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Le copain privilégié 3/3

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Lue : 3476 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/03/2016

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Il pensait que je disais plus de sortie, plus de "câlins", j'ai dis non, rien ne change, mais plus de branlette, ni pour toi, ni pour moi, je lui dis qu'à défaut d'oublier, qu'on va garder cette journée là pour nous, et faire comme s'il ne s'était rien passé, mon mari est arrivé peu après, nous avons manger ensemble, une fois le copain repartie, j'ai tout dit à mon mari qui m'a dit, "je t'avais prévenu, tu te débrouilles maintenant".

Ça, c'est mon mari, autant, il est prêt à aider quelqu'un, que les emmerdes lui sont tombées dessus, autant qu'il laissera couler celui qu'il a prévenu qu'il allait y tomber dans les emmerdes, toutes proportions gardées bien évidemment.

En l'occurrence, ce genre d'ennui est aussi à relativiser, il n'y a pas mort d'homme, avec ce copain, je me suis trop approchée, je n'en ai fait qu'a ma tête, ou plutôt, je n'ai pensé qu'à mon plaisir égoïste, en fait, j'ai agi comme un homme, quand son cerveau du bas se connecte, déconnectant ainsi celui du haut, les deux cerveaux ne pouvant fonctionner en même temps, (je parle pour les autres hommes, pas pour vous, ami lecteur), après ce fayotage bio, je reprends.

Dans le cas présent, les emmerdes dont mon mari parle, ne sont pas physiques, mais mentales, il y a longtemps que j'aurais dû tenir mes distances, rester à la limite où il me mettait de la crème solaire sur le dos, après, ce fut au fil des jours et des ans, l'escalade, il y a eu les jambes, les cuisses, le ventre, autour des seins, entre les seins, et puis les seins, et aussi les fesses.

Mon mari ne m'a pas aidé non plus en me demandant de le masturber, qu'a-t-il cru, que je peux masturber un homme tel un robot, sans aucun ressenti, moi non plus je ne suis pas en bois, et tous les hommes que j'ai eu en libertinage, ont dit à mon mari, que j'étais très réceptive.

Ensuite, ce copain, je l'aime bien, je m'entends très bien avec, j'aime être avec lui, nous sommes très complices, très joueurs, je sais bien que des fois, il m'accompagne dans des endroits qui n'est pas ce qu'il préfère, une fois, chez des amis communs, à un anniversaire, il avait un peu bu et disait en discutant avec un copain d'une voix forte et saccadée.

"Annie, si je la vois se disputer avec quelqu'un, même toi que j'apprécie, même que tu es mon très grand copain, et que tu as raison d'être fâché et que même si elle a tort, hé bien pour moi, elle aura toujours raison, et je te taperais dessus jusqu'à temps que tu reconnaisses que tu as tort.

On avait tous rient, j'ai mis de l'eau dans son verre et j'ai dis, ça c'est du champagne, il a pris le verre et l'a bu en disant, "si elle dit que c'est du champagne, c'est que c'en est, sauf que celui-ci est éventé", la copine présente m'avait dit en douce, qu'il était amoureux de moi, j'avais pris cela à la rigolade en disant, le champagne rend tout le monde amoureux.

Les fois d'après, quand il était revenu et nous avions repris nos relations soft, plus de massage, plus de branlette, plus de douches ensemble, et je fus agréablement surprise par son attitude, celle de quelqu'un qui avait compris qu'on était allé trop loin et qu'on n'aurait pas du.

Il n'avait de moi que le plaisir des yeux, il rentrait dans la salle de bains quand j'y étais, je lui montrais les dessous que j'avais acheté lorsqu'il m'accompagnait, mais plus de caresses, juste des fois des "pouet pouet" avec mes seins en chahutant.

