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Perdue dans mes pensées

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/11/2022

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Deux jours,
Deux jours de voyage dans l'Est de la France avec mon futur ex-mari, c'est ce qu'il allait falloir que j'endure, pour faire plaisir au gosse, pour maintenir l'illusion d'un couple qui était mort depuis bien longtemps.

J'avais beaucoup de soucis en tête ces derniers temps. Mon nouveau travail avec ses horaires impossibles m'épuisait. Mais il était la clé de mon indépendance, de ma liberté. Je n'avais pas le choix. Il me permettait aussi de sortir de notre appartement de banlieue parisienne où j'étouffais. Grâce à lui j'avais rencontré de nouvelles amies et je pouvais voir celles d'avant plus librement. Bien sûr, il me fallait jongler avec les contraintes familiales, emmener mon fils à l'école, faire les courses, préparer les repas, mais j'avais quand même droit de temps en temps à quelques escapades rien que pour moi.

En effet, depuis plusieurs mois, j'avais un amant qui avait rallumé la flamme de la féminité en moi... C'est d'ailleurs à lui que je pensais dans ce TGV qui m'emmenait à 300km/h vers Nancy. Que faisait-il en ce moment ? Pensait-il à moi comme je pensais à lui ? Je revoyais ses yeux, son sourire... L'odeur de sa peau me revenait comme le souvenir lointain d'un parfum enivrant. La dernière fois que nous nous étions vus, il était venu me cherchée à Paris, à la sortie du boulot. Je lui avais sauté dans les bras pour l'embrasser goulûment. Le trajet en métro jusqu'à l'hôtel m'avait paru interminable. Le coquin m'avait caressé les fesses sous le manteau dans la rame. J'en étais toute excitée, ma chatte était toute gonflée, chaude. Je mouillais à en tremper ma culotte. Arrivés à l'hôtel, nous avions baisé comme des lapins en poussant des cris à ameuter tout le voisinage, mon dieu que c'était bon !

Ce souvenir me revenait à présent, alors que j'étais assise dans ce train, à côté de mon mari qui somnolait. Je pensais aux coups de langue de mon amant. Il savait si bien me faire jouir avec celle-ci. Il adorait titiller mon clitoris et lécher longuement ma chatte. Il m'embrassait partout, dans le cou, sur le ventre, sur les fesses. Il me tétait les seins, me caressait les fesses... Il m'embrassait l'intérieur des cuisses, en remontant doucement. Ma chatte n'en pouvait alors plus et réclamait son dû. Mais le coquin adorait me lécher la rondelle. Je n'avais pas l'habitude mais je commençais à aimer ça. Parfois il y glissait un doigt. J'étais encore rétive à aller plus loin. Cette perspective m'effrayait un peu mais m'excitait à la fois. J'imaginais parfois sa bite bien dure forcer ma porte de derrière. Oh mon dieu ! Il fallait que j'arrête de penser à ça ! J'allais tremper ma culotte une fois de plus !

J'essayais donc de me concentrer sur le macramé que j'avais emporté pour passer le temps. Au bout de quelques instants, mon esprit divaguait à nouveau et je repensais à nos ébats amoureux. Avec lui, je me sentais pleinement femme, n'hésitant pas à révéler ce côté salope qui m'excitait tant. J'adorais la sensation de sa queue en moi. Ses allers-retours d'abord lents, me pénétrant bien jusqu'au fond, puis plus rapide, pour faire monter l'excitation. J'adorais le regarder prendre du plaisir tandis qu'il me pilonnait la chatte. Surtout quand il accélérait avant de jouir en moi, comme j'adorais lui réclamer. Sentir sa semence chaude s'écouler dans mon tréfond me procurait une jouissance intense...

Oh là là ! Mon esprit était encore parti ailleurs, je serrai les jambes sous l'effet du désir inassouvi, il fallait que je fasse quelque chose. A mes côtés mon mari dormait toujours et en face, mon fils dessinait tranquillement."Mon chéri, maman va faire un tour aux toilettes, reste ici avec papa, je reviens tout de suite !"

Je me levai et me dirigeai vers les WC, en prenant soin de ne pas oublier mon sac à main. Il contenait un ustensile dont j'allais avoir besoin. Arrivée dans les toilettes, je verrouillai la porte et fis descendre ma culotte. Elle était déjà souillée de cyprine. J'étais vraiment en manque de sexe ! Je sortis de mon sac mon gode. Vu l'état de ma chatte, pas besoin de lubrifiant, ma mouille suffirait largement ! J'entrepris de l'insérer, en étouffant un petit cri de plaisir. Mon dieu que c'était bon ! Je fermai les yeux, me repassant les scènes torrides de mes rendez-vous avec mon amant, tout en faisant aller et venir mon gode au fond de ma chatte... Je revoyais sa grosse queue, toute veinée, gonflée de sang, son gland violet que j'adorais avoir en bouche. Parfois je le suçais jusqu'à ce qu'il ne puisse plus se retenir, et qu'il jouisse dans ma bouche. J'adorais sentir son foutre chaud m'arroser. Je n'osais pas encore l'avaler mais le voir jouir avec cette intensité me donnait beaucoup de plaisir.

Le train faisait suffisamment de bruit pour que je puisse enclencher le mode vibreur du gode sans me faire remarquer. Il commença à m'exciter le vagin et je ne pouvais empêcher mes hanches d'onduler. Je me mordais les lèvres en accélérant le rythme. De ma main libre je me caressais les seins, pensant à l'homme qui me donnait tant de plaisir. Je pouvais presque sentir son odeur, la sensation de ses jambes contre les miennes, le choc de son bas-ventre contre mon bassin... J'avais envie qu'il me prenne, comme une chienne. Je m'imaginai lui tendre mon cul pour qu'il me prenne en levrette, les mains fermement agrippées à mes hanches, me donnant de temps en temps quelques fessées... Quelle petite salope j'étais ! Cette pensée m'excita encore plus et dans un ultime spasme, je jouis, en mordant dans un pli de ma robe pour étouffer un cri de plaisir...

J'avais les jambes flageolantes à présent. Je retirai mon gode de ma chatte. Ma vulve était rouge et un long fil de mouille la reliait à mon instrument de plaisir. Je me redressai et remontai ma culotte. Je regardai mon visage dans le miroir. J'étais toute échevelée et j'avais le visage tout rouge. J'entrepris de nettoyer mon gode. Je me passai un peu d'eau sur le visage, vérifiai une dernière fois ma tenue et sortis.

Mon mari dormait toujours et mon fils n'avait pas bougé. Je me rassis à ma place, détendue, un sourire au coin des lèvres. Je pris mon téléphone portable pour envoyer un message : "J'étais en train de penser à toi..."
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Histoire de Dref69

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Commentaires du récit : Perdue dans mes pensées

Le 18/11/2022 - 22:43 par OlgaT
C'est une belle description du manque qui peut nous tenailler! Très intéressant!

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