Soirée poker avec des amis.

Jordan, mon mari, et moi, avons emménagé dans la villa que nous avons acquis dans le sud de la France, fuyant ainsi la grisaille du nord. Ça va faire trois ans que nous vivons ensemble. Je m’appelle Audrey, j’ai vingt huit ans, avec un physique qui ne laisse pas indifférent les hommes que je rencontre dans les soirées.
J’adore mon mari, bel homme, toujours attentionné à beaucoup d’égards, ne me refusant rien.
De part son travail, il est souvent en déplacement. Jusqu’à deux fois par mois.
Nous avons toujours un énorme plaisir à nous retrouver, à vivre des moments intense, à faire l’amour sous toutes ses formes, et ce parfois toute la nuit.
Nous n'avons jamais, à ce jour, connus d'autres partenaires, et savourons une vie sexuelle que beaucoup de couple de nôtre âge doivent également partager.
Il nous arrive de temps en temps, de sortir des sentiers battus, tester de nouvelles expériences, mais toujours dans le cadre du couple. Mais tailler des pipes, ou se faire sodomiser, ne fait pas partie de mes principaux fantasmes.
Nous n'avons jamais invités d'autres couples, ni homme, ni femme à partager notre vie sexuelle, même si, je dois l’avouer, mon mari serait partant.
C’est en fait son travail, mais surtout ses déplacements qui l’ont, au fil des nuits passées seul dans une chambre d’hôtel, déclenché en lui ce fantasme.
Il me dit qu’au cours de ses déplacements, il m’imagine m’abandonner entièrement dans les bras d’un autre homme. Il craint que je puisse me laisser séduire par un bel inconnu lors d’une soirée entre copines, et passer la nuit avec lui. Cette idée hantait toutes les nuits passées seul dans son lit. Il m’imaginait baiser, sucer, me faire sodomiser par un autre, et que cela lui faisait mal.
Très méfiant, quand il rentre après quelques jours, je le surprends à chercher le moindre indice, la moindre trace d’un homme, qui aurait partagé la nuit avec moi. J’avais beau le rassurer, lui dire qu’il se faisait des films, que je lui étais fidèle. Rien n’y faisait.
Quand il rentrait le week-end, je m’offrais totalement dans des ébats sulfureux.
Après quelques mois, il m’avouait que de m’imaginer me faire baiser par un inconnu bien monté, provoquait chez lui, une certaine excitation.
Il essayait à plusieurs reprises, d’aborder le sujet, d'amener doucement lors de nos relations amoureuses, ce nouveau fantasme.
Mais je n’étais ni adepte, ni intéressée par une quelconque relation extraconjugale, lui avouant qu’il me satisfaisais au lit, qu’il assurait très bien son devoir conjugal, qu’il comblait mes désirs, et qu’il m’apportais énormément de plaisir.
Pendant quelques temps, nous n’en avons plus reparlé, se disant qu’après tout, que ce n’était pas grave si ça ne restait qu’un fantasme.
En fait, ce qui était important à ses yeux, c’est que je sois heureuse et comblée.
Le connaissant, c’est du moins ce qu’il devait se dire, mais cette envie de réaliser ce fantasme, germait toujours dans sa tête, étant entendu qu’il ne mettrait jamais nôtre couple en danger, si je n’étais pas partante.
C'est lors d'une soirée inaugurale organisée dans nôtre villa, où nous avions invité un couple d'ami, ainsi que quelques collègues de travail de mon mari, que celui-ci relançait le débat. A mon regard, je lui fis comprendre que je n’étais pas prête à ça.
Il y avait Sylvain et Jade, nos amis personnel, Kevin et Rémi, collègues de Jordan.
Je ne connaissais les potes de mon mari, mais je dois avouer que Rémi dégageait un charisme et une virilité hors norme, doté d’un regard destructeur.
La soirée se passait dans une excellente ambiance, alimentée, il est vrai, par de nombreux verres d’alcool. On rigolait, on parlait de tout de rien, bref on passait une soirée des plus agréable.
Quelques verres plus tard, justement, Sylvain proposa d'organiser un petit poker. Tout le monde approuvait l'idée, et nous sommes donc installés autour de la petite table du salon. Rémi a commencé à distribuer les cartes.
Nôtre couple d'amis était installés côte à côte. Sylvain à côté de Jade, ce qui lui permettait d'ailleurs d’avoir le plaisir de pouvoir mâter dans son profond décolleté assez facilement. Kevin était à coté de Rémi, et moi, installée entre eux deux.
J’étais tout en beauté ce soir là, décontractée, vêtue d’un mini-short qui mettait en valeur les formes parfaites de mes fesses, d’un débardeur sans manche, échancré sous les bras, laissant deviner ma magnifique poitrine.