En dansant, il me tripotait raisonnablement, comme tout le monde, de façon discrète, nous étions redevenus les copains d'avant, il avait toujours le même sourire, le même comportement, notre fréquentation par contre était beaucoup plus espacée, il ne venait plus que quand nous étions seuls.
J'ai appris 10 ans après pourquoi, je l'ai appris par plusieurs sons de cloches qui jouaient la même note, il était comme jaloux de deux couples d'amis que j'appréciais, pas d'une jalousie sexuelle, mais une jalousie amicale, (l'effleureur et Henri, voir récit vengeance heureuse d'un cocu), l'année passe et en juillet, nous lui disons que nous ne partons pas en vacances avec lui, j'ai lu de la déception dans ses yeux, cette décision n'était pas liée à ce qui s'était passé entre nous, il n'a rien dit, il n'a pas fait la tête ni rien.

Une semaine avant de partir (en août), mon patron me demande de rester une journée de plus, pour un contrat important, c'est-à-dire qu'on devait partir le samedi et ça me fait partir le lundi soir ou mardi, en dédommagement, j'ai le billet d'avion ou le train ainsi que trois jours de vacances en plus, ce contrat étant l'aboutissement de mon travail et j'ai trop de liberté dans cette boite pour ne pas répondre présent quand on me demande un petit effort.

Comme toujours, mon mari avait un plan de vacances, en gros, c'était ; Il avait remis à neuf un moteur pour un ULM, notre couple d'amis avec qui on partait a payé la plus grosse partie des pièces, et le propriétaire de l'appareil, le prêtait trois semaines en août.

Les amis partaient une semaine avant nous, pour remonter le moteur, ce changement de situation, a fait que mon mari est parti le mercredi d'avant, pour aider au montage et contrôle de la machine, de cette manière, quand j'arriverais, tout sera prêt, il avait été convenu qu'on prenait l'appareil chacun son tour, il n'y a que deux places cote à cote, cela aurait permis à ma copine et à moi-même d'apprendre à piloter à moindre coût, mon mari m'avait appris sur un avion monomoteur, mais cela n'a pas été évident et au prix de l'heure, on n'a pas trop insisté.

Ce qui a fait que le mercredi soir, j'étais seule, enfin seule pour dormir, les couples d'amis me sachant seule, m'ont tous invité pour la soirée, chez certains, je dormais chez eux, le vendredi soir en rentrant, je sors mes jouets de mon tiroir, le manque se fait sentir, pareil le samedi soir, la majorité des copains sont partis en vacances.

Le dimanche, je me retrouve seule à la maison, je ne veux pas déranger ceux qui retravaillent le lendemain, je ne suis pas habituée à être seule, j'ai le cafard, j'appelle donc mon copain, celui à qui j'ai dit qu'on ne partait pas ensemble en vacances, je lui demande s'il veut venir manger, il répond oui et arrive dans la demi-heure, sous un mauvais prétexte, je lui demande de rentrer sa voiture dans le garage.

Le gros bêta arrive avec un bouquet de fleurs, je l'engueule, nous mangeons et je lui demande s'il veut dormir ici sans arrière-pensée (quelle menteuse je fais), il accepte en tout bien tout honneur, nous dînons, prenons chacun notre douche et nous nous installons devant la télé, cela nous ramène au temps où nous étions très collés l'un à l'autre, le programme télé est tellement intéressant que chaque foyer possédant un téléviseur devrait toucher de l'argent quand il regarde les débilités proposées, (et pourtant, à l'époque, ce n'était pas aussi pire que de nos jours).

Sentir son corps contre moi, le manque depuis cinq jours, les jouets, c'est bien, mais comme complément, pas comme remplacement, je ne suis pas comme certaines qui ne pensent qu'à se faire bourrer ou remplir, comme on a connu lors d'échange entre couples, je peux me passer de pénétration ou me satisfaire d'un gode, mais j'ai besoin d'être caressée, excitée, par des mains autres que les miennes.

Je vais me changer, retirant mon peignoir et je reviens en petite nuisette transparente et ras de la moule, il fait "woua, j'ai compris pourquoi tu m'as dit de venir, tu veux que j'ai une attaque cardiaque", je lui dis, tu m'as déjà vu comme ça, il me complimente en disant que c'est toujours aussi beau à voir.

