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rencontre avec mon jeune voisin. Part 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 04/11/2022

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Je filais à la salles de bains, prendre une douche, m’épilais la chatte, et me repoudrer le nez Je revins dans la chambre, ou Didier était toujours endormi. Je le réveillais doucement, faisant courir mes lèvres sur les siennes, plongeant avec amour, mon regard dans ses grands yeux bleus, remplis d’innocence.
Mais comme je me penchais légèrement sur l’adolescent, pour lui caresser tendrement le torse, je me rendis compte que Didier avait les yeux braqués dans l’échancrure de mon corsage. Sous ce regard plein de désir, je ressentais une bouffée de chaleur me monter à la tête.
Sous le regard insistant de l’adolescent, je sentis mes bourgeons se gonfler de désir tandis qu’un long frisson me parcourait l’échine, et fus prise à nouveau par des tentations érotiques.
A la vue de son regard, je lui demandais si c’était mes seins qui l’attirait, et s’il voulait les voir. La réponse sautait aux yeux.
Stupéfaite de son audace, je me suis, après un moment d’hésitation agenouillais à coté de lui, qui appuyé sur un coude me contemplait, les yeux brillants d’excitation. D’une main tremblante, je déboutonnais rapidement mon corsage, que je jetais au pied du li. Surprise par ce que j’osais faire, je demeurais immobile, la poitrine à demi dénudé, à me laisser admirer par mon jeune amant.
Didier fixais d’un œil incrédule le buste qui s’offrait à ses yeux d’ado. Mes seins, objets de ses désirs les plus fous, reposaient sagement dans leurs bonnets.
Lorsque d’un mouvement rapide, je laissais tomber mon sous-vêtement, libérant les fruits fermes de ma poitrine, je vis Didier avalait difficilement sa salive, devant le merveilleux spectacle qui s’offrait à ses yeux.
Émue, j’éprouvais un plaisir singulier à dévoiler mes appats à mon jeune voisin. J’empaumais mes seins gonflés dans mes mains refermées en coupe, pour les presser l’un contre l’autre, leur donnant encore un peu plus de volume. Malgré mes quarante ans et des deux grossesses que j’avais subies, je possédais encore une poitrine plus que correcte.
Comme Didier demeurait muet, les yeux scotchés à ma poitrine mise à nue, je lui demandais s’il voulait les toucher.
Hésitant, n’osant encore croire à son bonheur, Didier avança une main timide, ne sachant trop comment saisir ces merveilleux fruits de chair qui le tentaient tellement.
Forçant mon jeune voisin à se coucher sur le dos, je retroussais ma jupe sur mes reins, afin de pouvoir l’enjamber facilement en lui faisant face.
Merveilleuse amazone chevauchant seins nus un jeune étalon.
Les yeux fixés sur mes seins qui oscillaient sensuellement à quelques centimètres de son visage, Didier devait sentir avec étonnement une étrange humidité imprégner son bas-ventre dénudé. Mais trop affolé par cette poitrine appétissante qui s’offrait à lui il n’y attacha pas d’importance.
Lui proposant de les caresser, Didier avança ses deux mains en direction de cette poitrine terriblement sensuelle, et maladroitement les caressa.
Sous cet attouchement soudain et quelque peu brutal, je poussais un sourd gémissement où se mêlaient satisfaction et douleur.
Afin de guider mon trop fougueux partenaire, et lui apprendre comment caresser les seins d’une femme, le lui saisis les poignets et l’obligeais à frôler mes bouts avec délicatesse. Lentement je l’obligeais à faire rouler les bouts entre ses doigts, placer ses mains sous mes seins durcis par le désir, pour les lui faire soupeser.
M’obligeant à réfréner sa fougue et ses ardeurs, je demandais à Didier de suivre mes recommandations. Délicatement, il referma ses doigts sur ma merveilleuse poitrine, éprouvant un extrême plaisir à pétrir cette chair élastique qui lui emplissait les mains.