Mon mari trouvait que cette tenue aurait pu passer inaperçu, mais que, portée par son épouse, elle prenait une tout autre allure.
Rémi semblait lui aussi apprécier ma tenue vestimentaire, en tout cas, autant que Jordan. Je remarquais les coups d’œils qu'il me jetait depuis le début de la soirée, ce qui ne me déplaisait pas de voir que je pouvais encore séduire, même en étant mariée, et de voir l'effet que je produisais sur lui.
Rémi n'était pas mal non plus, très séduisant, avec une grande connaissance des femmes. Lors de leurs déplacements, Jordan m’avouait qu’il n’était pas le dernier à lever une fille, ou une femme mariée, pour l'accompagner dans son lit.
La partie commence calmement, tandis que les verres descendent allègrement.
Au bout de quelques tours, Sylvain, légèrement éméché, demanda de faire une pause, et d’aller s’allonger à la chambre.
Nous voila obligé de poursuivre à quatre, quand Rémi nous invite à corser le jeu.
Pour le pimenter, il propose tout simplement, de transformer cette partie de poker, en strip-poker. Ainsi un tour sur deux, le gagnant propose à l’adversaire de son choix, de choisir entre un gage, ou ôter un vêtement.
Je vis que cette idée convenait parfaitement à mon mari, étant assez bon joueur, et un tantinet tricheur. il n'avais pas de raison d'avoir peur. Il croisait mon regard, et comprit par contre, que je n’appréciais pas du tout les règles imposées par Rémi.
Je savais que par ma beauté, et selon la tournure des parties, les mâles n’avaient qu’une idée en tête, car tous, sans exception, voulaient me choper.
De son côté, l'idée que sa femme se dévoile un peu, ne dérangeait pas mon mari. Au contraire, cela l’excitait, et à voir le sourire de Rémi, il n’était pas le seul.
Je réfléchissais de savoir si j’acceptais ces nouvelles règles. Mais l'alcool aidant, je finis par me pliait à cette idée, tout comme Jade, suspendue à ma réponse.
Je regardais mon mari, tout surpris d’entendre cette réponse, très heureux aussi de savoir que j’allais enfin m’ouvrir d’avantage sur les gens.
C’est reparti. La première passe fut remportée par Jade. Cette dernière demande à Rémi ce qu’il choisit. Il opte pour le retrait de sa chemise.
Je chavire d’admiration, à le vue du torse musclé de Rémi, débordant de virilité. Je m’imagine ce qu’on pourrait faire dans un lit tous les deux.
Ensuite, les tours défilaient plus vite, de même que les bouteilles. C’est Jordan qui remportait la manche, et me demandait à de choisir. Très pudique, je choisis le gage. Il me demandait alors d’embrasser Jade sur la bouche...avec la langue.
Quel salaud. Je le fusillais du regard, sachant que je ne peux accepter un tel gage, quand Jade s’approcha, me prit les lèvres. Après un court instant de surprise, je jouais le jeu, et savourais le sulfureux baiser de mon amie. Puis nos langues se dénouèrent, et éclations de rire, tout en prenant un verre.
Je voyais que Jordan et Rémi, ne restaient pas de marbre, devant un tel érotisme, et que ça devait frétiller entre leur jambes.
Les parties s’accélèrent. Jade se retrouve en string, et soutien gorge. Rémi laisse apparaître une barre impressionnante en travers de son boxer, qui ne cache pas grand-chose de sa virilité. Par chance, j’ai été assez préservée, et n’ai perdu que très peu de vêtements. Quant à mon mari, il avait réussi à conserver son jean’.
Était-ce par respect, toujours est-il que les gages baissaient d’intensité, et n’était plus vraiment sexuel. A part Rémi qui put caresser les seins de Jade, et moi même qui ai dû caresser le torse de Rémi, suite à un gage donné par Jade.
J’avoue que cette caresse, m’avait pas mal excitée. A part ça, rien, le calme plat.
Voyant que personne ne bougeait, je décidais de débloquer la situation, me lançais. Je mis ma pudeur de côté, et pour pimenter d’avantage la partie, je promis que le prochain gagnant aurait le privilège d’ôter mon mini-short.
Soudain, je pensais au fantasme qui germait dans l’esprit de mon mari. Ne voyait-il pas là, un changement d’attitude de ma part, concernant son fameux fantasme.
C’est Rémi qui remporta le tour, certainement aidé par une quelconque tricherie de mon mari. Car je suis persuadée que Jordan à laissait Rémi lever le pot.