Je lui dis de se lever et de mettre le fauteuil à coté du canapé, il va pour me dire que je ne risque rien d'être à cote de lui, mais je ne le laisse pas finir, il s'assoit un peu déçu de mon manque de confiance, son sourire revient quand je lui dis d'écarter les jambes pour m'asseoir devant lui, il ne comprend pas, je suis contre lui, ses mains sont sur les accoudoirs.

Être une femme à certains avantages, on peut se frotter comme on veut à un homme, il ne nous le refusera pas, sauf bien sûr s'il est marié et ne veut pas d'histoire ou alors qu'on soit moche, ou encore qu'il soit gay, je sais qu'il n'est ni marié, ni gay, et il ne m'a jamais donné l'impression que j'étais moche.

Serre-moi dans tes bras lui dis-je après avoir attendu quelques minutes qu'il le fasse de lui-même, il s'exécute en évitant de me toucher les seins, je lui dis, tu sais, la dernière fois, on avait fait une bêtise, oui dit-il, mais je ne regrette rien, je lui dis que moi non plus, et que du fait que cela n'a rien changé entre nous, si tu veux, on peut recommencer la même bêtise, là ce soir, juste ce soir, et peut être que dans six mois ou un an, on recommencera, si je le souhaite et que tu le souhaite aussi.

Mais je ne veux pas que tu ne vives que pour ça, ça doit être comme si tu marchais dans la rue et que tu trouves un beau billet, une cerise sur le gâteau, il commence à m'embrasser la nuque, ses mains me parcourent, il teste mes dires, prenant de l'assurance du fait de mon laxisme à ses gestes, je lui rappelle, comme l'autre fois, pas de pénétration, il ne répond pas, je n'entends que son souffle dans mon cou.

Je lui rappelle qu'il ne doit pas me faire de suçon, je devine que ma nuisette le gène, je l'enlève, il m'embrasse sur le côté, mais le fauteuil a ses limites, je retourne sur le canapé, je me mets sur le ventre, il se met à genoux, m'embrasse le dos, remonte à la nuque, redescend au dos, il me caresse les jambes, les cuisses, il me les embrasse, il redescend encore, il recommence à m'embrasser les jambes, puis remonte aux cuisses.

Il s'arrête en dessous les fesses et va pour redescendre, je lui dis, "non, continu", il remonte en m'embrassant le dessous d'une fesse, je sens qu'il ne sait pas s'il doit continuer à cet endroit, je fais, "hum, j'adore", il m'embrasse les fesses de façon appuyée, je commence à onduler du bassin, contrairement à la petite pièce où nous étions dans la pénombre, cette fois-ci, nous sommes éclairés par la lumière de la télé.

Il me tripote les fesses, il les embrasse, il tripote à nouveau, je le devine par moment où il est immobile pendant deux ou trois secondes, qu'il mate, je lui dis, "continu, ne t'arrête pas", il passe en m'embrassant, d'une fesse à l'autre, quand il est entre les deux, je lui dis, "oui, ici, hum, c'est bon, continu".

Il se doute ce dont j'ai envie, n'osant pas me le demander, et se doutant que je n'oserais pas lui demander non plus, il me fait sentir sa langue sur une fesse, je fais, "hum", lentement, il se rapproche de ma raie, je l'encourage avec des gémissements, je le sens écarter mes deux lobes, je refais, "hum", et il me fait sentir sa langue sur mon anus, je sens qu'il n'ose pas me pénétrer avec, le mot pénétration n'est pas ce qui convient le mieux, mais le petit centimètre rentré, c'est toujours bon à prendre, plus loin ta langue lui dis-je.

Je n'ai pas besoin de le répéter, j'ondule de plaisir sous ses caresses manuelles autant que buccales, mes cris de plaisir l'encourage, après quelques minutes de ce délice, lui attrapant la main, je lui dis, vient, on va au lit, j'éteins la boite à connerie et l'entraine dans sa chambre, une fois couchés, je lui dis, voilà, hormis la pénétration, je suis toute à toi.