Comblé sensuellement, il apprécia pour la première fois combien les seins d’une femme pouvaient être à la fois doux, souples et tièdes.
Ainsi encouragé, Didier resserra un peu plus fort ses doigts sur les deux bourgeons de chair érigés, comme je lui conseillais. Un râle sourd s’échappa de ma gorge. Surpris par cette plainte, croyant avoir été trop brutal, il fut surpris de découvrir que mon visage se transformait en une grimace de béatitude. Pressentant qu’il venait de découvrir là, un point sensible, il réitéra ses pincements, déclenchant de nouveau chez moi, la même grimace de bonheur. Comprenant alors que chaque fois qu’il touchait cette partie de mes seins, je semblais éprouver un vif plaisir, il persévéra dans ses attouchements. Maintenant les boutons entre ses doigts, il s’ingénia à les presser fortement tout en les tirant à lui, allongeant de ce fait les seins gonflés.
Les reins cambrés afin de mieux m’offrir aux affolantes caresses que me dispensait mon jeune voisin, je sentis de longs frissons voluptueux me parcourir de la tête aux pieds. De mon sexe de nouveau en émoi, la fontaine qui avait semblé se tarir après mon précédent orgasme, avait jailli de nouveau des profondeurs de ma chatte, plus onctueuse encore. La poitrine tendue, les reins arqués je m’offrais alors sans retenue aux attouchements affolant de mon brillant voisin.
Sous ces pincements parfois douloureux, je n’en éprouvais pas moins un plaisir étrange et dévastateur. Sans le savoir Didier venait de trouver une de mes zones érogènes extrêmement sensible. Ces ondes voluptueuses, en explosant au plus profond de ma féminité, me faisaient abondamment ruisseler. Entre mes cuisses, ma chatte s’était remise à suinter, trempant ma culotte déjà considérablement mouillé.
Les seins douloureux à force d’être cruellement triturés par l’adolescent qui semblait éprouver un immense plaisir à me les pétrir, je repoussais les mains du garçon de mes bourgeons endoloris. Me penchant en avant, j’offris mes seins exagérément dur, aux lèvres de mon jeune amant.
Didier tout heureux d’accéder aux désirs, ouvrait ses lèvres pour se saisir un bout érigé. Rendue impatiente par le désir qui m’irradiait les reins, je lui enfonçais la totalité de l’un de ses bourgeons dans la bouche, et lui demandais de les sucer.
Didier pressa ses lèvres sur un bourgeon, pour la téter goulûment, tout en refermant ses dents sur le bout durement érigé. Les deux mains pressées autour de mon sein enfoui dans la bouche de mon jeune partenaire, je laissais échapper un soupir de contentement.
Et afin de forcer l’adolescent à satisfaire mes désirs, j’appuyais fortement le visage de ce dernier contre ma ma poitrine.
Didier alterna d’un sein à l’autre, qu’il tétait avec ivresse, pour se saisir du gauche, qu’il entreprit de sucer à son tour. Aspirant fortement l’auréole au fond de sa bouche, il referma ses lèvres sur le mamelon frémissant. Il avait dû rêver si souvent d’un tel moment, qu’il éprouvait un plaisir sans nom, à sentir cette masse soyeuse lui emplir la bouche.
Mais à sucer ainsi, à aspirer les gros bourgeons de chair érigés, d’où étrangement perlaient quelques gouttes d’un liquide au goût acre, l’adolescent devait sentir sa jeune virilité frémir au bas de son ventre. Avec émoi il comprit qu’il n’allait pas tarder à éprouver une nouvelle érection. Doucement son membre devint rigide, tout en se gonflant inexorablement. Il ne fallut pas longtemps pour qu’à la jonction de mes cuisses, sa virilité se dresse tel un pal de chair raide et dur.
