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La vigie

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 02/11/2022

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LA VIGIE

Marion est arrivée très tôt le matin. Il n'y a personne dans les environs, on est en pleine nature, sur ce parc naturel régional qui s'étend sur des kilomètres. Elle connait les lieux par cœur, car ça fait deux ans qu'elle est vigie feux.
Elle accède au parc en se garant à l'orée d'un chemin qu'elle emprunte ensuite à pied, pour arriver à un refuge. Celui-ci est parfaitement équipé. Elle a apporté son repas de midi, qu'elle fera chauffer au moment de la pause.
Pendant deux mois, une semaine sur deux, elle part ensuite sur un point d'observation. De là, de puissantes jumelles comme armes, elle observe la nature alentour.
Elle n'est pas la seule. Ils sont plusieurs, disposés à des points stratégiques, en hauteur, qui surveillent les possibles départs de feu. Une stratégie développée à la fin des années 80, après que de terribles incendies aient ravagé la zone.
Marion a vingt ans, et c'est une très jolie jeune femme. Grande, brune, élancée. Un hoodie sur le dos 'VIGIE FEUX' sous lequel elle a un T-shirt tendu par des seins ronds, un short en jean qui met en valeur ses formes, ses jambes impeccables nues, un visage aux traits délicats, elle plait à beaucoup de garçons. Et elle le sait.
Elle arrive au refuge et prend le temps de se faire un café, en utilisant un réchaud à gaz. Elle se pose pour le boire, et sirote son café. La journée est encore fraiche.
Marion a envie de sexe. Pas de petit copain ces derniers temps, et des envies qu'on a forcément quand on est jeune et qu'on a pris l'habitude, comme elle, de goûter les plaisirs de la chair. Les moments de creux ne sont pas forcément appréciés.
Incapable de se contrôler, et parce que son sexe la démange, elle se met à se frotter sans défaire son short. Elle n'a pas de culotte dessous, celui-ci à même la peau, et la manière qu'a le tissu, rugueux, de frotter contre ses lèvres lui procure du plaisir. Elle sent que ses chairs s'ouvrent et se déplient, et regrette de ne s'être pas caressée plus tôt avec ce short en jean. Elle se dit aussi qu'elle n'aurait peut-être pas du commencer à se masturber, maintenant, elle va aller jusqu'au bout, or elle veut monter au plus vite à son point d'observation.
Elle finit par défaire le short, et le faire glisser le long de ses jambes fines. Sans surprise, elle trouve au bout de ses doigts un sexe largement dilaté, ouvert, huileux des jus qui coulent d'elle, avec des lèvres qui s'étalent. Elle est plus excitée qu'elle n'aurait pu l'imaginer. Elle a envie de jouir.
Elle se dit un instant qu'elle est folle. Le refuge est ouvert à tout vent. Si quelqu'un arrive...
Mais le problème ne se pose pas. L'orgasme est déjà là, qui la tend, la prend, la fait gémir. C'est vrament bon. Des coulures de sécrétions dégoulinent le long de ses cuisses. Elle attrape le rouleau d'essuie-tout qu'elle a posé sur la table en bois, elle renverse toujours du café, et éponge ses jambes avant de remonter son short. Il y a des taches de sécrétions, sombres, mais elles sécheront, de toute façon, elle n'a pas pris d'autre short.
Cinq minutes plus tard, elle est en route pour son point de surveillance. Du refuge, il faut prendre un petit chemin, puis monter sur une colline.
Elle fait partie de ces personnes qui éprouvent très tôt le besoin de s'engager. De faire quelque chose de sa vie. C'est pour cela qu'elle est devenue pompier volontaire à l'âge de 14 ans. Sans souhaiter par la suite se professionnaliser. En effet, passionnée de chimie, elle savait déjà qu'elle voudrait faire des études dans ce domaine.
Deux ans plus tôt, elle a vu une affiche qui demandait des vigies pour surveiller la forêt, si abondante dans le département et signaler d'éventuels départs de feu. Elle s'est portée volontaire. La personne en face d'elle lui a expliqué que c'était une tâche fastidieuse que de surveiller, sans relâche, la nature, à la recherche d'un départ de feu. Elle a répondu que cela ne lui faisait pas peur et qu'elle savait être patiente. C'était peut-être pour cela, sa capacité de patience, qu'elle avait été choisie, et depuis, en juillet et août, elle prenait un poste une semaine sur deux, remplacée la semaine B pour éviter la lassitude.