Petit rappel, pour nous, mon mari et moi, le terme de tromper, c'est quand il y a pénétration de sexe à sexe, sans le savoir avant, surtout si se sont des personnes que l'on connaît, comme c'est le cas avec le copain, la seule différence, c'est qu'avec ce copain-là, ça ne le dérange pas qu'il profite de mes faveurs, pourquoi, il en sait rien, c'est comme ça, peut être leur complicité, sa mentalité, il y en a d'autre également qui profite aussi, quoi qu'il en soit, tant mieux pour moi.

En fait, nous ne restons pas longtemps dans le lit, nous sommes sur le lit, il me fait mettre sur le ventre et continu ce qu'il faisait, rentrer le maximum de sa langue dans mon anus, afin de faciliter, je me mets en levrette, il écarte mes deux lobes au maximum afin d'aller plus loin.

Je gémis de plaisir sans retenue, après cela, je le devine mettre des coups de langue, il la passe tout autour de ma rondelle, puis lèche de bas en haut, mes "humm" l'encourage, il augmente la longueur de ses coups de langue, s'approchant de mon sexe qui ne demande que ça, ne voulant plus attendre, je dis, "ho oui, là, là, encore", il me porte l'estocade, prenant mon sexe à pleine bouche, je lui dis, "attend", et je me met sur le dos.

Il me reprend en bouche et là, lui attrapant la tête, je la presse contre mon sexe et je lui jouis dans la bouche, je découvre qu'il est bon suceur, il fait rouler mon clito entre ses dents, il me caresse les seins en même temps, je suis tellement en manque, que dans la foulée, j'ai un deuxième orgasme dans sa bouche.

Une fois celui-ci passé, je crie grâce, il reprend ses caresses et m'embrasse partout sur le corps, je reprends mon souffle et profite de ses mains sur moi, l'excitation m'arrive à nouveau, il me suce les seins, j'ondule du bassin, je gémis, ses mains vont vers mes cuisses qu'il caresse, je les écarte au maximum pour lui faire comprendre ce que je veux.

Quand ses mains arrivent sur mon sexe, je gémis plus fort et appuis sur son corps, ses doigts m'agacent le clito, je gémis de plus en plus, afin de ne pas me faire de suçon, il m'embrasse partout, en me frottant le clito, je sens ses doigts qui semble vouloir me pénétrer, il ne sait pas s'il peut me pénétrer de ses doigts, continu dis-je, oui enfonce, je le sens qu'il commence à me pénétrer, mais il n'ose pas encore, je lui dis, "oui continu".

Ayant mon feu vert, il me rentre un doigt, me lime, en rentre un autre puis un troisième, il m'embrasse les seins, et me regarde, ou plutôt écoute mes gémissements qui le renseignent sur l'état que je suis et sur ce qu'il me fait, il fait sombre, mais le peu de lumière de la ville que laisse passer les volets, permet de voir, de nous situer.

Je suis tellement excitée, que je n'ai plus aucune retenue à demander ce que je veux et comment je le veux, lui disant même le moment où je vais exploser, il tente une parole en me disant, "oui chérie, laisse toi aller, va-y oui comme ça", je suis tellement dans mon orgasme, que je ne tiens pas compte du "chérie", moi aussi, j'ai envie de l'embrasser pour le bien qu'il me fait, mais je me contrôle, c'est d'ailleurs le seul contrôle que j'ai.

À bout de souffle, criant grâce à nouveau, je lui dis, "à toi maintenant", je descends à la hauteur de son sexe, je le branle très lentement, et une fois mon souffle repris, je le suce, le pauvre ne tient pas longtemps, il me prévient de son éjaculation, que je savais imminente, et je le laisse jouir dans ma bouche, il me caresse les cheveux pendant que je le vide complètement, je n'avale pas, je mets tout dans la serviette prévue, et je retourne le sucer jusqu'à temps qu'il devienne tout ramollo.