Confortablement installée à califourchon sur le bas-ventre de mon jeune partenaire, dont ma chatte affolée palpitait désespérément en déversant des flots de mouille brûlante, ondulait lascivement des hanches au rythme du plaisir qui irradiait mes entrailles. Mais, alors que j’agitais ma croupe d’avant en arrière, frottant sensuellement mon sexe trempé sur la peau douce du ventre du garçon, je sentis le membre viril redevenu raide et dur venir me frapper les fesses. Nullement étonné par cette nouvelle érection, heureuse même qu’elle se soit produite, le lançais vivement une main dans son dos, pour y débusquer la jeune queue en érection, aussi dure qu’avant son éjaculation quelques instants auparavant. Frémissante de bonheur je referma ses doigts autour de ce pal de chair orgueilleusement dressé.
Percevant dans ma main les pulsations de la jeune virilité, je ne pus résister plus longtemps à l’intense désir que réclamait ma chatte. Il me fallait sentir ce pieu charnel s’enfoncer en moi, me labourer la chatte, me libérer enfin de cette tension érotique qui me faisait abondamment ruisseler.
Comprimant le membre frémissant de ma main refermée, je me penchais à l’oreille de mon jeune amant pour lui murmurer dans un souffle, comme si j’avais honte de ma proposition de me faire l’amour. Et sans attendre la réponse de l’adolescent, je roulais sur le dos à ses cotés.
Me cambrant, reposant uniquement par les pieds et les épaules sur l’immense lit conjugal, j’entrepris de faire glisser ma jupe sur mes hanches évasées le long de mes cuisses, pour enfin la retirer complètement. Puis ce fut au tour de ma culotte trempée de suivre le même chemin, avant d’atterrir sur la descente de lit. Alors complètement nue, magnifique dans mon abandon impudique, je m’allongeais sur le dos, les jambes largement ouvertes sur mon sexe palpitant de désir, dans une invite évidente.
S’étant redressé, à genoux sur la couche, Didier contempla mon corps entièrement nu et qui s’offrait avec une réelle impudeur à sa curiosité.
Ne sachant où poser ses yeux, tant ce qu’il découvrait l’émerveillait et l’affolait en même temps, Didier laissa son regard parcourir ce merveilleux corps dénudé et offert à sa convoitise. Il ne savait que contempler, depuis mes seins collés sur le torse élancé, jusqu’à ma chatte parfaitement épilée.
La gorge nouée, les joues brûlantes et le front couvert d’une sueur, Didier ne pouvait détacher son regard de l’affolant corps nu étendu à quelques centimètres de lui, alors que de mon côté, j’éprouvais une intense émotion sous cette inspection pleine de curiosité et de désir.
Mais son regard était surtout attiré par mon ventre à peine bombé, au bas duquel ma fente moussait de mouille.
Attiré par ce sexe féminin dont il découvrait l’effet érotique pour la première fois, il tendit une main curieuse en direction de cette fente, ruisselante, dans laquelle il glissa timidement ses doigts.
Au paroxysme du désir, je laissais le jeune garçon la découvrir à son aise. Frémissante de la tête aux pieds en sentant les jeunes doigts s’insérer curieusement fureteurs dans l’humidité intime de ma chatte.
J’en éprouvais une intense délectation en songeant que le garçon découvrait un corps féminin grâce à moi. La gorge nouée, je dus faire un effort pour m’empêcher d’attirer ce jeune corps d’éphèbe entre ses cuisses, et l’obliger à me pénétrer de son glaive charnel.
Sentant soudain les doigts fureter le long de ma fente, je ne pus réprimer un long gémissement de désir. Vivement j’écartais encore plus largement mes cuisses, ouvrant délibérément l’accès à mon sexe.
Ne pouvant rester passive plus longtemps sous les attouchements maladroits, mais terriblement affolants de l’adolescent, ne pouvant résister à ma libido exacerbée, je lançais vivement ma main droite en direction du bas-ventre de l’adolescent agenouillé à mes cotés. Me saisissant de la jeune queue fièrement dressée que je convoitais, je refermais mes doigts autour. Ivre de désir je pressais convulsivement cette colonne de chair douce et palpitante, suivant les montées de plaisir qui se développaient au plus profond de mon ventre en feu.