Quand elle arrive sur la colline, d'autres sont dans des tours de guet, elle bascule sur un autre état. Celui d'une vigilance extrême. Elle a déjà, sur les deux dernières années, appelé pour vingt-cinq départs de feu.
Ses jumelles vissées à l'oeil, elle laisse son regard glisser sur cette si belle nature. Une de ses motivations a aussi été de préserver ces lieux, qui ne méritent pas d'être ravagés par des incendies.
Il faut couvrir une large zone, en sachant examiner attentivement chaque centimètre du terrain, et surtout revenir sans cesse sur un lieu deux secondes après avoir laissé son regard glisser dessus.
Marion sait qu'il y a bien des causes pour qu'un feu se déclare. La plupart des feux sont dus à l'accident et à la bétise, la cigarette que l'on jette dans la nature, le feu de camp mal éteint. Mais elle sait aussi que des hommes, et des femmes, éprouvent un plaisir presque sexuel à mettre le feu.
Cela fait deux heures qu'elle est en observation, sans lassitude, quand elle remarque la fumée. Près d'un lac, sur sa gauche. Non il n'y a pas de doute.
Elle sait ce qu'elle a à faire. Dans ces zones qui ne sont pas forcément couvertes par les réseaux de téléphonie, on lui a remis un épais téléphone-radio qui est connecté à leur QG. Elle s'identifie en donnant son nom et le numéro qui lui est attribué dans l'équipe, puis l'azimut et la visée, soit un point précis défini en latitude et longitude qui va permettre à une équipe de se rendre sur place.
C'est une heure après qu'elle le sent arriver. Les fumées ont disparu et elle a aperçu un véhicule rassurant au bord du lac. Elle a peut-être, cette fois comme d'autre fois, ça reste une hypothèse, évité un incendie de grande importance.
Elle le sent approcher. Il lui rend visite régulièrement quand elle surveille. Il lui consacre quelques moments, et elle trouve cela très bien. Cest une sorte de détente au milieu d'une tension constante.
Il ne dit rien, toujours muet. Mais sa présence est bien réelle. Il vient poser ses mains sur ses bras. Il s'approche encore plus, se colle contre elle. Elle sent une verge bien dure, gorgée de sang, enserrée dans le pantalon de celui qu'elle a nommé 'l'amant du parc'.
Marion lui dit :
--Je suis toute à toi. Tu peux faire ce que tu veux, tu le sais.
Il reste derrière elle. Elle aime ce choix, et son positionnement.
Il vient glisser ses mains, des mains qu'elle aime, souples et habiles, sur le devant. Sous son T-shirt, elle n'a pas mis de soutien-gorge. Ses seins sont tout petits. Elle n'en est pas complexée, au contraire. Ses amants les apprécient. Quand vient l'été, elle se débarasse de ses soutien-gorge, pour sentir plus de liberté.
Il trouve le chemin de ses tétons, qu'il caresse, à mi-chemin entre délicatesse et fermeté.
Elle adore qu'on lui caresse les tétons. Cela laisse sans doute certaines filles indifférentes. Ce n'est pas son cas. Son ventre se remplit de chaleur, et son sexe d'humidité.
Elle tend les mains en arrière pour le défaire. Il porte, comme elle, un short. Elle met à nu une queue en pleine érection, longue et dure, dont la longueur et la dureté sont une garantie d'un plaisir à venir. Elle fait aller et venir sa main dessus, sentant bien la queue, au creux de sa paume, chaude et dure, qui palpite d'excitation, et dont coule du méat, régulièrement, un liquide sirupeux qui lui remplit la main. Elle pourrait le faire jouir, à force de le frotter. Elle a déjà branlé pas mal de garçons, une bonne solution pour satisfaire un petit copain qui a envie de sexe, tout en évitant d'aller plus loin quand on n'a pas envie. Elle a une image, celle de jets de sperme venant maculer le bleu de son short en jean, tendu sur ses fesses bien rondes.