Après cela, nous nous prenons dans nos bras, il me demande si je veux qu'il rentre, je lui dis, que s'il veut, il peut dormir là, je me suis blotti ensuite contre lui, lui tournant le dos et lui me tenant les seins, nous avons discuté pendant cinq minutes de ce qu'on venait de faire puis sur d'autre sujet, au bout d'une heure, son sexe recommençait à bander, il a voulu me le cacher, je lui dis de laisser, je la lui attrape et je me la suis mise entre les cuisses, sur mon sexe.

Il me demande s'il n'abuse pas, je lui réponds qu'il a jusqu'au matin pour abuser, comprenant l'allusion, il me fait ce qu'il a attendu pendant des années (c'est ce qu'il dit), il m'embrasse du cou aux pieds, sans oublier de me faire frémir en passant prés du sexe, il répète cela encore deux fois puis s'attarde longuement autour de mon sexe, il tourne autour, me faisant languir, puis peut être est-ce qu'il attendait, je lui demande de me sucer.

Mon corps entier frissonne de bonheur, c'est l'avantage de l'amant, celui-ci est plus gourmant et la différence de façon de faire, quand mon mari me convainquait de libertiner, il argumentait en me disant, "que je sois ton seul coup, et puis dans sept ans, tu seras gavée de moi, et le premier puceau qui passera, tu le prendras pour un dieu du sexe, pas question, gave-toi des autres, moi, je veux être ton dieu du sexe".

Il avait entièrement raison, le libertinage a fait que je suis gavée des autres et au bout de toutes ces années, j'ai toujours autant de plaisirs quand on se retrouve au lit, je n'ai plus du tout envie des autres, mes petites occasions qui se présentes ou que je créer me suffisent, je ne vais pas répéter ce que j'ai déjà écrit dans mes autres récits, pour le moment, comme on dit vulgairement, je me fais bouffer la chatte, et j'aime cela.

Mon bouffeur aime cela aussi, cela se sent, c'est sans équivoque, son fantasme se réalise et j'en suis la première bénéficiaire, devant tant de fougue, l'excitation arrive vite, et voilà que je jouis à nouveau pour notre plus grand bonheur à tous les deux, il continue de me sucer pendant mon orgasme, le faisant durer au maximum.

Une fois notre souffle repris, il se met en 69, je devine ce qu'il veut, et même si ses doigts m'ont donnés du plaisir, ça ne vaut pas un sexe, je vais dans ma chambre chercher mon gode, je n'ai rien à cacher, il sait que j'ai des jouets de ce genre, je me remet en 69, il me gode, je le suce doucement pour commencer, il s'active pour me faire jouir, je lui dis, on jouit en même temps, oui dit-il.

Le gode me soulage, j'en avais tellement envie, que je n'ai pas mis longtemps à trouver le chemin de l'orgasme, je lui signale que je suis prête, mais cela est inutile, il le sent et ça l'excite également, il me fait une langue sur le clito en même temps qu'il me gode, nous jouissons en ayant des cris étouffés par ce que nous faisons, nos corps convulsionnent de plaisir.

Il a enfin trouvé le sommeil, c'est moi vers les 5 h 30, qui le réveille de la meilleure des façons, après avoir été prendre une douche pour me rafraîchir, pour recommencer avant que je parte, je dors très peu la nuit, de cette façon, la nuit sera moins longue, encore endormi, comme il bande, je le suce, il se réveille en disant, "voilà, la vraie vie, c'est ça", il ne me laisse pas faire, il veut encore me manger dit-il, nous avons recommencé comme la veille.

Le peu de temps restant, nous l'avons passé dans les bras l'un de l'autre, il a voulu me laver, mais je lui ai dit que ça ne serait pas raisonnable, il en a convenu, ça ne l'a pas empêché de continuer à me caresser quand j'étais habillée, il a pu rester à travailler trois semaines en août, le demandant que quand il a su qu'on ne partait pas avec, il était tout triste en partant.

Après cela, je suis partie à mon rendez-vous, ce qui débutera un autre récit, dont j'étais très loin de m'attendre, cela a duré plusieurs années, sans accro, on recommençait tous les trois mois, aucun souci, on faisait nos sorties pareillement, sauf la fois où j'avais eu un "colocataire" (courrier pas si anonyme), ces deux années-là, nous ne sommes presque pas sortie ensemble, mais je profitais de chaque moment seule, pour contenter les copains, dont lui.