Laissant ses doigts s’égarer, Didier les avait insensiblement laissé descendre dans la fourche de mes cuisses, à la recherche de ce mystérieux et affolant sexe féminin, objet de discutions passionnées avec ses camarades de lycée. Soudain, il sentit avec émoi son majeur glisser dans une fente d’une douceur étonnante et d’où sourdait une abondante humidité. Continuant sa quête il avança le long de ce sillon suave, son doigt explorateur. Celui-ci s’enfonça presque immédiatement dans mon orifice brûlant et onctueux. Terriblement ému et furieusement excité, il comprit qu’il venait d’atteindre le but de sa quête initiatique, étonné quand même de constater combien le sexe d’une femme pouvait être vaste et profond. Découvrant cette spacieuse cavité, il osa alors joindre son index à son majeur pour explorer ce gouffre sexuel.
Terriblement troublé par la découverte qu’il venait de faire, Didier commença à agiter ses doigts dans ma vulve aux parois chaudes et spongieuses. D’instinct, il découvrit les mouvements aptes à me procurer du plaisir. Avec délectation il frotta ses phalanges aux parois moelleuses de ma chatte torride, étonné de constater combien celles-ci étaient humides. Se souvenant des confidences de ses camarades de collège, il accéléra peu à peu le va-et-vient de ses doigts dans la fournaise de mon vagin.
Haletante, j’avais suivi le parcours hésitant de mon jeune partenaire le long de mon sexe enflammé, éprouvant un trouble de plus en plus important à mesure que les doigts se rapprochaient de ma chatte. Ma main droite qui serrait toujours convulsivement le jeune mandrin viril dressé, entreprit de branler celui-ci au même rythme que les doigts qui me fouillait.
Sous les profondes fouilles vaginales dont j’étais l’objet, la jouissance me submergea soudain, sans que je ne la sente réellement venir, et sans que je ne puisse rien faire pour l’endiguer. Un furieux raz de marée inonda soudainement mon entrejambe. L’exploration pourtant maladroite des deux doigts accolés dans ma chatte, avaient réussi à déclencher, un orgasme aussi soudain que violent, qui me fit me cambrer frénétiquement sur le lit conjugal. Reins arqués, je poussais un long râle de volupté en resserrant furieusement mes cuisses sur le poignet du garçon, emprisonnant les doigts qui me fouillaient, dans mon ventre agité de convulsions sensuelles.
Pour la seconde fois, j’étais emportée par une jouissance aussi soudaine que brutale. Jamais je n’avais connu un tel plaisir intense avec mon époux. Le fait que mon partenaire soit un adolescent, qui aurait pu être mon fils, décuplait ma libido.
La main, prisonnière de mes jambes, les doigts plantés dans ma chatte liquéfiée, Didier s’immobilisa, surpris et quelque peu apeuré par ma violente réaction. Redressant la tête, il demeura stupéfait en découvrant mon visage déformé.
A sentir sa main trempée par un liquide brûlant, qui s’échappait du sexe qu’il fouillait de ses doigts, Didier comprit d’instinct qu’il assistait là à son premier orgasme féminin.
Lentement, je repris ses esprits. Haletante, anéantie sur le lit défait je relâchais lentement la pression de mes cuisses, permettant à Didier de retrouver la liberté de ses mouvements. Ne sachant trop quelle contenance adoptée, ce dernier retira délicatement ses doigts de ma chatte.
Retrouvant progressivement mon souffle et mes facultés, j’attirais la tête de mon jeune voisin sur ma poitrine couverte de sueur pour lui caresser tendrement la nuque.
Je lui dis qu’il avait été merveilleux, qu’il m’avait fait jouir, puis lui demandais de venir sur moi, que j’avais envie de sentir sa queue dans ma chatte.
N’en croyant pas ses oreilles, Didier se déplaça rapidement, rampa jusqu’à moi, pour s’étendre sur mon corps, et habilement se cala entre mes jambes largement ouvertes.