Mais elle a envie de plus. Tout en continuant de tenir la queue d'une main, elle vient défaire le bouton qui tient son short à sa taille. Le bouton glisse hors de son attache, elle descend la fermeture éclair... D'une seule main, elle tire un coup à gauche, un coup à droite, et elle fait descendre le short, sous lequel elle est nue. Elle sait ce qu'elle offre à l'homme derrière elle : Des fesses rondes et rebondies, toutes bronzées, car, quand elle est seule chez elle, elle monte sur le toit et fait du bronzage intégral. Une couleur caramel appétissante. Et entre ses cuisses, plus bas, son sexe entrouvert. Elle passe sa main, sent un sexe tout sauf clos, donnant du champ à ses muqueuses humides. Le plat de sa main récolte de l'humidité. Ses lèvres, contre ce même plat de main, sont toutes gonflées. Elle se frotte, et ressent du plaisir.
Cette même main part vers l'arrière et va chercher le membre gorgé de sang. Elle le prend, avec l'intention d'être la maitresse du jeu. Elle masturbe encore le sexe, avant de l'amener au contact de ses fesses. Le gland contre la rotondité. Elle frémit de ce contact qui lui envoie de l'électricité dans le corps, tout en sentant bien que le garçon aussi réagit. Elle balade la queue sur la surface de ses fesses, caresse chaude et humide, le liquide qui coule de son méat, avant de l'amener dans son sillon pour une caresse plus intense, plus forte, plus intime aussi. Le robinet dans son ventre s'ouvre d'un cran supplémentaire, et ses jus coulent avec plus d'abondance. Le gland la frotte bien, dans ces zones où la chair est délicate et réactive. Elle prolonge le jeu encore un moment, mais elle sait qu'elle veut plus.
Elle amène son gland gonflé un peu plus bas, au niveau de son sexe, en même temps qu'elle se positionne différemment, se tendant plus vers lui. Elle sait toutefois que ce ne sera pas suffisant pour que sa queue rentre totalement en lui. Aus trois-quarts, sans doute. Mais une queue n'a pas besoin d'être entièrement enfoncée dans une vulve pour éprouver du plaisir. Même un tiers serait sans doute suffisant.
Elle le frotte contre ses lèvres qu'elle percoit par contraste, longues, étirées. Elle a peur un instant qu'il ne jouisse, et elle lui dit :
--Surtout retiens-toi. Pas maintenant. Je veux que tu me donnes du plaisir, avant.
Elle l'amène au centre de son sexe, et il a l'intelligence de pousser pour glisser en elle. Il rentre aussi loin qu'il le peut et ce glissement est délicieux. Il s'immobilise, avant d'esquisser un mouvement de va-et-vient qui fait monter le plaisir chez l'un comme chez l'autre. Elle a l'impression de s'ouvrir, au contact de ce sexe, et de mouiller avec de plus en plus d'abondance, arrosant ce membre viril qu'elle sent grossir en elle.
Il ripe, dans un mouvement arrière, glisse hors d'elle. Elle le rattrape, le guide à nouveau en elle. Il reprend son va-et-vient. Pour compléter son plaisir, Marion vient poser la pulpe de ses doigts contre son gland clitoridien, tendu et épais, comme à chaque fois qu'elle est très excitée. Elle le frotte fébrilement, un complément à son plaisir.
Elle a une conscience aigüe du corps de son partenaire, de ses réactions, et elle sait pertinemment qu'il va jouir dans quelques secondes. Elle attrape sa queue, la sort de son ventre, et vient en plaquer le dessus contre ses lèvres. Le gland est à peu près au niveau de son clitoris, et il est nappé d'un sperme épais par les multiples jaillissements, la semence, copieuse, coulant autour des lèvres et au-delà du vagin. La sensation est unique, et l'amène au bord du plaisir. Elle y tomberait si elle se laissait aller.
Marion secoue la tête. Il faudrait qu'elle arrête, quand elle comme ça, en pleine nature, de fantasmer. Non, il n'y a pas de garçon inconnu qui vient à elle quand elle est en surveillance.
Elle remonte les jumelles à ses yeux et se remet en quête d'un début de feu.



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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : La vigie

Le 21/12/2022 - 12:04 par JamesB
C'est une excellente idée, du coup j'ai fait une suite que je viens d'envoyer...
Le 18/12/2022 - 10:19 par Trial
Original comme scénario. J'adore ses petits seins dont elle n'a pas honte. Déçu que ce me soit qu'un fantasme, ça casse un peu l'histoire. Une suite possible avec vraiment quelqu'un derrière elle qui la prend sauvagement tandis qu'elle observe les pompiers éteindre un feu grâce à ses jumelles...ça ajouterais un peu de tension, toujours bon dans le sexe.

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