Nous avons déménagé ensuite, comme c'était prévu deux ans plus tôt, en province, il nous a suivis comme d'autres, moins de copains, donc plus de dispos pour ceux proches, nous nous amusions ensemble presque tous les mois, tout allait bien, et puis un jour, la tuile, il arrive un après-midi, même pas pour moi, mais pour mon mari, celui-ci avait plus d'une heure de retard imprévu, j'étais en avance, j'avais un tailleur jupe courte comme toujours de couleur fuchsia, (me disant, que dedans, j'avais l'air d'un bonbon).

On discutait depuis cinq bonnes minutes depuis son arrivée, quand tout d'un coup, il m'attrape, me retourne, (j'y étais habituée), et puis là, à ma très grande surprise, il m'embrasse sur la bouche en m'insérant sa langue, réflexe naturelle, je le gifle aussitôt en même temps qu'il m'embrassait, une fois cela fait, je mets ma main devant ma bouche en me disant qu'est-ce que je viens de faire, lui se tape le front de sa main en disant quel con, mais quel con.

Je suis incapable de réfléchir à quoi faire, quoi dire, il rejoint sa voiture et part, je le regarde partir sans réagir, je me dis qu'il doit être vexé, mais qu'il l'a cherché, je tente quand il démarre, de voir s'il me regarde ou autre, mais rien dans ce sens, il quitte la cour sur les chapeaux de roue.

Quand mon mari arrive, bien après, il me demande s'il est passé, je dis que je ne sais pas, et ne lui parle pas de l'incident, le weekend, on ne le voit pas plus, mais cela arrivait des fois, même si c'était rare, la semaine suivante mon mari me demande si je l'ai vu, je lui dis non, je lui téléphone et j'ai le répondeur, le lendemain que c'est occupé et répondeur ensuite.

Mon mari veut que j'essaye encore d'appeler, je dis que peut être qu'il a une copine, il me répond que ça l'étonnerait, qu'il ne voit que par moi, en journée, j'appelle des copains ou la femme ne travaille pas et que lui fréquente, tous sont étonnés aussi de ne pas l'avoir vu, le vendredi, j'appelle, mais personne, le numéro n'est pas attribué, je le refais et pareil, mon mari dit, demain, on passera l'engueuler.

Le samedi matin, on y va de bonne heure, pas de voiture, plus de rideaux, plus de meubles, mon mari se demande ce qui se passe, le voisin âgé d'à côté nous voit et sort, on lui demande ce qui se passe, et là, il nous dit, qu'en début de semaine, un camion de déménagement est venu tout prendre, on va voir son proprio, qui dit qu'il est venu régler son mois et quitter la maison en urgence disait-il, mon mari ne comprend pas, moi, je commence à comprendre, en me disant (quand même pas), en rentrant, tant pis, je lui avoue tout, il me dit que j'aurais dû lui dire, mais il ne sait pas s'il aurait été le voir tout de suite.

Le lundi, il va à son boulot, il avait donné son compte, ne travaillant que jusqu'à la semaine d'avant, on téléphone à tout le monde et personne ne sait, le petit vieux n'a pas su nous dire le nom du camion de déménagement, j'ai essayé de me renseigner chez des déménageurs de la région, mais rien.

Je connais le copain, il sait que j'ai des moyens pour retrouver quelqu'un, il a dû donner une adresse bidon, graisser le chauffeur et les déménageurs pour qu'ils aillent à une autre adresse, comme cela, pas de trace sur les documents

Presque 5 ans après, un coup de fil d'un copain, qui nous dit en plaisantant, qu'on lui doit un bon resto, on dit pourquoi, il nous dit que ce copain privilégié est à tel endroit, il l'a croisé par hasard, le suivant jusqu'à chez lui pour nous donner son adresse, à 150 km de chez nous, on voulait y aller de suite, mais on a attendu le samedi matin.