En bonne perdante, je me levais, et me dirigeais vers le gagnant, me retournais, lui montrant mes fesses, en me cambrant légèrement. Rémi ne se fit pas prier, et sans le moindre regard pour Jordan, baissa lentement mon short, prenant le temps de détailler mon petit cul , qui se trouvait à quelques centimètres de son visage. Il ne restait que le string, qui ne cachait pas grand-chose de mon intimité.
J’enjambais mon short, et sans le ramasser, vins m’asseoir près de mon mari, lui déposa un baiser sur la joue, puis insistais pour reprendre le jeu.
Jordan gagnait la manche suivante, et m’invitait à me dévoiler un peu plus, en me demandant de retirer mon soutien gorge. C’est Rémi, encore lui, qui s’empressait de le dégrafer, effleurant par la même occasion, la douce peau de mes épaules. Je sentis un agréable frison parcourir mon échine.
La manche suivante, c’est moi qui gagne, je demande à mon mari de retirer son jean’ et aperçois une bosse, bien plus modeste que celle de Rémi. Ce dernier gagne le tour, et demande à mon mari s’il préfère enlever son boxer ou effectuer un gage. Jordan choisit le gage. Ce produit alors l’impensable. Rémi pousse le vice jusqu’à humilier mon mari, en lui ordonnant de faire glisser lui même, la dernière protection cachant mon intimité...mon string.
Je croise le regard de mon mari, lis une gène sur son visage. Il connaît bien Rémi, sait ce qui l’est capable de faire à une femme. Mais le jeu c’est le jeu, et malgré la réticence qui se lit sur mon visage, mon mari s’exécute sans sourciller.
Il tremble d'excitation en faisant glisser mon string, dernier rempart symbolisant son accord pour la suite des événements.
Je suis maintenant entièrement nue, devant Rémi, presque divine à ses yeux.
Je me penche en avant, prenant appuis sur le canapé, afin que Rémi profite au maximum, de la vue que je lui offre. Il doit apercevoir le filet humide qui suinte de ma fente.
Rémi retira lui aussi son caleçon, devant mes yeux grands ouverts, dans un soucis d'équité nous dit-il. Rémi nous dévoila un pieu d'un peu de plus de vingt centimètres, plus large, plus grand et gros que celui de Jordan. Ce dernier pense que je ne serais pas mécontente de découvrir le sexe avec cet homme.
Rémi s’approche de moi, me prend la bouche, tout en laissant ses mains parcourir mon corps. Je m'allonge sur le canapé, Rémi m’attrape un pied et me fait lever la jambe, formant ainsi un angle à quatre vingt dix degrés, lui offrant une vue dégagé et imprenable de ma chatte épilée, vers laquelle glisse ses doigts.
Placé debout à côté, de moi, il a sa queue au même niveau que ma chatte. Jordan regarde la scène, impuissant depuis le fauteuil situé en face de nous. Il es le grand perdant de le soirée, celui qui va voir sa femme se faire baiser par un de ses potes, et commettre l’adultère.
Parce que c’est ça qui va se passer. Je vais me faire baiser, et il n’y pourra rien.
Après de douces caresses sur mon intimité, j’observe la queue bien droite qui frotte tantôt l'intérieur de ma cuisse, tantôt mon bas ventre, et qui se rapproche dangereusement d’une collision inévitable avec ma chatte. Il fini par l'effleurer et n'attendant que cela, je laisse échapper un petit gémissement.
N'en pouvant plus Rémi m'attrape et me soulève, bien décider à me prendre enfin, mais je le stoppe, lui promettant de garder le meilleur pour la fin.
Je le fais s'asseoir dans le canapé et me place entre ses genoux afin de lui tailler une pipe dont seule, j’ai le secret. Je prend un malin plaisir à lécher, sucer, avaler tout ce que je peux de cet engin que j’ai du mal à contenir dans ma bouche.
Le sentant proche de l'orgasme, je m’arrêtais et attendais un peu, afin de pouvoir mieux profiter de la saillie qui m'attendait par la suite.
Puis vint le moment que mon mari attendais tant, pouvoir vivre son fantasme, qui, petit à petit, devenait le mien. Je le voyais jubiler, tout proche de moi, suivant les mains expertes de Rémi qui parcouraient les moindre recoins de mon corps.
Rémi pris ma main et m'amena dans la chambre conjugale, privant Jordan d’assister à ma saillie. Il m’allongea sur le lit. Ce fut très brutal, mais la manière dont il m'a jeté, m’a beaucoup plu.
Mon mari insistait pour entrer dans la chambre. Rémi accepta, à une condition, celle d’accomplir un dernier gage. Je sentais mon mari surpris, se demandant ce qu’il pouvait faire de plus. Mais il accepta.
