vis. Alors que je prépare les cafés, elle en profite pour enlever son chemisier et je la retrouve assise en short et soutien-gorge en plein soleil. Bien sûr, je ne résiste pas au fait de venir déposer un tendre baisé sur cette poitrine quasi nue. Les bretelles du sous vêtement sont déjà descendues, laissant visible le petit téton. Ma bouche se dirige alors vers lui le tète, l’embrasse, le suce, Elle sourit, se laisse aller au plaisir qui monte en Elle. Un bruit, quelqu’un sonne au portail, arrivée impromptu des beaux-parents qui passe juste dire bonjour. « Salut ». Ils repartent aussitôt.

Je prépare les chaises longues et nous nous y installons, côte à côte en dégustant notre café, Elle est toujours dans la même tenue et lorsque je récupère sa tasse, je reprends les choses là où je les avais laissées.

Mais elle veut parler, elle m’interroge sur mon amour pour elle, mes fantasmes, Elle sait qu’ils sont nombreux. Me questionne à nouveau sur le fait qu’avant Elle je fréquentais des prostitués, Elle veut savoir pourquoi, pourquoi je regarde des vidéos X sur le net, ce que j’y trouve. Je réponds de mon mieux, Elle m’avoue qu’elle aurait envie d’en regarder avec moi, de prendre un DVD et va réfléchir sur le fait de se raser à nouveau le pubis.. On parle de sodomie, me demande si je l’ai déjà pratiquée. Je lui réponds que oui et me dit qu’elle trouve cela sale, « c’est l’anus après tout »…
Puis les questions se tassent, les baisers reprennent, Elle me laisse faire, bientôt, le soutien-gorge disparaît, elle est seins nus dans notre jardin. Afin de que ses jambes profitent mieux du soleil, elle avait enlevé son short, elle est donc en petite culotte. Une main malaxe son sein gauche alors que ma langue s’occupe de l’autre. Ma bouche court se promener sur son ventre, remonte vers ce téton érigé en mon honneur, je continue de le lécher, le sucer dans tous les sens tandis que mon autre main se dirige vers son bas ventre, je sens la chaleur de son sexe au travers de la fine étoffe que j’écarte pour y poser un doigt qui trouve immédiatement la moiteur de sa fente dans laquelle il va glisser instantanément. Je me redresse et viens regarder le spectacle de mon doigt coulissant dans son sexe, je le ressort, écarte les grandes lèvres et expose son intimité au soleil. Je me tiens debout à ses côtés, je baisse mon short afin de libérer ma verge à l’étroit, Elle s’en saisi, je l’approche de sa bouche et elle l’embrasse, le suce alors que nous entendons la voisine laver ses casseroles, je regarde ma Femme prendre ma queue dans sa bouche, glisser sa langue sur mon gland, s’attarder sur le méat. Je quitte alors sa bouche et retourne vers son bas ventre humide pour venir embrasser son bouton rouge, gonflé par le désir.

Cette après-midi-là, elle a eu 2 orgasmes grâce à ma langue, la promesse d’une séance de sexe le soir qui fut encore une fois fantastique.

À suivre pour mes histoires....peut être....
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Histoire de jeanmimel

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