Ce samedi, on arrive, endroit miteux, maison miteuse, on frappe, il nous ouvre, il nous voit, il est très surpris, gêné, je m'étais habillée sexy exprès, il ne nous referme pas la porte, mais il ne nous dit pas d'entrer, il ne dit aucun mot, même pas bonjour, mon mari me dit, vas-y, j'attends à la voiture.

Je le pousse à l'intérieur et je referme la porte derrière moi, je lui dis, je t'ai mise une gifle que tu ne méritais pas, mais là, tu en mérite des millions de m'avoir laissée, il répond, non, la gifle, j'en méritais plus, et même pire, il ne me regarde pas dans les yeux quand il me parle, je lui dis arrête, c'était une bêtise où je suis plus responsable que toi encore, mais il n'a rien voulu entendre, s'insultant, se flagellant, se rabaissant, il se maudissait, s'en voulait à mort, enfin, complètement traumatisé.

J'ai voulu lui attraper la main, mais il m'a dit non, qu'il ne me méritait pas, plus j'essayais de le ramener et plus il s'énervait contre lui, j'ai voulu le serrer dans mes bras, mais il m'en a empêché, c'est la première fois de ma vie que je suis repoussée, une vraie douche froide, quand je lui ai demandé, s'il allait revenir nous voir, il a dit, je ne sais pas.

En fait, il n'est jamais revenu, même les autres copains disent qu'il ne veut plus les voir, il porte malheur qu'il dit, mon mari est allé le voir ensuite et il lui a tenu le même discours, après mon mari, j'y suis retournée en lui disant que s'il revient, tout sera comme avant entre nous, refusant en disant qu'il ne me mérite pas, je me mets à pleurer, il me dit, non, ne pleure pas, je ne le mérite pas, je t'ai violé, je me dégoûte, j'ai dit, mais non, revient nous voir au moins, je verrais qu'il répond.

Mais à son air, ça voulait dire non, deux semaines plus tard, j'y suis retourné seule, mais il avait déménagé encore une fois, de guai, joyeux, toujours à plaisanter, à jouer, à chahuter, rire, propre, il est devenu le contraire, je m'en veux pour cette foutue gifle, il est maintenant le nuage gris dans mon ciel bleu, après son premier départ, j'ai été malheureuse 3 mois, depuis son 2eme départ, j'y suis encore.

On a déménagé depuis, mais on a encore l'autre maison, quand j'y retourne pour faire visiter, ou quand on y passe pour regarder que tout va bien, je le revois partout, et surtout à cet endroit ou tout a basculé, le cafard me reprend, je suis comme en deuil, mon mari m'avait donné carte blanche pour qu'il revienne, même jusqu'à coucher avec, je pense que si je le lui avais proposé, ça l'aurait vexé encore plus.

Il aurait senti de la pitié de ma part, mais pas d'envie, je n'ai jamais voulu coucher avec pour ne pas briser l'amitié, je disais à mon mari qu'il m'approchait du plaisir quand il me tripotait, lui demandant ce qu'il en pensait si j'en prenais, car plusieurs fois, il m'en parlait, que pour un homme qui se respecte, de faire jouir une femme, c'était plus fort que jouir soit même.

Il était comme "ma meilleure amie", mon confident, mon copain, presque mon amant, mon mari avait eu une idée, arriver chez lui la jambe dans le plâtre, et dire que des types m'avaient malmenée, que nos autres copains, qu'on aurait prévenus, n'auraient pas été joignables, à cause d'une compète de cross dans un coin quelconque, pour voir s'il avait répondu présent pour une expédition punitive, pour me venger, comme au bon vieux temps, mais comme il avait déménagé à nouveau, cela n'était plus faisable, mon mari y a pensé trop tard.

Mon copain Henri, qui a été un ami coquin aussi, qui est passé par des moments de détresses également, ne comprend pas son attitude, disant que c'est de l'orgueil mal placé, voilà la fin de cette histoire, ou seule la fin est triste, et ou je n'ai eu que bonheur avant cette foutue gifle.

FIN.
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Histoire de annizette

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