Didier, pressé d’enfoncer sa jeune queue dans mon fourreau dont il sentait la chaleur au bout de son gland, s’agitait désespérément entre mes cuisses, sans parvenir à me pénétrer. Lançant ma main entre nos deux corps, je m’emparais de son membre, et le maintenant fermement, je dirigeais le gland vers mes lèvres humides.
Impatient de goûter à ce plaisir qui depuis quelque temps le faisait fantasmer, Didier, d’un furieux coup de rein, enfonça la totalité de sa bite dans ma chatte brûlante.
Surprise par la brutalité avec laquelle Didier m’avait pénétrée, je poussais un cri de plaisir en sentant le gland repousser mes chairs intime, et frapper avec force au fond de ma chatte.
Soudain, mon téléphone se mit à vibrer pour la deuxième fois de l’après-midi. Encore mon mari qui devait être loin ne se douter, que j’étais en train de me faire enfiler par nôtre jeune voisin. Si j’avais décroché, il aurait forcément entendu mes gémissements de plaisir.
Je fis abstraction de cet appel, et me dévouais à Didier, qui labourait ma chatte de sa grosse queue.
Surexcité de bonheur, il devait éprouver un plaisir extrême de sentir son mandrin coulisser entre mes chairs brûlantes et humides.
Sous les violent coups de boutoirs que m’envoyait mon jeune amant, je ne tardais pas à sentir la jouissance aux fonds de mes entrailles. Lançant mes jambes, je les refermais sur ses reins, en gémissant de plaisir.
De ma chatte, un flot de cyprine s’échappait, éclaboussant le bas ventre, et les couilles de Didier. Ivre de plaisir, Didier s’activa de plus belle. Déchaînée, je lançais mon sexe investi au devant de son calibre, m’offrant avec rage, à chaque pénétration. Didier ne tarda pas à sentir le plaisir prendre possession de son sexe prêt à exploser. Alors, tel un cheval sentant l’écurie et pressé d’y arriver, il accéléra le mouvement saccadé de ses reins, afin d’atteindre l’extase qu’il sentait proche de jaillir.
Dans un véritable feu d’artifice, les reins arqués, il déchargea soudain sa semence dans ma chatte offerte. Une éjaculation puissante qui lui vida les couilles. J’avais, sous le violence de la pénétration, ressenti un flux intense de plaisir. Ne voulant pas jouir avant que mon amant ne connaisse la jouissance, je me forçais à contrôler mes sens, tentant de contenir ce flot que je sentais prêt à jaillir de mes entrailles.
Lorsque je compris, à la raideur du corps de Didier, qu’il atteignait l’orgasme, qui allait le libérer de sa semence, je l’enserra plus fortement entre mes cuisses, l’empêchant ainsi de se soustraire de ma chatte affamée.
Lorsque Didier déchargea son sperme au plus profond de mon ventre, je jouis violemment. Pour la troisième fois de l’après-midi, un orgasme puissant me cloua, crucifiée par ce pal enfouit au plus profond de mon ventre.
Haletants, nous restons intimement unis par nos sexe, pendant près de dix minutes. Je fus la première à reprendre mes esprits, et fis basculer le corps de mon jeune amant. De ma chatte soudain libérée, s’échappait les preuves d’une relation intense.
Comme Didier commençait à se lever, je le retins par l’épaule, le forçant à se recoucher. Je me positionna à quatre patte, voulant qu’il me prenne en levrette. Certainement une première pour lui, mais la position préféré pour moi. Passant une main entre mes jambes, je saisit le pieux redevenu raide, et le guidais vers l’antre chaud et humide de ma chatte. Didier comprit vite, ce à quoi je m’attendais. Je fus surprise par l’aisance avec la quelle il saisit mes hanches pour m’enfiler de son énorme calibre. Aussi, je ne tardais pas à hurler de plaisir, quand j’atteignais le quatrième orgasme.
Jamais, avec mon mari, je n’ai atteint une telle intensité, même pour nôtre nuit de noces.