La sentence, humiliante, tomba. Rémi demandait à mon mari de saisir sa queue, et de l’enfiler lui même dans ma chatte. Jordan me regardais. J’eus un battement de cils, l’invitant à faire ce que Rémi lui demandait. Lentement, il s’approcha, saisit la bite, et la glissa dans ma chatte. Je lui tins un instant la main qui entourait le calibre de Rémi, et poussa un long soupir quand il me pénétra.
Puis Rémi lui demanda de quitter la chambre, car il avait gagné sa femme pour la nuit et qu’il ne pourrait pas la revoir avant demain matin. J'étais stupéfaite de cette décision, et je sentais que Jordan attendait une réaction de ma part. Hélas pour mon mari, je ne fis qu'approuver la décision de Rémi, disant qu'il avait raison, que je lui raconterais tout par la suite, avant de lui envoyer un bisous.
La dernière image que Jordan put voir, c’est Rémi en train d’enfiler un préservatif, avant de lui claquer la porte au nez.
La nuit fut torride. J’atteignis mon premier orgasme au cours de pervers et vicieux préliminaires, me prouvant ainsi que Rémi connaissait le corps féminin sur le bout des doigts. Rémi me couvrit de baisers, jouait avec les partie intimes de mon corps.
Je décidais de m’offrir totalement aux exigences et aux caprices de mon amant, sans retenue, surmontant tous les interdits qui avaient bloqués ma sexualité jusqu’à aujourd’hui. Et Rémi savait faire ça, et en plus de s’avérer être un merveilleux amant, il était créatif, infatigable.
Cette nuit là, j’eus droit à toute la panoplie d’un parfait baiseur chevronné. J’ai été prise dans toute les positions, par tout les trous. J’ai tailler des pipes, tout avaler, je me suis faite sodomiser, toutes les faveurs que je refusais à mon mari.
Au petit matin, la porte s’ouvrit, c’était Jordan. Je finissais ma dernière fellation, qui clôturait la sulfureuse nuit passée avec Rémi.
Je lui fis signe de revenir un peu plus tard, que je tenais à finir ma pipe, et avaler une dernière fois.
Quand il revint, Rémi n’était plus là, il était parti très tôt, sans faire de bruit.
J’étais allongée sur le drap, des traces de sperme mélangés à ma cyprine sur tout le corps. Jordan me trouvait belle et désirable. Il fit le tour de la chambre, tomba sur un préservatif. Je lui expliquais qu’il l’avait mis, mais qu’il avait trouvé ça gênant, et l’avait retiré, me disant que le contact direct de sa bite, serait plus agréable pour moi. C’est là que Jordan découvrit les souillures de sperme sur les draps, celui là même qui coulait de ma chatte, de mon petit trou, et de ma bouche.
Jordan eut la gentillesse de me laisser me réveiller, et me prépara un somptueux petit déjeuner. Nous l’avons pris ensemble, Jordan et moi, comme à nôtre habitude. C’est à ce moment qu’il me demandait de lui racontais tous les détails de ma nuit, comment il m’avait baisé, dans quelle position, comment il m’avait enculé, combien de pipes lei avais-je taillé, combien de fois m’avait-il fait jouis.
Je lui répondis qu’il avait vidé ses couilles, dans tous mes trous, et ce à plusieurs reprises, et que j’avais beaucoup avalé.
Après toutes ces interrogations nous sommes allés prendre une douche ensemble durant laquelle Jordan m’a prise et où nous avons tous les deux jouis.
Finalement, j’avais réalisais le fantasme de mon mari, et y avais pris énormément de plaisir. Le seul regret qu’il est eu, c’est de ne pas m’avoir vu faire l’amour avec un autre homme. Mais il me dit garder l’espoir.
Rien n’a changé pour lui. Il passe toujours ses nuits seul dans un lit froid lors de ses déplacements, ce qui n’est plus mon cas.
Avec l’accord de mon mari, Rémi passe souvent certain soir, me tenir compagnie, quand Jordan est en déplacement. On passe des nuits entières à baiser.
En fait, Rémi m’apporte sexuellement, ce que Jordan ne peut m’apporter.
Mon mari le comprend très bien, et cautionne le fait de m’offrir à son meilleur pote.
Seule recommandation...préservatifs...préservatifs...toujours préservatifs…
Mais il n’est pas là pour le voir…
Nous reparlons souvent de cette expérience, avec Jordan, évoquant la possibilité de recommencer avec d’autres hommes. Mais envisageons surtout de reprendre un jour une vie normale, car malgré tout, il m’aime, et il reste l’homme de ma vie.