Quand Didier se lever pour partir, je le retins encore une fois. Je ne pouvais pas le laisser partir dans cet état.
Me penchant sur la queue de mon jeune amant, qui m’avait apporté tant de plaisir, j’entrepris de la nettoyer avec ma langue. Longuement, j’ai léché son membre ramolli, me concentrant plus particulièrement dans les replis, afin d’ôter toutes trace de substances. Je pressais le bout du gland, pour force le méat à s’ouvrir. Je tentais d’y enfoncer ma langue, recueillant les derniers résidu de sperme.
Didier quitta le lit, et se rendit à la cuisine, ou ses habits séchaient sur le radiateur. Après avoir rapidement remis en ordre le lit défait, je passais une nuisette transparente, cadeau de mon mari.
Lorsque je pénétrais à mon tour à la cuisine, Didier jeta un regard admiratif sur mon corps, que la transparence de la nuisette laissait entrevoir. Ses yeux se posèrent sur mes seins, au centre desquels se tendait mes bouts érigés. Baissant les yeux, il descendit son regard sur mon ventre, ou ma fente lisse devait être visible.
L’heure avançant, je pris affectueusement le jeune garçon par la taille, pour le conduire jusqu’à la porte d’entrée. Didier s’apprêtait à sortir, quand, prise d’une envie soudaine, je l’attirais à moi, pris son visage entre mes mains, pris sa bouche dans un baiser fougueux. Didier répondit de son mieux à mon baiser. Ce fut un baiser sauvage, violent. Nos langues se cherchaient, se nouaient, se repoussaient pour mieux se retrouver. J’éprouvais un plaisir pervers à ce baiser défendu. Mais je voulais qu’il dure. Je plaquais mes seins et ma chatte au corps de mon jeune amant. Je sentis soudain la main droite de Didier, se faufiler sous ma nuisette, me frôler la taille. Je sentais la main descendre sur ma hanche, glisser sur ma croupe, s’infiltrer entre mes fesses, ou un doigt indiscret vint chatouiller mon petit trou.
Sentant uns désir m’envahir sous cet attouchement anal, je regrettais de ne plus avoir le temps, pour laisser Didier le fouiller ainsi qu’il le désirait. Dans un terrible effort de volonté, je décidais de mettre un terme à cette exploration, qui me troublait intensément.
Je rejetais ces intentions perverse, en lui promettant qu’on verrait ça une autre fois, si toute fois il tenait à ce que l’on se revoit.
Tout heureux de savoir qu’il y aurait une prochaine fois, et pourquoi pas, cette fois, me sodomiser, Didier regagna sa demeure.
Je le regardais s’éloigner avec tristesse. Puis, revenant à la réalité, je décidais de me faire couler un bain, dans lequel je plongeais avec délice.
Immergée jusqu’au cou, je massais délicatement mes seins, caressais ma chatte, comme pour les apaiser après ce sulfureux après-midi, tout en essayant de comprendre ce qu’il m’avait pris. Comment éprouver du désir, pour un gamin de dix huit ans, l’âge de mon fils.
Tout en me faisant des reproches sur ma conduite adultère, je dus pourtant m’avouer que j’avais éprouvé un immense plaisir à initié ce garçon, et qu’en retour, il m’avait provoqué une immense jouissance...comme je n’en avais connu depuis longtemps.
Mon mari, depuis longtemps, se contentait de me baiser à la va vite, en un quart d’heure, le temps pour lui de se vider les couilles, sans se soucier si de mon côté, j’avais ressenti le plaisir que j’étais en droit d’attendre.
Tout en pensant à l’après-midi torride que je venais de passer, j’ entrepris de faire le ménage à fond...nue sous ma nuisette.

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Commentaires du récit : rencontre avec mon jeune voisin. Part 2

Le 06/11/2022 - 17:59 par DBHB24
Fin de l'initiation avec ce dépucelage en bonne et du forme...
Le 04/11/2022 - 23:21 par OlgaT
Très intéressant!

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